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MAMY KT : La communion de la grive



BLOG
de MAMY KT


Les contes de la Vierge - Grive– Mamy ne fait pas que du point de croix

Elle est là aujourd’hui
raconter une histoire
de première communion….
La communion d’une grive…????

L’Eucharistie, ou la Communion est la source et le sommet de toute vie chrétienne. Communier est le fait de recevoir le corps du Christ présent sous l’apparence du pain et du vin consacrés au cours de la messe.
L’HOSTIE
Le mot « Eucharistie » veut dire « Action de grâce » remerciement pour le don reçu ; Jésus avait rendu grâce sur le pain et le vin au cours de son dernier repas avec ses apôtres à la veille de sa Pâque, et ce mot en est venu à désigner ce repas lui-même, le « Repas du Seigneur ».

La communion de la grive


Je veux vous conter un miracle, qui me fut conté à moi-même par un vieux prêtre, ami de saint François d’Assise, auquel l’histoire est arrivée.

Un matin de Noël, alors qu’il était jeune encore et vicaire à Saint-Thomas‑d’Aquin, il se demanda, en s’éveillant, quelle bonne action il pourrait faire pour sanctifier cette journée. Et tout de suite s’offrit à ses yeux une maison sordide, que la pioche des démolisseurs aurait dû depuis longtemps jeter bas, mais qui, par un défi à l’urbanisme et à l’hygiène, s’obstinait à rester debout au milieu des bâtisses neuves qui l’étouffaient de toutes parts.

Là vivait sous les toits, au fond d’un long couloir obscur, une vieille impotente, qu’il visitait de temps en temps pour lui porter la communion. Prisonnière dans sa chambre, sans parents, sans amis, elle n’avait d’autre distraction qu’un oiseau de l’espèce qu’on appelle grive musicienne, et qu’elle chérissait tendrement.
« Que deviendrais-je, monsieur l’abbé, disait-elle chaque fois que le vicaire venait la voir, si je ne l’avais pas ! C’est mon petit ami, c’est mon ange gardien ! »
La porte de la cage était toujours ouverte, et l’ange gardien voletait ici et là, en liberté.

Mais pour aller chez cette bonne femme, il fallait monter quatre étages d’un infect escalier, où d’horribles odeurs se succédaient, sans se mêler, comme autant de barrages, dont le dernier semblait encore plus immonde que celui qu’on venait de traverser.

Grimper cet escalier quand on était à jeun (et c’était le cas du vicaire lorsqu’il allait accomplir son office), rien que cette idée-là lui mettait le cœur sur les lèvres.
« J’ai tant de choses à faire ce matin ! » se dit-il à lui-même pour se donner une raison de remettre à plus tard la bonne inspiration qui lui était venue tout à l’heure. Mais chassant aussitôt sa mauvaise pensée, dès qu’il eut dit sa messe, il quitta la sacristie, emportant avec lui ce qui lui était nécessaire pour communier la paroissienne à l’oiseau.

Au bas de l’escalier, les infectes odeurs l’attendaient, et dans l’humide et glaciale obscurité qu’éclairaient mal, même en plein jour, des papillons de gaz, elles l’accompagnèrent jusqu’au dernier étage. La tête commençait à lui tourner quand il frappa à la porte de la vieille.

Paul Cezanne - la Vieille au chapelet
La Vieille au chapelet – Paul Cézanne

– Entrez, monsieur l’abbé ! cria-t-elle, car elle l’espérait ce jour-là, et l’avait reconnu rien qu’à sa manière de frapper.

Après avoir échangé sur le temps, leur santé et celle de l’oiseau, les propos dont ils avaient l’habitude, le vicaire la confessa, ce qui prit plus de temps qu’on aurait pu l’imaginer, étant donnée sa vie recluse. Mais ceux qui vivent seuls finissent par avoir une adresse incroyable à se faire des scrupules à propos de tout et de rien. « Encore si cette virtuosité, se disait à part lui l’abbé (tout en se reprochant cette réflexion un peu frivole), encore si cette virtuosité avait quelque intérêt ! Mais il faut bien avouer qu’il y a des péchés intéressants et d’autres qui ne le sont guère, et malheureusement, les pécheurs les plus bavards sont ceux qui n’ont rien à vous dire… »

Cependant, de faute en faute, de crime en crime, et de fil en aiguille, la bonne vieille étant arrivée au bout de son rouleau, le vicaire se mit en devoir de lui donner la communion.

Elle était devant lui, assise sur sa chaise, car elle ne pouvait s’agenouiller, et déjà le vicaire lui posait l’hostie sur la langue en prononçant les paroles rituelles, quand tout à coup la grive, qui jusque-là s’était tenue tranquille dans un coin de la pièce, se jeta d’une aile rapide sur le pain consacré, en prit un morceau dans son bec et revint se poser sur sa cage.

Les contes de la Vierge - Grive– Jésus-Marie ! cria la vieille en manquant s’étrangler avec le reste de l’hostie. Elle a mangé le corps de Dieu !

Et oubliant du coup sa tendresse pour la pauvre bestiole :

– Il faut la tuer, monsieur l’abbé ! Il faut la tuer !

– La tuer ! Y pensez-vous ! répondit le vicaire. Tuer cette pauvre bête du bon Dieu juste au moment où elle vient de voler vers son Créateur et de faire sa première communion !

Et jetant les yeux sur la cage que la concierge, qui rendait de menus soins à la paralytique, avait sans doute oublié de garnir ce matin :

– Cette bête a faim, reprit-il. Après ce festin spirituel, donnons-lui quelque nourriture terrestre… Je vais et je reviens.

Il sortit, et reparut quelques instants plus tard, avec du mil, du chènevis et quelques feuilles de salade.

– Et voilà le miracle ! ajoutait-il en finissant. Ni ce jour-là, ni jamais plus, je n’ai senti l’odeur de l’escalier.


– Les oiseaux venant du ciel sont les messagers de Dieu

  SOURCES : Auteur : Tharaud, Jérôme et Jean

MAMY KT

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Mémoire de Nounours

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BLOC NOTE VERT

par Chou vert

MÉMOIRE DE NOUNOURS

 

 

Musique chaude d’ambiance

Aussi loin que je me souvienne, les étés dans le midi ont été chauds, et l’on vivait tard la nuit pour trouver la fraicheur que semblait nous voler le diable dans les journées torrides.
Vous verrez que dans la mémoire de mon NOUNOURS, les nuits étaient parfois torrides et le diable fort occupé à maintenir quand même la chaudière en pression…!

Dans ces nuits chaudes, mon NOUNOURS et moi avions de la peine à trouver le sommeil, surtout le samedi soir, où mon père allait faire son concours de pétanque….! Ces soirs là, nous avions encore plus de difficultés à trouver le sommeil, car son absence créait un vide inconsciemment inquiétant.
Pour ceux qui ne sont pas du midi les pooovres, je dois à leur ignorance la différence qu’il y a entre la partie de pétanque nocturne et le concours.
– La partie se fait entre amis et l’on en connaît la fin avec précision, car comme on est entre amis, l’on décide de la fin de la plaisanterie ensemble, soit entre onze heures et minuit au plus tard.
– Le concours lui, c’est autre chose, l’esprit de compétition s’en mêle et les parties âprement disputées peuvent conduire les finalistes jusqu’à une heure avancée de la nuit.
Il faut dire que mon père et ses deux acolytes….. Je devrais plutôt dire deux alcooliques; étaient plutôt des bons…. et des habitués des finales.

Cette page documentaire faite, je dois vous dire qu’il y a des jours sans, où tout va mal… ! Où vous embrassez même le derrière de Fanny avec une seule envie, partir loin de cette infâme concours perdu pour remplacer le derrière de Fanny par celui de votre femme.
Wikipédiatre vous en dit plusPour ceux qui ne savent pas qui est Fanny et ne connaissent pas cette légende: lire svp  FANNY  la voir enfin son anatomie
Et pour le mooossiiueuuur je sais tout, je te conseille de lire…… car l’origine est d’un village de Savoie …et pas du midi ? AH et toc carreau sur place…!

C’est donc un samedi de défaite, qui tient lieu de cadre à l’aventure de mon NOUNOURS.
Nous savons lui et moi, qu’il y a concours ce jour là, et le fait d’entendre un bruit de porte, nous fait penser au retour du père avec ses boules (oui dans ce cas là, il en ramenait une paire de plus…. Au cas où la remplaçante de FANNY se montrerait con ciliante ).
NOUNOURS était prêt comme moi à bondir dans ses bras pour lui exprimer notre amour de cochonnets… Je l’ai retenu par la queue (on est entre hommes) pour constater que le bruit de pas n’était pas celui du père … ce qui nous fait plonger tous deux sous les couvertures …bien sûr c’est moi qui réconforte et rassure NOUNOURS, qui est tout tremblant…
Le bruit de la porte de la chambre, puis la voix de ma mère le rassure…. Fausse alerte, Dracula ne passera pas encore ce soir… !
La maison reprend très vite un silence relatif, avec comme dirait Jean FERRAT«  quelques bruits dans la baraque » … Nous entendions comme lui « craquer le châtaigner » …. Une oreille plus avertie aurait reconnu le bruit d’un sommier, qui souffre, voire plus, selon les moments…. ! Mais mon NOUNOURS manque d’expérience, car on n’avait pas encore, à cette époque, implanté d’ourse dans mes Pyrénées natales.
NOUNOURS toujours prêt pour l’aventure ( à condition que je passe le premier) m’incite à aller entendre cela de plus prés. ( j’ai dis entendre …pas voir espèces de voyous et de voyelles).
Sitôt dit… sitôt fait … Je lâche la queue de NOUNOURS pour le prendre par la main…. c’est mieux pour voir ….et au bout d’un moment, il a le sang qui lui monte à la tête….et c’est aussi mieux pour sa queue quand c’est l’inverse…. !
Nous descendons doucement…. droit sur la chambre de mes parents, d’où les soupirs remplacent les craquements du châtaigner.

Pas de doutes, ce n’est pas DRACULA, mais l’amant de Lady CHATTERLEY … ! A ce stade vous avez le droit de vous dire que je suis un homme de culture et de littérature ….? Eh ben non , tout simplement le cousin du projectionniste du cinéma CAMEO, qui profitant des entrées gratuites à ses côtés a fait son éducation en regardant par la petite lucarne de l’opérateur…. C’était un peu comme un voyeur par un trou de serrure, par lequel je volais des images interdites….. !
Çà vous détraque un peu…….. euh,…. la vue et…. les cervicales, mais vous apprenez plus vite qu’au CM2.
« Que fait l’amant de lady Chatterley dans la chambre de ta mère..? » me demande mon NOUNOURS…
– « La même chose que lui … » en disant cela je réalise qu’il n’a pas vu le film et que ça va être long à expliquer …EH ben non… !
–  » OUAIS OUAIS  je vois … la même chose que chez ta grand-mère …. »

Je réalise alors que les NOUNOURS dans notre famille se passent des uns aux autres au fil des générations, et font souvent de la figuration (enfin presque) sur un fauteuil de chambre.
Je n’insiste donc pas pour le respect que je dois à ma grand-mère, surtout qu’elle semble avoir bien fait les choses pour élever sa fille, dans la pure tradition chrétienne…. puisque au même instant, elle appelle « Oh Mon DIEU…Oh Mon Dieu » avec insistance. Les appels sont si pressants que vu l’étrangeté de cette soirée, je redoute de le voir venir prêter main forte (façon de parler c’est une image…mais pas la bonne) barbe fleurie et pyjama rayé….!
NOUNOURS pendu à mon bras, me suit dans le long couloir dans lequel nous avançons pieds nus (surtout moi).
A mi couloir, le braconnage de l’amant de la dite châtrée prend fin, avec l’entrée en scène de gros NOUNOURS non pas le sien… le mien….MON PERE….!! Vous suivez là ou non ? Parce que sinon, ce n’est pas la peine que « je m’escagasse », laissons les baisers et revenons à l’heure du petit déjeuner pour vous apprendre à utiliser les aspects digestifs de la Ricorée… Vous verrez, c’est moins marrant, et en plus il y a moins de suspense….. !
Si vous restez avec NOUNOURS et moi.., faites silence, car le drame commence…. !

GERMMMMMAIIIIIIINNNNNNE ….. SILENCE… suivi d’une cavalcade que nous apercevons par l’entrebâillement de la porte que ma mère a laissé entrouverte dans sa précipitation à rejoindre mon père. Un homme de dos, nu en pleine lune..! ramasse à la hâte ses vêtements et se précipite dans le placard de la chambre…. Nouveau silence rompu par la voix langoureuse de ma mère qui console comme elle le peut mon poovre père …!
Comment fait elle pour le consoler demande NOUNOURS ?
– Elle le met FANNY…!
– Il est pointeur ou tireur ton père..?
– Tireur
– A Ouais… je vois comme ton grand père…!

Il y a des moments où la mémoire de NOUNOURS m’énerve… on a l’impression qu’il a toujours un coup d’avance.

Au moment où ma mère semblait se satisfaire de la dévotion de mon père au cul te de Fanny….! NOUNOURS me tire par la manche pour me susurrer…
– « Il faut baiser le gagnant pour que ton père n’ait pas tout perdu…. ! » Voilà ce que tu vas faire… Je l’ai déjà vu faire ….
Écoute moi à l’oreille « bzzz bzzz bzzzzz bzzzz »
– « Eh béé c’est fort en carambars ton truc »
Sans réfléchir à la portée de mon acte, sur les conseils de ce satané NOUNOURS, je passe à l’action….. plutôt nous passons à l’action.
Tous deux assis contre la porte du placard, nous  parlons à voix haute, pour couvrir les bruits de la table de la cuisine qui trouve le réveillon bien tardif et agité.
Allo allo mooosieuuu, tu m’entends…. Tu sais….. il en a vu des choses ce soir mon NOUNOURS
Contre trois carambars, Il pourrait donner le secret à mon père mon NOUNOURS
….. C’est qu’il les aime les carambars mon NOUNOURS
Une voix non identifiée étouffée de rage nous parvient
– J’ai pas de carambars sous la main
– Mon NOUNOURS il dit qu’avec 5 Francs, il s’en paye 10 à l’épicerie de la mère Julie…. Passe-les sous la porte.

A ma grande surprise, voilà un beau Victor Hugo qui glisse sous la porte.
Écoute renchérit NOUNOURS «  bzzzz bzzzz bzzzz »
« C’est qu’il aime aussi les nounours à la guimauve mon NOUNOURS, et avec 5 FRANCS la mère Julie elle en donne pas gras. « 
Je vois un deuxième billet de 5 FRANCS glisser sous la porte et mon NOUNOURS Hilare se frotter les pattes dessus
« Bzzz Bzzz BZZZ »
– « Oh là là…. voilà mon père qui monte… mon NOUNOURS, il va tout lui dire c’est sûr …. ! Surtout qu’il veut se payer des gâteaux au miel de la brioche dorée. »

« Eh béé c’est si cher à la brioche dorée qu’il faut au moins 10 francs »

Rien ne sort de sous la porte….??
« Reviens NOUNOURS, le mossieu il n’a pas de monnaie … Pas grave avec 50 francs, Je lui arrache les deux yeux et la langue à mon NOUNOURS
– EH OHHHH
– Chutttt… ! Laisse c’est comme au poker, je bluffe…. !

Bingo un billet de 50 francs passe sous la porte..!
Ouahouou … ! La belle gueule de Racine nous éblouit…. ! NOUNOURS se frotte les mains, se penche sur mon oreille et « BZZ BZZ…. »
« Aie aie  ça bouge en bas, ils sortent….! ma mère a convaincu mon père de gouter aux vertus des promenades au clair de lune . Taillons nous, sinon le gus va sortir, et  la chasse à l’ours va s’ouvrir avant l’heure dans les Pyrénées.»

Nous grimpons dans ma chambre 4 à 4, on boucle la porte juste après avoir entendu un bruit de course folle dans l’escalier.

L’amant de lady Chatterley ne devait pas avoir son fusil chargé ce jour là.. ou c’était un fusil à un seul coup!

Le calme revenu, je me suis retrouvé avec mon NOUNOURS inerte d’une main et dans l’autre 60 FRANCS composés de deux billets de 5 francs et d’un billet de 50 francs.

Là, mon NOUNOURS il ferme sa gueule …. EH OUI c’est mal, au cathé il l’a dit l’abbé: « Bien mal acquis ne profite jamais »
Ouais…! mais c’était une excellent occasion et un très bon plan d’ailleurs; NOUNOURS il l’a déjà vu faire….. et peut être même par mon père …?
Au fait c’était qui NOUNOURS…. ?
Pas de réponse…. ? Je comprends maintenant que je vais être seul à porter le chapeau dans ce coup là
Avec une situation aussi foireuse et des secrets de famille plein la tête, je ne peux espérer le pardon de personne.
Je suis resté trois jours avec les billets planqués dans le ventre de NOUNOURS. Au terme du troisième jour … la lumière fut ….. et futée qu’elle est…. !!
Celui qui peut comprendre…. m’aider….me pardonner… : – « C’est le bon DIEU … ! »
« Je vais aller confesser ma faute …. ! ».
Sur la route de l’église, je tiens toujours NOUNOURS par la main, voilà trois jours qu’il reste silencieux …? J’en attends un témoignage complémentaire au mien, pour expliquer comment nous en sommes arrivés à truander sans scrupules cet homme.
L’église est sombre comme mon âme de pêcheur… je glisse NOUNOURS dans mon sac, il a toujours eu peur du noir… je vois le jeune abbé qui vient vers moi, il me salue et me demande ce que je cherche en ce lieu ..
J’écoute si la voix de NOUNOURS va l’élever vers lui… Rien… ! Je suis seul pour assumer…. ! Il n’est que la mémoire immatérielle des choses…
Objets inanimés avez vous donc une âme… ? Oui… ! mais que les soirs torrides de concours de pétanque et là, nous sommes mercredi…  et le seul qui a amené ses boules c’est moi …..et vraiment…. vraiment  ce n’est pas un lieu pour les montrer.
-«  Je… je… je voudrais parler à quelqu’un.
– Tu m’as trouvé …je suis là pour t’écouter mon petit…. rentre au confessionnal
 » (on se calme à l’époque, ils n’avaient pas encore inventé la pédophilie…!)

Il fait encore plus noir dedans que dehors….. pas de quoi rassurer NOUNOURS.
Après quelques instants, où je recompte les trois billets que j’ai dans les mains, la grille s’ouvre et apporte, sous le regard de Victor Hugo et Racine, un faible éclairage à mon pâle visage…. !
D’un air décidé comme pour me jeter à l’eau
J’annonce la couleur :
Voilà mon père….. Mon NOUNOURS et moi nous voudrions….
Ma phrase est stoppé par un tonitruant

Vous n’allez pas continuer à m’emmerder ton NOUNOURS et TOI…. !!!!
En un éclair, vous progressez plus qu’en une année de CM2 et vous battez le record de course à pied entre l’église et votre cabane en pleine forêt.

L’ autre jour, mon Nounours a retrouvé la mémoire, quand mon petit fils, plus turbulent que son père, a éventré le  NOUNOURS de ses ancêtres…… Laissant apparaître 3 billets d’une valeur totale de 60 francs et ceci, juste après que la banque de France ait annoncé la fin des échanges des francs en euros.
Oui :  » Bien mal acquis ne profite jamais surtout à ceux  qui se taisent encore….. je parle de mon NOUNOURS bien sûr…! Il aurait gagné à libérer sa conscience. »

Pour ceux qui veulent savoir quand NOUNOURS a accouché, sachez que cela s’est produit le jour de la sainte FANNY bien sûr..!

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