On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y’en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas
DESTINÉE
Destinée est une chanson française, interprétée par Guy Marchand, écrite par Philippe Adler et Guy Marchand et composée par Vladimir Cosma. Elle a initialement été créée pour le film Les Sous-doués en vacances sorti en 1982. Cette chanson a également été utilisée la même année dans le film Le père Noël est une ordure lors d’une scène de slow entre Pierre Mortez (Thierry Lhermitte) et Katia (Christian Clavier).
On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée, Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
– Ce père Noël c’est pas le même que le mien … c’est sûr..!!!
Paroles de la chanson
DESTINÉE
On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée, Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie, Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, Depuis longtemps j’avais deviné Qu’à toi l’amour allait m’enchaîner Quand je rencontrerai quelque part, ton regard, Destinée, Où es-tu toi qui m’est destinée Si jamais vous vous reconnaissez Je voudrais vous entendre crier M’appeler
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie,
Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, Encore une fois le cœur déchiré Je suis un clown démaquillé Le grand rideau vient de se baisser Sur l’été
Destinée, On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués Dans la vie, Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
Destinée Encore un fois le cœur déchiré Je suis un clown démaquillé Le grand rideau vient de se baisser Sur l’été
Paroles de la chanson
Couchés Dans Le Foin par Mireille
Il ne faut pas que je vous cache Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches Dans ma famille c’est un tort Hélas le métier de toréador N’a jamais été notre fort J’aimerais mieux qu’on m’injurie Qu’on me pende ou qu’on m’expatrie Plutôt que de toucher un pis, Un pis de ma vie Je suis ainsi tant pis Et c’est dommage La fille de la fermière est charmante Et on a le même âge Par bonheur pour les amoureux Il est au grand air d’autres jeux Des jeux que j’aime davantage
REFRAIN Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin Un p’tit oiseau qui chante au loin On s’fait des aveux Et des grands serments et des voeux On a des brindill’s plein les ch’veux On s’embrasse et l’on se trémousse Ah! que la vie est douce, douce Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin
2 Vous connaissez des femmes du monde Qui jusqu’à quatre vingts ans restent blondes Qui sont folles de leur corps
Pour leurs amours il leur faut des décors Des tapis des coussins en or De la lumière tamisée Et des tentures irisées Estompant sous leurs baisers Des appâts trop usés Eh bien tant pis, tant pis Mais c’est dommage Quand on est vigoureux, quand on aime Et qu’on a mon âge Tous ces décors sont superflus Les canapés je n’en veux plus Je ne fais plus l’amour en cage Gardez, gardez vos éclairages
Ils allaient dans la vallée, tous alignés derrière un seul homme
Alignés dans l’ombre de celui qui passait devant et qui les unissait tous
ils allaient donc, tous alignés sous la pluie battante.
Vers où.. ? Nul ne le savait….
Ils marchaient sans arrêt depuis des jours et des jours,
Sous la pluie du jour qui ressemblait à la pluie d’hier,
une cousine de la pluie de demain…
Ceux qui trouvaient long ce chemin de pluie …
questionnaient les autres et faisaient remonter vers l’avant
une seule question : « Où allait-on sous cette pluie glacée… »
Lorsque la question arrivait au chef de file… Il disait : « Je vais vers LUI… »
Entre les gouttes de pluie ses mots redescendaient vers le dernier..
qui s’entendait dire : « – Il va vers LUI … »
«- Allez … avances tu es le dernier… » Les jours s’écoulaient sans que la pluie ne cesse…
Les rivières grossissaient autour d’eux,
et de ruisseaux en rivières, de rivières en fleuves,
leurs méandres rendaient encore plus long le chemin.. !
Au fil des jours les plus anciens ou les plus fatigués, se laissaient dépasser.
Après une courte pause, seuls les plus valides reprenaient leur place dans la file,
bien plus loin derrière, heureux de ne pas être dans les derniers.. ! Seul l’avant dernier, devenant le dernier, savait qu’un des leurs n’était plus là… ! « – Pourtant il me suivait de près » se disait-il …. ?
C’était comme cela depuis si longtemps, que ça n’ébranlait pas la file, qui restait constituée, sachant que celui qui était leur guide devant.. « allait vers LUI»
Ils marchaient toujours? comme si l’eau qui leur tombait dessus ne les pénétrait pas ; – « Quand même.. ? » Disaient certains… «… S’il va vers LUI, il doit le connaitre.. ? » – « C’est qui LUI… d’abord.. ? » Une réponse leur revenait assez vite
– « Ben LUI quoi.. ! »
Les jours succédaient aux jours, comme la pluie succédait à la pluie…
Ils marchaient pour certain mécaniquement…
Ils le suivaient depuis si longtemps, que certains s’agitaient dans les rangs.
– « Nous n’en voyons pas le bout » disaient-ils en implorant le ciel….
– « Sait-il au moins où il va .. ? »
Celui du deuxième rang leur répondit à sa place : – « Je dis oui… car je l’ai vu et entendu parler aux étoiles et à la pluie.. !
Ce sont eux qui lui donnent la direction à prendre »
Cet épisode peu banal calma pour un temps les inquiétudes des uns et des autres,
mais très vite sur toute la file on entendait :
–« Aller vers LUI sous la pluie et dans le froid, et par nuit noire.. Existe- t-il LUI..,
Il est où LUI… son pays est-il si lointain ? » Poussés par les autres, plusieurs sortirent du rang pour dire à celui qui les guidait :
–« On trouve tout cela bien long …. Même si notre sort est lié au tien, et que nous sommes tous obligés de te suivre …. OU VAS-TU.. ??? »
-« Je vais vers LUI.. Je sais qu’il est là…. je le sens.. ! » Comme une trainée de poudre se répercuta, jusqu’au dernier, cette phrase : « – Il sait qu’il est là … c’est du sûr…. il sent sa présence.. ! » Le dernier à bout de forces s’exclama : -« Tout ça pour LUI, qui ne se montre même pas .. !!!»
Ceux qui s’étaient mobilisés… toujours présents dans les premiers rangs ne se satisfaisaient pas de sa réponse.
Les plus véhéments parlaient même de le « maitriser »… -« Si tu sais qu’il est là .. C’est le moment de nous conduire à LUI » Un silence s’installa quelques instants entre les êtres… quand tout à coup, ils virent celui qui les guidait sans relâche, depuis si longtemps, ouvrir ses bras… et s’illuminer…
Les uns après les autres, ils en firent tous de même en sautant de joie :
– « C’EST LUI… LE VOILA..! LE SOLEIL …C’EST LUI LA LUMIÈRE »
Disant ces mots … ils virent la pluie cesser et un magnifique soleil percer de ses rayons les nuages noirs. – « Nous sommes chez LUI …. c’est ici que commence, pour vous tous, le royaume de la lumière »
– il rajouta même
« Entrez… TOUS »
Chacun passa devant leur guide se séchant presque instantanément….
Personne n’osait lui demander qui il était .. ni quel âge il avait, tant il paraissait âgé sous sa barbe blanche.. Toutefois quand le dernier qui n’avait plus rien à perdre passa devant lui, de part son grand âge, il posa son genou à terre pour souffler, s’inclina devant lui pour lui rendre grâce .
– « Qui es tu….??? » , demanda le vieil homme – « JE SUIS LE TEMPS et comme vous au fil du temps d’autres viendront dans la lumière… »
– «REGARDE… ! Ils sont déjà en route avec pour guide un bout de mon temps… il les accompagne au fil du temps qui fut jadis le vôtre »
Il pleut aujourd’hui camarade….
–Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Amis vous l’avez compris, il pleut au dessus de moi ….
au dessus de vous Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Il pleut toujours sur Brest comme il pleut dans mon coeur
la destination a l’air sympa…. mais le voyage est d’une grande pénibilité…. surtout quand il pleut .. et moi j’ai des gouttières dans ma tête….. Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
– PUTAIN DE SALE TEMPS … MONSIEUR PRÉVERT..!!!
Au fin fond de ma nuit, j’espère pour encore longtemps, sortir du noir en disant tes mots magiques : « de deux choses « lune » l’autre c’est le soleil » et ça marche … Il est revenu ce matin encore …!!
Quel beau cadeau camarade PRÉVERT….!! C’est le présent qui recommence ….!
Avec ta philosophie, je suis sûr de mon lendemain; car l’avenir ….
Ben c’est le présent de demain..!
– Purée j’ai bien cru qu’il nous ferait pas de « Happy End »