Avec le temps qui passe ceux qui étaient con le restent et ceux qui ne l’étaient pas le deviennent. Philippe Geluck
Joli texte, très beau, très vrai …. !
À peine la journée commencée et … il est déjà 10 h du matin.
A peine arrivé le lundi et c’est déjà le dimanche.
… et le mois est déjà fini.
… et l’année est presque écoulée.
… et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.
… et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.
et on se rend compte qu’il est trop tard pour revenir en arrière …
Alors… Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste…
N’arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent…
Mettons de la couleur dans notre grisaille…
Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs. Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste. Essayons d’éliminer les « après » …
je le fais après …
je dirai après …
J’y penserai après …
On laisse tout pour plus tard comme si « après » était à nous.
Car ce qu’on ne comprend pas, c’est que :
après, le café se refroidit …
après, les priorités changent …
après, le charme est rompu …
après, la santé passe …
après, les enfants grandissent …
après, les parents vieillissent …
après, les promesses sont oubliées …
après, le jour devient la nuit …
après, la vie se termine …
Et après c’est souvent trop tard…. Alors… Ne laissons rien pour plus tard…
Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments,
les meilleures expériences,
les meilleurs amis,
la meilleure famille…
Le jour est aujourd’hui… L’instant est maintenant…
Nous ne sommes plus à l’âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.
– C’est l’information du pote âgé faite par un pote pas con … mais très COM…!!!
Dans ma rubrique , je veux vous faire part , cette semaine, du départ prématuré de notre compagne de toujours …
L’horloge parlante née en 1933 a été débranchée le 30 juin.
On la savait en sursis victime d’une longue maladie d’une modernité incessante ….
Pour lui rendre hommage je vous ai retracé les étapes importantes de sa vie…. Une vie où pour elle chaque minute comptait et où il n’était pas possible de perdre du temps…
Bonne lecture …. avec celle qui désormais est à la recherche du temps perdu… Pour comprendre où et quand elle a démérité..!!!
L’horloge parlante officielle française de l’Observatoire de Paris a pris sa retraite le 30 juin
c’était la première horloge parlante au monde
Au début des années 30, les demandes d’heure à l’Observatoire par téléphone sont si nombreuses qu’elles deviennent gênantes pour les relations téléphoniques normales d’autant plus que l’Observatoire ne dispose que d’une seule ligne : celle du directeur.
Ernest Esclangon, Directeur de l’Observatoire de Paris, préconise la technique du film parlant, une méthode simple pour réaliser la distribution parlée en continue de l’heure, et confie à la société Brillé le soin de réaliser une horloge parlante.
C’est ainsi que, le 14 février 1933, est inaugurée à l’Observatoire de Paris la première horloge parlante au monde.
Celle-ci est constituée d’un cylindre portant 3 ensembles de bandes de films parlants :
le premier pour l’énoncé des heures de 0 à 23 heures,
le deuxième pour celui des minutes de 0 à 59 minutes,
le troisième correspondant à 10, 20, 30, 40 secondes puis à l’annonce « au quatrième top, il sera exactement ».
Trois têtes à cellules photoélectriques lisent et amplifient le son. Le découpage successif des trois lectures assure l’enchaînement correct des annonces horaires. Les tops secs sont espacés d’une seconde et le zéro de chaque minute correspond au début du quatrième top.
En 1933, ces tops proviennent d’une horloge fondamentale de l’Observatoire de Paris maintenue à température et pression constantes.
La voix enregistrée est celle de Marcel Laporte, dit Radiolo, Speaker au Poste Parisien.
Le succès est immédiat : le premier jour, sur les 140 000 demandes, 20 000 abonnés seulement ont été servis. Son célèbre numéro d’accès fut ODEON 8400.
Enregistrements de l’annonce de l’horloge de 1933 par Marcel Laporte : mp3ogg
1965 : Deuxième génération d’horloge parlante
En 1965 les machines sont reconstruites par le Centre National d’Étude des Télécoms et la voix est remplacée par celle d’un postier anonyme.
Des systèmes de sécurité ayant pour but de garantir l’exactitude des annonces sont ajoutés.
Une version plus moderne, verticale, réalisée à un seul exemplaire a été mis en service en 1975.
1991 : l’électronique arrive avec un duo de voix
Le 18 septembre 1991, une nouvelle horloge parlante, totalement électronique, est mise en service.
Les différentes syllabes des annonces, stockées dans des mémoires, permettent de donner l’heure jusqu’en 2085. De plus, elle alterne à présent voix masculine et féminine et donne la date en complément de l’heure
Pratiquement, la diffusion de l’heure est sécurisée par un ensemble de quatre horloges parlantes (chacune se composant d’une horloge et d’un « générateur d’annonces ») contrôlées par un comparateur.
L’horloge parlante de l’Observatoire de Paris diffuse l’heure légale française. Elle répondait au numéro de téléphone : 3699 Le nombre d’appels par an de l’horloge parlante était de plusieurs millions dans les années 90.
Sur des lignes analogiques, l’exactitude des tops est de l’ordre de 1/20ème de seconde sur l’ensemble de la France métropolitaine.
Annonce de l’horloge de 1991, voix féminine :mp3ogg Annonce de l’horloge de 1991, voix masculine :mp3ogg
L’horloge de la nature: Prévoir le temps, comprendre les saisons, comprendre les animaux et les plantes Broché – Illustré, 21 septembre 2017 de Peter Wohlleben (Auteur)
Ce livre, qui fourmille d’amusantes anecdotes et de précieuses informations, est avant tout un appel passionné à respecter et à vivre pleinement la nature qui nous environne.
Vous aimeriez apprendre à prévoir la météo en vous appuyant sur les signaux que la nature nous lance ? Ou comprendre les animaux et les plantes qui nous entourent ?
Peter Wohlleben nous invite à éduquer nos sens de manière à percevoir les signaux du vent, des nuages, des plantes et des animaux.
Dehors, des milliers de petits et de grands phénomènes se produisent, beaux et fascinants, quasiment magiques. Nous devons juste apprendre à les percevoir, pour découvrir la nature.
On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y’en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas
DESTINÉE
Destinée est une chanson française, interprétée par Guy Marchand, écrite par Philippe Adler et Guy Marchand et composée par Vladimir Cosma. Elle a initialement été créée pour le film Les Sous-doués en vacances sorti en 1982. Cette chanson a également été utilisée la même année dans le film Le père Noël est une ordure lors d’une scène de slow entre Pierre Mortez (Thierry Lhermitte) et Katia (Christian Clavier).
On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée, Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
– Ce père Noël c’est pas le même que le mien … c’est sûr..!!!
Paroles de la chanson
DESTINÉE
On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée, Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie, Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, Depuis longtemps j’avais deviné Qu’à toi l’amour allait m’enchaîner Quand je rencontrerai quelque part, ton regard, Destinée, Où es-tu toi qui m’est destinée Si jamais vous vous reconnaissez Je voudrais vous entendre crier M’appeler
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie,
Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, Encore une fois le cœur déchiré Je suis un clown démaquillé Le grand rideau vient de se baisser Sur l’été
Destinée, On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués Dans la vie, Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
Destinée Encore un fois le cœur déchiré Je suis un clown démaquillé Le grand rideau vient de se baisser Sur l’été
Paroles de la chanson
Couchés Dans Le Foin par Mireille
Il ne faut pas que je vous cache Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches Dans ma famille c’est un tort Hélas le métier de toréador N’a jamais été notre fort J’aimerais mieux qu’on m’injurie Qu’on me pende ou qu’on m’expatrie Plutôt que de toucher un pis, Un pis de ma vie Je suis ainsi tant pis Et c’est dommage La fille de la fermière est charmante Et on a le même âge Par bonheur pour les amoureux Il est au grand air d’autres jeux Des jeux que j’aime davantage
REFRAIN Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin Un p’tit oiseau qui chante au loin On s’fait des aveux Et des grands serments et des voeux On a des brindill’s plein les ch’veux On s’embrasse et l’on se trémousse Ah! que la vie est douce, douce Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin
2 Vous connaissez des femmes du monde Qui jusqu’à quatre vingts ans restent blondes Qui sont folles de leur corps
Pour leurs amours il leur faut des décors Des tapis des coussins en or De la lumière tamisée Et des tentures irisées Estompant sous leurs baisers Des appâts trop usés Eh bien tant pis, tant pis Mais c’est dommage Quand on est vigoureux, quand on aime Et qu’on a mon âge Tous ces décors sont superflus Les canapés je n’en veux plus Je ne fais plus l’amour en cage Gardez, gardez vos éclairages
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BLOC NOTE POÉTIQUE par
Chou Blanc
– Un poème en chanson d’ANDRÉ SYLVAIN… Comme ils disent au « BALTO » … « C’est beau comme un camion »
Les gens âgés.
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Les gens âgés.
Les gens âgés écoutent la radio
Mais on ne joue jamais des chansons pour eux
Ce n’est pas payant
On leurs vend des calmants, des pilules des onguents,
Mais ce n’est n’est que d’amour
Dont ils ont besoin comme médicaments.
Les gens âgés, on les a oubliés
Tout au fond des foyers ou les gouvernements les ont enfermés
Ils ont tout donné, leur amour, leur santé,
Tout ça pour les enfants, ils ont tout sacrifié
Même les rêves les plus grands.
Une seule fois tous les ans
On viendra les visiter
Des parents s’est occupé
Une seule fois tous les ans
On viendra les embrasser, ça oblige le jour de l’An.
Refrain
On est tous des vieux
Qu’on le veuille ou non
On s’ra un jour comme eux
Même riches à millions
On est tous des vieux
Ce n’est qu’une question de temps
Heureux ou malheureux
D’avoir eu des enfants.
Les gens âgés, ne parlent même plus
Ils ont trop à dire, une vie à raconter
Qui va les écouter?
Ils se courbent le dos, et regardent leurs pieds
Se demandent pourquoi au bout du chemin
Ils sont arrivés
Ils ont tout donné, leur amour leur santé
Tous ça pour les enfants, ils ont tout sacrifié
Même les rêves les plus grands
Et du fond de leurs prisons
Ils relèvent parfois le front
Quand ils viennent pour signer
C’est quand vient la fin de mois
et le chèque de leurs pensions
Qu’on fait semblant de leur donner.
Les gens âgés ont le goût de pleurer,
Car ils ont tout le temps de renaître au passé
Revivre leurs 20 ans
Ils n’ont rien oublié, si leur dos à courbé
C’est qu’ils ont trop souvent
Porté les chagrins et les peines des enfants
Les gens âgés ont le temps de prier
Car ils sont devenus au fil des années de simples enfants
Ils demandent au Bon Dieu de parfois penser à eux,
S’Il a une minute ou deux
Ils demandent au Bon Dieu,
pourquoi il a oublié de venir fermer leurs yeux
ANDRÉ SYLVAIN
Paroles et musique: André Sylvain– Editon Mirage-Socan-Canada.