Dans mes chroniques (la maladie est grave !) on m’a demandé de cultiver les potes âgés pour leur donner du vocabulaire de ma grand-mère impotente.
Vu leur sénilité précoce ( non y a que ça qui est précoce ) nous procéderons toujours, par des anecdotes, qui leur permettront de mieux mémoriser, et de bien comprendre le sens des mots et ses dériveurs….. Aujourd’hui :
TIRLIPOTER
Musique d’ambiance
Pour ceux qui nétaient pas là, le jour de ces leçons sur les potes, qui potent et qui tripotent quand ils sont trois, ils peuvent réviser ou faire le cours de rattrapage
Leçon 1
Leçon 2
Leçon 3
Leçon 4
Plan du cours (deau)
1 Pote
2 Poter
3 Tripot – Tripoter
4 Tirlipoter
Nous en sommes donc au verbe TIRLIPOTER, qui signifie …….?.
Alors les petits coquins quelqu’un a t il des idées .? Pour moi tirlipoter ce n’est pas le jeu d’enfant proposé hier par chou fleur ! Je parle d’éducation sexuelle et d’idées cochonnes .. Je parle du jour, où votre choupinet passe du petit GERVAIS à sa première gerbe matinale…. dès lors la vision que nous avons du verbe tirlipoter se doit d’être changée, pour laisser la nature s’exprimer, et par cette maturité soudaine le verbe et vite remplacé par la verge. Vous verrez votre adolescent boutonneux plus proche de mère nature, entrer dans le verger des fruits défendus.
Là, naitra la question ! Est ce que l’on peut tirlipoter seul ?
EH Oui, comme ce n’est pas réservé aux marins qui partent longtemps en mer, on peut donc tirlipoter seul, mais ce jeu n’a rien à voir avec le solitaire…. NON c’est plus vert…..c’est en tirlitripotant sa bistouquette dans le style mano à mano libérateur que l’on trilipote seul. Eh oui , ce n’est pas bien de se lustrer le pingouin, on dit d’ailleurs: Jeu de mains, jeu de vilains ou filer du mauvais coton sans doute à cause des laines pingouin. . A NOTER (pour rassurer Mamie) : Cette solitude attitude n’est pas réservée aux seuls manuels en route pour Sodome et GO more more more….!
Chez les gonzesses tirlipoter est un comportement plus intériorisé…..parfois même mécanisé au vibro masseur ….c’est sans doute cela que l’on appelle le sexe à piles …… avec des DURASEL conseillées pour les dures à cuire. A NOTER : les gonzesses trilipotent moins que les mecs, sans doute que c’est plus facile de jouer avec ce qui tient dans la main .
Ouais mais à condition que tout soit en proportion…!
–
Mais peut être que trilipoter se fait à deux ?
J’en vois d’ici quelques unes qui pensent que tirlipoter c’est prendre un pot avec un tirlipote.
Pour elles donc le tirlipote, c’est le degré de température au dessus du pote, si on les suit, le pot vous le prenez en un cinq sept dans une garçonnière.
Si c’était ça…. alors là, pas de doute, là, le tirlipote serait un amant .
Le pote avec qui l’on tire !
Pour votre pot, nous vous conseillerions alors, la menthe fraiche .. c’est très rafraichissant surtout si vous vous donnez beaucoup de mal madame pour que votre trilipote passe du tripotage au tripatouillage sans être « marri » du résultat, et prenne l’abonnement hebdomadraire ( on bosse une fois par semaine seulement…!) .
A NOTER : J’ai oublié de préciser à mes potes âgés que dans cette hypothèse le tirlipote ne peut pas être le mari de la dame…..! Là, nous confondrions tirlipoter avec ventripoter qui est proche du gratouillis conjugal plein de tendresse juste en dessous de la bedaine.
Ouvrons une parenthèse éducative pour nos potes âgés en construction, ceux qui ont peu de « kulomètres au conteur », pour leur dire que seuls peuvent ventripoter ceux qui ont un ventre et un âge avancé
Oui Monsieur, vous y êtes.. ! Quand vous ne vous voyez plus pisser et que madame se lasse ……….de vous lasser les lacets, qui sont eux aussi lassés d’être manipulés par la même ventripoteuse. A NOTER : Soyons simples et clairs: Une ventripoteuse nest pas une tirlipoteuse on l’a compris, mais pas plus une tripoteuse, qui n’est pas masseuse non plus …… Enfin pas toutes !
RECAPITULONS : Au risque de décevoir . tirlipoter reste donc un jeu, mais dans mon jeu, la petite bête qui monte, qui monte, qui monte, peut avoir le vertige, et la peur de l’autre l’oblige à s’arrêter à l’entre seul….!
Mais peut être que tirlipoter se fait à plusieurs ?
Si le petite bête continue de grimper, le jeu du tirlipote peut se résumer à simplement faire le jeu lit coeur avec plusieurs gonzesses …. et dans le même lit…!
Oui si vous voulez ., vous pouvez tirlipoter à plusieurs…!
Ça commence à trois par un tri-potage prenez des gonzesses pas trop grosses, pour ne pas finir en noeud de boudin et surtout n’ayez pas d’ambitions démesurées, car même les poupées russes ne viennent pas à plusieurs pour des queues et des cerises …..?
CONSEIL A NOTER : Si dans cette partie de tirlipote, vous tombez sur des dindes, méfiez vous que le tirlipote ne se termine pas en jeu de loie, avec des oies blanches qui peuvent même se prendre au jeu .. voire se pendre aux oeufs comme des mères poules caqueteuses qui commentant vos performances, raconteront que vous en faites beaucoup plus avec la langue . !
Après tout, ça n’est pas très gênant pour les potes âgés, à qui il ne reste plus guère avec les dames, que ce type de conversation .. plus peut être beaucoup de doigté et de tact ..tac.
POTE H ( vous pouvez suivre mes lubriques dans la catégorie les potes H)
La Partition de MA2 (Sortie de son piano, MA2 nous revient)
Musique à deux
MÉTÉO AND MUSIC EST NÉ…
5 RADIOS POTES AGES
RADIS EAU: Arrosage CLASSIQUE – 31 morceaux
CE QU’ILS EN DISENT AU COMITÉ DE RÉDACTION
– MA2 Tu as fait fort en composant des radios gratuites pour tous les genres …musique de films – latinos – jazz- selection variétés pour tes potes + la radio classique qui est ci dessus …
c’est plus de 200 musiques à votre disposition en permanence sur la page METEO AND MUSIC dans le bandeau noir dans l’entête
POUR DÉCOUVRIR LES 5 RADIOS
Et t’as en plus la météo… pour savoir quand planter tes radis …oh !!
M A 2 Ma musique à deux Mise en page et sonorisation réalisée avec la complicité de CHOU BLANC
Nous sommes à Marseille dans les années 60, la mécanisation est encore insuffisante, et sur les quais des dockers s’affairent à décharger un cargo de carcasses de viande en provenance de l’Argentine.
Jean Pensemal et Louis Sansoseille terminent leur journée, chacun avec une carcasse sur le dos. Passerelle franchie, et fardeau déchargé, Louis dit à son jeune compagnon :
« Jean, ma femme m’attend, et il reste juste une carcasse dans la cale… ça t’ennuie pas de faire la dernière »
« Pas de soucis Louis, à titre de revanche »
Le soir tombe sur ce quai sinistre et morose que la lumière du crépuscule semble s’excuser d’éclairer. Les derniers dockers quittent sans regret les docks crasseux, Jean suit du regard son pote Louis qui s’éloigne. Un sentiment étrange bouscule ses pensées. C’est un peu comme s’il perdait chaque soir son pote Louis… Il a l’habitude de ce sentiment d’abandon quotidien, qui disparait quand le lendemain sa silhouette bedonnante perce au petit matin la brume du quai 8.
Quand même , ce soir cela semblait différent, peut être à cause du pas pressé de Louis ?
Jean Pensemal se met en quête de sa dernière carcasse de viande. Il franchit la passerelle, passe le pont inférieur, et se dirige droit vers les box frigorifiques.
Là, il pénètre dans le frigo B, lieu de leur dernière prise en charge.
Les cales frigorifiques sont un dédale de piliers constituant l’armature du navire, et plus utile à cette dernière qu’à la rationalité du stockage. Cela contraint à un aménagement intérieur cloisonné à hauteur d’homme, pour mieux matérialiser des box.
Pas de doutes, il est au même box que tout à l’heure avec Louis et aucune carcasse de viande n’est là.
Accaparé par sa recherche, il n’entend pas le bruit dune porte que l’on ferme… il faut dire que dans ce type de cargo, l’activité bruyante va bon train et ce qui est déchargement d’un coté est activité de chargement dans une autre partie du rafiot.
Jean passe en revue tous les box, point de carcasse restante. Il se dit que Louis a mal fait son compte et se dirige d’un pas tranquille vers la sortie. Un couloir, virage à droite, la porte est en vue…. mais fermée . ?
A première vue, cela n’alerte pas Jean Pensemal..! mais il change vite de comportement, lorsqu’il tente de l’ouvrir et que cette dernière lui résiste anormalement. Jean s’acharne après la poignée, la manipule dix fois de suite d’une main fébrile. Là, le rouge monte au visage, il vient de réaliser .il est enfermé…! Panique dans sa tête, il tambourine et appelle tant qu’il peut .. tant et plus….. tant et si bien qu’au bout de quelques instants sa gorge n’émet aucun son audible.
Dans l’environnement bruyant de ce navire, le bruit des poings sur cette porte en fer, ne peut alerter personne au-delà de 2 mètres de celle-ci.
Il cherche un objet métallique, retrouve son crochet de docker frappe et frappe encore sur la paroi métallique de la porte palière.
Son bras douloureux et l’absence de réponse à son entêtement, lui font lâcher le crochet et s’effondrer en sueur sur le sol. Assis le dos appuyé à la paroi à gauche de la porte, il appuie sa tête rejetée en arrière, comme pour mieux sentir le métal froid qui, selon lui doit le faire sortir de ce cauchemar.
Sa nuque, par sa proximité avec le point d’appui, reçoit par effet de conduction une froideur intense qui se répand dans ses épaules lui provoquant un frisson dans la colonne vertébrale …..! Il comprend très vite qu’il doit s’éloigner des parois métalliques qui concentrent le froid, et le diffusent par effet radiant. En même temps qu’il s’en éloigne, il réalise la menace du froid et ses effets à long terme.
La température de conservation est habituellement fixée entre 4 et 8 °c pour nos réfrigérateurs familiaux mais tombe ici entre 2 et 4 ° car le volume des carcasses justifie la conservation au coeur de la pièce.
Ses mains de docker connaissent bien l’intensité de ce froid …. en les regardant, il comprend que le danger vient du froid que son ennemi le plus redoutable c’est l’oubli dans ce trou à glace, car qui se souciera de ce jeune docker qui n’est pas passé à l’estaminet, qui se préoccupera de l’absence de lumière dans sa chambre mansardée. Personne n’a jamais attendu Jean Pensemal… Il réalise à quel point sa vie ressemble à ce local frigorifique vide et froide à la fois.
C’est cette absence de chaleur dans le coeur et ce désert affectif qui amplifient sa détresse. Comment et combien de temps allait-t-il devoir attendre le matelot de quart pour sortir de là …? Il ne le sait pas, et déjà la désespérance fait place à une panique sournoise et insidieuse qui s’invite en lui, imposant à son esprit un scénario catastrophe et un seul … Il va rester enfermé jusquà ce que la mort n’ait même pas à se donner la peine de le refroidir.
Aucun élément positif ne lui venait à l’esprit. Dans la panique ambiante, il réalise qu’il n’a personne sur terre à qui s’accrocher maudit soit cet incendie qui lui a emporté ses parents, sa seule famille.
Ironie de la vie ou de la mort que de devoir mourir dans des conditions diamétralement opposées à celles de ses êtres chers.
Rien dans sa tête ne peut lui faire oublier le froid qui règne en maitre dans son coeur ! Ce froid , qui lentement gagne au fil des heures les moindres recoins de son être. Il se lève de temps en temps, bouge son corps endormi, et de plus en plus engourdi. Il ne réalise même plus que chaque mouvement qu’il fait pour se réchauffer, obère sa capacité de résistance.
Pris en étau entre panique et désespoir, coincé entre sa souffrance intérieure et l’insensibilité progressive de son corps, il ne sent désormais plus ses chairs !
La panique décuple, quand il entend la sirène du cargo saluer la rade de Marseille .. il repart vers l’Argentine ! Quand… ! Mais Bon Dieu, Quand le matelot de quart entendra-t-il ses coups renouvelés sur la porte palière ?.
Son désespoir est à son comble, quant tout à coup, la lumière s’éteint.
C’est comme si la dernière heure qu’il pressent proche se joignait à la débâcle. Il reste hagard et désormais désorienté dans la pénombre. Seuls, deux blocs de sécurité font danser l’ombre de sa frêle silhouette sur le mur du box comme une dernière danse macabre ironique et pesante.
Il n’y avait pas d’autre issue, et dans ce désordre irrationnel, dans ce chaos injuste, il ne peut trouver l’espérance qu’en témoignant, qu’en décrivant sa souffrance sur ce mur qui devenait celui des lamentations .. Ce crayon papier qu’il portait toujours sur lui pour noter le nombre de ballots transportés, était devenu, à ses yeux, un bien précieux, le seul vecteur de communication, le seul moyen d’appeler virtuellement à l’aide avec les mots simples, appris avant qu’on lui demande de remplacer sa tête par ses épaules. Dans l’espérance d’être entendu par un être supérieur, qu’il a toujours jusqu’à à ce jour ignoré, Il écrit .. écrit encore, décrivant la montée du froid, ses dégâts dans ses chairs, la froideur de ses larmes, le désordre de son âme se refroidissant avec lui …
Il passe d’une paroi du box à l’autre, comme on tourne les pages de son carnet intime, réécrivant ce qu’il a écrit la veille, détaillant la faim qui le tenaille, l’odeur de ses propres excréments qui voyagent avec lui à la lumière vacillante du bloc de sécurité.
Il perd progressivement la notion du temps qui passe, trace des buchettes sensées représenter les heures d’anxiété qui s’écoulent. Il sent bien au fond de lui que cela ne correspond pas à la réalité du dehors, à un monde rythmé par un soleil dont il ne revoit plus les rayons, un monde auquel il n’a plus accès.
Les buchettes succèdent aux buchettes, les phrases deviennent sibyllines répétitives et glacées comme ses membres qui menacent de se briser à tout instant.
Les phrases décrivent la rigidité cadavérique qui l’envahit, les pensées qui se cassent en deux, dans sa tête, comme une banquise qui cède .
L’écriture n’est plus tremblotante, car son amplitude diminue au point de devenir linéaire et difficilement déchiffrable. L’expression n’est presque plus que suite de mots à la froideur polaire Le mot coeur est écrit trois fois, pour finir par donner «mon coeur se brise » sans qu’aucune main n’ait pu donner de second souffle à un récit devenu définitivement funeste.
–OUI Jean Pensemal a certes eu tord de paniquer; car dans ce désordre intérieur, n’ayant rien à quoi se raccrocher de rationnel, il en a oublié les alarmes qui sont fixées sur la porte d’en face et le boiter des clés de sécurité fixé à quelques box de là!
La certitude de la mort prochaine, le vide affectif ou rien ne permet de se raccrocher ont eu raison de lui…!
Lui a fait défaut, la force d’une pensée positive qui aurait pu éviter ce désastre. Ceci nous démontre que notre corps est fragile face au froid, face aux événements extérieurs que nous subissons comme une fatalité alors que nous devrions les combattre comme un simple obstacle en travers de notre route.
OUI Jean Pensemal est mort dans cette cale frigorifique, seul au monde comme une carcasse abandonnée. On retrouve son corps recroquevillé sur lui-même, en position foetale, comme un bloc de glace dont la rigidité cadavérique n’a pas pu amplifier la dureté.
OUI Le médecin du port de BUENOS AIRES constate bien une mort par le froid
OUI, après enquête, le Capitaine Alfredo a bien consigné sur son livre de bord, qu’un docker est mort sur son navire ..
Mort étrangement de froid, dans des box vides et dépourvus de réfrigération puisque rien ne justifie le maintien en marche de frigos vides . !
OUI, vous avez bien lu, seule la panique, et les pensées négatives ont eu raison du pauvre Jean Pensemal. Il a reconstitué par la pensée, les symptômes du froid jusquà provoquer sa mort .. !
OUI encore aujourd’hui, comme inscrite dans le marbre, l’agonie écrite au crayon est toujours donnée en lecture aux nouveaux moussaillons elle est là comme pour leur donner une leçon de vie, pour leur apprendre, que cette force intérieure qui s’est déchainée contre Jean Pensemal est à contrario, une force capable de se mobiliser en votre faveur pour vous protéger, et vous permettre de résister à tous les événements intérieurs ou extérieurs que peut vivre votre corps.
OUI cette histoire est vraie (seul son nom a été modifié) Oui la force de la pensée peut réaliser tout cela, mais de grâce veiller à la faire fonctionner comme une force positive en vous, et en cas de difficultés revenez relire les phrases , les mots et les pensées que j’ai tenté de faire planer dans ce texte.
Ainsi revivra en vous la voix de Jean Pensemal …..Puissiez vous être nombreux, à croire à un être supérieur, Dieu ou la divine providence pour vous aider à fuir la panique et à penser mieux que lui.
« Paix à ton âme mon petit Jean …..!
Merci Mémé Marthe de m’avoir raconté son histoire…! «
CHOU BLANC ( vous pouvez lire d’autres histoires dans la catégorie choulager et la chouette des clochers)
CHOUPINETS ET CHOUPINETTES DEVANT LE SUCCÈS DE PAS SAGE INTERDIT NOUS POURSUIVONS L’HISTOIRE DE MERLIN …..
DEPUIS PLUSIEURS SEMAINES « PAS SAGE INTERDIT »EST ASSURÉ AVEC SUCCÈS PAR LADY LADINDE ….. ET CHOUPINAIN
Bloc note de LADY LADINDE
Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote.
Aussi quand je rencontre un garçon charmant comme CHOUPINAIN, je fais équipe avec lui pour qu’il m’apprenne plein de secrets..
– Les semaines passées je vous avais expliqué comment dans un de mes rêves…. l’illumination s’était faite dans mon esprit sous la forme d’un Choupinain mi lutin , mi magicien de la lumière …
Jonglant avec les feuilles il m’a fait une démonstration merveilleuse de ses talents et surtout avec lui tout s’est éclairé en moi et dans mon esprit
Il m’a dit qu’il s’appelait CHOUPINAIN et qu’il venait de la foret de Brocéliande…
et qu’il m’y emmènerait pour y rencontrer Merlin l’enchanteur et de toutes les fées qui l’entourent.
–
PAS SAGE INTERDIT VERS LA CLAIRIÈRE DE MERLIN
POUR LES PETITS NOUVEAUX CLIQUEZ MOI JE VOUS DONNE ACCÈS AU RÉSUMÉ DES ÉPISODES PRÉCÉDENTS
– Eh Choupinain Merlin est parti mais pas pour toujours j’espère…!
EH….! Nous en étions restés haletants au moment ou Gauvain avait retrouvé MERLIN … qui ne pouvait le suivre………Allez vas y dépêche….! Raconte …! Nous aimons ça…! On veut savoir ce qui se passe…?
– OK Allons voir si mon maitre vous juge assez dignes et suffisamment sages pour continuer à accéder à son monde …!
….
– OK J’en suis…! ça va me dégourdir mes pilons
VOICI DEUX NOUVEAUX ÉPISODES….
LA GUÉRISON DE GAUVAIN
Comme Merlin lui avait prédit, en lui demandant de revenir conter au roi a mésaventure, il rencontra la demoiselle qui lui avait jeté un sort.
Hélas celle ci était au prise avec deux chevaliers qui la maintenaient à terre. n’écoutant que son courage et oubliant son apparence de nain … Il vole à son secours…. Erreur fougueuse….. ou début d’une belle aventure vers la guérison…?
Écoutez on vous raconte la suite
LA FIN DES ENCHANTEMENTS DE MERLIN
En ayant fait preuve de courage pour délivrer la demoiselle de cette fausse agression qu’elle avait organisé, elle le délivre du sortilège, GAUVAIN retrouve son apparence pour se rendre conter sa quête au roi Arthur.
Le roi et tous les chevaliers se désespérèrent du sort de leur ami Merlin…… qui restera à jamais prisonnier du cercle magique tracé par VIVIANE dans la forêt de Brocéliande…
Écoutons..!
Ainsi s’achèvent les aventures de MERLIN si mon maitre le juge utile, je reviendrai peut être vous conter les aventures de LANCELOT du LAC d’un autre compagnon de la table ronde…..
– Aïe Aïe Aïe… mes Choupinettes….
ça va être dur de nous séparer …!
– OK je vais essayer de revenir avec toi, il faut que je rencontre ce chevalier LANCELOT…
J’aime la chevalerie et les chevaliers autour d’une table ronde….. ça m’a toujours fait tourner la tête..! DAME 150 Chevaliers… c’est pas rien…!
– « A UNE AUTRE FOIS … PEUT ÊTRE ….. avec LANCELOT…! »
LADY LADINDE
“La vieille ne voulait pas mourir car elle en apprenait tous les jours”