Dans les méandres de l’internet au cœur de la toile d’une araignée céleste jaillit parfois la lumière… et mes frères les oiseaux
Ah si j’avais des ailes comme l’oiseau… Ça serait chouette….!
BIEN LE BONJOUR AMIS ……
MESSAGERS DES DIEUX…!
AH S’il avait des ailes comme l’oiseau….
ça serait beau….! ça serait beau….! Es tu un oiseau rebelle… Comme on le dit dans CARMEN
Ou es tu le messager de l’amour..?
L’AMOUR NAISSANT
L’amour naissant tel un moineau S’envolant de plus en plus haut, Un coeur dégèle en cet hiver Après bien tant d’années d’enfer…
Le feu retrouvant la splendeur, Tel un sentiment de bonheur, Un coeur se réchauffe aujourd’hui Regagnant presque des envies…
Aile de « Corneille Bleue » ou Rollier, Coracias garrulus, Aquarelle (1512), Albertina, Vienne. ALBRECHT DURER
L’oiseau ré-ouvre ses deux ailes
La flamme reprend l’étincelle,
Des ailes, une flamme et un coeur
Refont éclore cette fleur…
SALAM
ILS L’ONT DIT SUR LE NET
– Magnifique, inspiré de la première lettre aux Corinthiens de Paul qui du coup remonte dans mon estime !
« – L’amour ce n’est pas seulement entre un homme et une femme, mais aussi entre le dieu et ses créatures, les parents et leurs enfants, un frère et sa soeur en général l’être humain et son prochain »
Es tu un modèle pour nos artistes…?
Aile de « Corneille Bleue » ou Rollier, Coracias garrulus, Aquarelle (1512), Albertina, Vienne. ALBRECHT DURER
Aile de Rollier Bleu
C’est Albrecht Dürer qui réalisa cette étude d’aile d’oiseau
il s’agit probablement de Coracias garrulus, autrefois appelé corneille bleue
Sur cette aquarelle du musée Albertina de Vienne 19,7 cm × 20 cm on aperçoit en bas au milieu le monogramme de l’artiste …. au-dessus, la date: 1512
Es tu un modèle pour nos poètes…?
Surtout dans ce merveilleux conte de Noël
Es tu le roi des animaux dans le ciel ?
aigle royal Peintre Blin François — Peintre naturaliste aux nombreux sujets animaliers. Dans la démarche artistique de son bestiaire, l’ornithologie est incontournable, omniprésente. Oiseleur passionné de la gent ailée, il capture dans ses rets colorés l’image de l’oiseau « messager des dieux », portrait personnalisé de la famille aviaire. Ce grand artiste expose régulièrement au Canada et en Angleterre ainsi qu’aux Etats-Unis ou il est Lauréat « Birds in Art »
Pour vous être agréable, nous vous avons concocté une série musicale avec le concours d’une jeune recrue qui est au piano dans sa cuisine et sur ses platines le dimanche… J‘ai nommé MAESTRO COCINAil a toque et carte blanche à condition de changer son thème de menu chaque semaine.Il dispose de 72 playlists… Il y a en aura pour tous les gouts :
Du classique à la variété …. De l’instrumental aux chansons populaires qui ont habité notre jeunesse
L’ART ET LA PALETTE AU CHOU VISITE DANS LES ARBRES ET LA NATURE
DE GUSTAVE COURBET
« Le beau est dans la nature, et se rencontre dans la réalité sous les formes les plus diverses.
Dès qu’on l’y trouve, il appartient à l’art, ou plutôt à l’artiste qui sait l’y voir. » Ainsi s’exprimait Courbet le jour de noël 1861 devant l’auditoire de jeunes artistes de son atelier éphémère de la rue Notre-Dame-des-Champs à Paris.
L‘AMOUR DE LA NATURE
GUSTAVE COURBET est né le 10 juin 1819 à Ornans, près de Besançon (Doubs), et mort le 31 décembre 1877 à La Tour-de-Peilz en Suisse.
» Républicain de naissance », comme il aimait se définir, il était issu d’une famille de citoyens aisés, orgueilleux de leurs traditions démocratiques.
Ses premières années furent marquées par le climat de luttes politiques qui caractérisa cette époque: en 1831 eut lieu la célèbre insurrection des « canuts » de Lyon, suivie en 1833 de vagues de chômage et de répression.
Le socialisme répandait ses idées; les premières ligues prolétariennes des « mutualistes » et des « compagnons » se formaient, particulièrement dans le pays de Courbet, la Franche-Comté, qui en fut un centre important.
Les premières études au séminaire d’Ornans mirent en évidence son caractère rebelle et indiscipliné, mais aussi d’indéniables dispositions au dessin.
En 1838, il exécute pour ses essais poétiques quelques lithographies, qui comptent parmi ses premières œuvres.
Il commence à travailler seul, peignant des paysages dans la forêt de Fontainebleau et à Ornans, étudiant au Louvre, avec acharnement les grands maîtres.
Le chêne de Flagey – 1864
Quand, à 30 ans, en 1849, au seuil du succès, Courbet affirmait son indépendance face à la société, en clamant qu’il fallait « encanailler l’art », il se justifiait en ajoutant qu’il y avait trop longtemps que les peintres, ses contemporains faisaient « de l’art bon genre à la pommade (…) de l’art à idée ».
Saisi d’enthousiasme pour le réel, il affirmera bientôt:
«[je suis] l’élève de la nature […] je n’ai eu que moi-même pour maître ». Il devient le chef de file du courant réaliste. Son réalisme fait scandale (son nu « l’origine du monde » fait toujours polémique aujourd’hui).Engagé dans les mouvements politiques de son temps, il est l’un des élus de la Commune de 1871 accusé d’avoir fait renverser la Colonne Vendôme.
Il est condamné à la faire relever à ses propres frais. Libéré de prison, il se réfugie en Suisse.
Admirez ses œuvres en chanson
Chanson de Michel Sardou
La rivière de notre enfance
Je me souviens d’un arbre
Je me souviens du vent
De ces rumeurs de vagues
Au bout de l’océan
Je me souviens d’une ville
Je me souviens d’une voix
De ces noëls qui brillent
Dans la neige et le froid
Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Je me souviens d’un rêve
Je me souviens d’un roi
D’un été qui s’achève
D’une maison de bois
Je me souviens du ciel
Je me souviens de l’eau
D’une robe en dentelle
Déchirée dans le dos Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Je me souviens d’un phare
Je me souviens d’un signe
D’une lumière dans le soir
D’une chambre anonyme
Je me souviens d’amour
Je me souviens des gestes
Le fiacre du retour
Le parfum sur ma veste
Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Je me souviens si tard
Je me souviens si peu
De ces trains de hasard
D’un couple d’amoureux
Je me souviens de Londres
Je me souviens de Rome
Du soleil qui fait l’ombre
Du chagrin qui fait l’homme
Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Michel Sardou
MERCI… Monsieur COURBET
un jour, tu me montreras la mer
La Loue, cette belle rivière à truites qu’il a souvent peint traverse le petit bourg franc-comtois d’Ornans où il naquit le 10 juin 1819, initia GUSTAVE COURBET à la vision de la nature. Quand il découvrit au printemps 1841, à l’âge de 22 ans, lors d’un bref séjour en Normandie, une dimension nouvelle et enchanteresse de la nature en observant la mer :« la mer sans horizon », il s’enthousiasma et rêva :
« on se sent entraîné, on voudrait partir voir le monde entier… »-« Mesdames….. Si vous êtes sages et aimables à force de manger de la carotte de votre pote âgé……. je vous promets « une palette au chou » spéciale :
« GUSTAVE COURBET ET LA MER »
Cela fait déjà quinze jours que je t’admire
Déjà quinze jours que tu soupires
Est-ce pour que, mon coeur, te respire ?
Est-ce pour que, mon âme ne voit que ton sourire ?
Les pétales se font de plus en plus brèves ;
Ton parfum suit de plus en plus tes rêves ;
Mais , toi et moi , aimons la même présence ;
Comme pour espérer un nouveau printemps.
Louisa
EL SENDER FLORIT LE SENTIER FLEURI
le sentier fleuri
D’autres chansons peut être..?
LE PRINTEMPS
Pour lui février, A fleuri l’amandier, Et le petit sentier, La violette a parfumé, Mars en blanc a habillé, Mon beau cerisier ! Dans le ciel, à tire d’ailes, Volent les premières hirondelles.
Le voilà notre beau printemps, Fleuri parfumé et charmant! Mars lui ouvre la porte, Et avril lui fait escorte! Il arrive sa majesté Fleuri, joyeux et parfumé IL est là enfin le printemps, Joyeux, parfumé et charmant! La nature se réveille, Et les oiseaux s’émerveillent! Le voilà, portant dans ses bras, L’allégresse dans un cabas!
Pour lui font cui cui, Les oiseaux dans leur nid, Et dans la montagne on entend, Dans les arbres chanter le vent! Et l’hiver effrayé, Fuit la goutte au nez! Car le merle lui dit Fuit, fuit car le voici!
Le voici notre bon printemps, Fleuri, parfumé et charmant, Portant une bonne brassée, De fêtes et félicités, Le sentier et ses violettes, La forêt et les alouettes, Tous savent sur son long chemin, Oiseaux, fleurs et tout le jardin, Qu’il est là, notre beau printemps, Fleuri, parfumé et charmant, Portant pendu à son bras, L’allégresse dans un cabas !