Dans les méandres de l’internet au cœur de la toile d’une araignée céleste jaillit parfois la lumière…
C’est ainsi que j’ai découvert l’origine de mon nom.
Malgré sa consonance bien française, GUI7 est d’origine germanique et se traduit: « celui des bois »
Ceux qui connaissent mon amour de la terre et de toutes les créatures de l’univers ne s’en étonneront pas.
J’ ai ainsi compris que quelque part dans la généalogie de ma famille, il y avait l’homme, qui avait vu l’homme, qui avait vu l’ours….!
Mon arbuste n’est ni caduc ni persistant…
il est marcescent…?
Caduc et persistant sont des termes couramment employés, et bien spécifiques. Marcescent, c’est, en quelque sorte, une combinaison des deux.
Un arbuste (ou un arbre) caduc perd entièrement ses feuilles en automne. Un persistant renouvelle son feuillage en douceur, au printemps, parfois sur plusieurs années, tout en conservant l’ancien, qu’il perd ensuite petit à petit.
Les feuilles des persistants sont souvent plus coriaces, et presque toujours vernissées. Ces derniers, sauf exception, supportent difficilement la pollution atmosphérique, car les dépôts se plaçant sur le feuillage l’empêchent de respirer.
Olivier nous explique
comment différencier
un arbuste caduc d’un
persistant et d’un
marcescent.
Les marcescents perdent leurs feuilles tardivement
Les marcescents conservent leurs feuilles sèches une bonne partie de l’hiver. Ces dernières tombent durant le printemps, lors de la pousse des nouvelles. Les charmes et les hêtres sont dans ce cas… bien qu’ils deviennent souvent caducs en vieillissant.
Jeunes, on peut les planter serrés, pour former des palissades, que l’on taille régulièrement, en belles clôtures pour protéger le potager ou dessiner des labyrinthes. Chênes et châtaigniers sont aussi des arbres à feuillage marcescent.
Certaines années, des feuillages caducs deviennent presque marcescents, lorsque des chaleurs estivales se prolongent jusqu’en novembre et qu’une gelée les trouve encore verts. Dans ce cas-là, ils tombent tranquillement au fil des mois suivants.
Si les persistants semblent plus gais en hiver que les caducs, ils alourdissent le jardin en été. N’en abusez pas : un sur trois pour les haies, et un pour cinq ou six en massifs ou en isolé suffisent amplement. Et puis, les silhouettes nues des caducs sont si intéressantes lorsque les feuilles tombent !
« – Ce vers lisant est agaçant… il veut toujours briller et tout savoir… Pardonnez le.. »
L’ART ET LA PALETTE AU CHOU
par Chou Blanc – Wiki..! On a paumé les pinc eaux…
– On s’en fout, c’est de la peinture à l’huile….
PEINTURE : Les arbres
et John Constable
Mesdames mesdames êtes-vous amoureuses de la belle gueule de John constable car vous avez été plusieurs en nous demander de traiter son œuvre moins superficiellement.
Comme un malheur n’arrive jamais seul plusieurs amateurs de nature nous ont ,pour ce même article, demandé à la chouette de descendre de son clocher pour monter à l’arbre ..
C’est chou blanc qui s’y colle pour tenter de satisfaire vos souhaits avec un article qui donne la biographie de John Constable associée à une rubrique sur la place de l’arbre dans la peinture en général et dans celle de ce grand paysagiste en particulier
L’Arbre dans la peinture
Source : (Au fil des lectures livre audio) « Il n’est fleur, il n’est femme, grand Être aux bras multipliés, qui plus que toi m’émeuve et de mon coeur dégage une fureur plus tendre… Tu le sais bien, mon Arbre, que dès l’aube je te viens embrasser : je baise de mes lèvres l’écorce amère et lisse, et je me sens l’enfant de notre même terre. […] »
L’arbre a été un modèle récurrent dans l’histoire de la peinture.
Si avec la Renaissance beaucoup de peintres abandonnent le sacré pour le profane, la peinture au XVIe siècle est encore habitée par les grands thèmes bibliques auxquels s’ajoutent ceux issus de la mythologie. L’arbre, comme sujet de création artistique, a donc une valeur plus symbolique qu’esthétique.
Dès la fin du XVIIIe siècle, les peintres n’envisagent plus la nature comme simple cadre symbolique de leur oeuvre, mais bien comme objet à part entière. Fondant sa peinture sur l’étude réelle de la nature plus importante à ses yeux que les modèles artistiques, John Constable (1776-1837) fut à cet égard l’un des principaux peintres de paysages du XIXe siècle.
C’est en effet à partir de croquis précisément dessinés dans la nature qu’il réalise la plupart de ses peintures. Ainsi, dans L’Étude d’un tronc d’orme, où chaque détail, de l’écorce aux branches, est rendu avec une précision infinie, comment ne pas être frappé par ce que Reynolds nommera son « naturalisme photographique ».l’arbre de Constable est, tellement réaliste qu’on croirait en voir couler la sève,
Par la suite sous son influence, les impressionnistes ont pris habitude de peindre en plein air afin de saisir les colorations variées et fugitives que pouvait offrir la nature. L’arbre, vecteur de lumière et de couleurs, constituait donc pour eux un modèle de prédilection.
Peintre paysagiste britannique et précurseur de l’Impressionnisme.
Fils de minotier prospère John Constable est né à East Bergholt en Angleterre. Il s’inscrit à la Royal Academy de Londres en 1799 et devient l’élève de Joseph Farington, un paysagiste. Il y rencontre Turner, l’autre grand paysagiste britannique du XXe siècle. Il expose mais ne parvenant pas à s’imposer John Constable retourne chez lui, où sa famille le presse de gagner de l’argent. Il réalise majoritairement des portraits, le plus souvent de notables de la région. A la mort de son père, il perçoit un héritage considérable qui lui permet de se consacrer entièrement à son art
Constable est influencé par la peinture paysagiste du XVIIe siècle (Claude Lorrain). C’est avant tout un grand observateur de la nature.
Il révolutionne la peinture en étant l’un des premiers à peindre la nature sur le vif.
Sa reconnaissance en Angleterre est tardive, il est nommé sur le tard et d’extrême justesse à la Royal Academy. C’est en France qu’il rencontre un véritable succès. Les oeuvres exposées au Salon de Paris en 1824, font forte impression et marquent durablement la peinture française en même temps qu’elles annoncent l’impressionnisme. Les peintures de Constable ont influencé Delacroix (1798-1863) Géricault (1791-1824), et les maîtres de Barbizon et les impressionnistes.
Il meurt à Londres en 1837
PARLE NOUS UN PEU DE TOI JOHN… !
«Je suis né pour peindre mon propre pays, ma chère Angleterre. »
« J’aime chaque haie, chaque tronc d’arbre, chaque ruelle de mon village et tant que ma main pourra tenir un pinceau, je ne me lasserai pas de les peindre. »
« Jamais deux jours ne se ressemblent, ni deux heures, et depuis la création il n’y a jamais eu deux feuilles d’arbre exactement pareilles. »
« La nature renaît, tout fleurit, tout s’épanouit autour de moi et à chaque pas il me semble entendre ces paroles de l’Écriture sainte : Je suis la Résurrection et la vie ! »
ON DIT QUE TU ES UNE ARTISTE SCRUPULEUX DONNE NOUS UN EXEMPLE :
C?est exact, j?ai pour habitude de noter la date, l’heure et les changements de climat au dos de mes toiles, afin de mieux comprendre la luminosité.
Laissons au vieux de la vieille que je suis, le plaisir de citer « le chêne et le roseau »
« L’Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu’il déracine
Celui de qui la tête au ciel était voisine,
Et dont les pieds touchaient à l’empire des morts.
MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Pendant trois jours nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau….avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance
AU PROGRAMME :
– L’arbre de Noé.
– L’arbre de vie
– radio verte et son conte ( l’arbre qui parle)
——- L’Arbre de Noé ———
A Limpopo – Mozambique – se trouve un authentique arbre de Noé »!!!
Qui l’a sculpté et quand reste un grand mystère, mais c’est un véritable travail d’artiste….
Une oeuvre d’art dans la nature.
—— L’Arbre de vie ———
L’Arbre de vie est un symbole présent dans presque toutes les cultures anciennes. Que nous dit la bible sur l’arbre de vie ?:
« Le Seigneur forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. Puis le Seigneur planta un jardin en Éden, du côté de l’Orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé. Le Seigneur fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l’arbre de vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal » Avec ses branches tendues vers le ciel et ses racines s’enfonçant dans la terre, il touche à trois mondes : les cieux, la terre et les enfers, qu’il relie.
La Fontaine lorsqu?il nous parle du chêne (le chêne et le roseau) dit :
« De qui la tête au ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l’empire des morts »
L’arbre est le symbole par excellence de la vie. Avec ses racines s’enfonçant profondément dans le sol, et sa ramure s’élevant vers le ciel, l’arbre est souvent apparu comme un trait d’union entre la Terre et le Ciel, c’est-à-dire entre les hommes et les dieux, entre le visible et l’invisible, entre le chaos et la connaissance
Dans les méandres de l’internet au coeur de la toile d’une araignée céleste jaillit parfois la lumière…
C’est ainsi que j’ai découvert l’origine de mon nom.
Malgré sa consonance bien française, GUI7 est d’origine germanique et se traduit: « celui des bois »
Ceux qui connaissent mon amour de la terre et de toutes les créatures de l’univers ne s’en étonneront pas.
J’ ai ainsi compris que quelque part dans la généalogie de ma famille, il y avait l’homme, qui avait vu l’homme, qui avait vu l’ours….!
Quelque part en POLOGNE…. une foret pas comme les autres…!
Il existe une forêt d’environ 400 pins à l’ouest de la Pologne, dont les arbres ont les troncs formant un angle de 180 degrés avec le sol.
Ils ont grandi normalement avant de se courber après environ10 années de pousse.
Ils sont entourés d’autres pins, mais qui sont parfaitement droits.
C’est vraisemblablement la main humaine qui en est responsable, sans que l’on sache dans quel but. C‘est aussi de la main de l’homme qu’est née la forêt des Landes
La forêt des Landes, qui est le plus grand massif forestier d’Europe, n’est pas une forêt naturelle
mais artificielle :
c’est en effet Napoléon au XIXème siècle qui fit planter les pins maritimes pour assécher l’eau des marais, afin :
– De rendre les terres fertiles,
– D’éradiquer le paludisme
– De fixer les dunes de la côte
L’Irlande aussi a des arbres magnifiques !
Visitez Dark Hedges ….
Dark Hedges, est un site étrange, désormais rendu célèbre grâce à la série du Trône de Fer !
Les arbres à monnaie ( Angleterre – Pays de galles) On rencontre cet étrange phénomène dans plusieurs forêts autour de Cumbria et Portmeirion dans le nord de l’Angleterre et du Pays de Galle.
Les burlubans, des arbres qui s’illuminent
Issus du folklore breton, les burlubans ont presque été oubliés avec le temps, et pourtant ce sont des arbres fabuleux capables de s’illuminer la nuit…
Coupe sombre : Un beau contresens Faire une coupe sombre dans les budgets ou dans les effectifs signifie, contrairement à ce qui est généralement utilisé, réduire de très peu.
L’expression vient des bucherons : ceux-ci effectuent une coupe claire quand ils déboisent beaucoup (la forêt s’éclaircit) et une coupe sombre quand ils déboisent peu (la forêt reste dense, obscure).Effectivement le langage populaire n’a retenu que le côté sombre de la coupe, alors qu’une coupe sombre n’annoncent rien de bien grave . Au contraire ! Dans le langage forestier elle est aussi appelée « coupe d’ensemencement » car elle vise à laisser des arbres dans l’ombre desquels pousseront les futurs arbres.