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LADY LADINDE: Fait la coupe à SAMSON…?


Aujourd’hui c’est la fête à  SAMSON ……

ET COMME ON EST NOMBREUX A PARLER DE

SAMSON ET DALIDA…

LADY LADINDE  LA  PREMIÈRE…!

ALORS ELLE VA  ÉCLAIRER LES CHOUPINETS
SUR L’ HISTOIRE DE  » SAMSON  ET  DALILA   « 

– Eh camarade… Véronique Sanson n’a rien à voir non plus ….
– Ok ok on va pas couper les cheveux en quatre… !
– Justement Si…  !

Samson et Dalila de Gerrit Van Honthorst -photo la Chouette expo Toulouse été 2012 sur le caravagismedinde

BLOC NOTE LADY LADINDE

 

 

Bloc note de
LADY LADINDE


 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote… Aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire, je vais vous en faire part….
De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique  » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

« Les hommes doués d’intelligence ont une soif d’éducation semblable à la soif de pluie qu’éprouve un champ de culture... »
Je te dis pas…! pour les femmes … c’est encore pire

AUJOURD’HUI LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR :

SAMSON ET DALILA

Dans la Bible, nombreux sont les élus de Dieu ; presque tous sont fidèles et lui obéissent. Quelques-uns, cependant, le déçoivent et se voient abandonnés de l’esprit divin. C’est le cas de Samson, doué d’une force exceptionnelle grâce à l’élection divine, mais qui finira pourtant captif et aveugle pour avoir perdu cette force par sa bêtise.
Voilà un épisode de la bible qui mérite d’être connu car il a inspiré les artistes … et hélas quelques dames qui se croient obligées de ressembler aux femmes qui ont trahis cet homme si fort et si faible à la fois. 

Par trois fois, Samson sera victime des femmes.

La première fois,  celle qui est devenue sa femme lui extorque la réponse de l’énigme qu’il avait proposée et la donne à ses compagnons philistins

La deuxième fois, même si le texte biblique n’est pas explicite à ce sujet, on peut supposer qu?une prostituée de Gaza le dénonce, là encore sans doute par crainte.

Enfin, la troisième fois, la plus célèbre de toutes, Dalila le livre aux Philistins ses ennemis.
Dalila est une femme, probablement philistine, dont s’éprend Samson pour sa perte.
Elle se fait acheter par les chefs de son peuple pour leur livrer ce héros qui les terrorise et les empêche d’opprimer les Israélites, et finit par lui arracher le secret de sa force prodigieuse.
Dalila fait donc raser Samson pendant son sommeil, afin de le priver de sa force et de l’assistance divine dont il s’est rendu indigne en exposant à des mains étrangères ce qui était voué à Dieu.

L’histoire de Samson ….. et Dalila

Samson et le lion, Rubens, 1633-1634

L’histoire de Samson commence  par un incident survenu lors de son mariage de Samson avec une Philistine.

Samson, en allant retrouver sa future femme à Timna, tue à mains nues un lion dont il voit plus tard la carcasse accueillant un essaim d’abeilles.

Samson apporte un rayon de miel à ses parents - le Guerchin Peintre ou Dessinateur : Guerchin, Giovanni Francesco Barbieri dit le (1591-1666) Datation : 1657 Source textuelle : Juges 14, 8-9 (Bible de Jérusalem, p. 368) Sujet de l'image ou genre : Sujet d'histoire sacrée. Samson et le lion Nature de l?image : Peinture sur toile Dimensions : Hauteur 102 * Largeur 117, cm Lieu de conservation : San Francisco, Fine Arts Museums, M. H. De Young Memorial Museum, inv. 65.20.2

 

De cet épisode, il tire une énigme qu’il propose aux convives le jour de ses noces :

« De celui qui mange est sorti ce qui se mange et du fort est sorti le doux. ».

Il révèle à sa femme la solution de l’énigme, mais celle-ci, menacée par les puissants de son peuple, trahit le secret et livre la réponse aux ennemis de Samson.
L’imprudence de Samson n’aura pas de conséquences graves pour lui, mais il ne sait pas en tirer d’enseignement.
Lorsqu’il tombera sous le charme de  Dalila, celle ci  le harcèle pour lui extorquer le secret de sa force prodigieuse et le livrer aux Philistins, il se rend compte du risque encouru mais se laisse malgré tout duper.
Samson est donc un personnage paradoxal : doué d’une force physique redoutable, il semble étonnamment vulnérable face aux femmes.
Le pouvoir des femmes sur lui a anéantit la force que lui a donnée Yahvé…… ainsi ses ennemis finiront par lui percer les yeux.
Seul son esprit de vengeance lui donnera une dernière fois l’assistance de Dieu pour faire effondrer le temple sur lui et tous ses ennemis.

Samson a maintes fois inspiré les grands maitres…..

Des peintres tel Rubens, Rembrandt, Van Dick et van Honthorst (ci-dessus) ont été inspirés par cet épisode biblique.

Rubens (vers 1625) nous relate la tonte de Samson

Samson et Dalila (version de Londres) - Rubens Peintre ou Dessinateur : Rubens, Pierre Paul (1577-1640) Datation : entre 1609 et 1610 Source textuelle : Juges 16, 19-21 (Bible de Jérusalem, p. 371)
Ce tableau de Rubens (vers 1625) nous relate la tonte de Samson.

Tandis qu’il est endormi sur les genoux de Dalila, un valet s’approche de lui et lui coupe les cheveux.
L’action est éclairée par une vieille femme qui surveille la scène.
Dalila semble s’abandonner complètement ; elle regarde Samson et son visage est paisible.
Au fond de la scène, en haut à droite, l’on aperçoit l’armée des Philistins qui attend à la porte.
Ces deux scènes sont éclairées par des bougies qui mettent en relief l’abandon total de Samson, le point central du tableau étant par ailleurs la musculature puissante de son dos.
On peut noter le contraste entre cette expression de force physique et la position presque foetale du héros.
Les deux personnages principaux se laissent faire et ce sont les personnages secondaires qui agissent.

Samson et Dalila par Van Dyck….

 Samson et Dalila, Sir Anthony van Dyck, v. 1630

Samson et Dalila, Sir Anthony van Dyck, v. 1630

 Samson fut trahi par Dalila, femme judéenne dont il était épris.
Cette dernière profita de son sommeil pour raser sa chevelure, de laquelle il tirait sa force.
L’épisode, relaté dans l’Ancien Testament, inspira à Anthony Van Dyck une toile d’une grande intensité dramatique dans laquelle se déploient des lignes sinueuses. Les reflets chatoyants des étoffes témoignent des talents de coloriste de l’artiste.

L’aveuglement de Samson de Rembrandt (1636)

Aveuglement de Samson, Rembrandt, 1636, huile sur toile, 236x306 cm.Si l’on considère L’aveuglement de Samson de Rembrandt (1636),
« Dans la pénombre, Dalila, tenant la chevelure coupée de Samson, s’enfuit : le héros étant ainsi réduit à l’impuissance, les Philistins s’emparent de lui et lui crèvent les yeux. La trahison, l’horrible mutilation du héros, sont exprimées avec force par la puissance et le choc de la couleur qui n’est plus utilisée pour sa facilité de reproduire la réalité mais se voit conférer de façon inattendue ici un véritable rôle de porte-parole du drame.

Dans le contre-jour, les Philistins alertés par Dalila enchaînent Samson et l’aveuglent. Un éclairage dramatique tombe de l’ouverture par laquelle Dalila s’enfuit. Sa main, tenant les ciseaux, est le point le plus éclairé du tableau. Se détachant sur le bleu pâle, le jaune citron, les gris de l’arrière-plan lumineux, le formidable pied de Samson ne peut plus atteindre celle qui l’a trahi. » (Rembrandt de L. Munz et B. Haack).

Sur Les démonstrations de force de Samson.

Son combat avec le lion

Par son naziréat, Samson acquiert une force hors du commun qui lui sera utile pour combattre les Philistins. Homme à l’âme simple et naïve, il est apprécié par le peuple tant que ses actes n’ont pas de conséquences désastreuses.

Il existe dans La Bible plusieurs passages sur cette force surhumaine dont le premier est son combat avec le lion. Les commentateurs du Moyen-Age et notamment l’auteur anonyme de la Glose ordinaire ont reconnu dans ce premier exploit de Samson la préfiguration du Christ aux Limbes, vainqueur de Satan.

Cette interprétation explique la fréquence du sujet dans l’art chrétien dès le XIIe siècle.
Dans l’iconographie traditionnelle, Samson est presque toujours représenté chevauchant le fauve et lui renversant la tête pour lui écarteler les mâchoires de ses deux mains désarmées.
Au XVe siècle, Dürer le représente assis sur la croupe de l’animal. Samson le terrasse en lui brisant l’encolure avec sa jambe droite repliée. Le même épisode est repris par Rubens au XVIIe siècle, mais la mise en scène diffère quelque peu :
Samson écarte les mâchoires du lion qu’il vient de tuer et un essaim d’abeilles s’échappe de sa gueule, ces abeilles rappelant la phrase de l’énigme de Samson : «de celui qui mange est sorti ce qui se mange, du fort est sorti le doux ».

Comme nous l’apprend le livre des Symboles dans La Bible, lorsqu’un être humain remporte un combat contre un lion, c’est un héros historique qui a le dessus sur un animal réel, il n’y a pas de portée symbolique, cette victoire est le simple signe de la «dextérité», de la force musculaire et de la bénédiction divine.

Samson et la mâchoire d’âne

Un autre épisode célèbre de la force de Samson est celui de la «mâchoire d’âne» :

Armé d’une mâchoire d’âne, Samson abat mille Philistins venus le chercher pour « le traiter comme il [les a] traités ».

..

Samson arrache les portes de GAZA

Ce passage est immédiatement suivi de l’épisode des portes de Gaza : Samson, recherché, s’enfuit en arrachant les portes de la ville et les dépose au sommet d?une colline en face d?Hébron. Il laisse ainsi la ville sans défense et humiliée. Ces épisodes, bien que sûrement exagérés, illustrent la force phénoménale du nazir.

Samson abat le temple des Philistins.

Le quatrième et dernier épisode célèbre de la force de Samson, celui du temple des Philistins, est celui qui explicite sa mission d’élu et lui permet de mettre directement sa force au service de son peuple et de son Dieu. Samson, qui a été trahi par Dalila, est emprisonné par ses ennemis et tourné en dérision lors d’une fête religieuse consacrée à leur dieu Dagon.
Sa force, qui l’avait abandonné quand Dalila par traîtrise lui avait fait couper les cheveux, revient peu à peu en même temps que ceux-ci repoussent. Prétextant de la fatigue, il demande à s’appuyer contre les colonnes centrales de l’édifice.
Un jour rassemblés dans leur temple pour offrir un grand sacrifice à Dagôn, leur dieu, ils font venir Samson aveugle pour les divertir. Samson demande à son jeune guide de le conduire vers les piliers de soutien de l'édifice et il fait une prière. Il adresse au Seigneur une prière : «Yahvé, daigne te souvenir de moi et me rendre plus fort ». S?arc-boutant sur chacune des colonnes, il retrouve la grâce de Yahvé et sa force : le temple s’écroule, ensevelissant le héros et ses ennemis : « les morts qu’il fit mourir par sa mort furent plus nombreux que ceux qu’il avait fait mourir durant sa vie ».

Dieu avait-il prémédité sa faiblesse avec Dalila pour susciter chez Samson le désir de vengeance ? c?est le mode de fonctionnement psychologique constant de notre héros ?, ou bien est-ce la prière de Samson et son repentir qui le conduisirent à rendre sa force au nazir pardonné ?

Quoi qu?il en soit, Samson fait preuve dans cette fin épique d?un courage nouveau : il ne s?agit plus seulement d?un exploit physique qu?il est sûr de pouvoir accomplir, mais d?un acte de foi en sa force revenue, d?où l?ampleur spectaculaire de son exploit et son insertion dans la Bible.

source:  site mythes bibiliques

dindeLADY LADINDE
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LE MYTHE DE SISYPHE


hypnose-002ba.jpgChoucaline plus proche de toi tumeurbloc note choucalineBLOC NOTE
de Choucaline

CHOULAGER :
“ »Les Capacités de notre cerveau et ses pensées positives »

LA PUISSANCE DE L’ESPRIT POUR GUÉRIR LE CORPS

– Musique d’ambiance : Maurice Chevalier


– MYTHE DE SISYPHE

Sisyphe par le TITIEN

Sisyphe fut condamné par Hadès ( Dieu des enfers) à pousser un énorme rocher jusqu’au sommet d’une montagne dans le royaume des morts.

A peine ce but atteint, le rocher roulait jusqu’au pied du versant d’où Sisyphe devait le remonter.
Et donc, le procédé se répète pour l’éternité. Sa punition figurait sur bien des vases grecs.
On le représente nu ou portant une fourrure sur les épaules, en train de rouler un rocher.
Pour les Grecs anciens, ce mythe rappelait aux mortels qu’une rébellion contre les dieux et leur implacable justice était une pure folie.

 LES LÉGENDES ET INTERPRÉTATIONS  AUTOUR DE SISYPHE
 AU VOLEUR…Sisyphe est le plus astucieux des hommes….
Sisyphe possédait un beau troupeau. Non loin de lui vivait Autolycos. Autolycos était passé maître dans l’art de voler, mais Sisyphe n’avait rien à lui envier.
Hermès avait donné à son fils le pouvoir de métamorphoser toutes les bêtes qu’il volait. Ainsi et bien que Sisyphe eût remarqué que ses propres troupeaux diminuaient tous les jours, alors que ceux d’Autolycos augmentaient, il fut tout d’abord dans l’incapacité de l’accuser de vol du bétail; donc il grava, sous le sabot de ses animaux son monogramme.
Une nuit, Autolycos se servit, comme à l’ordinaire, et, à l’aube, les empreintes de sabots sur la route fournirent à Sisyphe des preuves suffisamment concluantes pour convoquer les voisins et les prendre à témoin du vol du bétail.
Il inspecta l’étable d’Autolycos, reconnut les animaux qui lui avaient été volés à leurs sabots gravés.
DANS UN PREMIER TEMPS IL FEINTE LES DIEUX….. ENSUITE…. MALHEUR A LUI
Sisyphe est surtout connu pour avoir déjoué Thanatos.
En échange d’une source qui ne tarissait jamais, Sisyphe révéla au dieu-fleuve Asopos où se trouvait sa fille Égine, enlevée par Zeus, qui avait pris la forme d’un aigle, et qui la désirait.
La rancune de Zeus
Asopos fit fuir Zeus, mais ce dernier ressentit de la rancune pour Sisyphe ; il lui envoya Thanatos pour le punir.
Cependant, lorsque le génie de la Mort vint le chercher, Sisyphe lui proposa de lui montrer l’une de ses inventions : des menottes.
Il enchaîna Thanatos, si bien que ce dernier ne put l’emporter aux Enfers. S’apercevant que plus personne ne mourait, Zeus envoya Hadès délivrer Thanatos. Mais Sisyphe avait préalablement convaincu sa femme de ne pas lui faire de funérailles adéquates.
Il put ainsi convaincre Hadès de le laisser repartir chez les vivants pour régler ce problème. Une fois revenu à Corinthe, il refusa de retourner parmi les morts. Thanatos dut alors venir le chercher de force.
Pour avoir osé défier les dieux, Sisyphe fut condamné, dans le Tartare, à faire rouler éternellement jusqu’en haut d’une colline un rocher qui en redescendait chaque fois avant de parvenir au sommet,
DES INTERPRETATIONS

  1. D’après la théorie solaire, Sisyphe représente le soleil qui s’élève chaque jour pour plonger à nouveau le soir sous l’horizon
  2. D’autres y voient la personnification des marées ou des vagues qui montent pour soudainement redescendre.
  3. La pierre gigantesque qu’il est condamné à hisser figurerait l’Année entre le solstice d’hiver et celui d’été qui retomberait aussitôt vers le solstice d’hiver.

« Un travail de Sisyphe », qualifie une tâche interminable et ardue

Cette compréhension du mythe de Sisyphe est celle à laquelle renvoie l’expression « un travail de Sisyphe », qui qualifie une tâche interminable et ardue, qu’il faut toujours recommencer pour un résultat nul ou incertain.

Le mythe de Sisyphe selon Camus

Camus envisage Sisyphe comme un héros qui se rebelle contre les lois et qui endosse la responsabilité de son acte.
Au lieu de maudire les dieux, Sisyphe décide de vivre son châtiment, en toute conscience.
Par ce choix, Sisyphe s’affranchit des dieux et devient libre de vivre la destinée qu’il s’est choisi. Chaque instant de cette vie difficile lui appartient. Il n’est plus condamné à monter le rocher, il choisit de le faire et devient maître de son destin.
Le travail sans fin de Sisyphe, c’est l’existence humaine, la vie de l’Homme.
Cette vie, chacun peut la subir ou la faire sienne.
Chacun peut être passif ou, comme Sisyphe, mordre à pleines dents dans chacun des instants qui la composent…
Voici un extrait du livre « le Mythe de Sisyphe (1942) ».
« Les mythes sont faits pour que l’imagination les anime.
Pour celui ci, on voit l’effort d’un corps tendu pour soulever l’énorme pierre, la rouler et l’aider à gravir une pente cent fois recommencée ; on voit le visage crispé, la joue collée contre la pierre, le secours d’une épaule qui reçoit la masse couverte de glaise, d’un pied qui la cale, la reprise à bout de bras, la sûreté tout humaine de deux mains pleines de terre.
Tout au bout de ce long effort mesuré par l’espace sans ciel et le temps sans profondeur, le but est atteint. Sisyphe regarde alors la pierre dévaler en quelques instants vers ce monde inférieur d’où il faudra la remonter vers les sommets. »

LE CHOURISTE– Bien grand malheur que celui de Sisyphe ….!
Pourtant dans son malheur Sisyphe trouvait ses courts instants de bonheur :
« Quand la pierre redescendait.. » il ne bossait pas et faisait un pied de nez aux Dieux..!

il faut faire comme lui… Même si votre existence vous parait difficile à porter … Cherchez votre chemin pour trouver cet instant de bonheur pour cela suivez les conseils de Pythagore :

« Choisis toujours le chemin qui semble le meilleur, même s’il paraît le plus difficile : l’habitude le rendra bientôt agréable. »

 » Pas besoin de savants calculs…Vous trouverez.. »
Sinon on va pas vous jeter la pierre….

SOURCE:
http://mythologica.fr/grec/pic/sisyphe.jpg
http://people.wku.edu/nathan.love/426-20th/sisyphe_mythologie_grecque.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sisyphe

Choucaline plus proche de toi tumeurCHOUCALINE

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Mythes et légendes de la Fosse Dionne

MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
       LA SOURCE

CHOU BLANC nous entraine dans son monde… son monde bizarre ….  Ambiance… Ambiance

Les mythes et légendes qui entourent la Fosse Dionne

La fosse Dionne est une source karstique dite source vauclusienne, située dans le centre-ville de Tonnerre (département de l’Yonne).
Elle est alimentée par les infiltrations des précipitations dans le plateau calcaire avoisinant ainsi que par les pertes d’au moins une rivière. La fosse Dionne est remarquable par son débit (en moyenne 300 litres par seconde) et la taille de son réseau hydrogéologique qui s’étend jusqu’à plus de 40 km.
Sa présence est à l’origine de la création de la ville de Tonnerre.

Un lavoir élaboré a été aménagé autour de la source au XVIIIe siècle.

En 1758, Louis d’Éon, père du chevalier d’Éon, fait aménager la source en lavoir5. Un bassin de 14 mètres de diamètre est édifié. Les lavandières sont protégées des intempéries par un toit en forme de « demi-rotonde » porté par une charpente adossée à un mur en moellons. Pour éviter toute pollution, un muret sépare la source de l’auge annulaire utilisée pour le lavage. Des foyers situés sur le pourtour du lavoir permettent de produire la cendre utilisée pour le nettoyage. Le lavoir est classé Monument historique depuis 19206.

 

À Tonnerre, la Fosse Dionne fascine. Entourée de mystères, elle est la source de plusieurs mythes et légendes, des sous du diable au Basilic…

Où se trouve la source de la Fosse Dionne, aménagée en lavoir en 1758 à Tonnerre ? Une question qui n’a, à ce jour, pas trouvé de réponse. Autour de ce mystère ont fleuri, au fil des siècles, mythes et légendes.

Les sous du diable
En l’an 700, le petit Pierre rencontra un cavalier noir qui lui demanda s’il connaissait une source pour y faire boire sa monture. Le petit Pierre lui indiqua la Fosse Dionne. En partant, le cavalier perdit une grande quantité d’argent au sol et Pierre s’en empara.

Le petit Pierre dépensa ce trésor malhonnêtement récupéré, mais rien ne se passa selon son souhait. Les fleurs qu’il acheta se fanèrent, un mendiant refusa son aumône, les friandises qu’il offrit à ses amis leur donnèrent des coliques…

Désespéré, il se rendit à la Fosse Dionne où l’attendait, tapis dans l’ombre, le cavalier noir. Pierre jeta ses sous dans la source avant de s’y noyer, mais l’évêque saint Pallade le sauva. Cependant, au fond de la source, les sous du diable accusaient encore l’enfant. L’évêque les recouvrit de son manteau, donnant à l’eau sa couleur d’un bleu profond. Le cavalier en colère sauta alors depuis le clocher de l’église Saint-Pierre et creusa un puits profond au fond du bassin.

Saint Jean et le Basilic

   C’EST QUOI UN BASILIC :   La Symbolique du basilic
« Reptile fabuleux, qui tue par son seul regard ou par sa seule haleine celui qui l’approche sans l’avoir vu et ne l’a pas regardé le premier. Il naîtrait d’un œuf de vieux coq, âgé de 7 à 14 ans, œuf rond déposé dans du fumier et couvé par un crapaud ou une grenouille. Il est figuré par un coq à queue de dragon ou par un serpent aux ailes de coq. Tout son symbolisme découle de cette légende ».

Saint Jean de Réome se creusa une cellule dans les rochers de Tonnerre. Mais on le prévient que dans le fond de la vallée, où se trouvait le marais de la Dionne, un Basilic (serpent légendaire) causant la misère des habitants vivait dans un puits.
Saint Jean décida de creuser à l’endroit où se trouvait le serpent. Une source jaillit et le Basilic fût tué.
Dans d’autres légendes, la Fosse Dionne serait l’entrée de l’enfer ou aurait abrité un serpent basilic, dont le regard avait « la faculté de tuer ».

Le manteau de la Vierge

À une époque où la Fosse n’existait pas et où l’eau de la source coulait de la falaise en un bourbier jusqu’à l’Armançon (donnant son nom au quartier Bourberault), une pauvre jeune fille marchait dans la nuit. Elle sentit une présence, celle d’un homme qui, lorsqu’elle accélérait le pas, faisait de même.

Au moment où la main du diable s’abattait sur son épaule, la jeune fille implora la Vierge de lui venir en aide. La Vierge apparut dans un grand manteau émeraude qu’elle étala devant la jeune fille. Un vaste cratère rempli d’eau pure s’ouvrit alors sous la falaise et la Vierge y entraîna la jeune fille, la sauvant du diable. Et colora, par ce manteau, le fond de la Fosse Dionne ainsi créée.

De nos jours, la splendide arrivée d’eau est toujours l’objet de mystères, plusieurs personnes ayant trouvé la mort au cours de tentatives d’exploration de ses entrailles. Par ailleurs, l’ensemble de ses sources n’a pas encore pu être déterminé.

Petit historique spéléologique

1978 : Pierre Morel atteint -38 m et s´arrête à 180 m de l´entrée.

1979 : Le 1er décembre, Pierre Morel atteint la cote 280 m.
Le 2 décembre, Eric Le Guen secondé de son frère Francis, membre du Spéléo-Club de Paris, atteint la cote -61 m, à 360 m de l´entrée. L´exploration durera plus de trois heures en immersion totale.

1989 : P. Jolivet dépasse le terminus de Le Guen et atteint la cote -70 m, à 370 m de l´entrée.

EN 2019 Tonnerre : un plongeur bat un record de profondeur en explorant la mystérieuse fosse Dionne

REPORTAGE FR3 Bourgogne Franche-Comté
Reportage de Baziz Djaouti, Yoann Etienne et Rachel Nectoux avec Pierre-Eric Deseigne, plongeur professionnel (images souterraines tournées par Pierre-Eric Deseigne et son équipe)

La Fosse Dionne, à Tonnerre, a-t-elle livré tous ses secrets ? Ce lieu qui charrie son lot de légendes et de mystères n’en finit plus de fasciner. Depuis plus d’un an, un plongeur professionnel et son équipe ont décidé de reprendre l’exploration du site. Il y a quelques jours, lors d’une plongée, un record de profondeur a même été battu. Des images inédites et exceptionnelles ont été tournées à cette occasion. De quoi alimenter encore un peu plus le mythe de la Fosse Dionne.

Pierre-Eric Deseigne, accompagné d’Hervé Cordier, sont parvenus à parcourir environ 300 mètres dans la Fosse Dionne.
Une première après des années d’interdiction de plongée dans le célèbre site de Tonnerre.


SOURCES:
https://www.lyonne.fr/tonnerre-89700/actualites/plongez-dans-les-mythes-et-legendes-qui-entourent-la-fosse-dionne-a-tonnerre_12996454/     Myriam Lebret

https://www.jaimemonpatrimoine.fr/fr/module/81/1491/les-mysteres-de-la-fosse-dionne

http://fiodesbois.canalblog.com/archives/2016/08/23/34222789.html

https://www.tonnerrois.fr/la-fosse-dionne

https://www.routard.com/photos/bourgogne/85361-la_fosse_dionne.htm

https://www.tonnerrois.fr/la-fosse-dionne

https://www.scchablis.com/Site/Speleo/Invent/89/89418/fosse_dionne.php 

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez retour sur la rubrique du même tabac

Chou Blanc
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DAME MIELINE : Le miel dans l’art contemporain

Propolis 60 gélules

BLOG DE
DAME MIELINE

 

C’est comme ça que tout a commencé entre Dame MIELINE et moi...

Un neveu turbulent je devrais dire un cul bidon de banlieue.. Tant tout ce qui dépassait, de ses vêtements trop courts, était tentant pour mes abeilles affolées par son bâton enfoncé dans la ruche..

Je me suis précipité le premier avant sa Taty MIELINE… Béatrice m’avait appris et démontré que la chromothérapie était efficace sur les piqures d’abeilles…
Après 3 minutes de lumière rouge et
30 secondes de vert dans la pénombre de mon sellier et je pouvais me retourner pour voir plus calmement la Taty qui m’observait…
AH la classe… Rien à voir avec son neveu ..
j’étais troublé .. Elle y avait mis les formes …. Mais aussi par le sentiment, qui devint vite certitude, que je l’avais déjà vu maintes fois sur grand écran.. Je… non non..!
On n’est pas à Paris Match ici..
Depuis que nos nous sommes liés d’amitiés… Elle a confirmé son appartenance au PAF venant soigner l’enveloppe de ses nerfs dans le potager du voisin..
Oh bonheur le mien…!
Elle savait jouer la comédie mais pas avec moi .. D’une grande culture… Elle ne savait pas écrire… C’est ce qu’elle croyait car à partir d’aujourd’hui nous lui ouvrons nos colonnes pour une série sur… Devinez :
LE MIEL ET LES ABEILLES … Histoire de se faire pardonner son cul bidon de banlieue suit notre Déesse Venus pour profiter et nous aussi de sa grande culture…..
Cherchez pas.. Pour vous et moi, elle s’appelle Mieline …. Sans doute pour mettre de la douceur autour de ses nerfs malades.

Le miel dans
l’art contemporain

Le thème de Cupidon voleur de miel

Le thème de Cupidon voleur de miel se retrouve dans quelques gravures d’Albrecht Dürer (dont une aquarelle de 1514), contemporain (1471-1528) de Cranach l’Ancien, avec lequel il a d’ailleurs eu l’occasion de travailler au début de sa carrière.

Beaucoup plus tard, Picasso s’est explicitement inspiré de Cranach l’Ancien pour une lithographie de 1960.

1960, Picasso
L’ Amour piqué, Jean Antoine Marie Idrac, 1877, (Musée des Beaux Arts, Lille, France).

Ajoutons que les abeilles sont également présentes dans les arts décoratifs tels que la gravure, l’orfèvrerie et la joaillerie, ainsi que dans la faïence, la porcelaine et la verrerie…

Quand les abeilles font de l’art

Depuis quelques années, les abeilles ne sont plus simplement qu’un symbole ou un sujet de la mythologie… Elles participent à l’art, elles inspirent et « collaborent » avec des artistes contemporains.

Ganetha Dyck

Aganetha Dyck est née en 1937 à Winnipeg dans le Manitoba au Canada. Cette plasticienne commence sa production artistique sur le tard et expose seule pour la première fois en 1979. Son travail consiste en la réappropriation d’objets du quotidien…. et collabore avec les abeilles créant ainsi de délicates sculptures originales.
sa technique :

Sa démarche consiste à placer des objets de la vie courante dans des ruches et de les y laisser plusieurs semaines voire plusieurs mois, ainsi les abeilles se les approprient, les recouvrant de cire et d’alvéoles. A travers son travail on peut y voir une certaine critique de notre société. Ce parallèle fait avec les abeilles, en connexion avec la nature, et l’humanité témoigne que nos destins sont liés, de notre vulnérabilité.

 En conclusion, je vous dirais simplement : si les abeilles inspirent autant les artistes, par de là le monde, c’est bien parce qu’elles sont le reflet de l’état de santé de notre planète, l’incarnation de la nature… La nature, un grand sujet dans l’art, qui a inspiré à coup sûr d’innombrables artistes à travers les différentes époques.

Déjà paru dans la Chouette

DAME MIELINE : Le thème du miel dans l’art

MIELINE VOUS PROPOSE SES ARTICLES
PARUS OU A PARAITRE

La larme de Rê créa l’abeille…
Depuis les mures ont des abeilles et nous du miel
Vénus et Cupidon voleur de Miel de Lucas Cranach l’Ancien– Cupidon voleur de miel dans les gravures d’Albrecht Dürer
– Le miel… Une valeur médicinale démontrée.
Le thème du miel dans l’art
– Le miracle des abeilles
– Le miel dans l’art contemporain


SOURCES :
https://stefaniebousquet.wordpress.com/2015/12/14/les-abeilles-muses-et-artistes/
https://hitek.fr/42/blake-little-photos-miel-preservation_2687

Propolis 60 gélules

DAME MIELINE ET CULBIDON

 

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