Archives mensuelles : décembre 2011

La blonde s’envoie en l’air ….. avec le petit bonhomme vert


portadaimgvert.JPGBLOC NOTE
par Chou vert

La blonde s’envoie en l’air

Pauvres blondes toujours des victimes …. mais vous pouvez  changer les personnages


les adeptes du Sarkozut ceux qui ont les boule de fromage de Hollande  peuvent le glisser dans l’histoire..
Lisez ..! vous saurez à quel personnage on peut l’identifier ….

C’est Batman, une blonde, le pape et un enfant de 10 ans qui sont dans un avion sur le point de se scratcher.
Malheureusement il n’y a que 3 parachutes pour 4 personnes…

soudain Batman en prend un et dit:
« je suis un super héros le monde a besoin de moi!!  » puis il saute.
La blonde a son tour dit :
« J’ai un mari et des enfants et qu’elle doit s’occuper d’eux «  donc elle saute à son tour.

Le pape bien embêté dit au garçon
« Je suis vieux et ma croyance m’impose de te laisser la place. »

Le petit lui répond avec un grand sourire:
« C’est pas la peine de t’en faire Papy ….
-« Jouez à imaginer entre vous, la réponse que fait le petit garçon…? »

Découvrez sa réponse qui tue (en pointant sur le bouton)
-il reste deux parachutes ..... LA BLONDE A PRIS MON CARTABLE

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs« – Il faut pas confondre :   Sauter en parachute et sauter  sur un char à putes
– Ouais le pape aurait été embarrassé……..  surtout si les filles sont canons et pas futes
 »

Le petit bonhomme vert qui hante mes nuits

Un célibataire d’une trentaine d’années fait toujours le même rêve depuis quelques jours:
il rêve qu’un petit homme vert s’approche de lui en lui disant:
«  Tu viens faire pipi avec moi? »
Et à chaque fois il le suit.
Le problème, c’est que chaque matin, le gars se réveille avec son matelas mouillé.
Aujourd’hui, il en a plus que marre, d’autant qu’il vient de faire la connaissance d’une jolie poupée……
Vous imaginez un peu le tableau au réveil?
Il fonce à toutes jambes chez le médecin parce que c’est aujourd’hui le « grand soir » et qu’il ne peut rater ce rendez-vous avec l’amour.

Une fois son problème exposé, le toubib lui fait:
– « Écoutez, c’est simple, jeune homme: la prochaine fois vous n’avez qu’à dire au petit homme vert que vous n’avez pas envie de faire pipi. »

L’homme rentre chez lui et s’endort comme prévu dans les bras de sa pépée, lorsque….. le petit homme vert le rejoint dans ses songes:
– « Tu viens faire pipi avec moi?  » lui fait-il.
« Non, je n’ai pas envie« , réplique l’homme.
wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs »  Jouez à imaginer entre vous, la réponse que fait le petit bonhomme vert …? « 

Découvrez sa réponse qui tue (en pointant sur le bouton)
- Hé ben tant pis! on va faire caca !

    CHOU VERT

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le sonotone et la com

CHOUSIALISTE LE BLOC INDISCRET….
DE BUSE A CORNEILLE, UN AUTRE REGARD SUR CE QUE NOUS ENTENDONS
Inscrit à la grille des programmes de la rentrée ce bloc sera contre tout ce qui est pour….. et pour tout ce qui est contre…!
Sa ligne éditoriale tient dans ces deux citations.
L’une d’un homme politique….. l’autre d’un homme du peuple français.
Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour nous apprendre à dire seulement la moitié de ce que nous entendons
(Édouard Herriot)
– Ce qui accroche l’œ’oeil ne touche pas toujours le coeœur. (Marcel)


VU DANS LE SONOTONE CES DERNIERS TEMPS….

Plan de sauvetage des pays en difficulté 


Médias…. Couscous au beur de vos épinards 


Après le vote des étrangers…..  l’autre question c’est la bigamie 

  Un petit cours sur l’économie Mondiale
Plan de sauvetage des pays en difficulté ….
Comment ça marche …?

Comme l’illustre ce cours très simple sur l’économie mondiale !!!!…!

Une journée maussade dans un petit  bourg humide au fond de la verte Irlande.
Il tombe une pluie battante et les  rues sont abandonnées. Les temps sont durs :
– Tout le  monde est endetté
– Tout le monde vit à crédit.
Arrive un touriste allemand,  riche.
Il arrête sa belle voiture devant  le seul hôtel de la ville et il entre.
Il pose un billet de 100 € sur le  comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d’en choisir une  pour la nuit.  Le propriétaire de l’établissement  lui donne les clés et lui dit de choisir celle qu’il  veut.

  1.  Dès que le touriste monte  l’escalier, l’hôtelier prend le billet de 100 €, file chez le charcutier  voisin et règle sa dette envers celui-ci.
  2. Le charcutier, qui doit de  l’argent à un éleveur de porcs, se rend immédiatement chez ce dernier et  lui donne le billet de 100 €.
  3. L’éleveur de porcs, à son tour,  règle ses dettes envers la coopérative agricole où il achète ses  fournitures.
  4. Le directeur de la coopérative  court aussitôt jusqu’au pub pour régler son ardoise au patron du bar.
  5. Le barman, glisse alors le billet  à  la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis  des semaines.
  6. Celle-ci, qui utilise l’hôtel  proche, professionnellement, court régler son compte avec l’hôtelier.

L’hôtelier pose le billet de 100 €  sur le comptoir où le touriste allemand l’avait posé en  arrivant.
Au même moment, le touriste  descend l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les chambres à son goût,  ramasse son billet et s’en va.

Personne n’a rien produit,  personne n’a rien gagné, mais personne n’est plus endetté et le futur  semble beaucoup plus prometteur.

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs

« C’est ainsi que fonctionnent les  plans de sauvetage que l’on prévoit pour les pays d’Europe en  difficulté. »

 

Médias …… Couscous au beur de vos épinards

 

La télé en noir et beur trouve son tempo … Bravo …!

Mettons l’accent …des iles sur eux.

Anicet Mbida chroniqueur Culture geek, 3 rendez-vous en direct entre 21h et minuit dans Info 360° sur BFM TV.

Harry Roselmack Né de parents martiniquais, Son premier JT a lieu le 17 juillet 2006 avec une audience de 8 millions de téléspectateurs (44,8 % de parts de marché). Son arrivée est présentée par la chaîne  TF1 comme celle du « premier journaliste noir » à une heure de grande écoute.
– Avec Audrey Pulvar, également originaire de la Martinique et présentatrice du 19/20 sur France 3 à partir de septembre 2005, il devient l’un des seuls journalistes noirs à présenter un journal d’information sur une grande chaîne nationale.

LES MÉDIAS DOIVENT MIEUX REFLÉTER LA RÉALITÉ FRANÇAISE D’AUJOURD’HUI …..

C’est vrai ça; tout le monde est d’accord là dessus,  les premiers arrivés Harry roselmack et Anicet Mbida,  c’est des  « proprets  » bien de leur personne à qui vous donneriez le bon DIEU sans confession, et en plus , sans leur demander quel est le leur….? Ils me font penser à Sidney Poitier en  qui les américains avaient trouvé le noir de service pour répondre à la question « Devine qui vient diner ce soir » (1967)Joey Drayton (Katharine Houghton), une jeune femme de 23 ans vient à San Francisco présenter son futur époux, le docteur John Prentice (Sidney Poitier), à ses parents. Sous-directeur de l'Organisation mondiale de la santé, brillant médecin et professeur de médecine de 37 ans, John Prentice est en deuil depuis huit ans d'une première épouse et d'un fils décédés dans un accident. John craint pourtant la réaction des parents de Joey, car il est noir et elle blanche, différence particulièrement problématique à l'époque où, explique le père de Joey, une telle union « serait illégale dans plusieurs états »1. Les parents de Joey ont des convictions libérales très affirmées et ont élevé leur fille dans le refus du racisme. Cependant, lorsque John leur fait savoir qu'il renoncera au mariage s'il n'obtient pas leur consentement sans réserve, Matt et Christina Drayton (Spencer Tracy et Katharine Hepburn) se retrouvent face à leurs contradictions. Leur fille projette de se marier avec John à Genève deux semaines plus tard. La soirée, déjà tendue, le devient encore plus lorsque Joey décide d'avancer la date de son départ pour la Suisse et invite à dîner les parents de John, qui habitent à Los Angeles. Eux aussi sont très perturbés par cette situation inattendue. Le père Ryan, un prêtre catholique ami de la famille, et Tillie, la bonne, qui est noire, n'hésitent pas à donner leur opinion sur la question. Film culte des années 60 où la gamine ramène à ses parents son fiancé NOIR….

Posez vous la question au 20 h à la TV ……. si le même en jean percés,  avec percing et tatouages assortis vous arrivait à table au bras de votre fille…!

OUI ou NON …..!  Car c’est ça la vrai question ….!  Sommes nous prêts à cette mixité et cette intégration là ….? Quand il s’agit de notre propre famille..!

C’est la même question que lorsque ma grand tante, avait ramené un blouson noir de la grande époque chez TONTON FERNAND…..
Le clou, c’est quand ce chevelu  a du laisser son blouson de cuir noir et  sa chaine de vélo au perroquet de l’entrée…!
Voyez c’est pas une question de couleur de peau …… ni de peau de la vachette du blouson ……..c’est du trouillomètre à zéro…. peur qu’on vous pique le beurre de nos épinards

Allez paniquez pas … Il y a déjà deux générations qui sont passées par là, sans mourir idiots et parfois fiers d’avoir transmis leur savoir faire, leur boite, tout leur patrimoine  à ces gendres là…. qui finissent par tomber le blouson et terminent en bon grand père en train de régler la chaine du vélo des arrières petit-fils de TONTON FERNAND.

En fait , je crois que c’est la couleur du blouson qui faisait peur …. comme la couleur noire de l’autre …  cet étranger.
Avec les années qui passe, on a même peur du petit brun….  je veux dire du petit beur… qui sait même plus régler sa chaine …Hi fi , parce que personne n’a songé à d’abord lui acheter un vélo…

Il n’est pas trop tard , mais ce sera pas du gâteau…au beur, juste une part de galette à partager..!

Rappelez vous, mais en mai 68 ceux qui ont tout cassé n’étaient pas différents de ceux qui pédalent dans la semoule aujourd’hui  … La société devrait se remettre en cause aujourd’hui, juste avant qu’ils ne se retrouvent tous unis rue Gay Lussac  pour jeter un pavé dans la marre une nouvelle fois…   Good luck MARIANNE

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteursQuelques graffitis de l’époque:
« – Dessous les pavés c’est la plage…
– Arrêtez le monde, je veux descendre
– La barricade ferme la rue mais ouvre la voie
– Cours camarade, le vieux monde est derrière toi… »

– « ….PUTAIN DE RHUMATISMES….  J’AURAIS JAMAIS DU M’ARRÊTER DE COURIR »

    Après le vote des étrangers…..  l’autre question c’est la bigamie

La question n’est pas simple et l’arsenal juridique à prévoir pour régler les divorces non plus…
jugez plutôt..!

 

 LE SONOTONELIRE LES ARTICLES DEJA PUBLIES CES DERNIERES SEMAINES

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Papy c’est l’heure du Maggi… Euh non de la magie


BLOC NOTE de Papy Cook

 

 » PAROLES  D’HOMMES  »

« De la cuisine simple comme un bonjour« 

HISTOIRE DE LA SOUPE ET DU MAGGI ……
DE LA VRAIE MAGIE…!

Plusieurs millénaires séparent le premier bouillon primitif du sachet de soupe lyophilisé Maggi.
Ancestrale et universelle, d’origine terrestre, la soupe est dotée d’un fort pouvoir symbolique et énergétique.

LE BOUILLON ANCÊTRE DE LA SOUPE

Depuis la nuit des temps, l’Homme n’a cesse d’améliorer son alimentation notamment lorsqu’il a su domestiquer le feu pour cuire des aliments.
L’homme devient civilisé !
Fini pour lui le temps de l’insouciance où seules la pêche, la chasse et la cueillette pourvoient au nécessaire journalier. Maintenir le feu en vie devient une obsession. Il stocke la nourriture, la sale, la sèche, la fume pour la conserver.

Depuis qu’il a trouvé un moyen de faire chauffer de l’eau dans un trou, sur des pierres ardentes, dans un pot, et qu’il a pensé à faire bouillir des herbes, des graines, des os, de la viande, du poisson…, le bouillon est apparu comme une évidence qui s’inscrit dans les mœurs de l’humanité.

Dès l’âge néolithique, on retrouve des vestiges, des traces d’utilisation de récipient ayant servi à la préparation de breuvages chauds consommés en été comme en hiver
L’histoire de la soupe commence avec les prémisses de l’agriculture. La culture des céréales (épeautre, blé, orge…) permet par broyage d’obtenir la farine qui mélangée avec de l’eau avant cuisson donne une sorte de pain primitif qui évolue dans le temps.

La maitrise de la poterie à permis d’élaborer de nombreux pots, récipients permettant une cuisson plus aisée des aliments liquides. Cette activité de poterie se développe au cours de l’antiquité avec l’avènement des civilisations méditerranéennes (égyptienne, grecque et romaine).

Le mot « potager » désigne la pierre creusée en son centre en forme de cône posé sur des braises. C’est sur cette pierre, que  repose le pot à cuire.
Dans l’eau, on y ajoute des herbes, racines pour obtenir un bouillon que l’on mélange avec des céréales broyées pour obtenir une bouillie semi liquide : le Brouet.

XII eme SIECLE …. DU BROUET A LA SOUPE

Le pain domine l’alimentation et révolutionne notamment la manière de consommer le bouillon.  Le mot soupe apparu au XIIIème siècle est d’origine discutée. on pense que le mot vient du bas latin suppa qui signifie « tremper »
La soupe désigne donc la tranche de pain que l’on trempe dans un liquide chaud: bouillon, lait, sauces et jus de viande.

XV ème SIÈCLE ….DE LA SOUPE AU POTAGE
Le potage indique des légumes « cuits au pot ». On considère le potage comme plus noble que la soupe parce tous les aliments sont passés et que sa texture est veloutée.
C’est à partir du milieu du XVème siècle que la soupe désigne le plat que l’on connaît aujourd’hui (bouillon épaissi par des aliments solides non passés, généralement à base de légumes). 

Les cuisiniers de Catherine de Médicis au milieu du XVIème siècle introduisent, en particulier, les pâtes d’Italie à cuire dans un bouillon.

Henri IV proclamera en 1594
« Si Dieu me prête vie, je ferai qu’il n’y aura point de laboureur en mon royaume qui n’ait les moyens d’avoir le dimanche une poule dans son pot ».

La profusion de nombreux ouvrages de cuisine du XVIIè et XVIIIème siècle reflète déjà la suprématie de la cuisine française avec une surenchère et une impressionnante diversité des préparations culinaires salées ou sucrées. Les soupes, potages, consommés sont très présents dans les ouvrages ou recueils de recettes.

A Paris, au milieu du XVIIIème siècle des vendeurs ambulants proposent du bouillon de viande aux qualités réparatrices sic : « Bon bouillon qui restaur, bon bouillon qui revigore » qui devient « Bon restaurant« .

Vers 1765, les établissements qui en assurent la vente sont appelés des « maisons de santé » ou  » restaurants »

Le confiseur français Nicolas Appert (1749-1841) invente en 1795, la stérilisation « appertisation » conservation par stérilisation à chaud des récipients en verre hermétiquement clos.
En 1802 : création de la première conserverie Appert. Sur le même principe, l’Anglais Peter Durand fit breveter en 1810, les boîtes en fer-blanc, un acier laminé et étamé, c’est le début des boîtes de conserve.

CA SENT DÉJÀ PRESQUE LE MAGGI
Les effets de l’industrialisation et la rationalisation du temps de travail entrainent la malnutrition qui frappe en premier les foyers les plus modestes puisque les femmes consacrent moins de temps à « cuisiner ».
.Cette situation créée « un marché » pour produire une alimentation reconstituante. Des industriels se penchent sur le problème et tout naturellement, font appel au bouillon.

Ils se lancent dans cette recherche qui aboutit à des préparations à base d’eau bouillante, des repas tout prêts que l’on peut mélanger et manger rapidement sur le lieu du travail.
C’est en 1883 que voit le jour  le premier potage minute élaboré avec des farines de légumineuses à base de lentilles, de pois par le suisse Julius Michaël Johannes Maggi.

Toutefois, la soupe reprendra toute sa signification lors des crises économiques, des conflits, des dernières grandes guerres du XXème Siècle.

Le XXème Siècle est une vraie rupture par rapport aux modes de consommation des siècles passés. La transformation industrielle des produits alimentaires est dictée par des intérêts économiques liés au marketing.

On nous vente les vertus prétendues, les qualités nutritionnelles de la soupe sous toutes ses formes avec des innovations pour
« Libérer la femme des corvées de la cuisine pour choyer un peu plus ceux qu’elle aime »
– Ah oui sans blague…!
– GERMAAAINNNNNNNNNNEEEEEEE….Vient lire un peu là ce qu’ils disent dans  la Chouette sur les femmes qui utilisent le Maggi COMME TOI…

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs–  » IL Y A  DONC 200 ANS DÉJÀ QUE LES  SUISSES NOUS INVENTAIENT LE MAGGI….

1811 : Fabrication de farineux et de produits diététiques à base de céréales tels que blé, avoine et tapiocas sous la marque Bloch Potalux en Alsace
1870 : Bloc Potalux installe une usine de production à Tomblaine, dans l’agglomération nancéenne.
1883 : Premier Potage Minute élaboré avec des farines de légumineuses à base de lentilles, de pois par le suisse Julius Michaël Johannes Maggi.
1886 : Les premiers potages prêts à consommer et à cuire sous forme de rouleaux
1887 : Arôme Maggi
1889 : Bouillon concentré
1891 : Première publicité écrite sur le bouillon concentré
1898 : Premier bouillon en cube puis en tablette
1906 : Première technique de lyophilisation (déshydrations par le froid) inventée par les Français Arsène d’Arsonvel et F Bordas à Paris
1907 : Le Viandox né d’un accident culinaire du pasteur Jules Viandox
1908 : Le célèbre Bouillon Kub

et le reste suivra jusqu’aux sachets lyophilisés que nous consommons aujourd’hui »  

–  PAPY VIDÉO –
–  « je veux pas apparaitre comme rabat joie mais quand on m’a demandé d’illustrer le bouillon Maggi par un numéro de magie, je me suis dit :
« 
c’est un peu tiré par les cheveux…! »
j’espère qu’il n’y en aura pas un dans la soupe pour vous gâcher les jambonneaux des gazelles qui assistent le magicien »…..
– Regardez bien chaud devant…… je me demande si ce ne sont pas les jambonneaux qui s’agitent qui nous mettent les pieds dans le plat .. et nous dans le potage

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PAPY COOK

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BIODIVERSITÉ: Berlin, la belle verte

MACHA LABEILLE
De retour de Montréal MACHA veut voler de ses propres ailes au secours de la biodiversité..!
Nous lui ouvrirons régulièrement nos colonnes car l’abeille et elle sont deux sentinelles de l’environnement sur qui il va falloir désormais compter …..
barre verte

Berlin, la belle verte

Vue sur le parc de Tiergarten à Berlin © Ralf Roletschek – Berlin Tiergarten, le poumon de la ville

Dévastée par la Seconde Guerre mondiale, Berlin a été reconstruite avec une réelle préoccupation pour la biodiversité et l’’écologie : flore, faune, biotopes et écosystèmes, planification et gestion des espaces “verts” urbains et périurbains, inventaires, protection et valorisation de la biodiversité… petit tour dans la capitale allemande.

Les espaces verts recouvrent 30% de la surface de la ville.

un des lieux les plus connus et préférées des Berlinois : Alexander Platz : sa Fernsehturm ( tour de télévision ), son horloge universelle. Cette situation exceptionnelle ne tient pas seulement à l’histoire de la cité, où la guerre a ouvert de très larges brèches.
Elle est le fruit d’une planification rigoureuse mise en œuvre dès la chute du mur.
Ainsi, le programme d’aménagement du paysage et de protection des espèces limite rigoureusement l’accroissement de la population et des zones destinées à la construction d’industries, de bureaux et de commerces.
Quant aux habitants de la ville, ils sont très soucieux de préserver leur environnement.

Berlin compte plus de 2000 espaces verts publics : forêts, parcs, jardins familiaux…
Que l’on se promène à travers la forêt de Grunewald par une chaude soirée d’été, déambule dans le parc du château de Charlottenburg ou encore que l’on observe les sangliers sauvages du Tiergarten (littéralement, le jardin des animaux) on oublierait presque que l’on se trouve dans une métropole de près de 3,4 millions d’habitants.

Ancien domaine de chasse des princes électeurs, le Tiergarten sera transformé en réserve pour animaux à partir de 1650.
Le premier aménagement en jardin commencera au XVIIème siècle. Frédéric le Grand veut en faire un parc pour la population. Il demandera au jardinier à la Cour, Sello, de dessiner les plans. Le parc sera endommagé au cours de la Seconde Guerre mondiale.
De nombreux Berlinois viendront y couper du bois pour se chauffer. En 1949, un million d’arbres fut planté, dont un tilleul des mains du bourgmestre Ernst Reuter, redonnant ainsi au Tiergarten son lustre d’antan.

La forêt de Grünewald se situe sur le district de Charlottenburg-Wilmersdorf. D’une superficie de 3100 ha, cette immense forêt était au XVIe siècle une réserve de chasse des princes-électeurs. Plusieurs petits lacs sont situés dans cette forêt, notamment celui de Wannsee, dans lequel on peut se baigner en été.

Une diversité biologique très riche

Non seulement, Berlin est une ville verte, mais elle est également l’une des villes européennes les plus riches en biodiversité. Il y vit entre 20 000 et 30 000 espèces animales. Il existe dans la capitale allemande 178 espèces d’oiseaux nicheurs.

Berlin abrite de petits animaux des bois dans ses forêts, des poissons dans ses lacs, toutes sortes d’’animaux dans ses deux zoos et quelques paons sur l’’île aux Paons située à proximité de Wannsee.
Des sangliers ont fait leur apparition ces dernières années dans des quartiers tels que Grünewald ou Zehlendorf. Profitant du radoucissement climatique et de l’abondance de glands dans les forêts berlinoises, il leur arrive de pointer leur nez sur le pas des portes des maisons, à la recherche de quelques ordures…au grand dam de la municipalité qui s’inquiète de cette prolifération envahissante.

Une ville engagée dans la protection de sa biodiversité

Berlin est consciente qu’il faut protéger cette richesse. Alors que les plus grandes activités mondiales de conservation de la biodiversité se concentrent principalement dans des zones proches de la nature, la stratégie berlinoise est d’encourager la diversité biologique dans des régions urbaines.
La stratégie berlinoise poursuit 3 buts :

– La conservation et le développement de la diversité biologique berlinoise, en n’oubliant pas de faire de Berlin une grande ville dynamique

– L’utilisation efficace et l’intégration de la biodiversité berlinoise dans le développement de la ville

– La prise en charge de la responsabilité globale par une contribution importante à la conservation de la biodiversité au niveau mondial

Des actions concrètes

Trois ruches du projet ont été installées afin de faire connaître cette initiative

Le projet « Berlin bourdonne! » est un projet innovant, dont l’idée est de faire revenir et de protéger les abeilles domestiques, ou abeilles « à miel », et les abeilles sauvages dans la ville.
En partenariat avec des professionnels de l’apiculture, de la protection de la nature, de la culture, de la science et de l’économie, l’initiative implante des abeilles « à miel » sur des sites emblématiques de Berlin et veille à leur bien-être.
(Pour en savoir plus sur cette initiative : www.berlin-summt.de)

Postdamerplatz

L’édification de la Potsdamer Platz, ce symbole du Berlin d’avant-guerre resté en friche durant toute la guerre froide, offre un bon exemple de cette conscience environnementale berlinoise.
Imaginé par Renzo Piano et inauguré en 1998, ce nouveau quartier de 50 ha a d’emblée été conçu de la manière la plus écologique qui soit : les matériaux ont été choisis en fonction de leur impact sur la santé, et leur acheminement s’est fait en train, de manière à éviter le bruit et la pollution de l’air.
Quant au chauffage, il provient de « Heizkraftwerk Mitte », vaste centrale thermique de cogénération sise au bord de la Spree.
Les toitures végétalisées des 19 immeubles occupent 50 000 m2. On y collecte les eaux de pluie, qui vont ensuite alimenter les lacs artificiels de la zone et les toilettes.
Autant de mesures qui expliquent que les immeubles de la Postdamerplatz émettent 70% d’émissions de CO2 en moins par rapport à un bâtiment conventionnel.

Mais la diversité biologique constitue surtout un héritage culturel du développement de la ville et est, selon moi, une raison pour laquelle on se sent bien à Berlin.

Sources :www.berlin.de,
www.berlin-summt.de,
www.oekosys.tu-berlin.de,
www.berlingoesgreen.de

 Pour voler plus loin avec les abeilles:

Potsdamer Platz, Berlin. Exemple d’écologie à l’allemande

Gestion de l’eau de pluie : Berlin nous montre l’exemple

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MACHA LABEILLE

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