Archives de catégorie : choupinettes & choupinets

Tout pour les petits bout de chou….pas les choux de Bruxelles qui sont une espèce de chou …je le répète pour les urbains, c’est un chou adulte…ils sont cons mais cons ..ils croient aussi que les radis poussent en botte

LE BEAU EST DANS LA NATURE: Gustave Courbet l’a rencontré…. on partage…!


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L’ART ET LA PALETTE AU CHOU
VISITE DANS LES ARBRES ET LA NATURE
DE GUSTAVE COURBET

« Le beau est dans la nature, et se rencontre dans la réalité sous les formes les plus diverses.
Dès qu’on l’y trouve, il appartient à l’art, ou plutôt à l’artiste qui sait l’y voir. »

Ainsi s’exprimait Courbet le jour de noël 1861 devant l’auditoire de jeunes artistes de son atelier éphémère de la rue Notre-Dame-des-Champs à Paris.

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L‘AMOUR DE LA NATURE

GUSTAVE COURBET -AUTOPORTRAIT -Le désespéré - 1845GUSTAVE COURBET est  né le 10 juin 1819 à Ornans, près de Besançon (Doubs), et mort le 31 décembre 1877 à La Tour-de-Peilz en Suisse.
 » Républicain de naissance », comme il aimait se définir, il était issu d’une famille de citoyens aisés, orgueilleux de leurs traditions démocratiques.
Ses premières années furent marquées par le climat de luttes politiques qui caractérisa cette époque: en 1831 eut lieu la célèbre insurrection des « canuts » de Lyon, suivie en 1833 de vagues de chômage et de répression.
Le socialisme répandait ses idées; les premières ligues prolétariennes des « mutualistes » et des « compagnons » se formaient, particulièrement dans le pays de Courbet, la Franche-Comté, qui en fut un centre important.


Le ruisseau ombragé (ou le flux Noir Puits)
LE RUISSEAU OMBRAGE GUSTAVE COURBET 1865  – MUSÉE ORSAY PARIS

Les premières études au séminaire d’Ornans mirent en évidence son caractère rebelle et indiscipliné, mais aussi d’indéniables dispositions au dessin.
En 1838, il exécute pour ses essais poétiques quelques lithographies, qui comptent parmi ses premières œuvres.
Il commence à travailler seul, peignant des paysages dans la forêt de Fontainebleau et à Ornans, étudiant au Louvre, avec acharnement les grands maîtres.

Gustave Courbet 1864 huile sur toile, 89 x 110 cm Tokyo, Murauchi art Museum

Le chêne de Flagey – 1864
Quand, à 30 ans, en 1849, au seuil du succès, Courbet affirmait son indépendance face à la société, en clamant qu’il fallait « encanailler l’art », il se justifiait en ajoutant qu’il y avait trop longtemps que les peintres, ses contemporains faisaient « de l’art bon genre à la pommade (…) de l’art à idée ».

Crédit photo © Institut Courbet d’Ornans - Gustave Courbet, Les Amoureux dans la nature 1873
Crédit photo © Institut Courbet d’Ornans – Gustave Courbet,  –  Les Amoureux dans la nature 1873

 Saisi d’enthousiasme pour le réel, il affirmera bientôt:
«[je suis] l’élève de la nature […] je n’ai eu que moi-même pour maître ».

Il devient  le chef de file du courant réaliste. Son réalisme fait scandale (son nu « l’origine du monde » fait toujours polémique aujourd’hui).Engagé dans les mouvements politiques de son temps, il est l’un des élus de la Commune de 1871 accusé d’avoir fait renverser la Colonne Vendôme.
Il est condamné à la faire relever à ses propres frais. Libéré de prison, il se réfugie en Suisse.

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le logo de MA2 qui devrait nous régaler tous avec sa musique à deux

 

 

Admirez ses œuvres en chanson

Chanson de Michel Sardou

La rivière de notre enfance

Je me souviens d’un arbre
Je me souviens du vent
De ces rumeurs de vagues
Au bout de l’océan
Je me souviens d’une ville
Je me souviens d’une voix
De ces noëls qui brillent
Dans la neige et le froid

Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse

Gustave COURBET «Rochers et ruisseau en forêt»

Je me souviens d’un rêve
Je me souviens d’un roi
D’un été qui s’achève
D’une maison de bois
Je me souviens du ciel
Je me souviens de l’eau
D’une robe en dentelle
Déchirée dans le dos

Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse

 
Gustave Courbet, Le ruisseau de la Brême (1866)

Je me souviens d’un phare
Je me souviens d’un signe
D’une lumière dans le soir
D’une chambre anonyme
Je me souviens d’amour
Je me souviens des gestes
Le fiacre du retour
Le parfum sur ma veste


Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse

1866 SOURCES DU LISON

Je me souviens si tard
Je me souviens si peu
De ces trains de hasard
D’un couple d’amoureux
Je me souviens de Londres
Je me souviens de Rome
Du soleil qui fait l’ombre
Du chagrin qui fait l’homme


Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse

Michel Sardoubarre verte

MERCI… Monsieur COURBET
un jour, tu me montreras la mer


La Loue, cette belle rivière à truites qu’il a souvent peint traverse le petit bourg franc-comtois d’Ornans où il naquit le 10 juin 1819, initia GUSTAVE COURBET à la vision de la nature.
Quand il découvrit au printemps 1841, à l’âge de 22 ans, lors d’un bref séjour en Normandie, une dimension nouvelle et enchanteresse de la nature en observant la mer :« la mer sans horizon », il s’enthousiasma et rêva :
« on se sent entraîné, on voudrait partir voir le monde entier… »wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs-« Mesdames….. Si vous êtes sages et aimables à force de manger de la carotte de votre pote âgé…….  je vous promets « une palette au chou » spéciale :
« GUSTAVE  COURBET  ET  LA MER »

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Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez Chou Blanc   retour sur la rubrique du même tabac

    RETRO :
C’est du même tabac…..

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L’origine des fêtes de l’ours dans les Pyrénées

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transformera, cet automne, en conteuse au bord du feu…. Préparez les buches….. conservez vos braises on va faire griller les châtaignes

Pour les autres ….??
Ben..! Rêvez…..! Vous sentirez très vite les odeurs de la grillade , la chaleur du feu de bois, vous entendrez l’écorce crépiter….. et vous verrez au milieu des flammes…. la fantasmagorie de l’imaginaire…
ça y est..
Vous tenez le soufflet bien en main….?
Oui.. !

CHAQUE ANNÉE EN FÉVRIER ONT LIEU LES FÊTES CARNAVALESQUES AUTOUR DE LA CHASSE A L’OURS :
L’origine des fêtes de l’ours dans les Pyrénées

 Les sardanes donnent l’ambiance

logo mamy turlututu smallMes chers enfants moi aussi j’avais une grand mère qui, comme moi, aimait à raconter des histoires à la choupinette que j’étais en ce temps là….!

Elle se plaisait à me parler d’histoires qui m’aidaient à mieux me connaitre ou à découvrir le monde ..
je me rappelle du jour où elle m’a raconté:
La légende de L’ours des Pyrénées ……

J’ai donc décidé de vous la raconter à mon tour, pour que vous puissiez
pleinement participer aux fêtes de l’ours qui durant le carnaval font revivre cette légende.


ALLEZ.. ACTION Mamy..!
ALLEZ MAMY RACONTE..!

Oui mon petit voici la légende de l’ours des Pyrénées

La légende dit qu’au Moyen-âge, un ours qui cherchait une compagne aurait enlevé une jeune bergère, après avoir massacré ses brebis.

Il la gardât prisonnière dans sa grotte, pour lui voler son âme et sa virginité.
Mais chasseurs, paysans et bûcherons furent lancés à sa poursuite.

Une grande chasse à l’ours commença.. Il fallut des jours et des nuits pour trouver traces de notre ours.
La jeune bergère fut trouvée dans la tanière, saine et sauve mais terrifiée.
Mais avant qu’ils puissent repartir, l’ours revint à la charge.

– Y’a eu des morts Mamy ..?
– Hé oui… Il faut que vous sachiez que l’ours est un animal féroce qui a fait ses dégâts au temps jadis dans nos montagnes…..

logo mamy turlututu smallUn grand affrontement commença, et beaucoup furent tués.
Ils réussirent à prendre le dessus sur la bête et repartir victorieux au village.
On ordonna une grande fête pour la victoire de tous les braves, et pour humilier l’ours, ils le rasèrent à l’aide d’une hache, lui rendant ainsi une apparence plus humaine.
– Qu’est ce qu’ils en ont fait après…..
– Ben…. Au fil du temps, ils réussirent à l’apprivoiser, et le chargèrent des plus lourdes tâches du village.

– Nous on le connait ce gros poilu….
– Et toi Papy … Tu le connais l’ours des Pyrénées

LE CHOURISTE

EH CARAIILLL …..OUI QUE JE LE CONNAIS ….!!!
Vous savez bien mes choupinets que j’y suis né dans ces Pyrénées…..!!!!
et je peux même vous dire comment ça se passe les fêtes de l’ours….

la Fête de l’ours ou « Festa de l’os » est devenue la tradition la plus originale du carnaval catalan

Au cœur de la vallée du Tech, à quelques kilomètres de l’Espagne, les villages du haut vallespir (66) sortent à la mi-février de leurs torpeurs hivernales et s’apprêtent à fêter le réveil de l’ours et le retour du Printemps par des traditions carnavalesques dont l’origine remonte à cette légende.

C’est la Fête de l’ours ou « Festa de l’os ». Cette fête est une des traditions carnavalesques les plus originales du carnaval catalan.

C’est Noirs de suie, d’huile et de sueur, griffant ou mordant tout sur leur passage, farouches, superbes et traqués, les 3 derniers ours du pic du Costabonne descendent dans la ville.
Durant cette fête une turbulente animation règne de nombreuses confrontations ont lieu:
durant plus de deux heures, trois garçons incarnant le rôle d’ours vont assaillir et mâchurer les visages avec une nette préférence pour ceux des jeunes-filles ; pourchassés les « fauves » seront enfin maîtrisés, enchaînés puis rasés à la hache en place publique par les barbiers.

 

 


– Eh JONAS..! Moi je fais couleur locale .. Mais toi…????

Source: www.tresvents.fr –www.fdfr66.com
DÉCOUVRIR LES VILLAGES de Prats-de-Mollo, d’Arles-sur-Tech et de Saint Laurent de Cerdans.

A découvrir chaque année à PRATS-DE-MOLLO-LA-PRESTE 66 Au retour chacun aura sur le visage l’empreinte du plantigrade et celle d’une des plus anciennes et des plus authentiques traditions carnavalesques
Celui qui y participe peut dire ensuite « je suis l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours »…… et qui sait, avec un peu de chance, il peut ramener une des bergères apeurées

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY RACONTE…!
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RETRO C’est une récap des histoires déjà racontées….

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IL Y A PLUS DE 60 ANS… Le 19 mars 62 Cessez le feu en Algérie


ALGERPosée sur le coq en haut du clocher, LA CHOUETTE a gardé les yeux grands ouverts de 1939 à 1945 elle ne peut oublier ce qu'elle a vu..... et entendu...!  BLOC DE MARBRE
par Chou blanc

IL Y A PLUS DE 60 ANS…
Le 19 mars 62 Cessez le feu en Algérie

Moi qui vie dans le midi au milieu des pieds noirs de la première génération,  je voudrais en ce jour de commémoration donner la parole à ceux qui ont vécu ces épisodes de guerre….

Les douleurs du corps et de l’esprit d’ Armande

Vivre ensemble

Dans ma fonction d’accompagnant, j’essaye de soulager les douleurs, les angoisses et les peurs de ceux qui me confient leurs corps…..
Pour Armande, j’ai regretté d’être moins bon magnétiseur que Ma Mémé Marthe…… car Armande est repartie comme elle était venue…… avec ses douleurs violentes dans le dos et ses douleurs dans la tête… et toujours ses insomnies.

Les médecins ont été, comme moi, impuissants à faire cesser ses tourments….

– Nous ne savons pas su, il est vrai ni les uns ni les autres, arrêter le cours de l’histoire ou en dévier sa marche sanglante.
– Nous n’avons pas su retirer Armande de cette fenêtre où  petite fille elle attendait à ORAN, le retour du travail de son papa, le cœur battant… à l’idée qu’il soit assassiné, comme tant d’autres la veille…!
– Nous n’avons pas su la détourner de cette rue où se produisit l’explosion de la bombe qui emporta ses amies et tant d’inconnus si proches…. qu’elle entend encore, plus de 50 ans après, leurs cris d’agonie.

– Nous n’avons pas su éviter qu’elle se réveille encore en sursaut pour vérifier si les draps ne sont pas tachés du sang de ces victimes innocentes.
– Nous n’avons pas  su atténuer ses peines et son syndrome d’un survivant entouré de morts qui l’accompagnent encore aujourd’hui comme des amis de l’’au delà…!

– Nous n’avons pas su trouver les paroles d’apaisement et de pardon lorsqu’elle nous disait:

«  Ce qui me fait le plus souffrir, c’est de voir aujourd’hui tous ces melons qui viennent prendre  le travail  et les aides que mes petits fils n’ont pas »

Pour ma part,  je n’ai pas su trouver des mots contre ce racisme haineux qui la déborde comme si s’était sa seule arme pour  venger ses frères et ses sœoeurs morts dans l’attentat.

Comme je n’y étais pas et que mes nuits sont tranquilles …. je pardonne Armande comme elle me pardonne d’être passé à côté de ses douleurs…  comme l’on passe à côté de l’histoire surtout quand elle n’est pas complétement la votre…..!

Ce devoir de mémoire qui est le sien… elle me pardonnera de le partager avec vous….. Hélas, aucun d’entre nous ne partagera les douleurs, les angoisses et les peurs de ARMANDE.

Charles PEGUY disait: « Dieu rentre par nos souffrances…! »
Alors je te le dis ….. Tu es déjà chez ARMANDE…!

 « Ce n’est qu’en trouvant la paix en soi, que l’on peut vivre en paix avec les autres » – Dalaï-Lama.

Membres des délégations algérienne et française avant la signature des Accords d’Evian le 18 mars 1962 © Radio Algérienne – 2012

Le 19 mars 1962, les accords d’Évian sont le résultat de négociations entre les représentants de la France et du Front de libération nationale (FLN) durant la guerre d’Algérie.

Ces accords sont signés le 18 mars 1962 à Évian-les-Bains (Haute-Savoie, France) et se traduisent immédiatement par un cessez-le-feu applicable sur tout le territoire algérien dès le lendemain. Ils furent approuvés, lors du référendum du 8 avril 1962, par 90% des votants de France métropolitaine, les électeurs des départements d’Algérie étant exclus du scrutin.
Ces accords mettent fin officiellement à huit années de guerre, pour laquelle la France a déployé environ 400 000 hommes et durant laquelle de 250 000 à 400 000 Algériens sont tués (plus d’un million et demi selon l’État algérien).
Pour la France, on décompte 28 500 morts du côté des militaires, 30 000 à 90 000 harkis, 4 000 à 6 000 chez les civils « européens », et environ 65 000 blessés.

Le 19 mars 1962, à midi, prend officiellement effet un cessez-le-feu qui met fin à huit ans de guerre en Algérie.
La veille, le gouvernement français a cédé au gouvernement provisoire de la république algérienne ses pouvoirs sur l’Algérie et le Sahara.
Un double référendum vient bientôt conforter cette décision.
Le 8 avril 1962, les Français de métropole approuvent à plus de 90% le choix du général de Gaulle.
Le 1er juillet 1962, les Algériens se prononcent encore plus massivement pour l’indépendance de leur pays.
L’indépendance devient effective le 3 juillet 1962.
Le 4 juillet, Ahmed Ben Bella s’installe à Alger en qualité de président de la nouvelle république. Le 5 juillet, l’indépendance est officiellement proclamée

Une transition sanglante

Pourtant, le cessez-le-feu du 19 mars est loin d’aboutir à un retour au calme immédiat.
Les combats et les massacres se prolongent jusqu’au 3 juillet et redoublent même de violence. Leurs principales victimes sont les Pieds-noirs et les harkis, touchés par les représailles du FLN (Front de libération nationale).
Les luttes entre fractions du FLN pour le pouvoir coûtent font également couler beaucoup de sang.
L’OAS (Organisation de l’Armée Secrète), créée en 1961 en réaction au «lâchage» de l’Algérie par le général de Gaulle, multiplie les attentats aveugles après le cessez-le-feu.
Elle est responsable d’environ 2.400 assassinats de Français et surtout d’Algériens.
Le 26 mars 1962, des tirailleurs algériens de l’armée française font plus de cinquante morts en tirant à Alger sur une foule pacifique de manifestants européens.
Ce massacre de la rue d’Isly et celui du 5 juillet 1962, à Oran, accélèrent la fuite des Pieds-Noirs et Juifs séfarades vers la France, où ils débarquent avec leurs valises pour seuls biens.

Un traumatisme durable

La vie politique française sera longtemps marquée par les séquelles de cette guerre non déclarée, qui a éclaté le 1er novembre 1954 et a mobilisé pas moins de deux millions de jeunes Français du contingent.
Elle a fait au total 25.000 tués chez les soldats français, 2.000 morts de la Légion étrangère, un millier de disparus et 1.300 soldats morts des suites de leurs blessures.
Environ 270.000 musulmans algériens sont morts du fait de la guerre, sur une population totale de dix millions d’habitants. Sans parler de 8.000 villages incendiés et 2,1 millions de musulmans déportés dans des camps de regroupement.
L’indépendance accordée à l’Algérie est la dernière étape importante de la liquidation de l’Empire colonial français.
En moins de dix ans, de 1954 à 1962, la France s’est séparée de l’Indochine, de l’Afrique noire et de l’Afrique du Nord, colonisées de haute lutte sous la IIIe République.

À la différence du Royaume-Uni, la République française, meurtrie par sa défaite de 1940 et le sentiment d’un irrésistible déclin, n’a émancipé ses colonies que sous la contrainte.
La décolonisation de l’Algérie, colonie de peuplement divisée en départements, comme le territoire métropolitain, fut particulièrement douloureuse.

Principales dispositions des accords d’Evian

 Le texte connu comme les « accords » d’Évian comprend deux parties :

un accord de cessez-le-feu, dont l’application est fixée au lendemain 19 mars 1962

des déclarations gouvernementales relatives à l’Algérie, qui portent notamment sur :

– la période de transition jusqu’au référendum d’autodétermination. Pour cette période étaient mis en place un Exécutif provisoire et un Haut-Commissaire représentant l’État français

– la libération des prisonniers dans un délai de vingt jours et une mesure d’amnistie générale

– l’organisation d’un référendum d’autodétermination dans un délai minimum de trois mois et maximum de six mois.

Dans l’hypothèse où, à la suite du référendum, la solution d’indépendance serait retenue :

– des dispositions générales garantissant l’amnistie et la protection contre toute discrimination en raison des actes commis à l’occasion des « événements » d’Algérie avant le cessez-le-feu (19 mars), et en raison des opinions émises avant le référendum d’autodétermination (1er juillet)

.– des garanties prévues pour les personnes conservant le statut civil de droit français

– la programmation du retrait des forces militaires françaises

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PAPY JANOT: Les trois comptines


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Les trois C
omptines

de Papy JANOT

 

Aujourd’hui encore cette comptine est dédiée à Alice, Juliette et Wriel


SOURCE :
https://www.fiche-maternelle.com/lundi-tout-petit.html
http://descomptines.free.fr/poesies/un_petit_bonhomme.html
https://classedeanne.wordpress.com/2015/08/31/comptine-de-rentree-monsieur-pouce/

PAPY JANOT

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