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– BLOC NOTE |
La médecine du corps-esprit
Revenons sur une importante étude du psychologue
Barrie Cassileth sur le cancer du sein, sous le titre
« Corrélation psychosociale dans la survie aux tumeurs malignes avancées », Ceci pour faire comprendre au malade que son attitude — quel que soit l’état d’avancement de sa maladie — est fondamentale. Cette position fut remise en cause dans un éditorial de l’éditeur d’une revue médicale.
Certains pensent que c’est du folklore
Le Dr Marcia Anjel, sous le titre
«Maladie comme un reflet de la psyché », provoque alors un raz-de-marée:
La notion même d’influence de l’état émotionnel sur le cancer est dénoncée. Selon lui, l’étude de Cassileth n’a pu prouver la relation de cause à effet entre les facteurs psycho-sociologiques et le temps de survie des cancéreux.
Le Dr Anjel utilise cet argument pour dire:
« Penser la maladie comme conséquence directe de l’état mental est largement du folklore».
D’autres doutent….
De très nombreuses lettres affluent alors à la revue:
Des médecins, d’anciens malades et des thérapeutes avouent ne toujours pas savoir comment les états mentaux affectent la santé, mais ils sont tous d’accord sur le fait que cette question nécessite une investigation approfondie et non pas un rejet.
Tout thérapeute ou médecin en exercice sait que la volonté de guérir du malade joue un rôle essentiel dans son traitement.Les réactions à ces points de vue contradictoires….
Le Pr Norman Cousins, enseignant précise dans son dernier ouvrage , que le jour où l’article est sorti, un reporter de Time Magazine et un autre du New York Times se sont penchés sur le sujet.
L’article du Time a interprété le rapport du Dr Cassileth comme la répudiation scientifique par la profession médicale du fait que les attitudes mentales peuvent affecter le développement d’une maladie en général.
Norman Cousins expose alors que le sol se dérobait sous ses pieds, car six années de travail pour faire comprendre au malade que son attitude — quel que soit l’état d’avancement de sa maladie — était fondamentale, semblaient balayées par ces articles.
Le temps passant, le Dr Cousins se rendit compte qu’il n’y avait pas matière à se désoler…
Il commença à recevoir des lettres, des appels de médecins et de chercheurs qui optaient en faveur de cette idée. Tous espéraient que des preuves scientifiques pourraient confirmer cette supposition.
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L’appel le plus surprenant provint du Dr Cassileth elle-même.
« J’ai été terriblement perturbée par certaines interprétations de notre étude, explique-t-elle. Celle-ci portait sur les cas de cancers terminaux et la confusion provient de l’application de notre étude au traitement de toutes les maladies ; or ceci n’est ni ce que je crois ni ce que je voulais faire, |
Les émotions et la santé sont très proches.
Il a été mis en évidence depuis bien des années que des émotions négatives et de mauvaises expériences peuvent avoir un effet délétère sur la santé et peuvent compliquer des traitements médicaux.
Moins connu est le rapport entre les attitudes positives et le renforcement possible du système interne de guérison du corps.
Il y a là, une fois encore, une relation directe avec la manière dont les chakras réagissent aux attitudes émotionnelles; nous savons que leur système est un organe vibratoire extrêmement sensible dans son ensemble, et les attitudes, le système de croyance notamment, vont être très importants.
Par conséquent, la manière dont réagissent les chakras va conditionner toute la chimie fine et interne du corps, aussi bien dans les mécanismes d’équilibre appelés santé que dans ceux qui permettent le retour à la guérison.
Puisque ces chakras influencent les glandes endocrines et puisque l’état mental influe sur les chakras, il est possible d’utiliser l’esprit pour influencer tout le système endocrinien et renforcer l’immunité. ( Quelles glandes
La relation entre attitude positive et augmentation des défenses immunitaires est actuellement objet de l’attention de nombreux centres de recherche médical en Amérique du Nord.
Bien sûr, les sentiments de panique sont communs aux personnes apprenant qu’elles sont atteintes d’un cancer.
Or, la panique elle-même est destructrice, et peut interférer avec toute forme de traitement.
D’autres études ont été effectuées, notamment une étude nationale.
Fondée sur les mêmes questions du Dr Cassileth, elle concernait les cancéreux en phase terminale.
Six cent quarante-neuf cancérologues ont répondu sur l’importance de facteurs psycho-sociaux variés, tels que la volonté de vivre et l’espoir.
La majorité des praticiens ont insisté sur l’importance qu’ils accordaient à leur relation avec les patients.
Ces conclusions résultent du traitement de plus de cent mille cancéreux.
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L’étude a également révélé que plus de 90 % des praticiens attachent une importance capitale aux attitudes d’optimisme et d’espoir. Ils s’accordent pour soutenir qu’une forte envie de vivre, la confiance dans le thérapeute et un soutien affectif de la famille et des amis créent une atmosphère propice à la réalisation des traitements, à l’acheminement vers la guérison. |
Aïe mes aïeux !
Le Dr Deepak Chopra, un endocrinologue de Boston s’interroge sur la médecine du corps-esprit, celle de l’Ere II.
Un psychologue, Lawrence Leshan, s’est rendu célèbre https://amzn.to/4gwJfa8avec un ouvrage, qui démontrait la relation entre l’état émotionnel et le cancer, en cherchant dans l’enfance des patients la semence « noire » qui empoisonnait leur état psychologique. Il émit ainsi la théorie selon laquelle cette semence resterait enfouie dans le subconscient pendant des années avant de provoquer un jour la maladie.
Il est évident que Lawrence Leshan, soupçonnait la relation entre codage mémoriel enkysté dans le corps et mémoires d’enfance enfouies dans ce qu’il nomme le subconscient et que l’on retrouve également dans le corps éthérique.
Le Dr Chopra cite, quant à lui, un exemple:
Au cours de sa carrière, il a pu voir un malade qui s’était fort bien accommodé pendant cinq ans d’une tumeur, au poumon, grosse comme une pièce de monnaie.
Il ne se doutait même pas de la nature cancéreuse de cette tumeur et de la nature de son mal, ce dernier, lors de cette révélation, fit preuve d’une extrême agitation.
En l’espace d’un mois il se mit à cracher du sang. Il pouvait vivre avec sa tumeur, mais pas avec son diagnostic.
SOURCE: Extrait du Livre de Patrick Drouot
GUÉRISON SPIRITUELLE ET IMMORTALITÉ
LEG LOUISA pour vous tous