Dans les méandres de l’internet au cœur de la toile d’une araignée céleste jaillit parfois la lumière…
C’est ainsi que j’ai découvert l’origine de mon nom.
Malgré sa consonance bien française, GUI7 est d’origine germanique et se traduit: « celui des bois »
Ceux qui connaissent mon amour de la terre et de toutes les créatures de l’univers ne s’en étonneront pas.
J’ ai ainsi compris que quelque part dans la généalogie de ma famille, il y avait l’homme, qui avait vu l’homme, qui avait vu l’ours….!
Aujourd’hui, je voudrais vous faire découvrir la beauté des paysages et de nos forêts…. Là où naissent des sensations qui transportent l’âme.
Autrefois, les arbres jouaient un grand rôle dans la vie des hommes. Protecteurs, pourvoyant à presque tous leurs besoins, ils étaient considérés comme les manifestations de la présence des dieux sur terre, au point qu’à chacun de ceux-ci on avait attribué une essence particulière.
Il y a plein de belles histoires oubliées, qui rassemble nos croyances sur les arbres, mais aussi les connaissances traditionnelles des civilisations dont nous sommes issus, quelles soient égyptienne, sémite, crétoise, grecque, latine, germanique ou celte.
Ces civilisations avaient les clés d’une mise en ordre de l’univers qui faisait s’accorder l’homme à la nature.
Des émotions germent souvent devant la beauté de la nature… si en plus vous ébranlez l’esprit avec des émotions musicales ….le merveilleux s’installe durablement en vous .
Pour vous aider à ressentir votre appartenance à ce grand TOUT, j’ai sélectionné cette vidéo, qui commence par la composition de John Barry « Quelque part dans le temps » mélangé avec Rachmaninoff « la Rhapsodie.
Quelque part dans le temps: – RACHMANINOFF – RHAPSODY
Après sa première diffusion, il y a eu la réaction de cette lectrice…
C’est elle qui m’a conduit à vous faire partager cette vidéo…… avec l’arrière pensée qu’elle vous soit aussi bénéfique
« – A mon druide,
Merci pour ta vidéo.
Elle m’est arrivée dans un moment de tristesse, et lorsque j’ai vu de si belles images et une musique aussi merveilleuse, je me suis sentie un peu mieux.
A mon grand étonnement, j’existe dans ce grand tout et j’en sors réconfortée ….!
Salut i Pau »
« – Ce vers lisant est agaçant… il veut toujours briller et tout savoir… Pardonnez le.. »
RETRO : C’est du même tabac…..
L’ HOMME DES BOIS La Chouette a déjà dragué « l’homme vert » un articlelui est consacré…
Allez plus loin avec les auteurs cités dans notre article Nous… Nous avons aimé..!
Dans les méandres de l’internet au coeur de la toile d’une araignée céleste jaillit parfois la lumière…
C’est ainsi que j’ai découvert l’origine de mon nom.
Malgré sa consonance bien française, GUI7 est d’origine germanique et se traduit : « celui des bois »
Ceux qui connaissent mon amour de la terre et de toutes les créatures de l’univers ne s’en étonneront pas.
J’ ai ainsi compris que quelque part dans la généalogie de ma famille, il y avait l’homme, qui avait vu l’homme, qui avait vu l’ours….!
C’est un fait établi, les arbres communiquent, échangent et s’entraident. Si l’on voyait simultanément sous la terre, la forêt nous apparaitrait même comme un seul organisme.
Ainsi parle joselin Morisson dans le magazine inress du printemps 2018
Partons avec lui à la découverte d’un univers végétal aux connexions vertigineuses… !!!
La foret qui cache l’arbre
On sait aujourd’hui que plusieurs dispositifs sont utilisés par les arbres pour communiquer
« Deux arbres sont connectés l’un à l’autre, comme un couple d’amoureux; ils prennent soin l’un de l’autre et poussent de façon à ne pas se gêner »
« Au niveau des racines, c’est l’inverse, ils sont complètement entrelacés, comme s’ils ne formaient qu’un et si l’un des arbres venait à tomber, l’autre mourrait très vite, comme un vieux couple. »
Ce nouveau regard sur la forêt, aux accents plus poétiques que botaniques, fait aujourd’hui autorité au plan scientifique.
Aucun doute, les arbres forment « une petite société, avec ses couples, ses amis et ses familles. Il y a même des « arbres mères », qui allaitent véritablement leurs enfants, en transmettant par les racines du sucre à leurs … rejetons.
( Peter Wohlleben, ingénieur forestier –« La vie secrète des arbres )
Comme un réseau de neurones
Ce fait a été confirmé par de nombreuses expériences scientifiques, conduites notamment au pays des vastes forêts, le Canada. par Suzanne Simard
Pour démontrer que les arbres communiquaient entre eux son expérience consiste à couvrir un pin, un bouleau et un cèdre de sacs plastiques, puis à injecter du dioxyde de carbone marqué au carbone 14 dans le sac du bouleau, et du dioxyde de carbone marqué au carbone 13 dans le sac du pin.
Au bout d’une heure, le bouleau et le pin ont échangé leur carbone et le cèdre, n’étant pas connecté aux deux autres, est resté en dehors de l’échange.
Voici leurs dispositifs de communication :
Aérien : « La wifi » des acacias En Amérique du Sud que les acacias qui étaient mangés par les antilopes koudous émettaient par leurs feuilles un gaz, l’éthylène, qui se déposait sur les arbres voisins.
En réaction, ceux-ci augmentent fortement la sécrétion de tanin dans leurs feuilles, jusqu’à des doses mortelles pour les koudous. (Wouter van Hoven)
Racinaire :
L’autre dispositif est donc racinaire, et emprunte également le réseau de mycélium, la partie végétative des champignons qui relie les racines d’arbres éloignés les uns des autres.
Les arbres s’échangent donc du carbone, de l’azote, du phosphore, du sucre, de l’eau, des hormones …
Comme un véritable réseau de neurones, un arbre peut être connecté à des centaines d’autres, développant des liens plus ou moins fons avec les membres de sa propre espèce ou ceux d’autres familles.
Une « mémoire » de la forêt
Plus étonnant, le documentaire « L’intelligence des arbres » a montré comment ces derniers s’informent d’attaques de parasites ou d’un manque d’eau.
Toute situation provoquant un stress peut activer une réponse génétique chez les autres individus comme la production, par exemple, d’une substance insecticide.
« Les souches d’arbres ne meurent pas, car les congénères les alimentent en sucres »
Mais surtout, Peter Wohlleben et Suzanne Simard expliquent que les souches d’arbres ne meurent pas, car les congénères les alimentent en sucres.
Ces souches renfermeraient une « mémoire» de la forêt, c’est-à-dire qu’elles conservent des informations relatives à des événements passés, qui sont utiles si la même situation se représente. Outre la métaphore des neurones, on peut ici parler d’un véritable système immunitaire on parle même de système nerveux en évoquant l’activité électrique de la plante.
Ainsi en plaçant une électrode sur la tige d’un jeune plant, et une autre dans le sol, on peut mesurer une sorte d’électroencéphalogramrne de l’arbre. Un tracé régulier apparaît à l’écran et, lorsqu’on tord une feuille, le graphique marque une chute brutale!
Catherine Lenne, chercheuse à l’Inra, évoque les « muscles» de l’arbre qui se redressent après avoir subi une tempête. On voit, en effet, sur une section de tronc que le nouveau bois qui se constitue après la tempête de 1999, par exemple, n’a pas du tout le même aspect que le précédent.
Catherine Lenne réfute pour sa part l’utilisation du mot « intelligence » pour parler des arbres et de la forêt, et nous met en garde contre un excès d’anthropomorphisme.
D’autres chercheurs n’ont pas ces réserves, tel Ernst Zürcher, l’homme qui « écoute battre le cœur des arbres» ! Bien sûr, il s’agit d’une métaphore, mais son livre Les arbres entre visible et invisible va très loin.
Ses études publiées dans Nature ont montré que les arbres avaient des pulsations du tronc en fonction des marées, et donc de la Lune, qui influencent également les pulsations des bourgeons.
C’est pourquoi le chercheur suisse n’hésite pas à parler d’un «pouls cosmique» !
POUR CEUX QUI VEULENT FAIRE DES RÉVISIONS PENDANT LES VACANCES
L’Irlande aussi a des arbres magnifiques !
Visitez Dark Hedges …. Dark Hedges, est un site étrange, désormais rendu célèbre grâce à la série du Trône de Fer !
Les arbres à monnaie On rencontre cet étrange phénomène dans plusieurs forêts autour de Cumbria et Portmeirion dans le nord de l’Angleterre et du Pays de Galle.
Il existe une forêt d’environ 400 pins à l’ouest de la Pologne dont les arbres ont les troncs formant un angle de 180 degrés avec le sol. C’est vraisemblablement la main humaine qui en est responsable, sans que l’on sache dans quel but.,
Les burlubans, des arbres qui s’illuminent Issus du folklore breton, les burlubans ont presque été oubliés avec le temps, et pourtant ce sont des arbres fabuleux capables de s’illuminer la nuit…
»Les Capacités de notre cerveau et
ses pensées positives »
LA PUISSANCE DE L’ESPRIT POUR LE CŒUR ET LE CORPS RÉUNIS
Le concours entre les deux bûcherons
«Apprenez des experts; vous; ne vivrez jamais; assez vieux pour tout apprendre tout seul.»
Dans la vie, plus nous sommes intelligents, moins nous avons à travailler fort et plus nous produisons.
C’est l’histoire d’un célèbre bûcheron qui vieillissait, mais dont la renommée s’étendait très loin dans les villages avoisinants. Un jour, un jeune et solide bûcheron l’a défié. Ce jeune homme avait la moitié de son âge.
Il déclarait qu’il pouvait couper plus de bois que le bûcheron plus âgé, et ce, dans le même laps de temps. Le bûcheron plus âgé a accepté de relever le défi, et ils se sont mis d’accord sur les conditions de l’épreuve. Chacun devait travailler six heures, après quoi les bûches seraient comptées.
À l’annonce de cette nouvelle, les gens ont accouru des villes et des villages environnants pour assister au concours. Évidemment, beaucoup de paris ont été pris ce matin-là.
Le concours a donc commencé. La sueur luisait sur les fronts et les corps des deux participants.
L’acier des haches réfléchissait les rayons du soleil.
La forêt tout entière résonnait de bruits sourds et cadencés. Les coups de hache des deux bûcherons faisaient voler les copeaux de bois de tous les côtés.
Après cinquante minutes, il s’est produit quelque chose d’inhabituel. À la grande surprise de tous, le bûcheron plus âgé s’est arrêté et il s’est éloigné dans la forêt pour en revenir dix minutes plus tard.
Le jeune, lui, n’arrêtait pas de travailler. Ce comportement s’est répété tout au long de l’épreuve. Le bûcheron plus âgé, s’absentait dix minutes chaque heure pour aller dans la forêt.
Lorsque le juge a déclaré que le temps était écoulé et a ordonné que l’on compte les bûches, le jeune bûcheron a regardé son adversaire en arborant un large sourire.
Le juge a annoncé alors le résultat.
L’ainé avait coupé plus de bois et gagnait ainsi le concours. Le jeune bûcheron et la foule étaient stupéfaits.
Ils criaient : «Le plus vieux n’a travaillé que cinq heures et le plus jeune en a travaillé six.
Comment est-ce possible?»
Et le bûcheron plus âgé, après avoir calmé la foule, a pris la parole :
«Vous avez cru que j’allais me reposer quand je me retirais dans la forêt. Eh bien non, vous aviez tort, j’allais simplement, aiguiser ma hache! »
Faire de la formation continue – c’est-à-dire continuellement apprendre, étudier, lire, améliorer ses compétences et ses habiletés, c’est faire comme le bûcheron plus âgé et aiguiser votre hache. L’important dans la vie, ce n’est pas nécessairement de travailler fort, mais plutôt de travailler intelligemment et efficacement.
Et étudier en apprenant des erreurs des autres à travers des livres, des séminaires et des cassettes ou des CD de formation, c’est justement travailler intelligemment.
Rappelez-vous :
– N’oubliez jamais ce grand principe:
« Dans la vie, plus nous sommes intelligents, moins nous avons à travailler fort et plus nous produisons. Dites-moi, votre hache est-elle bien aiguisée? »
Les histoires émouvantes et exaltantes m’ont toujours fasciné. Déjà tout petit, je prenais un réel plaisir à écouter mes parents et mes grands-parents m’en raconter pour m’endormir.
Puis enfant, elles servaient à me transmettre leurs valeurs, et à éveiller mon imaginaire et à stimuler mon apprentissage.
Je suis persuadé que vous découvrirez dans ce recueil plusieurs histoires qui vous réchaufferont le coeur et stimuleront votre esprit.
Dans la légende de l’homme vert Mémé Marthe disait en conclusion :
– Je te rappelle que le Bon Dieu est le créateur du ciel et de cette terre où la nature, n’est ni plus ni moins, que son habit du dimanche….
et l’homme vert son tailleur…! – » Alors Mémé, c’est du cousu main depuis des siècles et des siècles..! »
….. nos contributeurs sont venus engraisser « La Chouette » de leurs contributions comme:
– Cette photo originale de cet arbre à figure humaine
– Ce tableau de Jep Papy avec ces trois symboliques arbres dans la nuit et le jour…. frappés par une lumière céleste….
Pour être à la hauteur de leur participation, j’ai souhaité leur donner un texte de Jules Supervielle (1884-1960) qui était un poète et écrivain français né en Uruguay. Musique d’ambiance ( vous ne pouvez pas les écouter en même temps c’est dommage)
AU CŒUR DE L’ARBRE
Chant d’oiseaux
Arbres dans la nuit et le jour
Arbres dans la nuit et le jour
Candélabres de la noirceur,
Hauts-commissaires des ténèbres,
Malgré votre grandeur funèbre
Arbres, mes frères et soeurs,
Nous sommes de même famille,
L?étrangeté se pousse en nous
Jusqu’aux veinules, aux ramilles,
Et nous comble de bout en bout.
A vous la sève, à moi le sang,
A vous la force, à moi l?accent
Mais nuit et jour nous ressemblant,
Régis par le suc du mystère,
Offerts à la mort, au tonnerre,
Vivant grand et petitement,
L?infini qui nous désaltère
Nous fait un même firmament.
Nos racines sont souterraines,
Notre front dans le ciel se perd
Mais, tronc de bois ou cœur de chair,
Nous n’avançons que dans nous-mêmes.
L’angoisse nourrit notre histoire
Et c’est un même bûcheron
Qui, nous couchant de notre long,
Viendra nous couper la mémoire.