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LA PUISSANCE DE L’ESPRIT POUR GUÉRIR LE CORPS


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de Choucaline

CHOULAGER :

“Les Capacités de notre cerveau et de ses pensées positives »

LA PUISSANCE DE L’ESPRIT POUR GUÉRIR LE CORPS

« La maladie est l’expression d’ un déséquilibre »

Jean-Pierre Muyard, médecin-psychiatre à Carcassonne, est l’auteur de
« Pourquoi tombons-nous malades ? ».
Un livre qui est le fruit de dizaines d’années de recherches sur les interactions entre le corps et l’esprit menées notamment avec Henri Laborit.

Pourquoi tombons-nous malades ? », c’est la question que pose votre livre. Comment un médecin en arrive-t-il à poser cette interrogation ?
Durant mes études de médecine à Lyon, j’ai fait parallèlement une licence de sociologie. J’étais aussi militant syndical étudiant et j’ai très vite intégré une équipe qui réfléchissait à l’humanisation des hôpitaux psychiatriques, afin qu’ils deviennent des lieux où les patients participent au processus thérapeutique.
Et j’ai rencontré Henri Laborit, l’homme qui a découvert les premiers neuroleptiques, avec qui j’ai travaillé pendant dix ans. L’idée maîtresse était de faire le pont entre l’inconscient et la biologie. Refuser tout autant le « c’est tout dans la tête » que le « c’est tout dans le corps ». Autrement dit, on ne peut pas dissocier la manière dont le malade vit sa maladie, et la maladie elle-même.
Qu’est-ce que la maladie ?
C’est l’expression d’un déséquilibre. C’est comme la crête de la vague, quelque chose qui sort, relié à un organe (le coeur, le pancréas, la prostate…) et qui n’est pas arrivé par hasard. Ça a du sens, ça ne tombe pas du ciel. Une tumeur, par exemple, concerne tout le corps et pas seulement l’endroit touché. On peut l’enlever, on peut la traiter -il le faut même, il n’y a pas de discussion pour moi là-dessus- mais pour qu’un vrai processus de guérison se produise, il ne faut pas l’attendre du seul traitement. Quelqu’un qui tombe malade doit comprendre qu’à l’intérieur de lui-même, il y a toute une machinerie, biologique, immunitaire, cérébrale, qui participe activement au processus de guérison.
Il n’y aurait donc pas de maladie incurable ?
Nous sommes constitués de telle sorte qu’on peut arriver à rééquilibrer. Hippocrate -déjà !- appelait cela « les forces d’autoguérison ». Notre organisme a un potentiel de guérison. Il faut le mobiliser pour que la maladie ne survienne pas, ou que, lorsqu’elle est là, elle ne soit pas nécessaire…
Nécessaire ? Mot étrange pour qualifier la maladie

Quand il y a maladie, c’est que la pulsion de vie est bloquée en nous. Pensez que lorsque nous parlons, comme cela, il y a dans notre corps des millions d’événements qui se produisent tout seuls : la respiration, les battements du coeur, la digestion tout à l’heure… Il n’y a pas de patron dans le corps. La maladie, c’est quelque chose qui s’est déréglé, et c’est comme si le corps voulait trouver un autre équilibre.
Quels sont les moyens de « mobiliser » ce potentiel de guérison ?
D’abord, savoir que l’on a cela en nous. Personne ne le sait. La plupart des gens se comportent devant la maladie comme des victimes. Ils ne savent pas que le potentiel est là, que notre système immunitaire, notre cerveau, sont sans arrêt mobilisables. Attention, ce n’est pas la méthode Coué (« Je vais guérir parce que je vais à la chimio »), notre cerveau est plus intelligent que l’on croit.
Evidemment, ce qui inhibe ce potentiel de guérison, c’est la peur. Elle est là parce que nous n’avons pas confiance dans notre corps. Je décris dans le livre étape par étape comment ça marche. Et c’est pourquoi je conseille aux gens de se trouver un lieu sécurisé, un médecin généraliste chez lequel vous pouvez déposer vos valises quelle que soit la maladie et qui va être là. J’appelle ça « trouver chaussure à son pied ».
Quel est votre sentiment sur les médecines dites parallèles ?
Les Américains eux-mêmes disent « médecines complémentaires ». Je suis contre la guerre des médecines. Je dis simplement aux gens : vous êtes malade, essayez de trouver le moyen le plus complet pour mobiliser, par différentes techniques, votre énergie vitale, cette force de vie, ce système d’autoguérison. Faites-vous soigner comme la médecine vous y amène -il n’est pas question de dire à un diabétique d’arrêter l’insuline ou d’affirmer qu’un cancer va être guéri avec des fleurs de Bach- mais cherchez ce que les autres médecines vous apportent pour mobiliser les forces d’autoguérison.
Votre livre présente de nombreux cas cliniques…
Je prends un exemple, celui de ce patient du professeur Rosemberg, aux Etats-Unis. Il lui avait indiqué qu’il n’en avait plus que pour six mois à vivre. L’homme s’est retiré dans le Missouri, s’est mis à chasser, à pêcher. Trois ans plus tard, il était toujours en vie. Ce cas a totalement changé la vision de Rosemberg sur le cancer. Il s’est mis à s’intéresser au système immunitaire et c’est comme cela qu’il a découvert les interleukines, ces médicaments très utilisés aujourd’hui dans le traitement du cancer.

Ne craignez-vous pas de donner de faux espoirs à des gens ?
Je m’appuie sur des lois de la nature telles qu’elles sont redécouvertes aujourd’hui par la biologie.
Je ne suis ni un magicien ni un gourou.
Je dis seulement :
« On ne peut rien faire contre la mort, mais on peut tout faire pour la vie. »

SOURCE:  « Pourquoi tombons-nous malades »,
de Jean-Pierre Muyard, éditions Fayard.

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Musique de relaxation

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RETRO :
C’est du même tabac…..

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Devez-vous vous éloigner d’un ami ?

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de Choucaline


« 
Les capacités de notre cerveau:
à reconnaitre ses vrais amis…

Devez-vous vous éloigner d’un ami ?

Choucaline plus proche de toi tumeurToutes les amitiés ne sont pas bonnes à prendre, notamment lorsqu’elles ont des conséquences sur notre santé mentale.
Il existe des moyens de se rendre compte qu’une relation ne nous fait pas de bien.

Reconnaître les signaux.
Lorsqu’il est question de quitter une relation, nous avons davantage tendance à repérer les signes en amour plutôt qu’en amitié. Pourtant, tout comme certains couples, il existe des histoires d’amitié qui ne sont pas censées durer toute la vie.
« Une amitié saine vous donne souvent le sentiment d’être soutenu, valorisé et apprécié. Parfois, cependant, les amitiés peuvent évoluer et changer, et vous pouvez commencer à avoir l’impression que vous et votre ami n’avez plus la même connexion », écrivait la psychothérapeute Bobbi Banks en commentaire de l’un de ses posts Instagram.
C’est pourquoi il est impératif de savoir quand une amitié est une source de joie et quand, à l’inverse, elle draine notre énergie.


Choucaline plus proche de toi tumeurFaire confiance à ses ressentis

Il est généralement plus simple de se rendre compte lorsqu’un couple ne fonctionne plus et lorsqu’il n’y a plus de sentiments amoureux.
Mais il existe tout de même certains signes à ne pas négliger pour comprendre qu’une amitié arrive à son terme.
Sur son compte Instagram, la psychothérapeute recommande de se concentrer sur des amitiés qui respectent certains critères essentiels.
Parmi ceux-ci, vous devez vous sentir en sécurité pour vous exprimer librement et vous assumer tel que vous êtes.

Vous vous soutenez l’un et l’autre dans vos accomplissements et ne vous mettez pas en compétition.
Vous êtes également capable de reconnaître et de prendre la responsabilité de vos erreurs.

À l’inverse, éloignez-vous des amitiés où :

  Vous êtes le seul à faire des efforts, qu’il s’agisse de se voir, de faire des projets ou de simplement prendre des nouvelles.
– Vous vous sentez émotionnellement épuisé lorsque vous êtes avec eux.

– Il refuse de respecter vos limites. Peu importe les raisons qui vous poussent à imposer certaines limites relatives au temps passé ensemble, au contact physique ou à votre besoin d’intimité, votre ami doit en tenir compte.

– Vous vous sentez seul et invisible en leur présence. C’est peut-être un signe que cette personne n’est pas assez attentive à vous, à ce que vous pouvez dire ou ressentir.

– Il méprise ou ignore vos accomplissements. Qu’il envie votre situation ou votre bonheur, le fait qu’il ne parvienne pas à se réjouir pour vous peut être l’un des signes d’une amitié toxique.
– Vous ne vous sentez pas valorisé et apprécié. Comme dans toute relation, certains comportements réducteurs et méprisants à votre égard peuvent entacher votre estime de vous-même. En amitié, comme en amour ou au travail, ce n’est pas le signe d’une relation bienveillante.

SOURCES:    PSYCHOLOGIE
Jacques Salomé –  Contes à aimer…  Contes à s’aimer

7.90 EUROS
Les contes, nous le savons maintenant, nous aident à guérir. Ils permettent de nommer l’indicible, de dénouer les contradictions, de réparer les blessures de notre histoire présente et passée. Ils nous aident à grandir, à croître et à nous harmoniser. Ils favorisent à l’intérieur de nous la réconciliation entre différents états de notre condition humaine, le psychisme, le corps et l’esprit qui parfois se révèlent antagonistes et contradictoires. Ils contiennent des mots qui nous enveloppent, nous caressent et nous serrent dans une amicale clarté ; ils nous proposent des associations qui nous illuminent dans une limpide atmosphère et nous déposent, plus apaisés, aux confins de l’imaginaire et du réel
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ILS L’ONT DIT SUR LE NET
Petit livre qui se lit très facilement et se comprend tout aussi facilement tout en faisant réfléchir. Je ne regrette pas cette lecture qui remet du baume au cœur.
Meilleur commentaire critique
Alors pour ma part, ce livre est une « tuerie » ! j’ai adoré !! Dans mon métier, je me sers beaucoup des métaphores, ces petits contes qui tiennent souvent sur une page recto verso ou deux, sont très rapides à lire, et c’est comme une compréhension direct qui nous saute à la conscience LE CHOURISTEMeilleur commentaire positif
Ces contes véhiculent de belles idées sur le principe de l’amour, du pardon,.. enfin sur toutes les belles valeurs humaines qui nous manquent de plus en plus de nos jours !
par contre, je trouve les récits un peu lourds et compliqués, ils mériteraient d’être écrits de façon plus légère, les textes y gagneraient !!

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POTASSE: Abracadabra chasse ma douleur


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POTASSE: Croyance et superstition N° 2  ABRACADABRA

 

 Une superstition est une croyance fondée uniquement sur la peur.
Elle peut porter bonheur ou malheur..
.
C’est une croyance irraisonnée fondée sur la crainte ou
l’ignorance qui prête un caractère surnaturel ou sacré à certains phénomènes, à certains actes et à certaines paroles.Les POTES âgés vous délèguent pour vous éclairer une nouvelle retraité  qu’ils ont vite baptisée « POTASSE ».

Plutôt sulfureuse et  très superstitieuse, elle est toujours
prête à raconter ses histoires extraordinaires

Suivez le guide….
Ambiance Ambiance au son des miaulements des chats noirs.
  Si Abracadabra est aujourd’hui la formule magique la plus célèbre du monde, la formule était au IIe siècle réputée pour ses propriétés curatives.
 Elle permettait d’après les croyances de l’époque de soigner la fièvre ou diverses maladies.
Elle était alors souvent portée en amulette, écrite sous une forme triangulaire inversée.Abracadabra est, traditionnellement, la formule prononcée lorsque se produit quelque chose de magique.

Croix-Talisman du VIe-VIIe siècle ornée de formules basées sur « Abracadabra ». Exposition « les Temps Mérovingiens » au musée de Cluny.

L’origine du mot

Sammonicus auteur grec qui en parle, n’ a pas inventé le mot tout seul.
Il était utilisé avant lui.
Il y a deux ou trois théories sur sa provenance.

D’abord, il pourrait avoir été tiré du mot également magique « l’exorcisme » dont les lettres, dans la numérologie grecque, s’élève 365 – au nombre de jours d’une année.
Il se pourrait que  les premiers sages l’aient  classé comme un mot puissant .. « un mot de pourvoir » qui très vite a fait que l’abracadabra » a obtenu les vertus d’un
« remède ».

Plusieurs étymologies d’origines orientales ou moyen-orientales sont attestées.
Elle peut venir d’une transformation de l’araméen « adhadda kedhabhra » qui veut dire « que la chose soit détruite », ou « évra kedebra » qui veut dire « je créerai d’après mes paroles. ».

On dit aussi que le mot pourrait provenir de l’hébreu « Ha brakha dabra », qui signifie
« la bénédiction a parlé », ou « Abreg ad Hâbra », « envoie ta foudre jusqu’à la mort »

Aussi étrange que cela puisse paraître aujourd’hui, les gens du peuple ont vraiment porté des talismans de ce type avec le cône « d’abracadabra » comme  les auteurs grecs le décrivent.
Il a été pensé pour guérir des maladies, la fièvre et d’autres problèmes en les siphonnant de la personne et en les expulsant par le bas jusqu’au « A ».
Évidemment il aurait pas plus qu’un effet placebo sur l’utilisateur, mais les gens du peuple y croyaient avec force et lui prêtaient de telles vertus…!

SOURCE : wikipédia

 

POTASSE
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SANTÉ : La Fringale du diabétique

 

 

retrouver régulièrement la rubrique le mal maltraité– LE BLOC NOTE
CHOULAGER

par CHOU BLANC

Ma grand mère Marthe, magnétiseuse et diabétique comme moi connaissait déjà
les fringales 
Voilà ce qu’elle m’a confié :

« Petit écoute ta grand-mère…
Tu leur diras que pour leur santé ils doivent manger des légumes car ils sont riches en fibre et en vitamines  »
Cette phrase résonne encore dans ma tête, si bien que je ne résiste pas à vous la répéter.

SANTÉ : La Fringale du diabétique
Fringale et glycémie sont étroitement liées.

Dès qu’on a une baisse de la glycémie, notre cerveau envoie des signaux de faim qui peuvent devenir compulsifs si on ne répond pas assez rapidement en consommant des aliments sucrés ou riches en glucides

La fringale est une « faim violente et pressante », c’est la définition qu’en donne le dictionnaire. Elle survient quand la glycémie chute tout à coup.
Découvrez comment réguler votre taux de sucre sanguin pour éviter les compulsions alimentaires.

Les fringales : Comment les analyser et les éviter efficacement ? 

Pas facile de résister à ces pulsions inattendues qui nous rongent le ventre et nous incitent à aller chercher quelque chose à manger dans le réfrigérateur ou le placard.

 

Qu’est-ce qu’une fringale ?

État de faim soudain et intense, la fringale se manifeste souvent par des envies de nourriture spécifiques, souvent riches en calories et en sucres. Cela peut survenir à n’importe quel moment de la journée et peut être causé par une variété de facteurs.

D’après des scientifiques et des nutritionnistes, les causes de ces fringales peuvent révéler un besoin physiologique et/ou psychologique.

A quels besoins répondent ces fringales ?

Le besoin physiologique est une sensation de manque qui survient lorsque notre corps a besoin de quelque chose pour fonctionner correctement. Ces besoins sont souvent liés aux fonctions vitales de notre organisme, tels que la faim, la soif, le sommeil ou encore l’élimination des déchets.

Une chute du taux de sucre dans notre sang ?

Dans notre cas, c’est la notion de faim qui nous préoccupe. Par exemple, la privation trop fréquente de sucre peut provoquer des envies fortes de sucré. Nos muscles, notre cerveau, nos globules rouges sont « gluco-dépendants », cela signifie qu’ils ont un besoin de sucre pour fonctionner.
Lorsqu’il y a une chute du taux de sucre dans notre sang, notre cerveau envoie des signaux de faim pour nous alerter que notre corps a besoin de nourriture pour fonctionner correctement. Si ces signaux ne sont pas satisfaits rapidement, ils peuvent devenir de plus en plus forts et compulsifs, créant une envie irrépressible de manger. Cela peut rendre difficile le contrôle de l’appétit et peut pousser à la consommation de nourriture en trop grande quantité.

Les aliments sont parfois perçus comme un doudou qui est toujours disponible pour les réconforter
Les aliments peuvent représenter un réconfort pour certaines personnes, par exemple lors d’une journée difficile, d’une dispute, d’une colère, d’une rupture provoquant alors de l’anxiété chez certaines personnes. Les aliments sont alors perçus comme un doudou qui est toujours disponible pour les réconforter.
Dans certains cas, les fringales peuvent être liées à un schéma comportemental acquis durant l’enfance. Certaines personnes ont été réconfortées par leurs parents avec de la nourriture lorsqu’elles étaient bébés, ce qui a créé une association entre la nourriture et le réconfort émotionnel. Ainsi, dès qu’elles ressentent de la tension, elles mangent pour trouver un apaisement émotionnel, comme une réponse conditionnée à une situation stressante.


Changer ses habitudes de consommation pour lutter contre les fringales

Certains aliments permettent de limiter les fringales. Rassasiant et peu sucrés, ils fournissent suffisamment d’énergie à l’organisme pour limiter les envies alimentaires anarchiques.

Les œufs
Outre la viande, les œufs sont l’un des aliments les plus riches en protéines. Un œuf au petit-déjeuner, peut aider à réduire la sensation de faim entre les repas.
 Le jambon
  Le jambon cuit peut aider à réduire la sensation de « faim ». Les protéines sont digérées plus lentement que les glucides et d maintiennent la sensation de satiété
Les légumes secs
Les pois secs, les haricots secs, les lentilles secs, les pois chiches… sont riches en protéines et contiennent peu de graisses.
Les fruits secs
 Par leur grande teneur en fibres, en nutriment et en sucre naturel, les fruits secs comme les dattes, les abricots et les raisins peuvent limiter les envies de sucreries.
Les amandes
 La consommation quotidienne d’amandes (42g) permet de contrôler la sensation de faim sans entraîner une prise de poids.
Les fruits frais
Ils sont riches en nutriment, en fibres et en eau. Ils sont naturellement sucrés. Les fruits comme les pommes, les bananes, les oranges et les baies sont également riches en antioxydants qui sont bénéfiques pour la santé.

En conclusion donc, pour éviter les fringales,  il faudra veiller à :

  1. Manger des aliments à faible indice glycémique tels que les légumes, les fruits, les légumineuses et les céréales complètes. Digérés lentement, ils permettent une libération progressive de glucose dans le sang et évitent les pics de glycémie.
  2. Faire de l’exercice régulièrement : L’exercice régulier peut aider à réguler la glycémie en augmentant la sensibilité à l’insuline et en aidant le corps à utiliser le glucose de manière plus efficace.
  3. Manger des aliments riches en fibres : Les aliments riches en fibres ralentissent la digestion et l’absorption des glucides, ce qui aide à maintenir des niveaux stables de glucose dans le sang.
  4. Éviter les sucres ajoutés : Les sucres ajoutés dans les boissons, les desserts et les aliments transformés peuvent causer des pics de glycémie, il est donc important d’y faire attention.
  5. Surveiller sa consommation de glucides et pourquoi pas faire appel à un(e) coach sportif(ve) nutritionniste, un(e) diététicien(ne),

SOURCE :
https://www.pep2dia.fr/le-blog-pep2dia/sante-humaine/fringales-et-glycemie-un-duo-de-choc

 Chou Blanc est effectivement magnétiseur -voir son siteCHOU BLANC retour sur la rubrique du même tabac

RETRO : C’est du même tabac…..

 

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