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PAPY JANOT: Les trois comptines


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Les trois C
omptines

de Papy JANOT

 

Aujourd’hui encore cette comptine est dédiée à Alice, Juliette et Wriel


SOURCE :
https://www.fiche-maternelle.com/lundi-tout-petit.html
http://descomptines.free.fr/poesies/un_petit_bonhomme.html
https://classedeanne.wordpress.com/2015/08/31/comptine-de-rentree-monsieur-pouce/

PAPY JANOT

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CONTES : Le briquet

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transformera, cet automne, en conteuse au bord du feu…. Préparez les buches….. conservez vos braises on va faire griller les châtaignes

Pour les autres ….??
Ben..! Rêvez…..! Vous sentirez très vite les odeurs de la grillade , la chaleur du feu de bois, vous entendrez l’écorce crépiter….. et vous verrez au milieu des flammes…. la fantasmagorie de l’imaginaire…
ça y est..
Vous tenez le soufflet bien en main….?
Oui.. ! Ok…! Alors allons y…!!!

AUJOURD’HUI C’EST :  LE BRIQUET
Hans Christian Andersen (1805-1875)

LE CHOURISTE
LE BRIQUET
 est un conte écrit par
Hans Christian Andersen,
Hans Christian Andersen,
( ) de Copenhague, est un romancier, dramaturge, conteur et poète danois, célèbre pour ses nouvelles et ses
« contes de fées »

Longtemps ignoré ou tourné en dérision dans son pays, où l’on a raillé son égocentrisme, il n’est reconnu tout d’abord qu’à l’étranger

LE BRIQUET

Un soldat s’en venait d’un bon pas sur la route. Une deux, une deux ! sac au dos et sabre au côté. Il avait été à la guerre et maintenant, il rentrait chez lui…..

Sur la route, il rencontra une vieille sorcière.
Qu’elle était laide ! Sa lippe lui pendait jusque sur la poitrine.
« Bonsoir soldat, » dit-elle.
« Ton sac est grand et ton sabre est beau, tu es un vrai soldat. Je vais te donner autant d’argent que tu voudras. »

 – houla houla méfiance mon gars

« Merci, vieille, » dit le soldat.

 

« Vois-tu ce grand arbre ? » dit la sorcière.
« Il est entièrement creux. Grimpe au sommet, tu verras un trou, tu t’y laisseras glisser jusqu’au fond.

Je t’attacherai une corde autour du corps pour te remonter quand tu m’appelleras. »

« Mais qu’est-ce que je ferai au fond de l’arbre ? »

 

logo mamy turlututu small« Tu y prendras de l’argent, » dit la sorcière. Quand tu seras au fond, tu te trouveras dans une grande galerie éclairée par des centaines de lampes. Devant toi il y aura trois portes. Tu pourras les ouvrir, les clés sont dessus.
Si tu entres dans la première chambre, tu verras un grand chien assis au beau milieu sur un coffre. Il a des yeux grands comme des soucoupes, mais ne t’inquiète pas de ça. Je te donnerai mon tablier à carreaux bleus que tu étendras par terre, tu saisiras le chien et tu le poseras sur mon tablier. Puis tu ouvriras le coffre et tu prendras autant de pièces que tu voudras. Celles-là sont en cuivre…
Si tu préfères des pièces d’argent, tu iras dans la deuxième chambre ! Un chien y est assis avec des yeux grands comme des roues de moulin. Ne t’inquiète encore pas de ça. Pose-le sur mon tablier et prends des pièces d’argent, autant que tu en veux.
Mais si tu préfères l’or, je peux aussi t’en donner – et combien !
– tu n’as qu’à entrer dans la troisième chambre. Ne t’inquiète toujours pas du chien assis sur le coffre. Celui-ci a les yeux grands comme la Tour Ronde de Copenhague et je t’assure que pour un chien, c’en est un. Pose-le sur mon tablier et n’aie pas peur, il ne te fera aucun mal. Prends dans le coffre autant de pièces d’or que tu voudras.

« Ce n’est pas mal du tout ça, » dit le soldat. « Mais qu’est-ce qu’il faudra que je te donne à toi la vieille ? Je suppose que tu veux quelque chose. »

« Pas un sou, » dit la sorcière. « Rapporte-moi le vieux briquet que ma grand-mère a oublié la dernière fois qu’elle est descendue dans l’arbre. »

 – Houla houla c’est louche

« Bon, » dit le soldat, « attache-moi la corde autour du corps. »

« Voilà, et voici mon tablier à carreaux bleus. »

Le soldat grimpa dans l’arbre, se laissa glisser dans le trou, et le voilà, comme la sorcière l’avait annoncé, dans la galerie où brillaient des centaines de lampes.

Il ouvrit la première porte. Oh ! le chien qui avait des yeux grands comme des soucoupes le regardait fixement.

« Tu es une brave bête, » lui dit le soldat en le posant vivement sur le tablier de la sorcière.
Il prit autant de pièces de cuivre qu’il put en mettre dans sa poche, referma le couvercle du coffre, posa le chien dessus et entra dans la deuxième chambre. Brrr ! ! le chien qui y était assis avait, réellement, les yeux grands comme des roues de moulin.

« Ne me regarde pas comme ça, » lui dit le soldat, « tu pourrais te faire mal. » Il posa le chien sur le tablier, mais en voyant dans le coffre toutes ces pièces d’argent, il jeta bien vite les sous en cuivre et remplit ses poches et son sac d’argent.
Puis il passa dans la troisième chambre. Mais quel horrible spectacle ! Les yeux du chien qui se tenait là étaient vraiment grands chacun comme la Tour Ronde de Copenhague et ils tournaient dans sa tête comme des roues.

« Bonsoir, » dit le soldat en portant la main à son képi, car de sa vie, il n’avait encore vu un chien pareil et il l’examina quelque peu. Mais bientôt il se ressaisit, posa le chien sur le tablier, ouvrit le coffre. Dieu ! … que d’or ! Il pourrait acheter tout Copenhague avec ça, tous les cochons en sucre des pâtissiers et les soldats de plomb et les fouets et les chevaux à bascule du monde entier. Quel trésor ! Il jeta bien vite toutes les pièces d’argent et prit de l’or.
Ses poches, son sac, son képi et ses bottes, il les remplit au point de ne presque plus pouvoir marcher. Eh bien ! il en avait de l’argent cette fois ! Vite il replaça le chien sur le coffre, referma la porte et cria dans le tronc de l’arbre : « Remonte-moi, vieille. »

« As-tu le briquet ? » demanda-t-elle.

« Ma foi, je l’avais tout à fait oublié, » fit-il, et il retourna le prendre. Puis la sorcière le hissa jusqu’en haut et le voilà sur la route avec ses poches, son sac, son képi, ses bottes pleines d’or !

« Qu’est-ce que tu vas faire de ce briquet ? » demanda-t-il.

« Ça ne te regarde pas, tu as l’argent, donne-moi le briquet ! »

« Taratata, » dit le soldat. « Tu vas me dire tout de suite ce que tu vas faire de ce briquet ou je tire mon sabre et je te coupe la tête. »

« Non, » dit la vieille sorcière.

Alors, il lui coupa le cou. La pauvre tomba par terre et elle y resta. Mais lui serra l’argent dans le tablier, en fit un baluchon qu’il lança sur son épaule, mit le briquet dans sa poche et marcha vers la ville.

Une belle ville c’était. Il alla à la meilleure auberge, demanda les plus belles chambres, commanda ses plats favoris. Puisqu’il était riche.

Le valet qui cira ses chaussures se dit en lui-même que pour un monsieur aussi riche, il avait de bien vieilles bottes. Mais dès le lendemain, le soldat acheta des souliers neufs et aussi des vêtements convenables. Alors il devint un monsieur distingué. Les gens ne lui parlaient que de tout ce qu’il y avait d’élégant dans la ville et de leur roi, et de sa fille, la ravissante princesse.

« Où peut-on la voir ? » demandait le soldat.

« On ne peut pas la voir du tout, » lui répondait-on. « Elle habite un grand château aux toits de cuivre entouré de murailles et de tours. Seul le roi peut entrer chez elle à sa guise car on lui a prédit que sa fille épouserait un simple soldat; et un roi n’aime pas ça du tout. »

Que je voudrais la connaître ! dit le soldat, mais il savait bien que c’était tout à fait impossible.

Alors il mena une joyeuse vie, alla à la comédie, roula carrosse dans le jardin du roi, donna aux pauvres beaucoup d’argent – et cela de grand coeur – se souvenant des jours passés et sachant combien les indigents ont de peine à avoir quelques sous.
Il était riche maintenant et bien habillé, il eut beaucoup d’amis qui, tous, disaient de lui :
« Quel homme charmant, quel vrai gentilhomme ! »
Cela le flattait. Mais comme il dépensait tous les jours beaucoup d’argent et qu’il n’en rentrait jamais dans sa bourse, le moment vint où il ne lui resta presque plus rien. Il dut quitter les belles chambres, aller loger dans une mansarde sous les toits, brosser lui-même ses chaussures, tirer l’aiguille à repriser. Aucun ami ne venait plus le voir… trop d’étages à monter.

Par un soir très sombre – il n’avait même plus les moyens de s’acheter une chandelle – il se souvint qu’il en avait un tout petit bout dans sa poche et aussi le briquet trouvé dans l’arbre creux où la sorcière l’avait fait descendre.
Il battit le silex du briquet et au moment où l’étincelle jaillit, voilà que la porte s’ouvre. Le chien aux yeux grands comme des soucoupes est devant lui. « Qu’ordonne mon maître ? » demande le chien.

« Quoi ! » dit le soldat. « Voilà un fameux briquet s’il me fait avoir tout ce que je veux. Apporte-moi un peu d’argent. » Hop ! voilà l’animal parti et hop ! le voilà revenu portant, dans sa gueule, une bourse pleine de pièces de cuivre.

Alors le soldat comprit quel briquet miraculeux il avait là. S’il le battait une fois, C’était le chien assis sur le coffre aux monnaies de cuivre qui venait, s’il le battait deux fois, c’était celui qui gardait les pièces d’argent et s’il battait trois fois son briquet, C’était le gardien des pièces d’or qui apparaissait.

 – Houla houla Méfiance soldat

Notre soldat put ainsi redescendre dans les plus belles chambres, remettre ses vêtements luxueux. Ses amis le reconnurent immédiatement et même ils avaient beaucoup d’affection pour lui.

Cependant un jour, il se dit : « C’est tout de même dommage qu’on ne puisse voir cette princesse. On dit qu’elle est si charmante ! A quoi bon si elle doit toujours rester prisonnière dans le grand château aux toits de cuivre avec toutes ces tours ? Est-il vraiment impossible que je la voie ? Où est mon briquet ? »
Il fit jaillir une étincelle et le chien aux yeux grands comme des soucoupes apparut.

« Il est vrai qu’on est au milieu de la nuit, » lui dit le soldat, « mais j’ai une envie folle de voir la princesse. »

En un clin d’oeil, le chien était dehors, et l’instant d’après, il était de retour portant la princesse couchée sur son dos. Elle dormait et elle était si gracieuse qu’en la voyant, chacun aurait reconnu que c’était une vraie princesse. Le jeune homme n’y tint plus, il ne put s’empêcher de lui donner un baiser car, lui, c’était un vrai soldat.

Vite le chien courut ramener la jeune fille au château, mais le lendemain matin, comme le roi et la reine prenaient le thé avec elle, la princesse leur dit qu’elle avait rêvé la nuit d’un chien et d’un soldat et que le soldat lui avait donné un baiser.

« Eh bien ! en voilà une histoire ! » dit la reine.

logo mamy turlututu smallUne des vieilles dames de la cour reçut l’ordre de veiller toute la nuit suivante auprès du lit de la princesse pour voir si c’était vraiment un rêve ou bien ce que cela pouvait être !

Le soldat se languissait de revoir l’exquise princesse ! Le chien revint donc la nuit, alla la chercher, courut aussi vite que possible – mais la vieille dame de la cour avait mis de grandes bottes et elle courait derrière lui et aussi vite. Lorsqu’elle les vit disparaître dans la grande maison, elle pensa :
« Je sais maintenant où elle va, » et, avec un morceau de craie, elle dessina une grande croix sur le portail. Puis elle rentra se coucher. Le chien, en revenant avec la princesse, vit la croix sur le portail et traça des croix sur toutes les portes de la ville. Et ça, c’était très malin de sa part; ainsi la dame de la cour ne pourrait plus s’y reconnaître.

Au matin, le roi, la reine, la vieille dame et tous les officiers sortirent pour voir où la princesse avait été.

« C’est là, dit le roi dès qu’il aperçut la première porte avec une croix.

« Non, c’est ici mon cher époux, » dit la reine en s’arrêtant devant la deuxième porte.

« Mais voilà une croix – en voilà une autre, » dirent-ils tous, il est bien inutile de chercher davantage.

Cependant, la reine était une femme rusée, elle savait bien d’autres choses que de monter en carrosse. Elle prit ses grands ciseaux d’or et coupa en morceaux une pièce de soie, puis cousit un joli sachet qu’elle remplit de farine de sarrasin très fine. Elle attacha cette bourse sur le dos de sa fille et perça au fond un petit trou afin que la farine se répande tout le long du chemin que suivrait la princesse.

Le chien revint encore la nuit, amena la princesse sur son dos auprès du soldat qui l’aimait tant et qui aurait voulu être un prince pour l’épouser.

Mais le chien n’avait pas vu la farine répandue sur le chemin depuis le château jusqu’à la fenêtre du soldat. Le lendemain, le roi et la reine n’eurent aucune peine à voir où leur fille avait été. Le soldat fut saisi et jeté dans un cachot lugubre !

 – Houla houla je te l’avais dit  soldat..!!!

Oh ! qu’il y faisait noir !

« Demain, tu seras pendu, » lui dit-on.
Ce n’est pas une chose agréable à entendre, d’autant plus qu’il avait oublié son briquet à l’auberge.
Derrière les barreaux de fer de sa petite fenêtre, il vit le matin suivant les gens qui se dépêchaient de sortir de la ville pour aller le voir pendre. Il entendait les roulements de tambours, les soldats défilaient au pas cadencé. Un petit apprenti cordonnier courait à une telle allure qu’une de ses savates vola en l’air et alla frapper le mur près des barreaux au travers desquels le soldat regardait.

« Hé ! ne te presse pas tant. Rien ne se passera que je ne sois arrivé. Mais si tu veux courir à l’auberge où j’habitais et me rapporter mon briquet, je te donnerai quatre sous. Mais en vitesse. »

 – Houla houla Magne toi gamin…!!!!.!!!

Le gamin ne demandait pas mieux que de gagner quatre sous.
Il prit ses jambes à son cou, trouva le briquet…

logo mamy turlututu smallEn dehors de la ville, on avait dressé un gibet autour duquel se tenaient les soldats et des centaines de milliers de gens. Le roi, la reine étaient assis sur de superbes trônes et en face d’eux, les juges et tout le conseil.

Déjà le soldat était monté sur l’échelle, mais comme le bourreau allait lui passer la corde au cou, il demanda la permission – toujours accordée, dit-il à un condamné à mort avant de subir sa peine – d’exprimer un désir bien innocent, celui de fumer une pipe, la dernière en ce monde.

Le roi ne voulut pas le lui refuser et le soldat se mit à battre son briquet : une fois, deux fois, trois fois ! et hop ! voilà les trois chiens : celui qui avait des yeux comme des soucoupes, celui qui avait des yeux comme des roues de moulin et celui qui avait des yeux grands chacun comme la Tour Ronde de Copenhague.

« Empêchez-moi maintenant d’être pendu ! » leur cria le soldat.
Alors les chiens sautèrent sur les juges et sur tous les membres du conseil, les prirent dans leur gueule, l’un par les jambes, l’autre par le nez, les lancèrent en l’air si haut qu’en tombant, ils se brisaient en mille morceaux.

« Je ne tolérerai pas, » commença le roi.
Mais le plus grand chien le saisit ainsi que la reine et les lança en l’air à leur tour.
Les soldats en étaient épouvantés et la foule cria :
« Petit soldat, tu seras notre roi et tu épouseras notre délicieuse princesse. »

On fit monter le soldat dans le carrosse royal et les trois chiens gambadaient devant en criant ‘bravo’. Les jeunes gens sifflaient dans leur doigts, les soldats présentaient les armes.
La princesse fut tirée de son château aux toits de cuivre et elle devint reine, ce qui lui plaisait beaucoup.
– HOULA HOULA…!!!!
La noce dura huit jours, les chiens étaient à table et roulaient de très grands yeux.

 

SOURCES: https://touslescontes.com/biblio/conte.php?iDconte=113

* Ce conte est dans le domaine public au Canada,

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY RACONTE…!
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RETRO : C’est une récap des histoires déjà racontées..

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Pas de Noël sans Blanche neige


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LES + LUS DE LA CHOUETTE

Déjà publié depuis 9 ans en décembre
avec un record de  plus de 12 000 
visites
…, nous vous  devions de rappeler
Blanche Neige  et même les 7 nains pour ces vacances de Noël..
!


CHOUONS ENSEMBLE
par Chou fleur 

 C’est vacances pour les choupinets et les choupinettes voilà de quoi jouer avec Papy et Mamy et s’instruire parfois….

     C’EST LE JOUR DE BLANCHE NEIGE

1 – L’ART et la palette : C’est l’hiver
– 2 – L’ART du dessin animé chez Walt Disney
– 3 – PAPY VIDEO   – Musique HEY HO HEY HO
– 4 – LOUIS FINE Conte raconté aux choupinets
– 5 – PAPY SONG – Radio Neige blanche

– 6 – PAPY GAMES de Blanche neige
– 7 – Le TIRLIPOTE avance sans tirlipoter…

1 – L’ART ET LA PALETTE: C’est l’hiver

L’ART ET LA PALETTE AU CHOU
.
– Wiki..!  On a paumé les pinc  eaux…
– On s’en fout, c’est de la peinture à l’huile
.

C’EST  L’HIVER… Mais vous n’aviez pas remarqué….!

extrait du tableau neige  jep papy pour la Chouette  Giuseppe ARCIMBOLDO
Milan, 1527 - Milan, 1593 
Tableau "l'hiver" Musée du Louvre

 Giuseppe ARCIMBOLDO
Milan, 1527 – Milan, 1593
Tableau « l’hiver » Musée du Louvre en savoir plus

– 2 – L’ART du dessin animé chez Walt Disney

Disney  et son dessin animé Blanche neige

Titre original : Snow-White and the Seven Dwarfs
Date de sortie USA : Le 21 Décembre 1937
Réalisé par : Walt Disney et David Hand
Musique : Frank Churchill, Leigh Harline, Larry Morey et Paul J. Smith
Durée : 83 minutes

A partir des années 1930, les studios Disney affinent leur savoir-faire au point que l’image toute entière prenne vie, et offre des mouvements autonomes sans cesse plus nombreux, tant pour les personnages que pour les décors. Outre la fluidité et la précision irréprochables de ces animations, se développe la diversité des points de vue dans chaque scène, de la même manière que le cinéma classique. Entre 1935 et 1945, l’empire Disney, alors au sommet de son art, signe des ?uvres incontournables du film d’animation, tels que Blanche Neige et les Sept Nains, réalisé en 1937, ou bien Fantasia et Pinocchio, tous deux présentés en 1940.

Cependant, l’augmentation régulière du coût de la main d’oeuvre oblige Disney à réduire la complexité de ses animations, du fait de la diminution du personnel employé à copier l’énorme quantité de dessins nécessaires à la réalisation d’un film. Cela étant, malgré une qualité artistique moindre, les studios demeureront les maîtres du dessin animé.
.

POURQUOI LE NOM DE BLANCHE NEIGE…?

IL était une fois, une reine qui se désolait de ne pas avoir d’enfant. Un jour d´hiver, alors qu’elle était assise près d’une fenêtre au cadre d’ébène, elle se piqua le doigt en cousant et quelques gouttes de sang tombèrent sur la neige. « Ah ! » se dit la reine, « Si j´avais un enfant, au teint blanc comme la neige, aux lèvres rouges comme le sang et aux cheveux noirs comme le bois d´ébène ! ».

Peu de temps après, elle mourut en accouchant d’une petite fille….notre « Blanche Neige »

Blanche-Neige est une très jolie princesse. A la mort de sa première femme, le père de Blanche Neige, voyant que sa fille a besoin d’une affection maternelle, se remarie.  Quand le roi meurt, la marâtre montre alors sa véritable identité.

 Elle oblige alors la jeune princesse à faire les plus mauvaises tâches….. Jusqu’au jour où sa belle-mère, la Reine, sentant qu’un jour la beauté de la jeune fille dépasserait la sienne, donne l’ordre à son garde-chasse de la tuer. N’ayant pas le courage d’exécuter la funeste directive de la Reine, il abandonne Blanche Neige dans la forêt. La princesse après une longue marche tombe d’épuisement. Les animaux de la forêt l’emmènent alors jusqu’à la maison des Sept Nains.

 

A son réveil, elle fait la connaissance de Prof, Simplet, Grincheux, Joyeux, Dormeur, Timide et Atchoum.

Mais le Miroir Magique de la méchante Reine lui révèle la présence de Blanche Neige dans la forêt. Furieuse, elle se déguise en vieille mendiante, et profite de l’absence des Sept Nains pour convaincre la

jeune ingénue de croquer dans une pomme empoisonnée.

Surprise puis poursuivie par les Sept Nains, la méchante Reine tombe dans un ravin. Mais, il est déjà trop tard…

 Blanche Neige plonge dans un profond sommeil. Ces sept petits amis décident alors de faire reposer leur princesse dans un cercueil de verre.

Un Prince, éblouie par la très grande beauté de la délicate endormie, lui dépose un tendre baiser sur les lèvres . Blanche Neige ouvre alors les yeux et découvre « son » Prince.

Le premier et le plus beau des grands dessins animés de Walt Disney.

Un film éternel avec une musique et un humour inoubliables.

 

Un trésor inestimable à transmettre de génération en génération.

Voilà une des plus belles histoires de Walt Disney !

  – 3-  PAPY VIDÉO –

– Musique HEY HO HEY HO




– 4 – LOUIS FINE – Le conte raconté aux choupinets EN 5 PARTIES
Coup de
de Louis Fine  
BLANCHE NEIGE RACONTE AUX ENFANTS 1 PARTIEBLANCHE NEIGE RACONTE AUX ENFANTS 2 PARTIEBLANCHE NEIGE RACONTE AUX ENFANTS 3 PARTIEBLANCHE NEIGE RACONTE AUX ENFANTS 4 PARTIEBLANCHE NEIGE RACONTE AUX ENFANTS FINAL

– LOUIS FINE – Le conte raconté aux choupinets – en continu
(lancer découvrir la playlist)



-5 – PAPY SONG –

– RADIO NEIGE BLANCHE –


JE NE ME RAPPELLE JAMAIS DE LEURS NOMS A CES SEPT NAINS …?


et Les 7 nains – L’astuce mnémotechnique

 VOICI UNE PHRASE MNÉMOTECHNIQUE QUI PERMET DE SE RAPPELER DES NOMS DES 7 NAINS
——————————-
A Jouer Presque Seul Tu Deviens Grincheux———————————-Atchoum, Joyeux, Prof, Simplet, Timide, Dormeur, Grincheux :
les 7 nains dans Blanche Neige…

6 -PAPY GAMES DE  BLANCHE NEIGE

 

JEUX POUR CHOUPINETTES
CLIQUEZ SUR
BLANCHE NEIGE
POUR JOUER

 

 -7 – TIRLIPOTE : IL AVANCE….  PAS TROP VITE POUR NE PAS TIRLIPOTER!


7 – LE  JEU DU TIRLIPOTE
.

LE  VERBE CACHÉ DE DECEMBRE
IL AVANCE… ATTENTION DE NE PAS TIRLIPOTER

.

INDICES TIRLIPOTE OFFERTS :

– Peut on TIRLIPOTER  une femme              OUI
OH oui elle adorera surtout si vous êtes un homme »
– Peut on TIRLIPOTER à deux                    OUI
C’ est pas de chance… encore que parfois
on peut  Tirlipoter l’un sur l’autre  …!
– Peut on TIRLIPOTER nu                                   OUI
on peut  Tirlipoter du lit ça dépend de l’heure  …!

– Peut on TIRLIPOTER à  l’école                      OUI
le plus souvent c’est à la récré
– Peut on TIRLIPOTER en montagne            OUI
on peut  Tirlipoter avec un pic  …!

– Peut on TIRLIPOTER en mer                        OUI
Attention de ne pas tirlipoter à l’eau

C’est à vous de jouer …!
Là , ça chauffe dans la cheminée et le Père NOËL va tirlipoter dedans

C' est le verbe : TOMBER

CHOU FLEUR
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CONTE RUSSE : Babouchka

ALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!

Dans la Chouette, ma Mamy se transforme en une extraordinaire conteuse

Aujourd’hui :        UN CONTE RUSSE    –  Babouchka

logo mamy turlututu small Il était une fois une vieille femme nommée Babouchka qui habitait, seule, une toute petite maison au cœur de la forêt.

Sans cesse, elle s’affairait, cousait, cuisinait, nettoyait et, tout en travaillant, elle chantait. Pour se tenir compagnie, elle chantait des chansons, vieilles et nouvelles, et en inventait ; elle était de nature joyeuse. La grand-route passait loin de la maisonnette si bien que les visiteurs étaient rares.
Babouchka fut donc bien étonnée, un après-midi d’hiver, d’entendre un grand vacarme dans la forêt.« C’est peut-être un ours » se dit-elle et elle se mit à trembler.
Mais non, un ours ne fait pas crisser la neige sous ses pas de la sorte.
Elle tendit à nouveau l’oreille et entendit résonner des bruits de pas.

Cette fois, c’était sûr, elle allait avoir de la visite !

Elle s’empressa d’ajouter quelques bûches et de mettre la grosse bouilloire noire sur le feu.
Quelques instants plus tard, on frappa fort à la porte.
Babouchka sursauta :
— Qui est là ? demanda-t-elle d’une petite voix craintive.
— Des voyageurs égarés et épuisés. Pouvez-vous nous aider ?
— Mais bien sûr ! Entrez donc ! cria Babouchka et elle ouvrit grand la porte.

Soyez les bienvenus ! Venez vous réchauffer au coin de mon feu !
Il fait si froid dehors !
Un jeune homme entra, en souriant d’un air reconnaissant.
Un second, plus âgé, le suivit,
puis un troisième qui secoua de son manteau une épaisse couche de neige.
Tous trois étaient superbement vêtus et le troisième portait aux oreilles des anneaux d’or étincelants.
Pendant que Babouchka faisait réchauffer une bonne soupe et coupait du pain, les voyageurs lui racontèrent qu’ils étaient à la recherche d’un roi nouveau-né.
— Son étoile nous guidait, expliquèrent-ils, mais le ciel est si chargé de neige que nous ne la voyons plus
— Ne vous inquiétez pas, continua la brave Babouchka. Lorsque vous serez restaurés et reposés, je vous montrerai la route et vous n’aurez pas besoin de suivre une étoile.
— Vous êtes très bonne, reprit le plus jeune, mais seule l’étoile peut nous guider vers l’enfant Jésus.

— Un enfant et une étoile ! Qu’est-ce que cela signifie ? s’exclama Babouchka étonnée.

Les rois mages russesAlors, les trois hommes lui expliquèrent que l’étoile était un signe, celui de la naissance de l’Enfant, et ils lui montrèrent les riches présents qu’ils lui apportaient. Le cœur généreux de Babouchka se réjouit.

— Comme j’aimerais voir cet enfant ! murmura-t-elle.

— Alors suivez-nous ! s’exclamèrent-ils, et aidez-nous à le chercher !

Mais Babouchka secoua tristement la tête :

— Hélas ! Je suis bien trop vieille et fatiguée pour entreprendre un si long voyage ! dit-elle, et elle se mit à servir la soupe. Lorsque les trois hommes furent rassasiés et reposés, ils la remercièrent et reprirent leur route à travers la forêt.

jonas– Zut alors mamy t’es d’accord elle aurait du les suivre..!!!!
– j’entends ce que tu dis mon petit Jonas mais on va voir si tu as raison ou non….

Après leur départ, la maison sembla bien vide à Babouchka qui ne cessait de murmurer en se balançant sur son fauteuil à bascule : « J’aimerais tant voir ce petit prince ! » Tout à coup, elle sauta sur ses pieds :

« Eh bien, je vais y aller ! Je vais le chercher avec eux… Et rien ne pourra m’arrêter. Foi de Babouchka ! »

En toute hâte, elle fit un petit ballot de ses vêtements et rassembla ses plus grands trésors pour offrir à l’enfant saint : un petit cheval de bois sculpté, une vieille poupée, quelques pommes de pin décorées et de jolies plumes trouvées dans la forêt. Le lendemain matin de très bonne heure, emmitouflée dans ses habits les plus chauds, elle quitta sa maisonnette.

Russie - Baboushka distribuant des cadeauxElle s’efforça de découvrir la direction prise par les voyageurs, mais la neige fraîche avait effacé les traces de leurs pas.

— Avez-vous vu trois rois passer par là ?demanda-t-elle a un paysan.

— Des rois ? Par un temps pareil ? Quelle question stupide !s’esclaffa-t-il, et il s’éloigna d’un pas lourd, l’air mécontent.

Puis elle rencontra un berger :

— Avez-vous vu une étoile resplendissante ?demanda-t-elle avec empressement.

— Des milliers et des milliers, ma pauvre femme, ricana-t-il. Juste au-dessus de votre tête.
Toutes plus étincelantes les unes que les autres.

Un bouvier vint à passer, qui conduisait un troupeau :

— Un enfant roi est-il né par ici, ces temps derniers ? questionna Babouchka.

— Il y a beaucoup, beaucoup de nouveau-nés par chez nous, mais aucun d’eux n’est roi, je vous l’assure, répliqua le bouvier.
Alors elle continua péniblement sa route, arrêtant tous ceux qu’elle rencontrait pour demander :
« Avez-vous vu l’enfant Jésus ? »Mais nul ne put la renseigner.


– Aujourd’hui encore, Babouchka poursuit sa quête ; elle parcourt son pays à la recherche du jeune prince et, chaque fois qu’elle rencontre un enfant malheureux, elle plonge la main dans son sac et y trouve toujours de modestes jouets pour lui offrir un instant de bonheur.

 Les Audiolivres : BABOUCHKA

SOURCES:   https://www.maintenantunehistoire.fr/babouchka

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RETRO : C’est une récap des histoires déjà racontées….

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