Pauvres blondes toujours des victimes …. mais vous pouvez changer les personnages
les adeptes du Sarkozut ceux qui ont les boule de fromage de Hollande peuvent le glisser dans l’histoire..
Lisez ..! vous saurez à quel personnage on peut l’identifier ….
C’est Batman, une blonde, le pape et un enfant de 10 ans qui sont dans un avion sur le point de se scratcher.
Malheureusement il n’y a que 3 parachutes pour 4 personnes…
soudain Batman en prend un et dit: « je suis un super héros le monde a besoin de moi!! » puis il saute.
La blonde a son tour dit :
« J’ai un mari et des enfants et qu’elle doit s’occuper d’eux « donc elle saute à son tour.
Le pape bien embêté dit au garçon
« Je suis vieux et ma croyance m’impose de te laisser la place. »
Le petit lui répond avec un grand sourire: « C’est pas la peine de t’en faire Papy …. -« Jouez à imaginer entre vous, la réponse que fait le petit garçon…? »
Découvrez sa réponse qui tue (en pointant sur le bouton)
« – Il faut pas confondre : Sauter en parachute et sauter sur un char à putes
– Ouais le pape aurait été embarrassé…….. surtout si les filles sont canons et pas futes »
Le petit bonhomme vert qui hante mes nuits…
Un célibataire d’une trentaine d’années fait toujours le même rêve depuis quelques jours:
il rêve qu’un petit homme vert s’approche de lui en lui disant:
« Tu viens faire pipi avec moi? »
Et à chaque fois il le suit.
Le problème, c’est que chaque matin, le gars se réveille avec son matelas mouillé.
Aujourd’hui, il en a plus que marre, d’autant qu’il vient de faire la connaissance d’une jolie poupée……
Vous imaginez un peu le tableau au réveil?
Il fonce à toutes jambes chez le médecin parce que c’est aujourd’hui le « grand soir » et qu’il ne peut rater ce rendez-vous avec l’amour.
Une fois son problème exposé, le toubib lui fait:
– « Écoutez, c’est simple, jeune homme: la prochaine fois vous n’avez qu’à dire au petit homme vert que vous n’avez pas envie de faire pipi. »
L’homme rentre chez lui et s’endort comme prévu dans les bras de sa pépée, lorsque….. le petit homme vert le rejoint dans ses songes:
– « Tu viens faire pipi avec moi? » lui fait-il.
– « Non, je n’ai pas envie« , réplique l’homme.
– » Jouez à imaginer entre vous, la réponse que fait le petit bonhomme vert …? «
Découvrez sa réponse qui tue (en pointant sur le bouton)
CHOUSIALISTE LE BLOC INDISCRET….
DE BUSE A CORNEILLE, UN AUTRE REGARD SUR CE QUE NOUS ENTENDONS
Inscrit à la grille des programmes de la rentrée ce bloc sera contre tout ce qui est pour….. et pour tout ce qui est contre…!
Sa ligne éditoriale tient dans ces deux citations.
L’une d’un homme politique….. l’autre d’un homme du peuple français.
– Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour nous apprendre à dire seulement la moitié de ce que nous entendons
(Édouard Herriot)
– Ce qui accroche l’oeil ne touche pas toujours le coeur. (Marcel)
VU DANS LE SONOTONE CES DERNIERS TEMPS….
Plan de sauvetage des pays en difficulté
Médias…. Couscous au beur de vos épinards
Après le vote des étrangers….. l’autre question c’est la bigamie
Un petit cours sur l’économie Mondiale
Plan de sauvetage des pays en difficulté ….
Comment ça marche …?
Comme l’illustre ce cours très simple sur l’économie mondiale !!!!…!
Une journée maussade dans un petit bourg humide au fond de la verte Irlande.
Il tombe une pluie battante et les rues sont abandonnées. Les temps sont durs :
– Tout le monde est endetté
– Tout le monde vit à crédit.
Arrive un touriste allemand, riche.
Il arrête sa belle voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre.
Il pose un billet de 100 sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d’en choisir une pour la nuit. Le propriétaire de l’établissement lui donne les clés et lui dit de choisir celle qu’il veut.
Dès que le touriste monte l’escalier, l’hôtelier prend le billet de 100 , file chez le charcutier voisin et règle sa dette envers celui-ci.
Le charcutier, qui doit de l’argent à un éleveur de porcs, se rend immédiatement chez ce dernier et lui donne le billet de 100 .
L’éleveur de porcs, à son tour, règle ses dettes envers la coopérative agricole où il achète ses fournitures.
Le directeur de la coopérative court aussitôt jusqu’au pub pour régler son ardoise au patron du bar.
Le barman, glisse alors le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis des semaines.
Celle-ci, qui utilise l’hôtel proche, professionnellement, court régler son compte avec l’hôtelier.
L’hôtelier pose le billet de 100 sur le comptoir où le touriste allemand l’avait posé en arrivant.
Au même moment, le touriste descend l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet et s’en va.
Personne n’a rien produit, personne n’a rien gagné, mais personne n’est plus endetté et le futur semble beaucoup plus prometteur.
« C’est ainsi que fonctionnent les plans de sauvetage que l’on prévoit pour les pays d’Europe en difficulté. »
Médias …… Couscous au beur de vos épinards
La télé en noir et beur trouve son tempo … Bravo …!
Mettons l’accent …des iles sur eux.
– Anicet Mbida chroniqueur Culture geek, 3 rendez-vous en direct entre 21h et minuit dans Info 360° sur BFM TV.
– Harry Roselmack Né de parents martiniquais, Son premier JT a lieu le 17 juillet 2006 avec une audience de 8 millions de téléspectateurs (44,8 % de parts de marché). Son arrivée est présentée par la chaîne TF1 comme celle du « premier journaliste noir » à une heure de grande écoute.
– Avec Audrey Pulvar, également originaire de la Martinique et présentatrice du 19/20 sur France 3 à partir de septembre 2005, il devient l’un des seuls journalistes noirs à présenter un journal dinformation sur une grande chaîne nationale.
LES MÉDIAS DOIVENT MIEUX REFLÉTER LA RÉALITÉ FRANÇAISE D’AUJOURD’HUI …..
C’est vrai ça; tout le monde est d’accord là dessus, les premiers arrivés Harry roselmack et Anicet Mbida, c’est des « proprets » bien de leur personne à qui vous donneriez le bon DIEU sans confession, et en plus , sans leur demander quel est le leur….? Ils me font penser à Sidney Poitier en qui les américains avaient trouvé le noir de service pour répondre à la question « Devine qui vient diner ce soir » (1967) Film culte des années 60 où la gamine ramène à ses parents son fiancé NOIR….
Posez vous la question au 20 h à la TV ……. si le même en jean percés, avec percing et tatouages assortis vous arrivait à table au bras de votre fille…!
OUI ou NON …..! Car c’est ça la vrai question ….! Sommes nous prêts à cette mixité et cette intégration là ….? Quand il s’agit de notre propre famille..!
C’est la même question que lorsque ma grand tante, avait ramené un blouson noir de la grande époque chez TONTON FERNAND…..
Le clou, c’est quand ce chevelu a du laisser son blouson de cuir noir et sa chaine de vélo au perroquet de l’entrée…!
Voyez c’est pas une question de couleur de peau …… ni de peau de la vachette du blouson ……..c’est du trouillomètre à zéro…. peur qu’on vous pique le beurre de nos épinards
Allez paniquez pas … Il y a déjà deux générations qui sont passées par là, sans mourir idiots et parfois fiers d’avoir transmis leur savoir faire, leur boite, tout leur patrimoine à ces gendres là…. qui finissent par tomber le blouson et terminent en bon grand père en train de régler la chaine du vélo des arrières petit-fils de TONTON FERNAND.
En fait , je crois que c’est la couleur du blouson qui faisait peur …. comme la couleur noire de l’autre … cet étranger.
Avec les années qui passe, on a même peur du petit brun…. je veux dire du petit beur… qui sait même plus régler sa chaine …Hi fi , parce que personne n’a songé à d’abord lui acheter un vélo…
Il n’est pas trop tard , mais ce sera pas du gâteau…au beur, juste une part de galette à partager..!
Rappelez vous, mais en mai 68 ceux qui ont tout cassé n’étaient pas différents de ceux qui pédalent dans la semoule aujourd’hui … La société devrait se remettre en cause aujourd’hui, juste avant qu’ils ne se retrouvent tous unis rue Gay Lussac pour jeter un pavé dans la marre une nouvelle fois… Good luck MARIANNE
Quelques graffitis de l’époque:
« – Dessous les pavés c’est la plage…
– Arrêtez le monde, je veux descendre
– La barricade ferme la rue mais ouvre la voie
– Cours camarade, le vieux monde est derrière toi… »
– « ….PUTAIN DE RHUMATISMES…. J’AURAIS JAMAIS DU M’ARRÊTER DE COURIR »
Après le vote des étrangers….. l’autre question c’est la bigamie
La question n’est pas simple et l’arsenal juridique à prévoir pour régler les divorces non plus…
jugez plutôt..!
HISTOIRE DE LA SOUPE ET DU MAGGI ……
DE LA VRAIE MAGIE…!
Plusieurs millénaires séparent le premier bouillon primitif du sachet de soupe lyophilisé Maggi.
Ancestrale et universelle, d’origine terrestre, la soupe est dotée d’un fort pouvoir symbolique et énergétique. LE BOUILLON ANCÊTRE DE LA SOUPE
Depuis la nuit des temps, l’Homme n’a cesse d’améliorer son alimentation notamment lorsqu’il a su domestiquer le feu pour cuire des aliments.
L’homme devient civilisé !
Fini pour lui le temps de l’insouciance où seules la pêche, la chasse et la cueillette pourvoient au nécessaire journalier. Maintenir le feu en vie devient une obsession. Il stocke la nourriture, la sale, la sèche, la fume pour la conserver.
Depuis qu’il a trouvé un moyen de faire chauffer de l’eau dans un trou, sur des pierres ardentes, dans un pot, et qu’il a pensé à faire bouillir des herbes, des graines, des os, de la viande, du poisson…, le bouillon est apparu comme une évidence qui s’inscrit dans les mœurs de l’humanité.
Dès l’âge néolithique, on retrouve des vestiges, des traces d’utilisation de récipient ayant servi à la préparation de breuvages chauds consommés en été comme en hiver L’histoire de la soupe commence avec les prémisses de l’agriculture. La culture des céréales (épeautre, blé, orge…) permet par broyage d’obtenir la farine qui mélangée avec de l’eau avant cuisson donne une sorte de pain primitif qui évolue dans le temps.
La maitrise de la poterie à permis d’élaborer de nombreux pots, récipients permettant une cuisson plus aisée des aliments liquides. Cette activité de poterie se développe au cours de l’antiquité avec l’avènement des civilisations méditerranéennes (égyptienne, grecque et romaine).
Le mot « potager » désigne la pierre creusée en son centre en forme de cône posé sur des braises. C’est sur cette pierre, que repose le pot à cuire.
Dans l’eau, on y ajoute des herbes, racines pour obtenir un bouillon que l’on mélange avec des céréales broyées pour obtenir une bouillie semi liquide : le Brouet.
XII eme SIECLE …. DU BROUET A LA SOUPE
Le pain domine l’alimentation et révolutionne notamment la manière de consommer le bouillon. Le mot soupe apparu au XIIIème siècle est d’origine discutée. on pense que le mot vient du bas latin suppa qui signifie « tremper » La soupe désigne donc la tranche de pain que l’on trempe dans un liquide chaud: bouillon, lait, sauces et jus de viande.
XV ème SIÈCLE ….DE LA SOUPE AU POTAGE
Le potage indique des légumes « cuits au pot ». On considère le potage comme plus noble que la soupe parce tous les aliments sont passés et que sa texture est veloutée. C’est à partir du milieu du XVème siècle que la soupe désigne le plat que l’on connaît aujourd’hui (bouillon épaissi par des aliments solides non passés, généralement à base de légumes).
Les cuisiniers de Catherine de Médicis au milieu du XVIème siècle introduisent, en particulier, les pâtes d’Italie à cuire dans un bouillon.
Henri IV proclamera en 1594
« Si Dieu me prête vie, je ferai qu’il n’y aura point de laboureur en mon royaume qui n’ait les moyens d’avoir le dimanche une poule dans son pot ».
La profusion de nombreux ouvrages de cuisine du XVIIè et XVIIIème siècle reflète déjà la suprématie de la cuisine française avec une surenchère et une impressionnante diversité des préparations culinaires salées ou sucrées. Les soupes, potages, consommés sont très présents dans les ouvrages ou recueils de recettes.
A Paris, au milieu du XVIIIème siècle des vendeurs ambulants proposent du bouillon de viande aux qualités réparatrices sic : « Bon bouillon qui restaur, bon bouillon qui revigore » qui devient « Bon restaurant« .
Vers 1765, les établissements qui en assurent la vente sont appelés des « maisons de santé » ou » restaurants »
Le confiseur français Nicolas Appert (1749-1841) invente en 1795, la stérilisation « appertisation » conservation par stérilisation à chaud des récipients en verre hermétiquement clos.
En 1802 : création de la première conserverie Appert. Sur le même principe, l’Anglais Peter Durand fit breveter en 1810, les boîtes en fer-blanc, un acier laminé et étamé, c’est le début des boîtes de conserve.
CA SENT DÉJÀ PRESQUE LE MAGGI
Les effets de l’industrialisation et la rationalisation du temps de travail entrainent la malnutrition qui frappe en premier les foyers les plus modestes puisque les femmes consacrent moins de temps à « cuisiner ».
.Cette situation créée « un marché » pour produire une alimentation reconstituante. Des industriels se penchent sur le problème et tout naturellement, font appel au bouillon.
Ils se lancent dans cette recherche qui aboutit à des préparations à base d’eau bouillante, des repas tout prêts que l’on peut mélanger et manger rapidement sur le lieu du travail. C’est en 1883 que voit le jour le premier potage minute élaboré avec des farines de légumineuses à base de lentilles, de pois par le suisse Julius Michaël Johannes Maggi.
Toutefois, la soupe reprendra toute sa signification lors des crises économiques, des conflits, des dernières grandes guerres du XXème Siècle.
Le XXème Siècle est une vraie rupture par rapport aux modes de consommation des siècles passés. La transformation industrielle des produits alimentaires est dictée par des intérêts économiques liés au marketing.
On nous vente les vertus prétendues, les qualités nutritionnelles de la soupe sous toutes ses formes avec des innovations pour « Libérer la femme des corvées de la cuisine pour choyer un peu plus ceux qu’elle aime » – Ah oui sans blague…!
– GERMAAAINNNNNNNNNNEEEEEEE….Vient lire un peu là ce qu’ils disent dans la Chouette sur les femmes qui utilisent le Maggi COMME TOI…
– » IL Y A DONC 200 ANS DÉJÀ QUE LES SUISSES NOUS INVENTAIENT LE MAGGI…. 1811 : Fabrication de farineux et de produits diététiques à base de céréales tels que blé, avoine et tapiocas sous la marque Bloch Potalux en Alsace 1870 : Bloc Potalux installe une usine de production à Tomblaine, dans l’agglomération nancéenne. 1883 : Premier Potage Minute élaboré avec des farines de légumineuses à base de lentilles, de pois par le suisse Julius Michaël Johannes Maggi. 1886 : Les premiers potages prêts à consommer et à cuire sous forme de rouleaux 1887 : Arôme Maggi 1889 : Bouillon concentré 1891 : Première publicité écrite sur le bouillon concentré 1898 : Premier bouillon en cube puis en tablette 1906 : Première technique de lyophilisation (déshydrations par le froid) inventée par les Français Arsène d’Arsonvel et F Bordas à Paris 1907 : Le Viandox né d’un accident culinaire du pasteur Jules Viandox 1908 : Le célèbre Bouillon Kub
et le reste suivra jusqu’aux sachets lyophilisés que nous consommons aujourd’hui »
– PAPY VIDÉO –
– « je veux pas apparaitre comme rabat joie mais quand on m’a demandé d’illustrer le bouillon Maggi par un numéro de magie, je me suis dit :
« c’est un peu tiré par les cheveux…! »
j’espère qu’il n’y en aura pas un dans la soupe pour vous gâcher les jambonneaux des gazelles qui assistent le magicien »…..
– Regardez bien chaud devant…… je me demande si ce ne sont pas les jambonneaux qui s’agitent qui nous mettent les pieds dans le plat .. et nous dans le potage
MACHA LABEILLE De retour de Montréal MACHA veut voler de ses propres ailes au secours de la biodiversité..!
Nous lui ouvrirons régulièrement nos colonnes car l’abeille et elle sont deux sentinelles de l’environnement sur qui il va falloir désormais compter …..
Dévastée par la Seconde Guerre mondiale, Berlin a été reconstruite avec une réelle préoccupation pour la biodiversité et l’écologie : flore, faune, biotopes et écosystèmes, planification et gestion des espaces verts urbains et périurbains, inventaires, protection et valorisation de la biodiversité petit tour dans la capitale allemande.
Les espaces verts recouvrent 30% de la surface de la ville.
Cette situation exceptionnelle ne tient pas seulement à lhistoire de la cité, où la guerre a ouvert de très larges brèches.
Elle est le fruit dune planification rigoureuse mise en uvre dès la chute du mur.
Ainsi, le programme daménagement du paysage et de protection des espèces limite rigoureusement laccroissement de la population et des zones destinées à la construction dindustries, de bureaux et de commerces.
Quant aux habitants de la ville, ils sont très soucieux de préserver leur environnement.
Berlin compte plus de 2000 espaces verts publics : forêts, parcs, jardins familiaux
Que lon se promène à travers la forêt de Grunewald par une chaude soirée dété, déambule dans le parc du château de Charlottenburg ou encore que lon observe les sangliers sauvages du Tiergarten (littéralement, le jardin des animaux) on oublierait presque que lon se trouve dans une métropole de près de 3,4 millions dhabitants.
Ancien domaine de chasse des princes électeurs, le Tiergarten sera transformé en réserve pour animaux à partir de 1650.
Le premier aménagement en jardin commencera au XVIIème siècle. Frédéric le Grand veut en faire un parc pour la population. Il demandera au jardinier à la Cour, Sello, de dessiner les plans. Le parc sera endommagé au cours de la Seconde Guerre mondiale.
De nombreux Berlinois viendront y couper du bois pour se chauffer. En 1949, un million darbres fut planté, dont un tilleul des mains du bourgmestre Ernst Reuter, redonnant ainsi au Tiergarten son lustre dantan.
La forêt de Grünewald se situe sur le district de Charlottenburg-Wilmersdorf. Dune superficie de 3100 ha, cette immense forêt était au XVIe siècle une réserve de chasse des princes-électeurs. Plusieurs petits lacs sont situés dans cette forêt, notamment celui de Wannsee, dans lequel on peut se baigner en été.
Une diversité biologique très riche
Non seulement, Berlin est une ville verte, mais elle est également lune des villes européennes les plus riches en biodiversité. Il y vit entre 20 000 et 30 000 espèces animales. Il existe dans la capitale allemande 178 espèces doiseaux nicheurs.
Berlin abrite de petits animaux des bois dans ses forêts, des poissons dans ses lacs, toutes sortes d’animaux dans ses deux zoos et quelques paons sur l’île aux Paons située à proximité de Wannsee.
Des sangliers ont fait leur apparition ces dernières années dans des quartiers tels que Grünewald ou Zehlendorf. Profitant du radoucissement climatique et de labondance de glands dans les forêts berlinoises, il leur arrive de pointer leur nez sur le pas des portes des maisons, à la recherche de quelques ordures au grand dam de la municipalité qui sinquiète de cette prolifération envahissante.
Une ville engagée dans la protection de sa biodiversité
Berlin est consciente quil faut protéger cette richesse. Alors que les plus grandes activités mondiales de conservation de la biodiversité se concentrent principalement dans des zones proches de la nature, la stratégie berlinoise est dencourager la diversité biologique dans des régions urbaines.
La stratégie berlinoise poursuit 3 buts :
– La conservation et le développement de la diversité biologique berlinoise, en noubliant pas de faire de Berlin une grande ville dynamique
– Lutilisation efficace et lintégration de la biodiversité berlinoise dans le développement de la ville
– La prise en charge de la responsabilité globale par une contribution importante à la conservation de la biodiversité au niveau mondial
Des actions concrètes
Trois ruches du projet ont été installées afin de faire connaître cette initiative
Le projet « Berlin bourdonne! » est un projet innovant, dont lidée est de faire revenir et de protéger les abeilles domestiques, ou abeilles « à miel », et les abeilles sauvages dans la ville.
En partenariat avec des professionnels de lapiculture, de la protection de la nature, de la culture, de la science et de léconomie, linitiative implante des abeilles « à miel » sur des sites emblématiques de Berlin et veille à leur bien-être.
(Pour en savoir plus sur cette initiative : www.berlin-summt.de)
Postdamerplatz
Lédification de la Potsdamer Platz, ce symbole du Berlin davant-guerre resté en friche durant toute la guerre froide, offre un bon exemple de cette conscience environnementale berlinoise.
Imaginé par Renzo Piano et inauguré en 1998, ce nouveau quartier de 50 ha a demblée été conçu de la manière la plus écologique qui soit : les matériaux ont été choisis en fonction de leur impact sur la santé, et leur acheminement sest fait en train, de manière à éviter le bruit et la pollution de lair.
Quant au chauffage, il provient de « Heizkraftwerk Mitte », vaste centrale thermique de cogénération sise au bord de la Spree.
Les toitures végétalisées des 19 immeubles occupent 50 000 m2. On y collecte les eaux de pluie, qui vont ensuite alimenter les lacs artificiels de la zone et les toilettes.
Autant de mesures qui expliquent que les immeubles de la Postdamerplatz émettent 70% démissions de CO2 en moins par rapport à un bâtiment conventionnel.
Mais la diversité biologique constitue surtout un héritage culturel du développement de la ville et est, selon moi, une raison pour laquelle on se sent bien à Berlin.