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CHOUCINÉ: Un film pour couple âgé…LE CHAT…..- JEAN GABIN – SIMONE SIGNORET


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C’EST LA SEMAINE DU CHAT…

BONJOUR LES SOURIS…!
 

 

CHOUCHINÉ CLUB

Chouchiné club, c’est la rubrique ciné-club… Pour laquelle, je vais régulièrement chiner des films cultes du cinéma.
J’espère vous redonner l’ambiance des salles obscures, le gout des Mikos… sans le bruit des Mentos qui sortent de leurs rouleaux et des becos… du dernier rang….!

AVRIL 1971 :   SORTIE DU FILM : LE CHAT

    Titre : Le Chat

Le Chat est un film franco-italien réalisé par Pierre Granier-Deferre d’après un roman de Georges Simenon, et sorti en 1971.

Réalisation: Pierre Granier-Deferre Scénario: Pierre Granier-Deferre, Pascal Jardin,
Dialogue : Pascal Jardin    DISTRIBUTION:
jean Gabin :           Julien Bouin

Simone Signoret : Clémence Bouin

Annie Cordy :        Nelly, la patronne de l’hôtel Floride

« – Je t’aimais et maintenant je ne t’aime plus … voilà tout… »

La bande annonce

L’HISTOIRE
Un couple de retraités, les Bouin, habite dans une banlieue parisienne en plein bouleversement par les travaux d’urbanisme moderne : lui, ancien ouvrier typographe ; elle, ancienne trapéziste de cirque dont la carrière s’est terminée trop tôt en raison d’une chute lors d’un spectacle.
Ils n’ont jamais eu d’enfants.
Après 25 ans de mariage, leurs sentiments se sont désagrégés avec le temps et ils vivent maintenant un huis-clos dans leur pavillon, dans une atmosphère pesante et une cohabitation désormais plus forcée que souhaitée, bien que ni l’un ni l’autre ne désire quitter la maison.
Lorsque le mari recueille un chat auquel il voue toute son affection, la jalousie de l’épouse devient de la haine, atteint un paroxysme et c’est désormais une guerre silencieuse, âpre et implacable qui se joue autour de ce chat.

LA DISPUTE (EXTRAIT)


Deux monstres sacrés que vous pouvez revoir sur la
VOD (Vidéo à la demande).   Pensez y….

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CHOU FLEUR

RETRO : C’est du même tabac…..

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La trotte menu


Vos poèmes, vos chansons préférées …


PERE GUISSET  1920 – 2000logo poésie small

– Des livres à nous signaler, vos impressions sur ceux que vous avez lus, et que vous voulez nous conseiller…. Ou tout simplement comme aujourd’hui vos petits poèmes à nous faire partager
Pensez à nos potes âgés qui n’ont pas de jardin et cultivent leur esprit…!
AUJOURD’HUI DÉCOUVRONS:  « LA TROTTE MENU »

LA TROTTE MENU

Nicolaes Maes - Vieille femme

LA TROTTE MENU

A la porte d’à côté,
Sur mon palier,
La dame vit et a toujours vécu,
La vieille dame, la dame de noir vêtue !
Fanée, ridée et toute menue,
Elle va comme une souris,
A petits pas et sans bruit !
Elle prie souvent le bon dieu,
Cette dame qui parle très peu,
Mais qui sourit beaucoup,
Nous l’appelons entre nous.

Refrain

On l’appelle Trotte-menu,
La dame en noir vêtue !
C’est une vraie petite souris,
Qui erre seule dans la vie !
Malmenée par le Destin ,
Elle a toujours vécu dans le chagrin !
La guerre lui a pris son mari,
Toujours en deuil depuis,
Trotte-menu, trotte-menu
Est toujours en noir vêtue !

Le dimanche à la messe,
Et à confesse,
La dame va sans faute tous les mois,
Cette vieille dame toujours en noir vêtue !
Toute ridée et toute menue !
Elle vit, elle vit sa vie,
A tous petits pas et sans bruit !
Elle confie sa vie à Dieu,
Cette dame parlant très très peu !
Mais qui sourit beaucoup,
Nous l’appelons entre nous.

Refrain

On l’appelle Trotte-menu,
La dame en noir vêtue !
C’est une vraie petite souris,
Qui erre seule dans la vie !
Malmenée par le Destin ,
Elle a toujours vécu dans le chagrin !
La guerre lui a pris son mari,
Toujours en deuil depuis,
Trotte-menu, trotte-menu
Est toujours en noir vêtue !

       Pere Guisset
Le 20/09/2000

Chou Blanc est effectivement magnétiseur  Chou blanc
                                                            

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MAMY KT : La communion de la grive



BLOG
de MAMY KT


Les contes de la Vierge - Grive– Mamy ne fait pas que du point de croix

Elle est là aujourd’hui
raconter une histoire
de première communion….
La communion d’une grive…????

L’Eucharistie, ou la Communion est la source et le sommet de toute vie chrétienne. Communier est le fait de recevoir le corps du Christ présent sous l’apparence du pain et du vin consacrés au cours de la messe.
L’HOSTIE
Le mot « Eucharistie » veut dire « Action de grâce » remerciement pour le don reçu ; Jésus avait rendu grâce sur le pain et le vin au cours de son dernier repas avec ses apôtres à la veille de sa Pâque, et ce mot en est venu à désigner ce repas lui-même, le « Repas du Seigneur ».

La communion de la grive


Je veux vous conter un miracle, qui me fut conté à moi-même par un vieux prêtre, ami de saint François d’Assise, auquel l’histoire est arrivée.

Un matin de Noël, alors qu’il était jeune encore et vicaire à Saint-Thomas‑d’Aquin, il se demanda, en s’éveillant, quelle bonne action il pourrait faire pour sanctifier cette journée. Et tout de suite s’offrit à ses yeux une maison sordide, que la pioche des démolisseurs aurait dû depuis longtemps jeter bas, mais qui, par un défi à l’urbanisme et à l’hygiène, s’obstinait à rester debout au milieu des bâtisses neuves qui l’étouffaient de toutes parts.

Là vivait sous les toits, au fond d’un long couloir obscur, une vieille impotente, qu’il visitait de temps en temps pour lui porter la communion. Prisonnière dans sa chambre, sans parents, sans amis, elle n’avait d’autre distraction qu’un oiseau de l’espèce qu’on appelle grive musicienne, et qu’elle chérissait tendrement.
« Que deviendrais-je, monsieur l’abbé, disait-elle chaque fois que le vicaire venait la voir, si je ne l’avais pas ! C’est mon petit ami, c’est mon ange gardien ! »
La porte de la cage était toujours ouverte, et l’ange gardien voletait ici et là, en liberté.

Mais pour aller chez cette bonne femme, il fallait monter quatre étages d’un infect escalier, où d’horribles odeurs se succédaient, sans se mêler, comme autant de barrages, dont le dernier semblait encore plus immonde que celui qu’on venait de traverser.

Grimper cet escalier quand on était à jeun (et c’était le cas du vicaire lorsqu’il allait accomplir son office), rien que cette idée-là lui mettait le cœur sur les lèvres.
« J’ai tant de choses à faire ce matin ! » se dit-il à lui-même pour se donner une raison de remettre à plus tard la bonne inspiration qui lui était venue tout à l’heure. Mais chassant aussitôt sa mauvaise pensée, dès qu’il eut dit sa messe, il quitta la sacristie, emportant avec lui ce qui lui était nécessaire pour communier la paroissienne à l’oiseau.

Au bas de l’escalier, les infectes odeurs l’attendaient, et dans l’humide et glaciale obscurité qu’éclairaient mal, même en plein jour, des papillons de gaz, elles l’accompagnèrent jusqu’au dernier étage. La tête commençait à lui tourner quand il frappa à la porte de la vieille.

Paul Cezanne - la Vieille au chapelet
La Vieille au chapelet – Paul Cézanne

– Entrez, monsieur l’abbé ! cria-t-elle, car elle l’espérait ce jour-là, et l’avait reconnu rien qu’à sa manière de frapper.

Après avoir échangé sur le temps, leur santé et celle de l’oiseau, les propos dont ils avaient l’habitude, le vicaire la confessa, ce qui prit plus de temps qu’on aurait pu l’imaginer, étant donnée sa vie recluse. Mais ceux qui vivent seuls finissent par avoir une adresse incroyable à se faire des scrupules à propos de tout et de rien. « Encore si cette virtuosité, se disait à part lui l’abbé (tout en se reprochant cette réflexion un peu frivole), encore si cette virtuosité avait quelque intérêt ! Mais il faut bien avouer qu’il y a des péchés intéressants et d’autres qui ne le sont guère, et malheureusement, les pécheurs les plus bavards sont ceux qui n’ont rien à vous dire… »

Cependant, de faute en faute, de crime en crime, et de fil en aiguille, la bonne vieille étant arrivée au bout de son rouleau, le vicaire se mit en devoir de lui donner la communion.

Elle était devant lui, assise sur sa chaise, car elle ne pouvait s’agenouiller, et déjà le vicaire lui posait l’hostie sur la langue en prononçant les paroles rituelles, quand tout à coup la grive, qui jusque-là s’était tenue tranquille dans un coin de la pièce, se jeta d’une aile rapide sur le pain consacré, en prit un morceau dans son bec et revint se poser sur sa cage.

Les contes de la Vierge - Grive– Jésus-Marie ! cria la vieille en manquant s’étrangler avec le reste de l’hostie. Elle a mangé le corps de Dieu !

Et oubliant du coup sa tendresse pour la pauvre bestiole :

– Il faut la tuer, monsieur l’abbé ! Il faut la tuer !

– La tuer ! Y pensez-vous ! répondit le vicaire. Tuer cette pauvre bête du bon Dieu juste au moment où elle vient de voler vers son Créateur et de faire sa première communion !

Et jetant les yeux sur la cage que la concierge, qui rendait de menus soins à la paralytique, avait sans doute oublié de garnir ce matin :

– Cette bête a faim, reprit-il. Après ce festin spirituel, donnons-lui quelque nourriture terrestre… Je vais et je reviens.

Il sortit, et reparut quelques instants plus tard, avec du mil, du chènevis et quelques feuilles de salade.

– Et voilà le miracle ! ajoutait-il en finissant. Ni ce jour-là, ni jamais plus, je n’ai senti l’odeur de l’escalier.


– Les oiseaux venant du ciel sont les messagers de Dieu

  SOURCES : Auteur : Tharaud, Jérôme et Jean

MAMY KT

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RETRAITE : A toutes les ampoules âgées


hypnose-002ba.jpgChoucaline plus proche de toi tumeurbloc note choucalineBLOC  NOTE
de Choucaline

CHOULAGER :  Les Capacités de notre cerveau et de ses pensées positives »

Les leçons de vie arrivent à tous les âges
Voici une petite histoire à méditer

Un cadre supérieur a pris sa retraite et a quitté son somptueux quartier officiel pour s’installer dans une résidence de logements pour personnes âgées , où il possède un appartement.
Il se considérait comme très important et ne parlait jamais à personne.
Même lorsqu’il se promenait chaque soir dans le parc de la résidence , il ignorait les autres, les regardant avec mépris.
Un jour, il s’est avéré qu’une personne âgée assise à côté de lui a entamé une conversation, et ils ont continué à se rencontrer.
Chaque conversation était en réalité un monologue, le cadre retraité ressassait continuellement son sujet favori.
« Personne ne peut imaginer le poste important et la position élevée que j’occupais avant ma retraite « , et ainsi de suite, et l’autre personne âgée l’écoutait tranquillement.
Après plusieurs jours, lorsque le cadre retraité s’est enquis de la situation des autres pensionnaires, l’auditeur âgé s’est permis de lui dire :
« Après la retraite, nous sommes tous comme des ampoules grillées. »
Peu importe la puissance d’une ampoule, la quantité de lumière ou de scintillement qu’elle donnait, après elle est grillée.
Il poursuivit :
« Je vis dans cette résidence depuis 5 ans et je n’ai dit à personne que j’ai été membre du Parlement pendant deux mandats.

Le monsieur à votre droite a pris sa retraite en tant que directeur général des chemins de fer .
Celui qui est assis là-bas était général de division dans l’armée.
Cette personne assise sur le banc en robe blanche immaculée était le PDG d’une grande entreprise avant sa retraite.
Il ne l’a révélé à personne, pas même à moi, mais je le sais.
Toutes les ampoules sont maintenant les mêmes – quel que soit leur voltage 40, 60, 100 watts – cela n’a plus d’importance.
Le type d’ampoule qu’elle était avant d’être grillée n’a pas non plus d’importance – LED, CFL, halogène, incandescente, fluorescente ou décorative.
Et cela, mon ami, s’applique à vous aussi.

– Le jour où vous comprendrez cela, vous trouverez la paix et la tranquillité … Même ici .
Le soleil levant ainsi que le soleil couchant sont tous deux beaux et adorables.
Mais, en réalité, le soleil levant a plus d’importance , et est même vénéré, alors que le soleil couchant ne reçoit pas la même révérence.
Il vaut mieux le comprendre tôt que tard ».

– Notre désignation, notre titre et notre pouvoir dans ce monde ne sont pas permanents, immuables.
Garder beaucoup d’émotions avec ces choses ne fait que nous compliquer la vie lorsque nous les perdons un jour.
Rappelez-vous que lorsque le jeu d’échec est terminé, le roi et le pion retournent dans la même boîte
Profitez de ce que vous avez aujourd’hui, vivez le moment présent….
À la fin de cette journée terrestre, tous ces certificats et titres pompeux seront remplacés par un seul : le certificat de décès

source   Vie des Mots – Pensées, Citations et Réflexions

   Et qu’il vous soit clair ou non, l’univers se déroule sans doute comme il le devrait.
Soyez en paix avec Dieu, quelle que soit votre conception de lui, et quels que soient vos travaux et vos rêves, gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la  paix dans votre âme
.
Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau.
Prenez attention. Tâchez d’être heureux.

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RETRO :
C’est du même tabac…..

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