Archives par étiquette : Brassens

MUSICOCHOUETTE : Il a aimé Hélène

NUMÉRO 9 :
HÉLÈNE
fêtée le 18 aout
 Cet été pour vous être agréable, nous vous avons concocté une série musicale avec le concours d’une jeune recrue qui est au piano dans sa cuisine et sur ses platines le dimanche
j ‘ai nommé MAESTRO COCINA

il a toque et carte blanche à condition de changer son thème de menu chaque semaine.

il dispose de 72 playlists… Il y a en aura pour tous les gouts :
Du classique à la variété …. De l’instrumental aux chansons populaires
qui ont habité notre jeunesse ….


MAESTRO COCINA

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LA TENDRESSE: Les funérailles d’antan

logo-tendresse

LE BLOC NOTE
de
Mamy et
Papy tendresse

papy-mamy-la-tendresse 90
rue de la
tendresse

Souvenir de nous deux ……
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

Les funérailles d’antan

Comme un clin d’oeil au chagrin...
En traitant, avec une certaine désinvolture, le sujet douloureux du deuil, Brassens semble exorciser la crainte de la mort.
La mélodie est en parfaite contradiction avec la délicatesse du sujet. Il adopte le même ton badin que celui du « testament ». Un exercice de style réussi qui nous entraîne à la fredonner avec des « pom, pom, pom, pom » enjoués !

Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain
De bonne grâce ils en faisaient profiter les copains
« Y a un mort à la maison, si le cœur vous en dit
Venez le pleurer avec nous sur le coup de midi »
Mais les vivants aujourd’hui ne sont plus si généreux
Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux
C’est la raison pour laquelle, depuis quelques années
Des tas d’enterrements vous passent sous le nez
Des tas d’enterrements vous passent sous le nez


– C’est vrai que s’était bien de se taper un bière en souvenir du défunt..!

papy-mamy-la-tendresse

Paroles de la chanson

Les funérailles d’antan

Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain
De bonne grâce ils en faisaient profiter les copains
« Y a un mort à la maison, si le cœur vous en dit
Venez le pleurer avec nous sur le coup de midi »
Mais les vivants aujourd’hui ne sont plus si généreux
Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux
C’est la raison pour laquelle, depuis quelques années
Des tas d’enterrements vous passent sous le nez
Des tas d’enterrements vous passent sous le nez

Mais où sont les funérailles d’antan?
Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards
De nos grands-pères
Qui suivaient la route en cahotant
Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées
Ronds et prospères
Quand les héritiers étaient contents
Au fossoyeur, au croque-mort, au curé, aux chevaux même
Ils payaient un verre
Elles sont révolues
Elles ont fait leur temps
Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres
On ne les reverra plus
Et c’est bien attristant
Les belles pompes funèbres de nos vingt ans

Maintenant, les corbillards à tombeau grand ouvert
Emportent les trépassés jusqu’au diable vauvert
Les malheureux n’ont même plus le plaisir enfantin
De voir leurs héritiers marron marcher dans le crottin
L’autre semaine des salauds, à cent quarante à l’heure
Vers un cimetière minable emportaient un des leurs
Quand, sur un arbre en bois dur, ils se sont aplatis
On s’aperçut que le mort avait fait des petits
On s’aperçut que le mort avait fait des petits

Mais où sont les funérailles d’antan?
Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards
De nos grands-pères
Qui suivaient la route en cahotant
Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées
Ronds et prospères
Quand les héritiers étaient contents
Au fossoyeur, au croque-mort, au curé, aux chevaux même
Ils payaient un verre
Elles sont révolues
Elles ont fait leur temps
Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres
On ne les reverra plus
Et c’est bien attristant
Les belles pompes funèbres de nos vingt ans

Plutôt que d’avoir des obsèques manquant de fioritures
J’aimerais mieux, tout compte fait, me passer de sépulture
J’aimerais mieux mourir dans l’eau, dans le feu, n’importe où
Et même, à la grande rigueur, ne pas mourir du tout
O, que renaisse le temps des morts bouffis d’orgueil
L’époque des m’as-tu-vu dans mon joli cercueil
Où, quitte à tout dépenser jusqueau dernier écu
Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul
Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul

Mais où sont les funérailles d’antan?
Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards
De nos grands-pères
Qui suivaient la route en cahotant
Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées
Ronds et prospères
Quand les héritiers étaient contents
Au fossoyeur, au croque-mort, au curé, aux chevaux même
Ils payaient un verre
Elles sont révolues
Elles ont fait leur temps
Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres
On ne les reverra plus
Et c’est bien attristant
Les belles pompes funèbres de nos vingt ans

La Prière est une chanson de Georges Brassens, qui met en musique le poème Rosaire de Francis Jammes.
Pour cela, Georges Brassens reprend le timbre qu’il a déjà utilisé pour la mise en musique du poème d’Aragon, Il n’y a pas d’amour heureux.

papy-mamy-la-tendresse
Paroles de la chanson

La Prière

Par le petit garçon qui meurt près de sa mère
Tandis que des enfants s’amusent au parterre
Et par l’oiseau blessé qui ne sait pas comment
Son aile tout à coup s’ensanglante et descend
Par la soif et la faim et le délire ardent
Je vous salue, Marie.

Par les gosses battus, par l’ivrogne qui rentre
Par l’âne qui reçoit des coups de pied au ventre
Et par l’humiliation de l’innocent châtié
Par la vierge vendue qu’on a déshabillée
Par le fils dont la mère a été insultée
Je vous salue, Marie.

Par la vieille qui, trébuchant sous trop de poids
S’écrie:  » Mon Dieu !  » par le malheureux dont les bras
Ne purent s’appuyer sur une amour humaine
Comme la Croix du Fils sur Simon de Cyrène
Par le cheval tombé sous le chariot qu’il traîne
Je vous salue, Marie.

Par les quatre horizons qui crucifient le monde
Par tous ceux dont la chair se déchire ou succombe
Par ceux qui sont sans pieds, par ceux qui sont sans mains
Par le malade que l’on opère et qui geint
Et par le juste mis au rang des assassins
Je vous salue, Marie.

Par la mère apprenant que son fils est guéri
Par l’oiseau rappelant l’oiseau tombé du nid
Par l’herbe qui a soif et recueille l’ondée
Par le baiser perdu par l’amour redonné
Et par le mendiant retrouvant sa monnaie
Je vous salue, Marie.

♪♫♫♫♫♫♪

(

Sources:
www.paroles-musique.com


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MUSIQUE: FÊTE DE LA MUSIQUE… LA CHOUETTE Y VA…


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De Choubert à Choumann en passant par Choupin

 LA PARTITION DE MA2

          La Partition de MA2
  Musique à deux

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C’est la fête de la musique …
La Chouette y va ce soir…
Pour fêter  aussi plus de 2200 articles publiés…!
Merci de nous rester fidèle.

En attendant, pour faire un petit échauffement des articulations
des potes âgés …
Voici les artistes que la Chouette a honoré…
MA2 et Papy Song vous donnent accès direct sur nos archives musicales

– « MAESTRO … A VOUS L’HONNEUR…! »

 

– « MESSIEURS …. MUSIQUE« 

– Bon que tu me dises qu’il faut un vieux de la vieille pour être aux manettes … ça me vexe
Mais que tu me demandes à moi d’animer cet événement ..
je dirais que là ….. j’ai rien entendu …grand-piano- noir

 

– « A nous deux la musique  ! »

Contribution : Tout ce que cette saleté de chouette a chapardé sur le NET

LES DÉLICES de MUSICOCHOU

Samedi 21 juin, 36ème édition de la Fête de la Musique.

La Fête de la musique de « vive voix ». Elle se décline en timbres, accords, accents, qui évoluent dans le temps, la géographie, les cultures. Comédies musicales, cours et ensembles vocaux, karaokés : tout laisse à penser que l’instrument le plus populaire – nous le possédons tous ! – … C’est la voix.

Commencez dès aujourd’hui à préparer l’événement avec les chansons que vous préférez  réviser (en moyenne 10 à 12 par artiste)  .


small-logoma2starBONJOUR LES ARTISTES ET QUELS ARTISTES…!

barbarabarrierebecaudbocellibrassensdalidadassintout genesferrat
j william
leclerc
montand
moustaki
r charlesvasary

Avec le bouton  » TOUT » vous accédez à la catégorie  » CHOUBERT  » qui contient dans ses archives tout ce que la Chouette a rassemblé de musical dans ses 2200  articles…!
Choisissez dans la liste.

Dans la marge de droite en haut Le Chouriant vous aide à rechercher
(Tapez par exemple:  java, charleston, boogie boogie, cha cha cha… Adagio, Ave maria……. Verdi, nabucco….. saxo,clarinette,harmonica… tout ça pour votre plaisir rassemblé dans  la Chouette…!

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M A 2     

RETRO :

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POÉSIE : La Complainte du petit cheval blanc


LE BLOG
DE TOM ET DOUCE

 

Elles existent encore, dans mes vieux rêves, ces cours de récréation où les enfants déclamaient avec éloquence, et chacun leur tour, des poèmes appris l’heure d’avant…
Des poèmes courts souvent faciles à retenir que
TOM ET DOUCE vous feront revivre de temps en temps histoire de vous dire qu’il n’est pas encore venu le temps des poètes disparus…
Écoutez les ..!

La Complainte du petit cheval blanc (Paul Fort)

Au milieu des vacances ensoleillées profitez de l’instant présent en découvrant cette célèbre complainte, mise en musique plus tard par Brassens, elle fut écrite par Paul Fort, né à Reims le 1 er février 1872, et proclamé plus tard, en 1912, prince des poètes ainsi qu’il est inscrit en marge de son acte de naissance.

 

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Le petit cheval dans le mauvais temps,
Qu’il avait donc du courage!
C’était un petit cheval blanc,
Tous derrière et lui devant.

 

Il n’y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage,
Il n’y avait jamais de printemps,
Ni derrière, ni devant.

 

Mais toujours il était content,
Menant les gars du village,
A travers la pluie noire des champs,
Tous derrière et lui devant.

 

Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage.
C’est alors qu’il était content,
Eux derrière et lui devant.

 

Mais un jour, dans le mauvais temps,
Un jour qu’il était si sage,
Il est mort par un éclair blanc,
Tous derrière et lui devant.

 

Il est mort sans voir le beau temps,
Qu’il avait donc du courage!
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant.

Merci Monsieur Brassens

Pour cette mise en musique….

CHOU BLANC
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« La poésie, c’est le sourire du langage »

RETRO :
C’est du même tabac…..

 
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