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ALLEZ MAMY RACONTE : Les musiciens de Brême

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!

Dans la Chouette ma Mamy se transformera, , en conteuse ce printemps.

AUJOURD’HUI C’EST : LES MUSICIENS DE BRÈME

logo mamy turlututu smallMes chers enfants moi aussi j’avais une grand mère qui, se plaisait à me parler d’histoires qui m’aidaient à mieux me connaitre ou à découvrir le monde ..

je me rappelle du jour où elle m’a raconté:
LES MUSICIENS DE BRÈME.


ÉCOUTEZ …..
Je vais vous raconter tout ça en vous résumant l’histoire.. en vous la faisant écouter …. comme sur les CD …
et enfin en lisant l’histoire en entier :


ALLEZ.. ACTION Mamy..!
Tu la lis .. tu la lis …!!!

 

– OUI OUI mon petit Jonas …
EN VOICI UN RÉSUMÉ
… :

  une version intégrale sonore figure ci -dessous

les Quatre musiciens de Brème

Dans un village situé non loin de Brême, un meunier vit avec son âne.

Ce dernier prenant de l’âge, son maître décide de le tuer pour récupérer sa peau. Mais dans la nuit, sentant les ennuis venir, l’âne s’enfuit. Il décide de se rendre à Brême pour devenir musicien.

En chemin, l’âne rencontre un chien devenu trop âgé pour la chasse dont son maître voulait se débarrasser. Il propose alors au chien d’aller avec lui à Brême pour s’engager dans l’orchestre municipal. En chemin, l’âne et le chien rencontrent un chat et un coq dans la même situation qu’eux et leur proposent de les suivre sur la route de Brême. Un soir, les quatre animaux découvrent une maison habitée par des voleurs.

Bien décidés à prendre leur place, ils se débarrassent des voleurs grâce à un plan : l’âne se met devant la fenêtre de la maison, le chien monte sur l’âne, le chat sur le chien et le coq sur le chat ; quand ils sont ainsi installés, ils donnent de la voix tous ensemble, bondissent par la fenêtre et les voleurs effrayés s’enfuient. Après la disparition des voleurs, ils décident de s’installer dans la maison.

Le chef des voleurs envoie plus tard un de ses hommes pour voir s’ils peuvent récupérer la maison. Peine perdue, les animaux, dans le noir, l’attaquent et le terrorisent.

Les animaux finissent par s’installer définitivement dans la confortable maison. Ils ne jouent pas à Brême.

Ils passeront le reste de leur vie entre amis et en fanfare!

 LE CHOURISTE

– Les frères Grimm ont publié en 1819 cette histoire de bannis qui prennent leur revanche sur une société qui ne veut plus d’eux.
Rien d’étonnant à ce qu’elle trouve des échos sonores de nos jours…

Vous pouvez l’écouter en entier racontée par Nathalie qui n’a pas son pareil pour faire le chant du coq


– JONAS et moi on les laissera jamais broyer du noir …..!!!

logo mamy turlututu smallMais peut être une vieille MAMY comme moi préférera lire l’histoire en entier….. je l’ai trouvée sur internet..!
Cliquez l’image Mamy vous y allez
– Mais bien sûr que vous saurez vous débrouiller sur internet Allez on démarre l’histoire ensemble :

Il était une fois un âne qui avait décidé d’aller à Brême pour devenir musicien. En chemin, il rencontra un chien, assis au bord de la route,qui semblait très malheureux.

– Que t’arrive-t-il, chien ? demanda âne.

– Personne ne m’aime et je m’ennuie, répondit le chien.

– Viens avec moi à Brême et tu deviendras musicien, dit âne. Je jouerai de la guitare et toi, tu pourrais jouer du tambour.

– Allez clique la suite Mamy
  je vous l’avais dit ça marche..!
vos petits enfants seront contents……

PAPY CHOULESTROPIC
Moi qui voyage beaucoup, je peux vous dire  bien des choses sur Brême….
Mais je vais être bref et rester sur nos musiciens

la statue des Animaux musiciens de Brême réalisée par Gerhard Marcks et érigée en 1951,Brême est une ville de 550 000 habitants du nord-ouest de l’Allemagne. C’est une ville portuaire située le long du fleuve Weser, à environ 60 km au sud de son estuaire en mer du Nord.

Les principaux monuments de Brême se situent dans l’Altstadt (Vieille ville), une zone ovale entourée par la rivière Weser, au sud-ouest, et par le Wallgraben, la ruine des anciens murs médiévaux de la ville, au nord-est.

Au-devant et sur le côté de l’hôtel de ville se tiennent deux statues :

  • la statue de Roland datant de 1404, représentant Roland protecteur de la ville portant Durandal, l’épée de justice, et un bouclier orné d’un aigle impérial.
  • la statue des Animaux musiciens de Brême réalisée par Gerhard Marcks et érigée en 1951, qui représente l’âne, le chien, le chat et le coq les uns sur les autres, en hommage au conte du même nom des frères Grimm.

Bien sûr pour les gourmands on vous proposent les musiciens de Brème en chocolat

wikipedia brème

SOURCE : wikipedia
https://www.ecoledesloisirs.fr/livre/quatre-musiciens-breme
Gerda Muller (Auteur/Illustrateur)
album  5 à 7 ans Année de 1ère parution : 2014
Collection Albums – ISBN: 9782211220361 – 12,70€

  https://amzn.to/4azFCh7

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RETRO : C’est une récap des histoires déjà racontées….

 

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LA ROCHE DU DIABLE… C’est à la Roche-en-Brenil en côte d’or


chouetteMON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS

Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance

La roche du diable …..

chouetteLa légende est un récit à caractère merveilleux, où les faits historiques sont transformés par l’imagination populaire ou par l’invention poétique ; histoire déformée et embellie par l’imagination des hommes qui ont besoin de rêver.

A La Roche en Brenil plus encore qu’ailleurs dans le Morvan les pierres aux formes étranges ont donné lieu à de nombreuses légendes.
Le Poron-Merger ou Perron Meurger à Roche-en-Brenil (La) (21) est un amas de pierre qui garde pour l’éternité le souvenir de l’échec du Diable .

un amas granitique de 50m de long

Le Poron Meurger et sa roche du diable, a été classée monument historique au début du 20e siècle.
Pour en connaitre la raison….?
Il faut connaître sa légende :

Le curé de La Roche-en-Brenil avait réuni à l’occasion de la fête Dieu l’ensemble des habitants du village et des environs pour tenir une grande messe à l’église.
Le Diable qui cherche sans cesse à s’accaparer l’âme des hommes, voyant les habitants se réunir dans l’église, projeta de tous les y enfermer.
S’il y parvenait en en bloquant la porte de l’église avant que la cloche ne sonnât, toutes les âmes des fidèles participant à la messe lui appartiendraient.
Alors il partit, le temps de la messe, dans un pays lointain pour en ramener un gros rocher afin de bloquer la porte de l’église, malheureusement ; la cloche sonna avant que le diable ne puisse revenir à l’église.

les empreintes des doigts du diable

Le Diable jeta alors son fardeau dans les bois où les pierres se trouvent désormais et s’enfuit.
Les creux et bassins marquent les empreintes qu’ont laissé ses épaules sous l’effort.
Les dizaines des boules de granites essaimées dans les bois ne sont que les larmes du Diable.
Plein d’amertume, il se retira au lieu-dit le Rebraiement où s’entendent parfois ses cris terribles.

 

un escalier taillé par l’homme permet d’accéder au sommet

chouetteCette pierre est forte d’une cinquantaine de mètres de long
Le rocher du Poron-Meurger se trouve donc peu avant le village de La Roche en Brenil, dans une forêt mystérieuse.
Forte d’une cinquantaine de mètres de long cette pierre présente effectivement plusieurs marques , de la présence du diable:
– le fauteuil du diable
– les empreintes de ses doigts,
– la marque de ses épaules.

la tête du vilain homme

La tête du vilain homme
On distingue un rocher qui représente la tête d’un homme appelé : la tête du vilain homme.
Un escalier taillé entre les pierres permet d’accéder au sommet, qui présente une cuvette creusée de 5 m sur 4.

Pour la trouver :
La roche se trouve donc peu avant le village…
– Partir de l’église et suivre la pancarte ‘pierre de légende’
– Sortir du village en direction de Bouloy ; emprunter un chemin de bois à droite signalé (poron Meurger) continuer quelques centaines de mètres et apparait alors un entassement d’immenses blocs de pierres granitiques.

SOURCES:
http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21525_1
http://moulindemarnay.pagesperso-orange.fr/morvan/morvan315.html

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez Chou Blanc retour sur la rubrique du même tabac

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PEINTURE : La Cène de Léonard de Vinci


L’ART ET
LA PALETTE AUX CHOUX

Par Chou Blanc

Il y a parfois des jours où vos doigts se conduisent comme des pinceaux sur votre clavier et sont attirés par la lumière qui rayonne d’un tableau et là vous vous laissez emporter à vouloir la partager avec le plus grand nombre…. presque à les inviter à rompre le pain si  quotidien….

Détail

La Cène de Léonard de Vinci

La Cène de Léonard de Vinci est une fresque murale qui représente le dernier repas de Jésus Christ avec ses douze apôtres le soir du jeudi saint, juste avant d’être arrêté par les Romains.
Soir, qui n’est autre que la veille du jour de sa crucifixion. On retrouve de gauche à droite les douze apôtres entourant Jésus: Barthélemy, Jacques le Mineur, André, Judas, Pierre, Jean, Jésus, Thomas, Jacques le Majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée et Simon.

Considérée par les Chrétiens comme un des piliers de la foi chrétienne, elle représente la commémoration d’institution de l’Eucharistie. L’Italie étant le berceau du catholicisme, les souverains de l’époque, les Sforza, envisageaient de faire du couvent de la Sainte Marie Des Grâces un mausolée.
Ainsi, le jeune duc, Ludovic Sforza fit appel aux services de Léonard De Vinci et quelques autres artistes peintres pour décorer la chapelle, le réfectoire et certaines pièces du couvent.
Et c’est ainsi qu’en 1494, Léonard commença son chef-d’œuvre.

Que s’est-il passé lors du dernier repas de Jésus (la cène) ?


La dernière cène  Extrait de Jésus de Nazareth de Zeffirelli
Au cours du repas, Jésus prit du pain et, après avoir remercié Dieu, il le partagea et le donna à ses disciples ; il leur dit : « Prenez et mangez, ceci est mon corps. » Il prit ensuite une coupe de vin et, après avoir remercié Dieu, il la leur donna en disant :
« Buvez-en tous, ceci est mon sang, le sang pour [signer] le pacte. Il sera versé pour la multitude et pour le pardon des péchés. Je vous le déclare : désormais, je ne boirai plus de ce fruit de la vigne jusqu’au jour où, avec vous dans le Royaume de mon Père, je le boirai nouveau. Après avoir chanté le chant religieux, ils s’en allèrent à la colline des Oliviers. »

 

La Cène, peinte par le génie et l’illustre Léonard de Vinci, fait une longueur de 8,80m sur 4,60m de hauteur.
Elle a été peinte sur l’un des murs du réfectoire du couvent de la Santa Maria delle Grazie, un couvent Dominicain situé à Milan, en Italie.

Il semblerait que Léonard de Vinci se soit inspiré de l’œuvre d’Andrea Del Castagno qu’il aurait vu à Florence peu avant de réaliser son chef-d’œuvre.
Mais étant lui-même un grand observateur des écrits bibliques, il a su capter l’essence-même du moment où Jésus annonça à disciples que l’un d’eux allait le trahir. La réalisation de cette peinture, commanditée par le duc Milan, Ludovic Sforza, lui a pris alors quelques années.
Il l’a entamé vers 1494 ou 1495 et ne l’achève qu’en 1498. Pressé par le chancelier de Milan et le prieur, qui lui demanda d’accélérer la cadence, il n’en fit rien et s’est même défendu devant le duc, le même qui a fait construire notamment l’Abside ou encore le Turion où repose son épouse, Béatrice d’Este.

Une scène de repas dans un réfectoire n’est pas hors de propos.

Quant à Léonard de Vinci, il s’est vu partager entre deux œuvres dont Il Cavalli et la Cène qui nous intéresse. Comme d’usage, la Cène a été peinte dans le réfectoire du couvent. Une scène de repas dans un réfectoire n’est pas hors de propos.
Après toutes les intempéries et les siècles qu’elle a traversé, la Cène y est encore pour ravir les yeux des visiteurs et des amateurs d’art.
À cette époque, à la renaissance, l’on n’avait encore jamais entendu parler de 3D, mais en observant la Cène, on aurait dit que Léonard de Vinci en est le précurseur.
Un trompe l’œil sur le plafond prolonge la salle.
Grâce aux techniques appliquées, souvent, les visiteurs qui se retrouvent directement en face de la fresque se croient être devant des statues ou encore ont le sentiment de se trouver à cette même table. On a cette impression que le regard de Jésus nous suit qu’importe l’emplacement par rapport au mur. Notre génie a centré ses dessins sur Jésus.

Pour ce qui est de la technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci pour La Cène, notre génie a opté pour la « tempera » (appelée également détrempe).
Commençant avec une fine couche préparatoire sous les esquisses, il enduit la terre rouge de carbonate de calcium et de magnésium. Pour la dernière étape, l’imprimatur a fait ressortir les couleurs.
En finition, il applique une émulsion d’œuf et d’huile dont on en est moins sûr (la tempera proprement dit).
Mais cette technique a une faille, celle de ne pas résister à l’humidité. La Cène, une fois terminée, fut par la suite, par tradition, peinte dans de nombreux monastères.

Quelques années après son achèvement, l’humidité a eu raison de la fresque de La Cène. Antonio da Beatis a déclaré en 1517 qu’elle était en état de dégradation à cause de l’humidité pour cause de malfaçon en faisant sans doute référence à la technique que Léonard de Vinci a choisi.
Et au fil des siècles, l’œuvre a été mainte et mainte fois maltraitée. Les occupants du monastère ont jugé bon de poser une porte pour faire communiquer le réfectoire et la cuisine, gâchant totalement la partie basse du chef-d’œuvre.
Par suite, la même salle a servi d’écurie à l’armée napoléonienne et cerise sur le gâteau, le monastère a été bombardé.
Par le plus heureux des hasards, le mur est resté intact.

Entre temps, certaines mesures ont été prises pour restaurer et préserver la fresque.

La première de ces mesures a eu lieu en 1726 par Michelangelo Bellotti. Mais apparemment, cette intervention aurait empiré son état.
En 1770, Giuseppe Mazza a tenté de réparer les dégâts. Stoppé en plein travail, il n’a pu rien faire. Andrea Appian et Bernardino Luin tentèrent à leur tour de la détacher sans mais sans succès.

En 1901, Luca Beltrami et Luighi Cavenaghi ont utilisé une technique plus moderne, la photographie mais ne parvenant pas à leur fin Oreste Silvestri est entré en jeu peu avant le bombardement du couvent.
Mauro Pellicioli a aussi tenté de raviver la Cène mais après une première intervention avant 1901, Pinin Brambilla Barcilon est revenu à la charge.
Sa campagne a durée plus de 20 ans, de 1978 à 1999. En total, il y a eu pas moins de 5 interventions pour tenter de rendre sa jeunesse à l’œuvre de Leonard de Vinci.

De par sa symbolique La Cène fut copiée et très souvent parodiée voire revisitée d’où les travaux de ceux qui essayent de recenser petit à petit les différentes versions de La Cène.

copie par l’Atelier de GIAMPIETRINO, La Cène, vers 1520, huile sur toile, 424 x 802 cm, Tongerlo, Da Vinci-Museum.

SOURCE :
http://www.lacene.fr/la-cene-de-leonard-de-vinci.html

Chou Blanc

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L’origine des fêtes de l’ours dans les Pyrénées

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transformera, cet automne, en conteuse au bord du feu…. Préparez les buches….. conservez vos braises on va faire griller les châtaignes

Pour les autres ….??
Ben..! Rêvez…..! Vous sentirez très vite les odeurs de la grillade , la chaleur du feu de bois, vous entendrez l’écorce crépiter….. et vous verrez au milieu des flammes…. la fantasmagorie de l’imaginaire…
ça y est..
Vous tenez le soufflet bien en main….?
Oui.. !

CHAQUE ANNÉE EN FÉVRIER ONT LIEU LES FÊTES CARNAVALESQUES AUTOUR DE LA CHASSE A L’OURS :
L’origine des fêtes de l’ours dans les Pyrénées

 Les sardanes donnent l’ambiance

logo mamy turlututu smallMes chers enfants moi aussi j’avais une grand mère qui, comme moi, aimait à raconter des histoires à la choupinette que j’étais en ce temps là….!

Elle se plaisait à me parler d’histoires qui m’aidaient à mieux me connaitre ou à découvrir le monde ..
je me rappelle du jour où elle m’a raconté:
La légende de L’ours des Pyrénées ……

J’ai donc décidé de vous la raconter à mon tour, pour que vous puissiez
pleinement participer aux fêtes de l’ours qui durant le carnaval font revivre cette légende.


ALLEZ.. ACTION Mamy..!
ALLEZ MAMY RACONTE..!

Oui mon petit voici la légende de l’ours des Pyrénées

La légende dit qu’au Moyen-âge, un ours qui cherchait une compagne aurait enlevé une jeune bergère, après avoir massacré ses brebis.

Il la gardât prisonnière dans sa grotte, pour lui voler son âme et sa virginité.
Mais chasseurs, paysans et bûcherons furent lancés à sa poursuite.

Une grande chasse à l’ours commença.. Il fallut des jours et des nuits pour trouver traces de notre ours.
La jeune bergère fut trouvée dans la tanière, saine et sauve mais terrifiée.
Mais avant qu’ils puissent repartir, l’ours revint à la charge.

– Y’a eu des morts Mamy ..?
– Hé oui… Il faut que vous sachiez que l’ours est un animal féroce qui a fait ses dégâts au temps jadis dans nos montagnes…..

logo mamy turlututu smallUn grand affrontement commença, et beaucoup furent tués.
Ils réussirent à prendre le dessus sur la bête et repartir victorieux au village.
On ordonna une grande fête pour la victoire de tous les braves, et pour humilier l’ours, ils le rasèrent à l’aide d’une hache, lui rendant ainsi une apparence plus humaine.
– Qu’est ce qu’ils en ont fait après…..
– Ben…. Au fil du temps, ils réussirent à l’apprivoiser, et le chargèrent des plus lourdes tâches du village.

– Nous on le connait ce gros poilu….
– Et toi Papy … Tu le connais l’ours des Pyrénées

LE CHOURISTE

EH CARAIILLL …..OUI QUE JE LE CONNAIS ….!!!
Vous savez bien mes choupinets que j’y suis né dans ces Pyrénées…..!!!!
et je peux même vous dire comment ça se passe les fêtes de l’ours….

la Fête de l’ours ou « Festa de l’os » est devenue la tradition la plus originale du carnaval catalan

Au cœur de la vallée du Tech, à quelques kilomètres de l’Espagne, les villages du haut vallespir (66) sortent à la mi-février de leurs torpeurs hivernales et s’apprêtent à fêter le réveil de l’ours et le retour du Printemps par des traditions carnavalesques dont l’origine remonte à cette légende.

C’est la Fête de l’ours ou « Festa de l’os ». Cette fête est une des traditions carnavalesques les plus originales du carnaval catalan.

C’est Noirs de suie, d’huile et de sueur, griffant ou mordant tout sur leur passage, farouches, superbes et traqués, les 3 derniers ours du pic du Costabonne descendent dans la ville.
Durant cette fête une turbulente animation règne de nombreuses confrontations ont lieu:
durant plus de deux heures, trois garçons incarnant le rôle d’ours vont assaillir et mâchurer les visages avec une nette préférence pour ceux des jeunes-filles ; pourchassés les « fauves » seront enfin maîtrisés, enchaînés puis rasés à la hache en place publique par les barbiers.

 

 


– Eh JONAS..! Moi je fais couleur locale .. Mais toi…????

Source: www.tresvents.fr –www.fdfr66.com
DÉCOUVRIR LES VILLAGES de Prats-de-Mollo, d’Arles-sur-Tech et de Saint Laurent de Cerdans.

A découvrir chaque année à PRATS-DE-MOLLO-LA-PRESTE 66 Au retour chacun aura sur le visage l’empreinte du plantigrade et celle d’une des plus anciennes et des plus authentiques traditions carnavalesques
Celui qui y participe peut dire ensuite « je suis l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours »…… et qui sait, avec un peu de chance, il peut ramener une des bergères apeurées

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RETRO C’est une récap des histoires déjà racontées….

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