Archives de catégorie : choupinettes & choupinets

Tout pour les petits bout de chou….pas les choux de Bruxelles qui sont une espèce de chou …je le répète pour les urbains, c’est un chou adulte…ils sont cons mais cons ..ils croient aussi que les radis poussent en botte

CONTE: L’enfant de la bonne vierge


logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transforme en conteuse

Aujourd’hui dans ce conte nous allons parler d’une enfant recueillie par la vierge…
L’enfant de la bonne vierge

UN CONTE  :
L’enfant de la bonne vierge

Un Conte de Wilhelm et Jacob Grimm

Près de l’entrée d’une grande forêt vivait un bûcheron avec sa femme et son seul enfant, qui était une jeune fille âgée de trois ans. Mais ils étaient si pauvres qu’ils ne savaient que lui donner à manger, car ils n’avaient que leur pain de chaque jour.
Un matin le bûcheron s’en alla tout soucieux travailler dans la forêt, et, comme il fendait du bois, une grande et belle femme se présenta tout à coup devant lui : elle portait sur la tête une couronne d’étoiles brillantes, et, lui adressant la parole, elle lui dit :
« Je suis la Vierge Marie, mère du petit enfant Jésus; tu es pauvre et misérable, amène-moi ton enfant; je l’emporterai avec moi, je serai sa mère et j’en prendrai soin. »
Le bûcheron obéit; il alla chercher son enfant et le remit à la Vierge Marie, qui l’emporta là-haut dans le ciel.
Là l’enfant se trouvait très heureuse; elle mangeait du biscuit, buvait d’excellente crème; ses vêtements étaient d’or, et les anges jouaient avec elle.

Quand elle eut atteint quatorze ans, la Vierge Marie l’appela un jour et lui dit :
« Ma chère enfant, j’ai un grand voyage à faire; je te confie ces clefs des treize portes du paradis. Tu peux en ouvrir douze et voir les merveilles qu’elles renferment; mais la treizième porte qu’ouvre cette petite clef que voici, celle-là t’est défendue; garde-toi bien de l’ouvrir, car il t’arriverait malheur. »
La jeune fille promit d’obéir, et, quand la Vierge Marie fut partie, elle commença à visiter les appartements du ciel; chaque jour elle en ouvrait un jusqu’à ce qu’elle eût achevé de voir les douze. Dans chacun se trouvait un apôtre entouré de tant de lumière que de sa vie elle n’avait vu un pareil éclat ni une telle magnificence.
Elle s’en réjouit, et les bons anges qui l’accompagnaient toujours s’en réjouissaient avec elle.
Maintenant restait encore la porte défendue; elle se sentit une grande envie de savoir ce qui était caché là derrière, et elle dit aux bons anges :
« Je ne veux pas l’ouvrir tout entière, mais je voudrais l’entrebâiller un peu, pour que nous puissions voir à travers l’ouverture.
« Oh ! non, » dirent les bons anges, « ce serait un péché : la Vierge Marie l’a défendu, et il pourrait, bien t’en arriver malheur. »
La jeune fille ne dit rien, mais le désir et la curiosité continuèrent à parler dans son cœur et à la tourmenter sans lui laisser de repos. Quand les bons anges furent enfin partis, elle pensa en elle-même : « Maintenant je suis toute seule; qui me verra ? » Et elle alla prendre la clef.
Quand elle l’eut prise, elle la mit dans le trou de la serrure, et, quand elle l’y eut placée, elle tourna.
La porte s’ouvrit et elle vit au milieu du feu et de la lumière la Trinité assise; elle toucha légèrement la lumière du bout de son doigt, et son doigt devint couleur d’or.
Alors elle eut peur, elle ferma bien vite la porte et se sauva. Mais elle continua d’avoir peur, quoi qu’elle fit, et son cœur battait toujours sans vouloir se calmer, et la couleur de l’or restait sur son doigt et ne s’effaçait pas, quelque soin qu’elle prît de le laver.

Au bout de peu de jours la Vierge Marie revint de son voyage, appela la jeune fille et lui demanda les clefs du paradis.
Pendant qu’elle présentait le trousseau, la Vierge la regarda et lui dit : « N’as-tu pas aussi ouvert la treizième porte ? »
– « Non, »
répondit-elle.
La Vierge porta la main à son cœur; elle sentit qu’il battait et battait très fort, et s’aperçut bien qu’elle avait violé son commandement et ouvert la porte défendue.
Elle lui dit encore : « En vérité, ne l’as-tu pas fait ? »
– « Non, » dit une seconde fois la jeune fille.
La Vierge regarda le doigt qui s’était doré en touchant la lumière du ciel, et ne douta plus que l’enfant ne fût coupable, et lui dit une troisième fois : « Ne l’as-tu pas fait ? »
– « Non, »
dit la jeune fille une troisième fois.
La Vierge Marie dit alors :
« Tu ne m’as pas obéi et tu as menti; tu ne mérites plus de rester dans le ciel. »

La jeune fille tomba dans un profond sommeil, et, quand elle se réveilla, elle était couchée sur le sol, au milieu d’un endroit désert.
Elle voulut appeler, mais elle ne pouvait faire entendre aucun son; elle se leva et voulut se sauver, mais, de quelque côté qu’elle se tournât, elle était arrêtée par un épais taillis qu’elle ne pouvait franchir.
Dans le cercle où elle était ainsi enfermée se trouvait un vieil arbre dont le tronc creux lui servit d’habitation. La nuit elle y dormait, et, quand il faisait de la pluie ou de l’orage, elle y trouvait un abri.
Des racines, des baies sauvages étaient sa seule nourriture, et elle en cherchait aussi loin qu’elle pouvait aller. Pendant l’automne, elle ramassait les feuilles de l’arbre, les portait dans le creux, et quand la neige et le froid arrivaient, elle venait s’y cacher.
Ses vêtements s’usèrent à la fin et se détachèrent par lambeaux; il fallut encore qu’elle s’enveloppât dans les feuilles. Puis, dès que le soleil reprenait sa chaleur, elle sortait, se plaçait au pied de l’arbre, et ses longs cheveux la couvraient de tous côtés comme un manteau. Elle demeura longtemps dans cet état, éprouvant toutes les misères et toutes les souffrances du monde.


Un jour de printemps, le roi du pays chassait dans la forêt et poursuivait une pièce de gibier.

 

L’animal s’étant réfugié dans le taillis qui entourait le vieil arbre creux, le prince descendit de cheval, sépara les branches du fourré et s’y ouvrit un chemin avec son épée.
Quand il eut réussi à le franchir, il vit assise sous l’arbre une jeune fille merveilleusement belle, que ses cheveux d’or couvraient tout entière jusqu’à la pointe des pieds. Il la regarda avec étonnement et lui dit :
« Comment es-tu venue dans ce désert ? » Elle resta muette, car il lui était impossible d’ouvrir la bouche.
Le roi lui dit encore : « Veux-tu venir avec moi dans mon palais ? »
Elle fit seulement un petit signe de la tête. Le roi la prit dans ses bras, la porta sur son cheval et l’emmena dans sa demeure, où il lui fit prendre des vêtements et lui donna tout en abondance. Quoiqu’elle ne pût parler, elle était si belle et si gracieuse qu’il se prit pour elle d’une grande passion et l’épousa.

Une année à peu près s’était écoulée quand la reine mit au monde un fils.
La nuit, comme elle était couchée seule dans son lit, la Vierge Marie lui apparut et lui parla ainsi : « Si tu veux enfin dire la vérité et avouer que tu as ouvert la porte défendue, je t’ouvrirai la bouche et te rendrai la parole; mais si tu t’obstines dans le péché et persistes à mentir, j’emporterai avec moi ton enfant nouveau-né. »
Alors il fut permis à la reine de répondre, mais elle dit :
« Non, je n’ai pas ouvert la porte défendue. » Et la Vierge Marie enleva de ses bras son enfant nouveau-né et disparut avec lui. Le lendemain matin, quand on ne trouva plus l’enfant, un bruit se répandit parmi les gens du palais que la reine était une ogresse et qu’elle l’avait tué. Elle entendait tout et ne pouvait rien répondre; mais le roi l’aimait trop tendrement pour croire ce qui se disait.

Au bout d’un an la reine eut encore un fils; la Vierge Marie se présenta de nouveau la nuit devant elle et lui dit :
« Si tu veux enfin avouer que tu as ouvert la porte défendue, je te rendrai ton enfant et je te délierai la langue; mais si tu t’obstines dans ton péché et continues à mentir, j’emporterai encore ton nouveau-né. »
La reine dit comme la première fois :
« Non, je n’ai pas ouvert la porte défendue. » Et la Vierge lui prit dans ses bras son enfant et l’enleva dans le ciel. Le matin, quand les gens apprirent que l’enfant avait encore disparu, ils dirent tout haut que la reine l’avait mangé, et les conseillers du roi demandèrent qu’on lui fit son procès.
Mais le roi l’aimait si tendrement qu’il n’en voulut rien croire et qu’il ordonna à ses conseillers de ne plus reparler de cela sous peine de la vie.

La troisième année, la reine donna le jour à une belle petite fille, et la Vierge Marie lui apparut encore pendant la nuit et lui dit :
« Suis-moi. »
Elle la prit par la main, la conduisit dans le ciel et lui montra ses deux premiers-nés qui lui souriaient et jouaient avec le globe du monde. Et comme la mère se réjouissait de les voir, la Vierge Marie lui dit : « Si tu veux avouer maintenant que tu as ouvert la porte défendue, je te rendrai tes deux beaux petits garçons. »
La reine répondit pour la troisième fois :
« Non, je n’ai pas ouvert la porte défendue. »
La Vierge la laissa retomber sur la terre et lui prit son troisième enfant.

 

Le lendemain matin, quand on ne le trouva plus, chacun dit tout haut :


« La reine est une ogresse; il faut qu’elle soit condamnée à mort. »
Et le roi ne put cette fois repousser l’avis de ses conseillers.
Elle fut appelée devant un tribunal, et comme elle ne pouvait ni répondre ni se défendre, elle fut condamnée à périr sur le bûcher.
Le bois était amassé, elle était attachée au poteau, et la flamme commençait à s’élever autour d’elle, lorsque son cœur fut touché de repentir : Si je pouvais avant de mourir, pensa-t-elle, avouer que j’ai ouvert la porte !
Et elle cria : « Oui, Marie, je suis coupable ! »
Comme cette pensée lui venait au cœur, la pluie commença à tomber du ciel et éteignit le feu du bûcher : une lumière se répandit autour d’elle, et la Vierge Marie descendit, ayant à ses côtés les deux fils premiers nés et portant dans ses bras la petite fille venue la dernière.
Elle dit à la reine d’un ton plein de bonté :
« Il est pardonné à celui qui avoue son péché et s’en repent. »
Elle lui présenta les enfants, lui délia la langue et lui donna du bonheur pour toute sa vie.

SOURCE:    https://contes.servicegratuit.fr/index.php?home=#debut
https://www.childstories.org/fr/lenfant-de-marie-1826.html

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RETRO : C’est un retour sur une histoire déjà racontée….

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Premier sourire du printemps….

le sourire du printempsPrintemps 66 2Premier sourire
du printemps

Tandis qu’à leurs œuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.

Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
Il repasse des collerettes
Et cisèle des boutons d’or.

Dans le verger et dans la vigne,
Il s’en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l’amandier.

La nature au lit se repose ;
Lui descend au jardin désert,
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.

Printemps 66 3Tout en composant des solfèges,
Qu’aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.

 

Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l’oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d’argent du muguet.

Sous l’herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.

Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d’avril tournant la tête,
Il dit :  » Printemps, tu peux venir !  »

logo poésie smallThéophile GAUTIER   (1811-1872)

Hugues Aufray
– Dès que le printemps revient
  Jacques Brel
– Au printemps

Sources :
http://www.poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/theophile_gautier/premier_sourire_du_printemps.html

Photos:  chou blanc pour la CHOUETTE

BONUS DE PRINTEMPS

Tableau de Jep Papy pour la Chouette

Vous rappelez-vous de vos autres premiers jours de printemps :


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L’école à la maison… « Au secours Saint Joseph »

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Prière à Saint Joseph pour les Pères de Famille

Gerrit van Honthorst 'Childhood of Christ', c. 1620. Detail. Found in the collection of The Hermitage, St Petersburg

Gerrit van Honthorst  St Joseph apprenant à jésus les gestes du métier de charpentier

« La seule parole qui jaillit des lèvres de Joseph dans l’écriture, c’est une parole de nomination, de désignation.
« Tu lui donneras le nom de Jésus », lui avait indiqué en songe l’ange du Seigneur

« La mission du père, c’est de nommer, mais aussi de faire vivre, de faire grandir, d’initier.
Le père n’est pas un expert.
La paternité n’est pas un métier.
Elle ne repose pas sur une technique.
Elle est un compagnonnage.
Elle s’apprend avec le temps. La transmission paternelle se réalise par osmose, par exemplarité, par capillarité.
Le père transmet un art de vivre. »

Monseigneur Dominique Rey : Évêque du Diocèse de Fréjus-Toulon, à l’occasion de la Fête de saint Joseph

Prière à Saint Joseph pour
les Pères de Famille :

Voici une Prière à Saint Joseph pour les Pères de Famille : « Saint Joseph, un vrai Père ! »

Georges de La Tour, saint Joseph charpentier, 1645 environ

Prière à Saint Joseph pour les Pères de Famille :

SAINT Joseph, Dieu le Père a rempli votre cœur d’une sagesse et d’une affection paternelle sans pareilles. Car elle devait vous rendre capable de remplir l’office d’un vrai père envers le Fils de Dieu.
Vous Lui avez cherché le premier refuge,
Vous Lui avez bâti une maison,
Vous L’avez sauvé de la main d’Hérode,
Vous L’avez emmené en Égypte,
Vous L’avez ramené en Israël,
Vous avez travaillé pour Lui,
Vous l’avez protégé, guidé, introduit dans votre métier de charpentier.

Qui saura décrire votre paternité ?
Ayez pitié de tous les pères du monde, afin qu’ils voient le grand sens de la paternité et qu’ils apprennent à honorer et à aimer Jésus Lui-même dans leurs enfants.

Ainsi soit-il.

Il « est, dans l’histoire, l’homme qui a donné à Dieu la plus grande preuve de confiance ».
(Benoît XVI à Yaoundé le 19 mars 2009)

Saint Joseph un père heureux

L’exemple de saint Joseph nous invite à l’action.
Saint Joseph a vécu heureux :
« Heureux ceux qui écoutent la parole du Seigneur et la mettent en pratique » (Saint Luc ).
Si certains peintres dépeignent saint Joseph quelque peu triste et en retrait par rapport à la Vierge Marie et à l’enfant dans le souci de manifester qu’il n’est que le père adoptif de Jésus,
Fra Angelico le présente rayonnant dans son rôle.

Dans les fresques du couvent des Dominicains de Saint-Marc à Florence, le saint patron des artistes met en lumière le sourire et la paix de l’âme de Joseph, comblé dans sa mission.

la présentation de jésus au temple – Fra Angélico

Dictons :
Il y a plusieurs dictons sur le jour de la Saint Joseph :

A la Saint-José (Joseph) sème tes poués (pois) (Poitou).

A la Saint Joseph revient l’aronde (c’est à dire l’hirondelle)

A la Saint-Joseph beau temps, Promesse de bon an.

Prière à SAINT JOSEPH pour la vente d’une maison

Bon saint Joseph,
Lorsque tu es parti précipitamment en Egypte, tu as dû confier à la Providence la demeure que tu quittais, le toit que tu avais préparé avec Marie pour l’Enfant Jésus. Nous te confions la vente de notre maison, pour le bien de tous ceux que nous aimons. Veille sur le bon déroulement des transactions et viens aussi bénir ceux qui vont l’acheter. Amen

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Légendes et symboles de la St Patrick

barre verteMARS 75Influence de saint Patrick

Saint Patrick fut le premier Primat d’Irlande.
bestiole des potagers resistant et inépuisable
Il est fêté le 17 mars …!!!
Mais il fut surtout celui qui sut mettre dans l’âme irlandaise une tradition religieuse si profonde que chaque chrétien en Irlande peut à juste titre se dire l’héritier de saint Patrick.


« C’était un Irlandais authentique, c’était un chrétien authentique:
le peuple irlandais a su garder intact cet héritage à travers des siècles de défis, de souffrances et de bouleversements sociaux et politiques, devenant ainsi un exemple pour tous ceux qui croient que le Message du Christ développe et renforce les aspirations les plus profondes des peuples à la dignité, à l’union fraternelle et à la vérité. »


(Discours au Corps diplomatique – Jean-Paul II – 29 septembre 1979)

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Légendes et symboles de la St Patrick

Une légende dit que Saint Patrick aurait débarrassé l’Irlande des serpents en les jetant tous dans la mer.
Comme il en restait un dernier, Saint Patrick lui présenta une petite boite dans laquelle il le somma d’entrer. Le serpent déclara que la boite était trop petite pour le contenir, mais Saint Patrick lui rétorqua le contraire.
un leprechaun de SAINT PATRICKAprès une très longue discussion, le serpent décida finalement d’entrer dans la boite pour prouver à Saint Patrick qu’elle était réellement trop petite pour lui.
A peine le serpent était-il entré dans la boite que le rusé Saint Patrick la ferma et la jeta dans la mer.
Cette légende est une façon métaphorique de présenter l’action de Saint Patrick qui, en réalité, a certainement éradiqué beaucoup plus de rites païens que de serpents !


Les leprechauns de Saint Patrick !


Parmi les symboles de la fête de la Saint Patrick, n’oublions pas de citer les leprechauns.
Ce sont des farfadets malicieux qui aiment faire des farces aux humains. Ils possèdent une marmite remplie d’or, qu’ils cachent généralement au pied d’un arc en ciel.
On dit que celui qui parvient à les suivre sans se faire repérer pourra leur dérober la fameuse marmite tant convoitée…

lire la suite ... sur Dromadaire .com ( site commercial cartes de saint Patrick) barre verte

Découvrez les musiques de cette fête, ainsi que ses traditions, pour fêter, vous aussi, la saint PATRICK

La Saint Patrick a lieu chaque année le 17 mars.
C’est l’occasion pour les Irlandais de faire la fête : la bière coule à flot et des parades sont organisées.
Les gens s’habillent également en vert, couleur traditionnelle de l’Irlande, et mettent un trèfle à leur boutonnière…

Musique d’ambiance

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CHOUPINETS ET CHOUPINETTES …
RECHERCHEZ LE TRÈFLE A 4 FEUILLES
SAINT PATRICK et Trèfle à 4 feuilles
Les trèfles à 4 feuilles sont des symboles de chance.

– SI… SI…. SI….
– Bââhh, trèfle de plaisanterie…

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Chou Fleur
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