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PIERRES THÉRAPEUTIQUES DE STONEHENGE

MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau….avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
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Stonehenge:
La thèse d’un lieu de pèlerinage thérapeutique

NOTA: Pour les paresseux…. des vidéos longues durées sont en bas de rubrique

Stonehenge, dont le nom signifie « les pierres suspendues » est situé en Angleterre, dans le comté du Wiltshire, près des villes d’Amesbury et de Salisbury, Stonehenge  est la plus grande structure mégalithique d’Europe.

Composée d’un ensemble de structures circulaires concentriques dont l’édification eut lieu entre 2300 et 1900 ans avant J.-C., ce monument du néolithique a été l’objet de nombreuses hypothèses quant à sa fonction.


S’agissait-il d’un temple dédié au soleil et à la lune ?

D’un sanctuaire voué au culte des morts ?

D’un site d’observation astronomique ?

Stonehenge : plan Reconstitué.

Dans le dessin du docteur Stukely; les pierres hachurées étaient celles restant au début des années 1840 où ce plan a été préparé.

Le mystère demeure malgré de nombreuses fouilles au fil des siècles

EN 1666 déjà, on étudiait ce monument unique au monde…..
Au cours des nombreuses fouilles effectuées sur le site, les archéologues ont divisé Stonehenge en plusieurs étapes à compter de 3000 avant le Christ.


Vers -2600
les piliers de bois furent remplacés par des pierres bleues (80) disposées en cercles, pierres rapportées du pays de Galles ou blocs erratiques apportés par le dernier glacier de la mer d’Irlande.
Chacune haute de 2 m environ pèse dans les 4 tonnes. L’entrée Nord Est fut élargie en direction du lever du soleil au solstice d’été et du coucher du soleil au solstice d’hiver.
Le monument fût ensuite abandonné.

Stonehenge vue aérienne

Stonehenge vue aérienne

Vers -2400,
30 énormes pierres furent érigées en un cercle de 33 m après avoir été façonnées de mortaises et tenons pour accueillir 30 linteaux de pierre. Chaque pierre dressée de 4 m pèse 25 tonnes.
A l’intérieur de ce cercle furent dressées cinq trilithes  (dix pierres et cinq linteaux) pesant chacune 50 tonnes.
Des gravures de dagues et haches y furent gravées rappelant les armes de l’Age du Bronze final comme le confirmèrent de récentes études au laser.

De -2280 à -1930,
on assiste à des réarrangements des pierres bleues et plus tard, à l’enlèvement de ces pierres. On trouve vers -1600 des traces de l’Age du fer.
Des dizaines de théories ont tenté d’expliquer ce monument allant de l’intervention d’extra-terrestres à Merlin l’enchanteur, jusqu’à l’érection d’un observatoire astronomique.
Si le site fut utilisé par les druides, il n’a pas été érigé par les Celtes (pas plus que Carnac ou Locmariaquer en Bretagne) arrivés bien après…
En 2008

En 2008, un tandem de chercheurs constitué de Timothy Darvill, archéologue à l’université de Bournemouth, et Geoff Wainwright, président de la Société des Archéologues de Londres, a obtenu l’autorisation d’effectuer une nouvelle série de fouilles au cœur même du site, en vue d’obtenir une datation précise de celui-ci et d’échafauder de nouvelles hypothèses sur sa fonction.

Un lieu de pèlerinage thérapeutique..?

Ces deux hommes ont écrit un nouveau chapitre important de l’histoire de Stonehenge. Pour Timothy Darvill et Geoffrey Wainwright,  ça devait être un lieu de guérison car les rochers appelés « bluestones » sont réputés pour leur pouvoir curatif.

Leurs recherches ont prouvé que les gens ébréchaient les roches pour en faire des amulettes et de nombreuses personnes enterrées dans le site présentaient des évidences de maladies ou blessures et deux d’entre elles devaient avoir subi des opérations primitives du cerveau.

Convaincus que l’ensemble des petites pierres bleues érigées en son centre constituent le cœur historique et symbolique de Stonehenge, les archéologues  se sont concentrés sur elles.

L’énigme des pierres bleues
Déjà en 1923, les archéologues s’étaient émus de leur provenance pour le moins surprenante des « bluestones ».
La composition géologique des pierres bleues avait en effet mis en évidence que celles-ci étaient originaires des Preseli Hills, au Pays de Galles, à plus de 250 km de Stonehenge. Pourquoi les bâtisseurs du site s’étaient-ils donné tant de mal pour les acheminer jusqu’en Angleterre ?

Convaincus que la réponse à cette question se trouve sur le lieu même d’extraction des pierres bleues, Darvill et Wainwright se rendent dans les Preseli Hills afin de découvrir ce qui les rendait si particulières aux yeux des hommes du néolithique. ils  découvrent certaines pierres taillées, en tous points semblables à celles qui se dressent au cœur de Stonehenge mais qui se sont brisées durant le transport.

Des pierres magiques…?
Cette région du Pays de Galles est aussi connue depuis des temps immémoriaux pour l’existence de sources auxquelles on attribue des vertus curatives.
Il n’en faut pas plus pour titiller l’intuition des archéologues : et si les hommes du néolithique avaient attribué aux pierres bleues les mêmes propriétés curatives qu’aux sources jaillissant dans les collines ?
Les constructeurs de Stonehenge n’aient pas hésité à les transporter sur plus de 250 km, les acheminant par radeau le long de la côte Galloise avant de leur faire remonter différents fleuves et rivières jusqu’à Stonehenge : un véritable exploit technologique dans le contexte du néolithique !

Stonehenge aurait-il dès lors été conçu comme un lieu de guérison par les hommes du néolithique ?

L’Archer d’Amesbury
Forts de ce nouvel axe de travail, les archéologues vont désormais s’efforcer d’explorer d’autres pistes en espérant qu’elles viendront corroborer leur théorie.

L’une de ces pistes mène à des ossements découverts non loin de Stonehenge dans une tombe néolithique vieille de 4500 ans.  Cette sépulture regorgeait de trésors archéologiques, parmi lesquels des bijoux en or, ainsi qu’une grande quantité de pointes de flèches en silex, qui ont valu à son occupant d’être surnommé « l’Archer d’Amesbury ».

Du fait de la richesse de sa sépulture, engagentun examen médico-légal de son squelette on constate que le squelette présente un très grave traumatisme au genou gauche, résultant sans doute d’une chute de cheval. Le fémur montre des signes d’infection chronique, ce qui indique que l’Archer d’Amesbury devait beaucoup souffrir des séquelles de sa chute. Il était très certainement boiteux.

Pour les archéologues, ce handicap est sans doute la raison pour laquelle l’homme avait entrepris ce voyage jusqu’à Stonehenge : il avait entendu parler des vertus curatives du site et souhaitait s’y rendre en pèlerinage. L’analyse des dents du squelette livre un autre indice important l’Archer d’Amesbury n’était pas originaire de Grande Bretagne mais des Alpes, situées à plus de 1000 km !.
Si  l’Archer d’Amesbury a entrepris ce long et périlleux déplacement, cela ne peut vouloir dire qu’une seule chose : la réputation de Stonehenge comme lieu de guérison dépassait largement les frontières de la Grande Bretagne. Les archéologues auraient-ils découvert la « Lourdes du néolithique » ?

Des Talismans

Les fouilles se poursuivent dans le monument pour découvrir de nombreux fragments de pierre bleue.
Ils en déduisent que, si Stonehenge était bien le lieu de soins qu’ils imaginent, les pèlerins qui s’y rendaient en quête de guérison devaient certainement détacher des petits fragments des pierres bleues dressées au centre du monument. Ces fragments étaient ensuite utilisés comme talismans, ou concassés pour fabriquer des décoctions et des potions de soins.

  L’inconnu du fossé

Un squelette est découvert dans le fossé qui entoure Stonehenge c’est celui d’un jeune homme mort après avoir été criblé de flèches.
Pourquoi ce meurtre ou cette exécution ?

Conclusion des spécialistes, l’inconnu du fossé était un rôdeur qui tentait de s’introduire sur le site sacré de Stonehenge et qui aurait été exécuté par les gardes chargés de sa surveillance. Trois morceaux de pierre bleue retrouvés dans la tombe renforcent cette hypothèse du vol qui aurait mal tourné.
Cela signifie également que l’accès au site de Stonehenge était strictement réglementé, comme celui d’un sanctuaire important.

EN CONCLUSION
STONEHENGE: Un lieu de pèlerinage thérapeutique..!

Darvill et Wainwright sont persuadés qu’une importante communauté agraire se serait développée autour du site de pèlerinage de Stonehenge afin de répondre aux besoins des pèlerins venus y chercher la guérison.

Les deux hommes vont même plus loin en imaginant que de nombreux guérisseurs, magiciens et chamanes se seraient mêlés à cette population, constituant le « personnel soignant » du site.

On pourrait dès lors parler sans exagération de véritable « Lourdes du néolithique » pour désigner ce lieu qui devait être l’un des plus importants centres de pèlerinages de cette époque.
SOURCES: Divers sites du web et en particulier
http://www.mystere-tv.com/stonehenge-la-lourdes-du-neolithique-v2132.html


DES VIDÉOS POUR EN SAVOIR PLUS

 

Durée 8 minutes

 
Durée 1 heure 20 minutes


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PEINTURE : Le tableau maudit


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Le tableau du Garçon qui pleure et les étranges incendies

 

Les légendes ne prennent pas seulement naissance dans les temps anciens.

Depuis les années 1980, il en est une qui persiste. Selon la rumeur, posséder un tableau du Garçon qui pleure, c’est s’exposer à voir sa maison partir en fumée dans un immense incendie.

bruno amadio

 

Le garçon qui pleure est une série de tableaux peint par un peintre italien au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.

Depuis, les reproductions pullulent et on les retrouve un peu partout dans les chaumières.


Un mystérieux incendie

Septembre 1985, Angleterre. Le tabloïd The Sun raconte l’incendie ravageur (et totalement inexpliqué) qui a détruit la maison d’un couple. Dans les décombres, un seul objet a été épargné: le tableau d’un garçon qui pleure encore accroché au ruines du mur de la cuisine. Flammes et fumée ont épargné le tableau.

Un pompier présent sur les lieux raconte au journal que ce n’est pas la première fois que ce phénomène arrive. Il semble que de nombreux cas ont été observés par les pompiers… Évidemment, l’Angleterre est stupéfaite.

Des pompiers sceptiques

Les pompiers sont régulièrement interpellés sur le tableau du Garçon qui pleure.
Bien qu’ils doutent sérieusement de la malédiction, ils sont bien en peine d’expliquer les origines des incendies impliquant le tableau et surtout comment le tableau peut en sortir indemne.

Peter est pompier à Rotherham. Un jour, il entend Alan Wilkinson, un de ses collègues, commenter l’événement. Il disait que des copies intactes du même tableau étaient fréquemment retrouvées dans des maisons brûlées.

Depuis 1973, il est intervenu personnellement sur au moins 50 cas similaires : une habitation incendiée et le tableau à l’intérieur toujours en bon état.

Dans une interview d’un journal local, Alan Wilkinson raconte qu’une femme lui avait donné sa copie du Garçon qui Pleure. Pour plaisanter il l’avait accroché dans un bureau de la caserne de pompier. Quelques jours plus tard ses supérieurs lui demandent de l’enlever et le jour même, un four de la caserne surchauffe et déclenche un feu dans la cuisine.

(J’ai trouvé une autre version de ce fait disant que ce n’est pas la cuisine qui a brulé mais seulement le repas des pompiers.)

 Explication possible
Des explications rationnelles émises plus tard par des scientifiques viennent cependant démentir les rumeurs qui entourent le tableau.
Ainsi, des tests effectués au Building Research Establishment (en) pour la BBC montrent que la grande résistance du tableau est en fait due à un vernis quasiment incombustible apposé sur son cadre lors de la fabrication.
Ainsi, lorsqu’un incendie se déclare, le crochet qui retient l’objet finit par céder et ce dernier, une fois au sol, se retrouve protégé des flammes.

Des médias et des auteurs qui ne perdent pas le nord

Les témoignages continuèrent de se succéder les mois suivants d’abord dans le même journal puis dans d’autres.

Le plus étrange reste celui-ci :
Un lecteur raconte qu’il a tenté de mettre le feu aux deux reproductions qu’il possédait pour les détruire. Elles n’ont jamais brûlé. Il demande alors de l’aide à une autre personne. Celle-ci jette les copies sur un feu de joie et les laisse durant une heure. A la fin, elles étaient encore intactes.

Les journalistes voulant trouver une explication finirent par demander l’avis de spécialistes occultes.

Roy Vickery, secrétaire de la Folklore Society, suggéra que le peintre avait peut-être maltraité l’enfant et tous ces incendies pourraient être sa façon de se venger.

Le Sun, surfant sur cette notoriété inespérée, propose alors à ses lecteurs de lui envoyer leurs copies du Garçon qui pleure pour en faire un immense feu de joie.
Les envois sont si nombreux que le feu sera finalement organisé en banlieue de Londres!

Dans les années 90, la légende traverse les frontières. En 2000, un auteur fait revivre la légende dans son livre Hunted Liverpool et la télévision britannique en fait une série documentaire.

L’origine de la malédiction

En 1969, le peintre aurait utilisé comme modèle un orphelin qui laissait paraitre une incroyable tristesse.
Un prêtre catholique reconnait le garçon. Il s’agit de Don Bonillo, un enfant qui aurait vu ses parents mourir dans un incendie.
Le prêtre conseille au peintre de ne pas approcher l’enfant car des incendies inexpliqués se déclarent en sa présence.

Cela lui vaut le surnom de « Diablo ».
Le peintre n’en tient pas compte.
Lorsqu’il a fini le tableau, son atelier prend feu et le garçon disparait.

En 1976, un accident se produit dans la périphérie de Barcelone. Le véhicule a brûlé avec le conducteur à l’intérieur. Cependant le permis de conduire est retrouvé. Bien qu’il soit partiellement brûlé, il révèle qu’il appartient à un Don Bonillo âgé de 19 ans.

La seconde version de la malédiction

Une autre version explique que le peintre en a eu assez d’être pauvre et de ne pas connaitre le succès. Il a donc décidé de faire un pacte avec le diable.

Il peint alors la série des Enfants qui Pleurent et il devient riche, ses tableaux devenant populaires et se vendant très bien.

Mais ces tableaux sont maudits à cause du pacte avec le diable et celui qui le possède est victime de la malédiction.

Un ou des tableaux maudits ?

La peinture que je montre au début de l’article fait partie d’une série de 17 tableaux montrant des enfants en larme réalisée par Bruno Amadio.

Les différentes descriptions des tableaux données dans les témoignages correspondent donc aux peintures de cette série.

Pour être exact, le terme de maudit ne s’applique pas à une seule peinture mais à toute la série de Bruno Amadio.

Déjouer la malédiction

On raconte que pour apaiser le Garçon qui pleure, il faut être aimable avec lui. Une autre solution consisterait à accrocher le Fillette qui pleure à côté de lui pour le calmer.

Vous voilà averti!

 

Quand le mythe s’empare du tableau

C’est fascinant de voir comment une croyance peut s’emparer de la peinture.
Avec ses nombreuses versions sur l’origine de la malédiction et tous ses faits plus ou moins incroyables, ce tableau est devenu un objet mythique.
Il est devenu bien plus que ce que le peintre pouvait y mettre.
Grâce à toutes ces croyances, la peinture a connu une autre vie qui  n’appartient plus à son créateur.
Si les tableaux sont encore connus à notre époque c’est grâce aux histoires paranormales qui y sont rattachées. Et vue le nombre de blogs et de vidéos qui en parlent, ils seront encore connus pendant longtemps et par de plus en plus de personne.
Le mythe a donc transcendé la série des Enfants qui Pleurent en en faisant des œuvres éternelles.

SOURCE :     http://www.sympatico.ca/style-de-vie/insolite/le-tableau-du-garcon-qui-pleure-et-les-etranges-incendies-1.10599432

http://comprendrelapeinture.com/le-garcon-qui-pleure-tableau-maudi

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Un message du XIXe siècle sort du mur


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A Dijon, le message d’un plâtrier du XIXe siècle resurgit d’un mur

Un message laissé par un ouvrier en 1856 dans les murs d’une chapelle dijonnaise du XVe siècle vient d’être découvert à l’occasion d’un chantier de restauration.

Le document, exemple de transmission de mémoire entre deux époques, a été déposé aux archives municipales de Dijon, qui vont le conserver.

«Celui qui met un frein à Ia fureur des flots sait aussi des méchants arrêter les complots. »
Ces vers de Racine, tirés d’Athalie, ont été écrits au crayon sur une feuille de papier.
Ils figurent sur un message manuscrit signé par un certain «Godard Nicolas », qui a daté
sa missive du 10 août 1856. «Au moment où ces lettres sont écrites, la plus grande misère existe à Dijon », précise-t-il. Cent soixante cinq ans plus tard, ce texte a ressurgi du passé dans des circonstances étonnantes dévoilées par le quotidien Le Bien public.

Un ouvrier employé sur un chantier de restauration a découvert ce document caché dans les
murs de la chapelle Sainte-Croix-de-Jérusalem, un édifice dijonnais du XVe siècle intégré au site de la future Cité internationale du vin et de la gastronomie, qui doit ouvrir à la fin de l’année.
Il faisait une saignée pour y passer des gaines électriques, quand il a vu une pierre
bouger et a trouvé, derrière, un papier plié en six. Sa trouvaille a été confiée aux archives municipales, qui l’ont expertisée.

Restauration de la Chapelle

Sainte-Croix de Jérusalem
 Cette chapelle est fondée et construite en 1459 Elle est alors située dans l’enceinte du cimetière de l’hôpital médiéval, fondé en 1204. Cette situation singulière est en accord avec sa vocation funéraire. La petite chapelle est en effet employée pour l’exposition des morts avant leur inhumation et pour la célébration de la mémoire des trépassés. Son caveau accueille en outre la sépulture de certains religieux.

Menacée lors des travaux d’agrandissement et de modernisation de l’hôpital au 17e siècle, elle est préservée, quoique dans un environnement totalement modifié. Son chevet est encastré dans le corps de bâtiments édifié face à l’Ouche. La cour qui l’englobe devient alors la cour de Jérusalem.

Classée au titre des monuments historiques en 1908 et aménagée comme un embryon du musée des Hospices de Dijon à la veille de la Seconde Guerre mondiale, elle demeure aujourd’hui le plus ancien témoin bâti de l’hôpital médiéval.

Le «sieur Godard», comme il se présente, était un ouvrier plâtrier, qui a lui-même travaillé au milieu du XIXe siècle dans cette même chapelle, alors également «en réparation» selon ses mots. «C’est une découverte inoe et ce texte est extraordinaire, commente Bassir
Amiri, conseiller municipal délégué aux archives et au patrimoine culturel de la ville de Dijon.

Un dialogue à travers les âges

Il crée un dialogue à travers les âges entre deux artisans. C’est un acte volontaire de transmission de mémoire, un souci qui existe depuis la nuit des temps.»

La pratique existe notamment chez ·les tailleurs de pierre. En même temps, l’homme né en 1838 – son acte de naissance a été retrouvé depuis – conte sa vie sur ce feuillet rédigé d’une écriture soignée. Il a participé à la «campagne de Crimée», qui a opposé la Russie à une coalition de 1853 à 1856, a servi sur « la frégate à vapeur L’Orénoque» et est « natif de Moloy», en Côte-d’Or.
«C’est un document d’intérêt historique, qui donne une vision de lhistoire sociale de cette
co
rporation», poursuit l’élu dijonnais, lui-même historien.

Reste un mystère. Pourquoi un plâtrier cite-t-il en 1856 ces vers de Racine?
Bassir Amiri y perçoit une possible référence à l’expérience de marin de Nicolas Godard et le
signe de sa culture.
«On voit à la qualité de son écriture qu’il a reçu une éducation, souligne-t-il. Le théâtre est resté un genre de divertissement populaire pour toutes  les couches sociales et les grands classiques représentaient la quintessence de la tradition littéraire française. »
Le texte exhumé sera conservé par les archives de Dijon, qui vont le numériser.

Pascal Charrier la croix février 2021

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Mythes et légendes de la Fosse Dionne

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       LA SOURCE

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Les mythes et légendes qui entourent la Fosse Dionne

La fosse Dionne est une source karstique dite source vauclusienne, située dans le centre-ville de Tonnerre (département de l’Yonne).
Elle est alimentée par les infiltrations des précipitations dans le plateau calcaire avoisinant ainsi que par les pertes d’au moins une rivière. La fosse Dionne est remarquable par son débit (en moyenne 300 litres par seconde) et la taille de son réseau hydrogéologique qui s’étend jusqu’à plus de 40 km.
Sa présence est à l’origine de la création de la ville de Tonnerre.

Un lavoir élaboré a été aménagé autour de la source au XVIIIe siècle.

En 1758, Louis d’Éon, père du chevalier d’Éon, fait aménager la source en lavoir5. Un bassin de 14 mètres de diamètre est édifié. Les lavandières sont protégées des intempéries par un toit en forme de « demi-rotonde » porté par une charpente adossée à un mur en moellons. Pour éviter toute pollution, un muret sépare la source de l’auge annulaire utilisée pour le lavage. Des foyers situés sur le pourtour du lavoir permettent de produire la cendre utilisée pour le nettoyage. Le lavoir est classé Monument historique depuis 19206.

 

À Tonnerre, la Fosse Dionne fascine. Entourée de mystères, elle est la source de plusieurs mythes et légendes, des sous du diable au Basilic…

Où se trouve la source de la Fosse Dionne, aménagée en lavoir en 1758 à Tonnerre ? Une question qui n’a, à ce jour, pas trouvé de réponse. Autour de ce mystère ont fleuri, au fil des siècles, mythes et légendes.

Les sous du diable
En l’an 700, le petit Pierre rencontra un cavalier noir qui lui demanda s’il connaissait une source pour y faire boire sa monture. Le petit Pierre lui indiqua la Fosse Dionne. En partant, le cavalier perdit une grande quantité d’argent au sol et Pierre s’en empara.

Le petit Pierre dépensa ce trésor malhonnêtement récupéré, mais rien ne se passa selon son souhait. Les fleurs qu’il acheta se fanèrent, un mendiant refusa son aumône, les friandises qu’il offrit à ses amis leur donnèrent des coliques…

Désespéré, il se rendit à la Fosse Dionne où l’attendait, tapis dans l’ombre, le cavalier noir. Pierre jeta ses sous dans la source avant de s’y noyer, mais l’évêque saint Pallade le sauva. Cependant, au fond de la source, les sous du diable accusaient encore l’enfant. L’évêque les recouvrit de son manteau, donnant à l’eau sa couleur d’un bleu profond. Le cavalier en colère sauta alors depuis le clocher de l’église Saint-Pierre et creusa un puits profond au fond du bassin.

Saint Jean et le Basilic

   C’EST QUOI UN BASILIC :   La Symbolique du basilic
« Reptile fabuleux, qui tue par son seul regard ou par sa seule haleine celui qui l’approche sans l’avoir vu et ne l’a pas regardé le premier. Il naîtrait d’un œuf de vieux coq, âgé de 7 à 14 ans, œuf rond déposé dans du fumier et couvé par un crapaud ou une grenouille. Il est figuré par un coq à queue de dragon ou par un serpent aux ailes de coq. Tout son symbolisme découle de cette légende ».

Saint Jean de Réome se creusa une cellule dans les rochers de Tonnerre. Mais on le prévient que dans le fond de la vallée, où se trouvait le marais de la Dionne, un Basilic (serpent légendaire) causant la misère des habitants vivait dans un puits.
Saint Jean décida de creuser à l’endroit où se trouvait le serpent. Une source jaillit et le Basilic fût tué.
Dans d’autres légendes, la Fosse Dionne serait l’entrée de l’enfer ou aurait abrité un serpent basilic, dont le regard avait « la faculté de tuer ».

Le manteau de la Vierge

À une époque où la Fosse n’existait pas et où l’eau de la source coulait de la falaise en un bourbier jusqu’à l’Armançon (donnant son nom au quartier Bourberault), une pauvre jeune fille marchait dans la nuit. Elle sentit une présence, celle d’un homme qui, lorsqu’elle accélérait le pas, faisait de même.

Au moment où la main du diable s’abattait sur son épaule, la jeune fille implora la Vierge de lui venir en aide. La Vierge apparut dans un grand manteau émeraude qu’elle étala devant la jeune fille. Un vaste cratère rempli d’eau pure s’ouvrit alors sous la falaise et la Vierge y entraîna la jeune fille, la sauvant du diable. Et colora, par ce manteau, le fond de la Fosse Dionne ainsi créée.

De nos jours, la splendide arrivée d’eau est toujours l’objet de mystères, plusieurs personnes ayant trouvé la mort au cours de tentatives d’exploration de ses entrailles. Par ailleurs, l’ensemble de ses sources n’a pas encore pu être déterminé.

Petit historique spéléologique

1978 : Pierre Morel atteint -38 m et s´arrête à 180 m de l´entrée.

1979 : Le 1er décembre, Pierre Morel atteint la cote 280 m.
Le 2 décembre, Eric Le Guen secondé de son frère Francis, membre du Spéléo-Club de Paris, atteint la cote -61 m, à 360 m de l´entrée. L´exploration durera plus de trois heures en immersion totale.

1989 : P. Jolivet dépasse le terminus de Le Guen et atteint la cote -70 m, à 370 m de l´entrée.

EN 2019 Tonnerre : un plongeur bat un record de profondeur en explorant la mystérieuse fosse Dionne

REPORTAGE FR3 Bourgogne Franche-Comté
Reportage de Baziz Djaouti, Yoann Etienne et Rachel Nectoux avec Pierre-Eric Deseigne, plongeur professionnel (images souterraines tournées par Pierre-Eric Deseigne et son équipe)

La Fosse Dionne, à Tonnerre, a-t-elle livré tous ses secrets ? Ce lieu qui charrie son lot de légendes et de mystères n’en finit plus de fasciner. Depuis plus d’un an, un plongeur professionnel et son équipe ont décidé de reprendre l’exploration du site. Il y a quelques jours, lors d’une plongée, un record de profondeur a même été battu. Des images inédites et exceptionnelles ont été tournées à cette occasion. De quoi alimenter encore un peu plus le mythe de la Fosse Dionne.

Pierre-Eric Deseigne, accompagné d’Hervé Cordier, sont parvenus à parcourir environ 300 mètres dans la Fosse Dionne.
Une première après des années d’interdiction de plongée dans le célèbre site de Tonnerre.


SOURCES:
https://www.lyonne.fr/tonnerre-89700/actualites/plongez-dans-les-mythes-et-legendes-qui-entourent-la-fosse-dionne-a-tonnerre_12996454/     Myriam Lebret

https://www.jaimemonpatrimoine.fr/fr/module/81/1491/les-mysteres-de-la-fosse-dionne

http://fiodesbois.canalblog.com/archives/2016/08/23/34222789.html

https://www.tonnerrois.fr/la-fosse-dionne

https://www.routard.com/photos/bourgogne/85361-la_fosse_dionne.htm

https://www.tonnerrois.fr/la-fosse-dionne

https://www.scchablis.com/Site/Speleo/Invent/89/89418/fosse_dionne.php 

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