Archives de catégorie : Lady Ladinde

Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire, je vais vous en faire part….
De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique ” Et si je ne voulais pas mourir idiote”

LADY LADINDE: Quand le phoenix renaissait de ses cendres


dinde BLOC NOTE LADY LADINDE
Bloc note de LADY LADINDE

 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire,  je vais vous en faire part….
De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique  » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

AUJOURD’HUI  LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR :

« Le phénix renaissant de ses cendres » 

  Stravinsky- Nina Ananiashvili   Maurice Béjart  Ballet Opéra de Paris

   Jorge Donn dans le rôle de l’oiseau
  Igor Stravinsky  « L’oiseau de feu » Finale

Musique d’ambiance : L’oiseau de feu Igor Stravinski

Le phénix est un oiseau légendaire

Le phénix est un oiseau légendaire, doué de longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître après s’être consumé sous l’effet de sa propre chaleur. Il symbolise ainsi les cycles de mort et de résurrection.
Des oiseaux fabuleux semblables au phénix se trouvent dans les mythologies persane sous l’appellation de Simurgh ou Rokh, chinoise sous le nom de Fenghuang, amérindienne (Oiseau-tonnerre) ou aborigène (Oiseau Minka).

Il s’agit d’un oiseau fabuleux, originaire d’Éthiopie (Afrique de l’est), et rattaché au culte du Soleil, en particulier dans l’ancienne Égypte et dans l’Antiquité classique. D’après la légende, sa résurrection avait lieu, en Arabie et dans les pays alentours, comme l’Égypte, où il était vénéré. Le phénix était une sorte d’aigle, mais de taille considérable ; son plumage se parait de rouge, de bleu et d’or éclatant, et son aspect était splendide.

Il n’existait jamais qu’un seul phénix à la fois ; il vivait très longtemps : aucune tradition ne mentionne une existence inférieure à cinq cents ans.

« N’ayant pu se reproduire, le phénix, quand il sentait sa fin venir, construisait un nid de branches aromatiques et d’’encens, y mettait le feu et se consumait dans les flammes. »

Des cendres de ce bûcher, surgissait un nouveau phénix, qui contrôlait le feu de mieux en mieux à chaque résurrection ; c’est aussi pour cela qu’on le nomme oiseau de feu (ses ailes se teintaient d’un rouge flamme et se réchauffaient jusqu’à ce qu’un feu ardent en sorte, tandis que son bec pouvait, s’il le voulait, embraser une forêt avec un feu presque aussi puissant que les flammes du Soleil).

Le Phénix païen puis chrétien

L’oiseau mythique évoque donc également le feu créateur et destructeur. Dans certaines crémations rituelles, le feu est aussi considéré comme véhicule ou messager du monde des vivants vers celui des morts.

Phénix ornant un chapiteau, Abbaye aux Dames, Saintes, XIIe siècle.Le MoyenÂge païen a vu en lui, le symbole de la résurrection du Christ. Malgré tout cette interprétation chrétienne s’est largement inspirée du paganisme où le Phénix correspond depuis toujours à une notion cyclique immanente, à l’inverse de la transcendance chrétienne.

Le griffon était également une représentation du Christ, venant du fait que c’est un animal terrestre (corps de lion) et aérien (ailes d’oiseau). La partie terrestre représentant le corps du Christ et sa présence sur Terre parmi les Hommes et la partie aérienne représentant « Dieu », sa partie spirituelle.

L’oiseau de feu , est aussi un oiseau légendaire issu du folklore russe

Un oiseau de feu, littéralement « oiseau chaleur », est un oiseau légendaire issu du folklore russe. Paré de plumes rougeoyantes et venu d’une terre lointaine, il représente en même temps une bénédiction et une malédiction pour celui qui le capture.
L’oiseau de feu est invariablement décrit comme un grand oiseau dont le plumage majestueux irradie une lumière rouge, orange et jaune — telle la flamme turbulente d’un feu. Ses plumes ne cessent pas de rougeoyer, même détachées du corps ; une simple plume peut ainsi éclairer une grande salle, si elle n’est pas dissimulée.
Dans l’iconographie la plus récente, l’aspect de l’oiseau de feu est habituellement celui d’un paon aux couleurs de feu, complété d’une crête sur la tête, et à l’extrémité des plumes de sa queue, des « yeux » rougeoyants.

La légende a été popularisée en Occident par le ballet de Serge Diaghilev et Igor Stravinski, L’Oiseau de feu.

Phénix renaissant de ses cendres, enluminure du Bestiaire d'Aberdeen

L’Oiseau de feu est un conte dansé en deux tableaux d’après un conte national russe dont la musique a été composée par Igor Stravinsky en 1909-1910 sur la commande de Serge de Diaghilev. Il a été créé à l’Opéra de Paris le 25 juin 1910 par les Ballets russes sur une chorégraphie de Michel Fokine

Il s’agit du premier grand ballet du musicien, qui le rendit aussitôt célèbre

Le ballet

Le ballet est divisé en dix-neuf « numéros », qui, par leurs titres, rendent assez bien compte de l’argument.
Toutefois, il y a plusieurs manières d’interpréter le tout et de créer des histoires différentes à partir de ces numéros.
Voici la première source d’information pour cette histoire est le programme rédigé par les Ballets russes lors de la création du ballet:

le logo de MA2 qui devrait nous régaler tous avec sa musique à deux« Ivan Tsarevitch voit un jour un oiseau merveilleux, tout d’or et de flammes ; il le poursuit sans pouvoir s’en emparer, et ne réussit qu’à lui arracher une de ses plumes scintillantes.
Sa poursuite l’a mené jusque dans les domaines de Kachtcheï l’Immortel, le redoutable demi-dieu qui veut s’emparer de lui et le changer en pierre, ainsi qu’il le fit déjà avec maint preux chevalier.
Mais les filles de Kachtcheï et les treize princesses, ses captives, intercèdent et s’efforcent de sauver Ivan Tsarevitch. Survient l’Oiseau de feu, qui dissipe les enchantements.
Le château de Kachtcheï disparaît, et les jeunes filles, les princesses, Ivan Tsarevitch et les chevaliers délivrés s’emparent des précieuses pommes d’or de son jardin.
 »

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LADY LADINDE: Fait la coupe à SAMSON…?


Aujourd’hui c’est la fête à  SAMSON ……

ET COMME ON EST NOMBREUX A PARLER DE

SAMSON ET DALIDA…

LADY LADINDE  LA  PREMIÈRE…!

ALORS ELLE VA  ÉCLAIRER LES CHOUPINETS
SUR L’ HISTOIRE DE  » SAMSON  ET  DALILA   « 

– Eh camarade… Véronique Sanson n’a rien à voir non plus ….
– Ok ok on va pas couper les cheveux en quatre… !
– Justement Si…  !

Samson et Dalila de Gerrit Van Honthorst -photo la Chouette expo Toulouse été 2012 sur le caravagismedinde

BLOC NOTE LADY LADINDE

 

 

Bloc note de
LADY LADINDE


 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote… Aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire, je vais vous en faire part….
De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique  » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

« Les hommes doués d’intelligence ont une soif d’éducation semblable à la soif de pluie qu’éprouve un champ de culture... »
Je te dis pas…! pour les femmes … c’est encore pire

AUJOURD’HUI LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR :

SAMSON ET DALILA

Dans la Bible, nombreux sont les élus de Dieu ; presque tous sont fidèles et lui obéissent. Quelques-uns, cependant, le déçoivent et se voient abandonnés de l’esprit divin. C’est le cas de Samson, doué d’une force exceptionnelle grâce à l’élection divine, mais qui finira pourtant captif et aveugle pour avoir perdu cette force par sa bêtise.
Voilà un épisode de la bible qui mérite d’être connu car il a inspiré les artistes … et hélas quelques dames qui se croient obligées de ressembler aux femmes qui ont trahis cet homme si fort et si faible à la fois. 

Par trois fois, Samson sera victime des femmes.

La première fois,  celle qui est devenue sa femme lui extorque la réponse de l’énigme qu’il avait proposée et la donne à ses compagnons philistins

La deuxième fois, même si le texte biblique n’est pas explicite à ce sujet, on peut supposer qu?une prostituée de Gaza le dénonce, là encore sans doute par crainte.

Enfin, la troisième fois, la plus célèbre de toutes, Dalila le livre aux Philistins ses ennemis.
Dalila est une femme, probablement philistine, dont s’éprend Samson pour sa perte.
Elle se fait acheter par les chefs de son peuple pour leur livrer ce héros qui les terrorise et les empêche d’opprimer les Israélites, et finit par lui arracher le secret de sa force prodigieuse.
Dalila fait donc raser Samson pendant son sommeil, afin de le priver de sa force et de l’assistance divine dont il s’est rendu indigne en exposant à des mains étrangères ce qui était voué à Dieu.

L’histoire de Samson ….. et Dalila

Samson et le lion, Rubens, 1633-1634

L’histoire de Samson commence  par un incident survenu lors de son mariage de Samson avec une Philistine.

Samson, en allant retrouver sa future femme à Timna, tue à mains nues un lion dont il voit plus tard la carcasse accueillant un essaim d’abeilles.

Samson apporte un rayon de miel à ses parents - le Guerchin Peintre ou Dessinateur : Guerchin, Giovanni Francesco Barbieri dit le (1591-1666) Datation : 1657 Source textuelle : Juges 14, 8-9 (Bible de Jérusalem, p. 368) Sujet de l'image ou genre : Sujet d'histoire sacrée. Samson et le lion Nature de l?image : Peinture sur toile Dimensions : Hauteur 102 * Largeur 117, cm Lieu de conservation : San Francisco, Fine Arts Museums, M. H. De Young Memorial Museum, inv. 65.20.2

 

De cet épisode, il tire une énigme qu’il propose aux convives le jour de ses noces :

« De celui qui mange est sorti ce qui se mange et du fort est sorti le doux. ».

Il révèle à sa femme la solution de l’énigme, mais celle-ci, menacée par les puissants de son peuple, trahit le secret et livre la réponse aux ennemis de Samson.
L’imprudence de Samson n’aura pas de conséquences graves pour lui, mais il ne sait pas en tirer d’enseignement.
Lorsqu’il tombera sous le charme de  Dalila, celle ci  le harcèle pour lui extorquer le secret de sa force prodigieuse et le livrer aux Philistins, il se rend compte du risque encouru mais se laisse malgré tout duper.
Samson est donc un personnage paradoxal : doué d’une force physique redoutable, il semble étonnamment vulnérable face aux femmes.
Le pouvoir des femmes sur lui a anéantit la force que lui a donnée Yahvé…… ainsi ses ennemis finiront par lui percer les yeux.
Seul son esprit de vengeance lui donnera une dernière fois l’assistance de Dieu pour faire effondrer le temple sur lui et tous ses ennemis.

Samson a maintes fois inspiré les grands maitres…..

Des peintres tel Rubens, Rembrandt, Van Dick et van Honthorst (ci-dessus) ont été inspirés par cet épisode biblique.

Rubens (vers 1625) nous relate la tonte de Samson

Samson et Dalila (version de Londres) - Rubens Peintre ou Dessinateur : Rubens, Pierre Paul (1577-1640) Datation : entre 1609 et 1610 Source textuelle : Juges 16, 19-21 (Bible de Jérusalem, p. 371)
Ce tableau de Rubens (vers 1625) nous relate la tonte de Samson.

Tandis qu’il est endormi sur les genoux de Dalila, un valet s’approche de lui et lui coupe les cheveux.
L’action est éclairée par une vieille femme qui surveille la scène.
Dalila semble s’abandonner complètement ; elle regarde Samson et son visage est paisible.
Au fond de la scène, en haut à droite, l’on aperçoit l’armée des Philistins qui attend à la porte.
Ces deux scènes sont éclairées par des bougies qui mettent en relief l’abandon total de Samson, le point central du tableau étant par ailleurs la musculature puissante de son dos.
On peut noter le contraste entre cette expression de force physique et la position presque foetale du héros.
Les deux personnages principaux se laissent faire et ce sont les personnages secondaires qui agissent.

Samson et Dalila par Van Dyck….

 Samson et Dalila, Sir Anthony van Dyck, v. 1630

Samson et Dalila, Sir Anthony van Dyck, v. 1630

 Samson fut trahi par Dalila, femme judéenne dont il était épris.
Cette dernière profita de son sommeil pour raser sa chevelure, de laquelle il tirait sa force.
L’épisode, relaté dans l’Ancien Testament, inspira à Anthony Van Dyck une toile d’une grande intensité dramatique dans laquelle se déploient des lignes sinueuses. Les reflets chatoyants des étoffes témoignent des talents de coloriste de l’artiste.

L’aveuglement de Samson de Rembrandt (1636)

Aveuglement de Samson, Rembrandt, 1636, huile sur toile, 236x306 cm.Si l’on considère L’aveuglement de Samson de Rembrandt (1636),
« Dans la pénombre, Dalila, tenant la chevelure coupée de Samson, s’enfuit : le héros étant ainsi réduit à l’impuissance, les Philistins s’emparent de lui et lui crèvent les yeux. La trahison, l’horrible mutilation du héros, sont exprimées avec force par la puissance et le choc de la couleur qui n’est plus utilisée pour sa facilité de reproduire la réalité mais se voit conférer de façon inattendue ici un véritable rôle de porte-parole du drame.

Dans le contre-jour, les Philistins alertés par Dalila enchaînent Samson et l’aveuglent. Un éclairage dramatique tombe de l’ouverture par laquelle Dalila s’enfuit. Sa main, tenant les ciseaux, est le point le plus éclairé du tableau. Se détachant sur le bleu pâle, le jaune citron, les gris de l’arrière-plan lumineux, le formidable pied de Samson ne peut plus atteindre celle qui l’a trahi. » (Rembrandt de L. Munz et B. Haack).

Sur Les démonstrations de force de Samson.

Son combat avec le lion

Par son naziréat, Samson acquiert une force hors du commun qui lui sera utile pour combattre les Philistins. Homme à l’âme simple et naïve, il est apprécié par le peuple tant que ses actes n’ont pas de conséquences désastreuses.

Il existe dans La Bible plusieurs passages sur cette force surhumaine dont le premier est son combat avec le lion. Les commentateurs du Moyen-Age et notamment l’auteur anonyme de la Glose ordinaire ont reconnu dans ce premier exploit de Samson la préfiguration du Christ aux Limbes, vainqueur de Satan.

Cette interprétation explique la fréquence du sujet dans l’art chrétien dès le XIIe siècle.
Dans l’iconographie traditionnelle, Samson est presque toujours représenté chevauchant le fauve et lui renversant la tête pour lui écarteler les mâchoires de ses deux mains désarmées.
Au XVe siècle, Dürer le représente assis sur la croupe de l’animal. Samson le terrasse en lui brisant l’encolure avec sa jambe droite repliée. Le même épisode est repris par Rubens au XVIIe siècle, mais la mise en scène diffère quelque peu :
Samson écarte les mâchoires du lion qu’il vient de tuer et un essaim d’abeilles s’échappe de sa gueule, ces abeilles rappelant la phrase de l’énigme de Samson : «de celui qui mange est sorti ce qui se mange, du fort est sorti le doux ».

Comme nous l’apprend le livre des Symboles dans La Bible, lorsqu’un être humain remporte un combat contre un lion, c’est un héros historique qui a le dessus sur un animal réel, il n’y a pas de portée symbolique, cette victoire est le simple signe de la «dextérité», de la force musculaire et de la bénédiction divine.

Samson et la mâchoire d’âne

Un autre épisode célèbre de la force de Samson est celui de la «mâchoire d’âne» :

Armé d’une mâchoire d’âne, Samson abat mille Philistins venus le chercher pour « le traiter comme il [les a] traités ».

..

Samson arrache les portes de GAZA

Ce passage est immédiatement suivi de l’épisode des portes de Gaza : Samson, recherché, s’enfuit en arrachant les portes de la ville et les dépose au sommet d?une colline en face d?Hébron. Il laisse ainsi la ville sans défense et humiliée. Ces épisodes, bien que sûrement exagérés, illustrent la force phénoménale du nazir.

Samson abat le temple des Philistins.

Le quatrième et dernier épisode célèbre de la force de Samson, celui du temple des Philistins, est celui qui explicite sa mission d’élu et lui permet de mettre directement sa force au service de son peuple et de son Dieu. Samson, qui a été trahi par Dalila, est emprisonné par ses ennemis et tourné en dérision lors d’une fête religieuse consacrée à leur dieu Dagon.
Sa force, qui l’avait abandonné quand Dalila par traîtrise lui avait fait couper les cheveux, revient peu à peu en même temps que ceux-ci repoussent. Prétextant de la fatigue, il demande à s’appuyer contre les colonnes centrales de l’édifice.
Un jour rassemblés dans leur temple pour offrir un grand sacrifice à Dagôn, leur dieu, ils font venir Samson aveugle pour les divertir. Samson demande à son jeune guide de le conduire vers les piliers de soutien de l'édifice et il fait une prière. Il adresse au Seigneur une prière : «Yahvé, daigne te souvenir de moi et me rendre plus fort ». S?arc-boutant sur chacune des colonnes, il retrouve la grâce de Yahvé et sa force : le temple s’écroule, ensevelissant le héros et ses ennemis : « les morts qu’il fit mourir par sa mort furent plus nombreux que ceux qu’il avait fait mourir durant sa vie ».

Dieu avait-il prémédité sa faiblesse avec Dalila pour susciter chez Samson le désir de vengeance ? c?est le mode de fonctionnement psychologique constant de notre héros ?, ou bien est-ce la prière de Samson et son repentir qui le conduisirent à rendre sa force au nazir pardonné ?

Quoi qu?il en soit, Samson fait preuve dans cette fin épique d?un courage nouveau : il ne s?agit plus seulement d?un exploit physique qu?il est sûr de pouvoir accomplir, mais d?un acte de foi en sa force revenue, d?où l?ampleur spectaculaire de son exploit et son insertion dans la Bible.

source:  site mythes bibiliques

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« La vieille ne voulait pas mourir car elle en apprenait tous les jours – 767 –« 

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LADY LADINDE … Elle veille au grain

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 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

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UN GRAIN DE FOLIE

LA MARIE JOSEPH

AUJOURD’HUI LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR

L’origine de l’expression:  Veiller au grain

– « Un grand nombre d’expressions françaises ont des origines bien floues pour la plupart des gens… Elles sont devenues tellement usuelles que personne ne questionne véritablement leur sens premier. Et c’est bien souvent le cas de « veiller au grain. »

– je suis sûr que Lady Ladinde va tout de suite imaginer le père dodu arpentant son champ pour vérifier que son blé pousse bien, ou le meunier surveillant jalousement le moindre grain à moudre, de peur qu’on ne lui vole son gagne-pain.

–  L’expression « veiller au grain », qui signifie être vigilant n’a rien à voir avec l’agriculture, mais vient du monde maritime.

– Houla la l’erreur ! …
Il convient de séparer le bon grain de l’ivraie avant que ma Lady… vienne picorer la dedans

dinde– Ooohhhh vous trois …!
On dérange pas là…?
Parce que moi? je bosse ….

 » Je souhaite m’instructionner….!  »
En plus si vous me passez du grain au raz du gésier … Vous allez me mettre l’estomac dans les pilons et j’aurais vite comme un mal de mer ……

Allez du calme..!  je crois qu’il faut que tu saches que cette expression serait née au milieu du 19ème siècle à l’heure où la paysannerie était en vogue dans notre Hexagone.
Mais détrompe toi ! Si le « grain » nous fait facilement penser au père DODU veillant à la pousse de son champ de blé, l’origine de l’expression provient en vérité du domaine maritime.


En effet, le « grain » était le nom que l’on donnait à une tempête de vent particulièrement imprévisible et face à laquelle il fallait être très prudent.

Il s’agit d’un coup de vent court mais violent, une bourrasque précédée en général d’un nuage menaçant.
Depuis, on dit que l’on « veille au grain » lorsque l’on se méfie d’un événement qui pourrait nous être néfaste.


Il ne faut pas oublier qu’à l’époque les grands voiliers de
3 ou 4 mats sillonnaient les mers et sur ces navires, c’était la vigie qui était chargée de veiller au grain et d’anticiper au maximum ces tempêtes, histoire de limiter les dégâts matériels.

Mais aujourd’hui l’expression vaut tout autant pour la terre ferme, le meilleur moyen d’éviter l’effet de surprise étant d’ouvrir l’œil, et de ne pas se faire « engrener ».

Veiller au grain signifie donc : Surveiller attentivement, être vigilant, être sur ses gardes ou encore être prudent.

dinde– Hé ..! les vieux loups de mer, auriez-vous oublié que je suis une
Lady qui a quelques restes de son éducation anglaise…..
Chez moi,en Angleterre, c
ette idée de tempête se retrouve notamment dans la locution, « to keep a weather eye » (littéralement « garder un œil météo ») cela évoque bien  cette tendance à se tenir sur ses gardes… à avoir l’œil.

Non mais..! j’hallucine… voila une petite dinde qui sous prétexte d’éducation anglaise nous étalerait sa culture comme de la marmelade de chez Orange ..!
je suis sûr qu’elle ne connait même pas la citation de Sophocle permettant d’illustrer le sens de cette expression.
« C’est dans les accalmies surtout, qu’il est prudent de veiller au grain: La ruine est là sans que l’on y ait pris garde
.  »
Sophocle.

dinde

– Je reconnais Chantoclairobscur que ton pote Sot.?. Socle cause bien..
il faudra que tu me le présentes …
s’il veut bien descendre de son socle..!

 

– Laisse mon lapin ..! ils ont tous un grain…….. il y a plus  rien à apprendre…. le temps est clair sur la ferme… On rentre au poulailler..!

dinde

Tu as bien raison mon petit canard allons faire coin coin

 


MORBLEU…! Ces deux là, si on les surveille pas ils nous prendraient pour des bleus et forniqueraient dans tous les coins …..
Enfin presque …. pas chez le volailler ..!
Dame prudence Noël approche…..

SOURCE: site Expressio et les sites du web traitant de l’expression

dinde LADY LADINDE

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7-6-5-4-3-2-1 ….. Questions sur les jours de la Semaine ?


 hypnose-002ba.jpg dinde BLOC NOTE LADY LADINDE Bloc note de
LADY LADINDE


 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

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AUJOURD’HUI  LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR :

7-6-5-4-3-2-1 ….. Questions sur les jours de la Semaine ?

Les jours de la semaine ont été replacés dans le cadre symbolique du nombre sept.

Ils constituent comme une sorte de totalité résumant le temps et l’espace, une sorte de microcosme de l’évolution.
Les six jours de travail sont censés tourner comme des planètes autour du Soleil.
Chacun de ces jours porte le nom des sept astres que les astronomes de Babylone connaissaient.

Chez les Romains, chacun des sept jours était dédié à une divinité et à sa planète :

 1

Lundi était le jour de la Lune.

 2

Mardi, jour de Mars, planète dédiée au dieu de la guerre en raison de sa teinte rougeâtre évocatrice du sang. 

 3

Mercredi, jour de Mercure, dieu du commerce, des voyages, des échanges. En effet, Mercure était le messager des dieux.

 4

Jeudi, jour de Jupiter, qui régnait sur l’’Olympe et Maître des dieux.

 5

– Vendredi était le jour de Vénus, déesse de l’amour ; on l’’appelait aussi l’’étoile du berger.

 6

– Samedi était jour de Saturne, divinité romaine très ancienne censée avoir enseigné aux hommes l’’agriculture.
Cependant, le mot « samedi » a une autre origine.
Il dériverait du bas latin « sambati dies » ou « jour du sabbat », mot hébreu qui signifie « repos ».

 7

Dimanche était le jour du Soleil, astre dédié à Apollon.
Ce mot « dimanche » dérive du latin chrétien « dies domenicus », jour du Seigneur, jour consacré à la prière et à la contemplation. C’est d’ailleurs officiellement le premier jour de la semaine. 

Heptagramme avec les sept jours de la semaine

Les Hébreux furent les premiers à régler leur vie sur la semaine. En effet, pour eux, Dieu avait créé le monde en six jours et se reposa le septième.

Autre origine probable de la notion de semaine :

Il faut environ sept jours pour passer de la Nouvelle Lune à son premier quartier, sept jours pour passer du premier quartier à la pleine Lune, sept jours pour passer de la Pleine Lune à son dernier quartier, et sept jours pour passer du dernier quartier à la nouvelle Lune.

Et pourtant, ce ne fut qu’’au Moyen Age que l’’usage de la semaine deviendra courant.

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs « Si je comprends bien….  Si DIEU avait créé le monde en 5 jours et s’était reposé le sixième ….. nous bosserions moins longtemps aujourd’hui…

Il y avait déjà là un problème de productivité … et en plus pour faire un monde aussi imparfait …..
Si l’exemple nous vient d’en haut …
Alors, comment voulez vous que ça marche …….
« Nobody is perfect »
Attendez … Attendez, ce que je dis est plus con que d’habitude… par l’oreillette on me signale que DIEU a créé l’homme le sixième jour ……
AH OUAIS…. Là,  j’ai un vrai problème existentiel…..! @#%§^&££$¤????

– MAMMMAAAAAAAAAAAANNNN T’ESSS Lààààààààààà…? »

– Oui mon petit…. ils ont raison et il créa même la femme le même jour…!

– Ah et comment ?

– Eh béé, comme on le dit dans la bible (Genèse 2:22)


« L’éternel sortit une femme de la côte qu’il avait prise à l’homme et il l’emmena vers l’homme. »

Chapelle Palatine – Mosaïque – Création d’Adam et Eve

– AH  je comprends tout ….  ce devait être une basse côte ..!
Si Jupiter l’avait créée lui,  il l’aurait sortie de sa cuisse … quand même plus sexy pour l’avenir de l’humanité »
… je confirme
No.. body is perfect »

LADY LADINDE                                  
dinde

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