Archives de catégorie : chou les tropiques

le carnet de voyages de nos auteurs et autres con tributeurs

Saint Bertrand de Comminges… Le régal du pélérin…!

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DE VOYAGES

de
Aubin CHOULESTROPIC

.
Parmi les potes âgés du potager municipal
Aubin CHOULESTROPIC a la passion des voyages …
Cette fois encore, nous lui avons arrosé ses salades et ses tomates pour qu’il parte assouvir sa passion….
Mais cette année, nous avons, en contrepartie, exigé qu’il alimente la rubrique voyages de l’été dans la Chouette….   Ambiance Ambiance…..

SAINT BERTRAND DE COMMINGES

-1 PARTIE : Jubé et stalles

 


Saint Bertrand de Comminges –    
        – Accéder au plan ? –

En approchant de la cathédrale Sainte Marie, on ne peut qu'admirer la masse de sa construction, qu'allège heureusement l'élancement de ses quatorze contreforts.

En approchant de la cathédrale Sainte Marie, on ne peut qu’admirer la masse de sa construction, qu’allège heureusement l’élancement de ses quatorze contreforts.
Parfaitement appareillés, ils s’amincissent en deux retraites et se terminent par des gâbles à double rampant amortis de pinacles fleuronnés. Avec le bloc pyramidal du clocher-donjon, les contreforts couronnent la montée des toits vers le sommet de la vieille cité, inscrivant la cathédrale dans un inoubliable paysage pyrénéen.

Le portail roman s'ouvre sous une profonde voussure à double archivolte retombant sur des piédroits à huit colonnes. La scène qui orne le tympan est une adoration des mages.

  Le portail roman

 Depuis le parvis le clocher-tour semble écraser le village.
Les hourds en bois, qui furent restaurés pour maintenir à l’ouvrage son caractère défensif, nous rappellent que la cathédrale jouait le rôle de donjon à l’époque féodale.
D’ailleurs, n’a-t-on pas comblé le fossé qui séparait son parvis des ruelles de la cité

Le portail roman s’ouvre sous une profonde voussure à double archivolte retombant sur des piédroits à huit colonnes.
La scène qui orne le tympan est une adoration des mages.

Il paraît tout à fait légitime de reconnaître saint Bertrand dans l’évêque, debout derrière la Vierge, qui nous accueille sur le seuil de sa cathédrale. Car les pèlerins, nous le savons, venaient ici avant tout rencontrer celui en qui ils plaçaient leur confiance. Ils venaient donc rendre visite au tombeau de saint Bertrand.

Au linteau, de façon plus classique, on peut voir les douze Apôtres.Au linteau, de façon plus classique, on peut voir les douze Apôtres.

Le jubé, par où entraient toutes les processions, a été conçu comme un arc de triomphe introduisant le croyant au ciel.Le  jubé

Le jubé, par où entraient toutes les processions, a été conçu comme un arc de triomphe introduisant le croyant au ciel.

Réalisées entre 1525 et 1535 à la demande de l’évêque Jean de Mauléon, les stalles de Saint Bertrand répondaient au besoin d’isoler les chanoines du flux des pèlerins.

Selon une pratique religieuse du Moyen-âge. Deux mondes coexistaient alors dans nombre d’églises : celui des clercs séparés des laïcs. Les premiers occupés à célébrer l’office; les seconds, communiant rarement, étaient surtout attirés par les dévotions rendues aux reliques.
Dans cette perspective, il ne choquait personne d’élever un chœur réservé aux chanoines qui maintenait les simples baptisés à la périphérie de l’espace sacré ainsi délimité.
Face à Luther et  la Réforme Protestante l’Église est en pleine crise. La papauté engagera à son tour l’Église dans une vaste réforme. Le concile de Trente qui se tient entre 1545 et 1563 définit de nouvelles règles liturgiques centrées sur l’eucharistie : désormais les fidèles devront assister à la messe.

Celui de droite sous le vocable de la Sainte Vierge était l’ancien autel de paroisse dont les panneaux sculptés lui servaient de retable. La niche centrale contient la Vierge et l'Enfant. A sa droite, on reconnaît saint Jean-Baptiste et, à sa gauche, sainte Geneviève tenant un cierge à la main.

Le dessous de sa tribune présente une voûte découpée en caissons que séparent des arcs retombant sur des consoles et des clefs de voûtes pendantes. Une série de 20 figurines (65 cm de hauteur) sous niches à coquilles anime la balustrade de la tribune. Cette petite cour céleste fait avoisiner les grands personnages et les saints populaires, avec leurs attributs

Sous le portique formé par la tribune du jubé, on avait prévu deux autels .
Celui de droite sous le vocable de la Sainte Vierge était l’ancien autel de paroisse dont les panneaux sculptés lui servaient de retable.
La niche centrale contient la Vierge et l’Enfant. A sa droite, on reconnaît saint Jean-Baptiste et, à sa gauche, sainte Geneviève tenant un cierge à la main.

Les panneaux de gauche subsistent eux aussi comme retable de l'autel disparu représentant saint Bertrand, saint Roch et saint Sébastien,Les panneaux de gauche subsistent eux aussi comme retable de l’autel disparu représentant  saint Bertrand, saint Roch et saint Sébastien,
La décoration porte la date de 1539 et présente un grand intérêt pour la connaissance des anciennes couleurs du retable majeur. Ces peintures restées intactes constituent de ce fait le seul témoignage sur ce que devait être l’harmonie colorée du chœur du XVIe siècle.

Dans la majorité des cas en France, on démolira les Jubés pour permettre aux fidèles d’apercevoir l’autel. À Saint Bertrand on gardera l’aménagement, en préférant créer en avant du jubé un espace liturgique adapté aux nouvelles normes : c’est l’autel de la paroisse qui, à l’entrée de la nef gothique, fait face à l’orgue.

L’orgue de Saint Bertrand JEAN PATRICE BROSSE -FANTAISIE sur l'orgue de saint bertrand de Comminges
             Musique d’ambiance                       
L'orgue de Saint-Bertrand est une des merveilles de la Gascogne

L’orgue de Saint-Bertrand est une des  merveilles de la Gascogne. Entrepris à la fin du chantier des stalles vers 1550, il subit de nombreux avatars au cours des siècles et sera restauré à partir de 1974 .
Cet instrument est actuellement un grand 16 pieds classique, avec 40 jeux sur trois claviers manuels et un pédalier.
Son buffet, en angle, repose sur des colonnes en chêne…. le plafond à caissons admirable est source de nombreux torticolis,le plafond à caissons admirable est source de nombreux torticolis,Son buffet, en angle, repose sur des colonnes en chêne....
Les stalles

Devant nous sont disposées sur deux niveaux les soixante-six stalles formant le chœur des chanoines: vingt-huit salles basses et trente-huit stalles hautes auxquelles on accède soit par les extrémités, soit par les coupées nord et sud.


Devant nous sont disposées sur deux niveaux les soixante-six stalles formant le chœur des chanoines: vingt-huit salles basses et trente-huit stalles hautes auxquelles on accède soit par les extrémités, soit par les coupées nord et sud.

Dans la mesure où l’on recherche ici une iconographie consciente et organisée on pourrait dire que les dossiers des stalles hautes développent une sorte d’histoire de la Rédemption. Ceux de droite seraient consacrés au combat contre le péché ou au triomphe des Vertus. Ceux de gauche, à l’histoire du Salut.
A droite en entrant, se trouve la stalle du doyen ou de l’évêque lorsqu’il ne présidait pas au trône épiscopal.
A droite en entrant, se trouve la stalle du doyen ou de l’évêque lorsqu’il ne présidait pas au trône épiscopal.

Aujourd’hui, l’amateur d’art se plaît à détailler chaque stalle, de chaque miséricorde en admirant le fin travail de marqueterie; et  l’exubérance de certaines sculptures  … il ne doit pas en oublier pour autant que cette riche iconographie était destinée, avant tout, à  donner un enseignement religieux.

L'essentiel de la verve décorative des artistes semble s'être concentré tout spécialement dans la sculptureMais l’essentiel de la verve décorative des artistes semble s’être concentré tout spécialement dans la sculpture Ils ont mélangé dans la plus vive fantaisie les animaux fabuleux ou mythologiques, les êtres humains dans leurs formes les plus caricaturales, retrouvant, par-dessus la sculpture gothique, la meilleure veine créatrice de l’art roman réinterprétée en termes italianisants de la Renaissance

Il faut des heures pour découvrir l’œuvre des mains anonymes qui travaillèrent ici. Maniant ciseaux à bois et maillets pour réaliser, jusque dans le moindre détail, personnages, animaux, feuillages, décors les plus divers…ces mains avaient un sens inné du volume.

Mettant leur savoir-faire au service de la Foi chrétienne, elles nous ont légué un merveilleux livre d’images qui fut un média essentiel de la transmission de la foi pendant plusieurs siècles.
Mettant leur savoir-faire au service de la Foi chrétienne, elles nous ont légué un merveilleux livre d’images qui fut un média essentiel de la transmission de la foi pendant plusieurs siècles.

Ne projetons pas nos préoccupations sur leurs œuvres et ne leur attribuons pas nos phantasmes qui ne sont que les fruits de nos angoisses ou de nos refus à accepter que le Christ demeure, aujourd’hui encore, Le chemin, La vérité et La vie.

Laissons-nous, au contraire, évangéliser par la beauté qu’elles produisent encore aujourd’hui.

 Source (site – Saint Bertrand de Comminges) Photos : (CHOU BLANC pour la Chouette)

barre verte

AUBIN CHOULESTROPIC1
Aubin CHOULESTROPIC

JEUDI 2 ème partie :
Le cloitre et les extérieurs
Accéder à la deuxième partie  
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LE SECRET DE LA GRANDE PYRAMIDE

MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau….avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance

LE SECRET DE LA GRANDE PYRAMIDE

Après l’énigme de Nazca, vivez l’émotion de la découverte ….. tandis que des archéologues lèvent le voile de mystère qui entoure les imposantes pyramides Égypte depuis 45 siècles !

Êtes-vous prêts pour la plus grande découverte archéologique de tous les temps, c’est-à-dire la découverte d’une chambre inviolée à l’intérieur de la grande pyramide.
Tombeau ou pas, songez un instant à ce que la présence d’une telle chambre pourrait nous apporter au niveau des connaissances sur ceux qui ont bâti cette pyramide.
Rien que la présence d’un simple morceau de bois permettrait de la dater au carbone 14.

Le but de cette vidéo est de vous démontrer que cette chambre existe bel et bien et de vous en donner sa localisation précise.
Ensuite, l’avenir n’est pas écrit mais c’est du ressort des égyptologues de pénétrer dans cette chambre et d’en révéler ses secrets à l’humanité toute entière.

– Je vous l’avais déjà dit il va nous rendre dingue……!!!


NOS ARTICLES SUR L’ÉGYPTE

 https://mafeuilledechou.fr/2019/07/30/legypte-est-elle-le-pays-qui-compte-le-plus-de-pyramides/

https://mafeuilledechou.fr/2018/12/16/egypte-le-scribe-au-regard-de-braise

https://mafeuilledechou.fr/2016/11/02/journee-des-defunts-le-livre-des-morts-de-legypte-ancienne

https://mafeuilledechou.fr/2020/07/08/chou-dieu-de-lair-egyptien-tempete

https://mafeuilledechou.fr/2018/07/30/une-larme-de-re-crea-labeille-depuis-les-mures-ont-des-abeilles-et-nous-du-miel

https://mafeuilledechou.fr/2017/06/14/thot-dieu-egyptien-des-scribes-et-de-lecriture

https://mafeuilledechou.fr/2017/03/27/protection-loujdat-oeil-dhorus

https://mafeuilledechou.fr/2016/11/29/la-musique-la-plus-ancienne-a-3400-ans

https://mafeuilledechou.fr/2016/02/06/ils-ont-joue-avec-les-trompettes-de-toutankhamon

https://mafeuilledechou.fr/2013/09/30/l-art-et-la-palette-au-chou-egyptologie-la-dame-de-kemet



R
ETRO : C’est du même tabac…..retour sur la rubrique du même tabac

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Dame CARCAS: Légende sur Carcassonne !

CARNET DE VOYAGE
par Machanada

 ——— Nos découvertes de l’été  ———

LA CITE DE CARCASSONNE MISE AU POINT :
Sur dernier article sur Carcassonne          

Merci à René, un carcassonnais  qui par son interactivité; et son commentaire à Machanada lui  impose qu’elle nous parle de la légende de DAME CARCAS qui aurait donné son nom à la cité de CARCASSONNE …. et voici comment……


Buste de la dame Carcas devant la porte narbonnaiseLA LÉGENDE DE DAME CARCAS
 

Cette légende donne une explication au nom de la Cité de Carcassonne.

Elle remonte à l’époque de l’occupation de la Cité par les Sarrasins, alors que Charlemagne et son armée, aux portes de la Cité, tentaient de les en chasser.

Une princesse était à la tête des chevaliers de la Cité après la mort de son mari. Il s’agit de la Princesse Carcas.

Le siège dura 5 ans. Mais au début de la sixième année, la nourriture et l’eau se faisaient de plus en plus rares. Dame Carcas voulut faire l’inventaire de toutes les réserves qu’il restait. Les villageois lui amenèrent un porc et un sac de blé. Elle eut alors l’idée de nourrir le porc avec le sac de blé puis de le précipiter depuis la plus haute tour de la Cité au pied des remparts extérieurs.Charlemagne et ses hommes, croyant que la Cité débordait encore de vivres au point de gaspiller un porc nourri au blé, leva le siège.

Voyant l’armée de Charlemagne quitter la plaine devant la Cité, Dame Carcas remplie de joie par la victoire de son stratagème décida de faire sonner toutes les cloches de la ville. Un des hommes de Charlemagne s’écria alors « Carcas sonne ! », d’où le nom de la Cité.

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteursDame Carcas est un personnage purement imaginaire. La légende qui remonte au XIIe siècle, fut écrite au XVIe par Jean Dupré et reprise au XVIIe siècle par Guillaume Besse et Guillaume Catel. Charlemagne n’a pas fait le siège de Carcassonne, son père Pépin le Bref l’ayant déjà prise aux Sarrasins en 759.)…
Merci qui…… Wiki ……..non pas moi …WIKIPEDIA !

Vous nous avez demandé plus d’infos sur Carcassonne les voici:
Pour aller plus loin : En savoir plus     En savoir encore plus     être TOP

Marie Charlotte de retour du CanadaMACHANADA (A bientôt-  Pour lire mon dernier carnet de voyage…!)
la fête de aint jean fête nationale du Quebec


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La collégiale de Saint Gaudens

Compléments alimentaires Ruedesplantes


— VOS  DÉCOUVERTES  POUR CET  ÉTÉ —

La collégiale Saint-Pierre et Saint-Gaudens
Par Chou blanc

 La collégiale Saint-Pierre et Saint-Gaudens

La collégiale Saint-Pierre et Saint-Gaudens est l’église principale de la ville de Saint-Gaudens (Haute-Garonne). C’est un des édifices représentatifs de l’art roman dans cette région. Il est composé d’une nef centrale à cinq travées et de bas côtés surmontés de tribunes voûtées en demi berceau. Le chœur est remarquable; 

L’histoire de Saint Gaudens

Gaudens, jeune berger de 13 ans est persécuté vers le Ve siècle. Ses reliques font très rapidement l’objet d’un culte local et la cité primitive du Mas-Saint-Pierre prend le nom de Saint Gaudens au VIIe siècle.
Une collégiale est alors fondée.
La ville occupe une position d’importance à l’occasion des croisades anti-cathares du début du XIIIe siècle, en accueillant à plusieurs reprises Simon de Montfort.
Le pape Clément V, ancien évêque de Saint Bertrand de Comminges, apporte son soutien au chapitre de Saint Gaudens par sa visite du 13 janvier 1309.
La collégiale souffre des turpitudes des Guerres de Religions au XVIe siècle. Les protestants dévastent la cité en 1569. Les reliques de Saint Gaudens sont alors mises en lieu sûr dans l’église voisine de Mondavezan. Ce n’est que près d’un siècle plus tard que les reliques reviennent à Saint Gaudens, le 30 août 1661.

 

cliquez pour agrandir

Les extérieurs de la collégiale
On pénètre dans la collégiale par un portail gothique situé sur la façade nord.
La façade occidentale est dominée par le clocher à base carrée, percé de baies cintrées géminées

COLLÉGIALE … COLLÉGIALE     QUES A QUO? Explications….
« Vous êtes peut être des puits de science… Mais moi, c’est pas le cas,  je suis tombé dedans quand j’étais petit et je suis noyé depuis…!
D’autant, que je mesure toujours 1m 63 …  jusqu’à quand …? ( avec l’âge je me tasse et je rétrécie…. c’est pour cela que je ne prends plus qu’une douche sur deux…comme ça je n’ai plus qu’une douche à mourir)
je disais donc Wikipédiatre est là….. grâce à Wikipédia, pour venir en aide à tous les petits moribonds hérissons on va y arriver OUI…! …. Les petits nourrissons…. AH quand même NON mais…!
 »

Une collégiale est une église qui a été confiée à un collège de clercs ou chapitre collégial, c’est-à-dire à une réunion de chanoines (de nombre variable selon les lieux) qui se tient ailleurs qu’au siège épiscopal.

Un chanoine (du latin canonicus: règle; et du grec ancien (kanôn), la règle) est un membre du clergé attaché au service d’une église. Au Haut Moyen Âge, le mot pouvait désigner certains membres du personnel laïc des églises. Aujourd’hui, il existe des chanoines religieux (séculiers ou réguliers), des chanoines laïcs et des femmes religieuses régulières (chanoinesses).
le chapitre d’un ordre monastique est l’assemblée des religieux,

abside et absidioles- cliquez pour agrandirL’abside est divisée horizontalement en deux par une frise de billettes. Les lésènes qui scandent la partie basse sont prolongées par des colonnes engagées dans la partie supérieure. Cette dernière est percée de baies cintrées.
Les deux absidioles sont couronnées par une frise de redents soutenue par des billettes qui sépare le choeur et l’abside.

« Purée…. C’est pas un puits de science ce mec… c’est un gouffre
Là, il m’enterre…. Enfin façon de parler…!
Re-bonjour Wikipédia

Billettes : éléments décoratifs constitués de tronçons de tores assemblés en damier.
Lésène : pilastre plat en légère saillie à l’extérieur de l’édifice, sans base ni chapiteau.
Geminé : fenêtres, arcades, colonnes groupées par deux sans être en contact (souvent séparés par une mince colonne)

TOURELLE -CLIQUEZ POUR AGRANDIRLe chevet est dominé au sud et au nord par des tourelles percées de baies cintrées.

Trois fenêtres cintrées sont également percées dans le mur.

le cloitre l'église et son clocher -cliquez pour agrandir

Le cloître du 12 ème siècle est adossé au côté sud de l’église; il fut démoli en 1807, et reconstitué au 14 ème siècle

Dans le coin nord-ouest un bas-relief représente la tentation du Christ.

La galerie sud a été détruite. La galerie orientale est gothique.

Les galeries ouest et nord sont romanes. Dans la galerie ouest on trouve essentiellement des chapiteaux végétaux.

le chapiteau en bas à gauche représente les apotres CLIQUEZ POUR AGRANDIRDans les galeries on voit quelques chapiteaux historiés (Abel et Caïn, les apôtres, le péché originel). Les arcades cintrées reposent sur des colonnes géminées. Les galeries sont couvertes d’une charpente.
Parmi les chapiteaux de la galerie nord, figure celui des apôtres avec Saint Pierre au centre

L’’intérieur de la collégiale

Le choeœur comporte deux travées droites dotées de tribunes qui s’ouvrent par des baies géminées. Il n’y a pas de réelle discontinuité entre la nef et le chœur, notamment dans le voûtement.

Entre la nef et le chœoeur, on trouve de superbes chapiteaux végétaux et animaux

L’abside, voûtée en cul-de-four, est éclairée par trois baies cintrées.

Elle est surmontée d’une espèce de tribune

Deux absidioles, elles aussi voûtées en cul-de-four, entourent l’abside principale.

La collégiale Saint-Pierre et Saint-Gaudens c’est une étape incontournable avant d’atteindre Saint Bertrand de Comminges tout proche.

SOURCE : Architecture.relig.free.fr – Wikipédia – Photos chou blanc pour la CHOUETTE

Chou blanc a déjà publié en deux volets son carnet de voyage sur  Saint Bertrand de Comminges

Saint Bertrand-de-comminges-le-regal-du-pelerin
Saint-Bertrand-de-comminges-le-cloitre-du-pelerin


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