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MON MONDE BIZARRE: Le syndrome du gisant

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MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance

Une vie de tourments incessants….
Pensez au syndrome du gisant…!

Directement issu des théories de la psychogénéalogie, le syndrome du gisant serait un « trouble transgénérationnel », identifié par Salomon Sellam.

Le résultat des observations du psychothérapeute et ses conclusions sont présentés dans son livre « Le syndrome du Gisant… «  (dont la deuxième édition est parue en juin 2004).
Ce gisant serait selon lui un subtil enfant de remplacement ..,??
Bizarre….Bizarre…. ça mérite de descendre dans la tombe..!!!

Nous présentons ici une analyse de cette théorie qui est très contestée par d’autres qui font une mise en garde contre ce genre de thérapies…. vous trouverez les liens de leurs sites en fin d’article.

A l’origine un deuil pas fait chez votre ancêtre…..

 D’après Salomon Sellam, le syndrome du Gisant est la conséquence d’une mort injustifiée ou injustifiable, au sein d’une famille.
Le deuil étant impossible à faire par les personnes vivantes au moment du drame, leur douleur provoquerait une véritable « onde de choc » qui pourrait avoir des répercussions dans l’inconscient familial sur plusieurs générations.
Le psychothérapeute pense que la famille se chargera alors inconsciemment de combler le vide :
L’absent sera remplacé par un de ses descendants qui se devra de faire revivre le fantôme.

Hanté par son ancêtre, cet enfant de remplacement souffrira du syndrome du Gisant.

Le syndrome du gisant est une appellation que nous devons à l’ingéniosité du Dr Salomon Sellam. Quelqu’un peut donc être à son insu un « subtil enfant de remplacement ».
Il vient réparer des drames transgénérationnels  injustes, injustifiables, n’ayant à l’époque pour seule issue que le décès.

Gisant de Louis de Sancerre à la basilique Saint-Denis (1402) –

Ces décès inattendus, (entre autre la mort d’un enfant en bas âge par exemple) saisissant la famille à contre-pied et la plongeant dans le désarroi, restent imprimés dans l’inconscient collectif du clan.
Ils se transmettent en quelque sorte de génération en génération. Ils se cristallisent, se densifient au fil du temps, des années passées à souffrir, à garder le silence, le secret, les non-dits, croyant protéger les autres membres de la famille, ou soi-même. Ils véhiculent avec eux tous les sentiments de chagrin, tristesse, injustice, colère, désarroi …
Le deuil est impossible à faire car le décès n’est pas du tout accepté par les membres de la famille restant vivants, isolés, inconsolables, au moment du drame.

Tombe de Prospérie de Fleury, épouse de Bartholomé, 1887, Crépy en Valois, Oise

Tombe de Prospérie de Fleury, épouse de Bartholomé, 1887, Crépy en Valois, Oise

Puis un jour par l’intermédiaire d’un nouveau né, il y a tentative de réparation de l’injustice et celui-ci arrive alors pour « guérir le chagrin du clan et honorer le défunt ».

Bien évidemment tout ceci se déroule à notre insu, de façon totalement inconsciente.

Et nous nous trouvons alors face à des mémoires transgénérationnelles.

Dès qu’un deuil est impossible à faire ou « ressenti comme impossible à faire », il génère une source conflictuelle qui ne se tarie pas dans le temps mais qui au contraire s’intensifie au niveau de l’inconscient.
Le conscient a en charge lui, de refouler l’information pour continuer à vivre ou survivre. C’est pour cette raison que l’inconscient prend le relais, sans jamais rien oublier.
Il y a en quelque sorte, transmission dans les générations de cette incapacité à décharger la source conflictuelle.

Vous êtes cet enfant de remplacement ….  aïe aïe aïe…!

 Le dit « enfant de remplacement » appelé « gisant » jouera son rôle tant que le drame ne sera pas soldé et que la source conflictuelle ne sera pas tarie.

Il aura pour mission de « réparer cette injustice » en vivant sa vie mais aussi celle du défunt. Rapidement il sera confronté à des situations où paradoxalement il aura l’impression :
« de ne pas vivre sa vie »,
« de marcher à côté de ses pompes »,
« de louper ou de passer à côté de pleins de choses »,
« de ne pas être maître de ses choix »,
« de recommencer toujours les mêmes erreurs », etc…

Alors, s’il a déjà entendu parlé de la psychogénéalogie, il va se tourner vers elle trouver une solution à sa problématique !
Sinon, il pourra courir de thérapeute en thérapeute sans jamais vraiment en sortir et être totalement satisfait du résultat.

Attention au prénom que vous donnez..!

En psychogénéalogie, le choix des prénoms d’un enfant est souvent considéré comme révélateur d’une transmission familiale plus ou moins consciente.
Il peut s’agir du prénom d’un ancêtre décédé prématurément, Marcel par exemple qui sera modifié en Marcelin, ou que l’on aura pu féminiser pour la Gisante : Marcelle, Marcelline…
Les prénoms se terminant en -ine seraient des prénoms « contenants » comme Pauline, Géraldine, Clémentine, rappelant un défunt appelé Paul, Gérald, Clément.
D’autres prénoms pourraient être des combinaisons : Albert = Alain + Robert, Ariane = Anne + Marianne, etc.
Le Gisant récupérant alors les mémoires combinées de ses deux ancêtres, comme celui qui porterait un prénom composé.

Pour interpréter certains prénoms, Salomon Sellam utilise également les procédés homophoniques de ce que l’on appelle la langue des oiseaux.
Ainsi Gisèle signifierait « gis-en-elle », René = « re-naît », Dorothée serait « dort ôté », en souvenir d’un enfant mort, Sylvie = « S’il vit », Vivien = « Vie vient », témoignant de la volonté familiale de rappeler l’absent.

Aïe mes aïeux...!C’est à Anne Ancelin-Schutzenberger, cette femme exceptionnelle âgée aujourd’hui de 85 ans, que nous devons le terme de « psychogénéalogie » introduit vers 1980, ainsi que son développement en France. En systématisant l’utilisation du génosociogramme, elle propose une méthode de lecture des problèmes non résolus de nos ancêtres à travers le contexte familial, historique, économique, culturel, national et psycho-historique.
Montrant comment nous « payons les dettes » du passé de nos aïeux en intégrant leurs modèles selon une « loyauté invisible »…..
     Aïe mes aïeux..

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Seriez-vous un gisant sans le savoir…?

Un gisant est une personne conçue et née après le décès d’un aïeul dont la date de naissance, entre autre, correspond à une des dates (naissance, conception, décès) de cet aïeul. C’est aussi un enfant qui nait après un décès, une fausse couche, une IVG d’un enfant de sa fratrie.

 Les caractéristiques du gisant

Discours possibles :

  •        voix monocorde,
  •        état de tristesse latent,
  •        les bruits dérangent,
  •        avoir l’impression de ne pas vivre sa vie,
  •        avoir l’impression d’être à côté de ses pompes,
  •        avoir l’impression d’être deux,
  •        avoir l’impression d’avoir compris mais de répéter toujours le même scénario…

 Quelques positions de sommeil :

  •        sur le dos, les bras le long du corps,
  •        se couche et se réveille dans la même position,
  •        ronflement, bruxisme (grincement de dent),
  •        les bras en croix,
  •        une personne qui dort très souvent, ou qui fait des siestes de 2 heures très régulièrement…

 Pathologies possibles :

  •        les paralysies (naissance ou accidents),
  •        problèmes de mouvements,
  •        maladie de Parkinson
  •        sclérose en plaque,
  •        grands rhumatismes,
  •        polyarthrite rhumatoïde,
  •        grande insuffisance respiratoire (bouteille oxygène),
  •        aérophagie, flatulence, aérocolie,
  •        catatonie,
  •        rigidités physiques et/ou mentales,
  •        toutes les maladies psychiques et surtout la schizophrénie,
  •        hyperactivité, autisme…

Quelques tenues vestimentaires :

  •       s’habille toujours en noir (été comme hiver),
  •       couleur préférée : le noir, l’anthracite, le gris foncé,
  •       les gothiques…

Par rapport à la lumière :

  •        dort toujours dans le noir comme dans un cercueil,
  •        problèmes avec la lumière tel que la photophobie…

Par rapport au froid :

  •        a souvent froid,
  •        a les extrémités froides,
  •        syndrome de Raynaud,
  •        ischémie…

Quelques activités :

  •       sports extrêmes (saut à l’élastique, cascadeur, sport automobile) quand c’est une passion vécue à forte dose,
  •       les personnes qui visitent les cimetières et qui aiment cela…

Divers métiers :

  •        en rapport avec l’air (hauteur) : hôtesse de l’air,alpinistes, pilotes…
  •        en lien avec la mort : médecin légiste, anesthésiste, fossoyeur…
  •        en lien avec la mobilité du corps : ostéopathe, kiné…

SOURCES:  http://lesensdesmaux.fr

 Il y a les pour …. Il y a les contre

LE CHOURISTE

  …. Ceux qui contestent cette théorie

Ceux qui vont dans le même sens et soulagent des existences

ILS L’ONT DIT SUR LE NET

Les témoignages  de ces vécus et de ces « guérisons »


– Je vous l’avais déjà dit il va nous rendre dingue

 


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