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M.T.C : C’est médecine traditionnelle chinoise…


Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline– BLOC NOTE de Choucaline
– « Les capacités de notre cerveau:

 – J’avais un magnétiseur de mes amis   qui me disait un jour:

« Aidez les gens à dominer leurs angoisses et leurs peurs c’est leur demander de reconnaitre qu’ils ont un esprit…… et qu’il fait la guerre à leur corps en se servant de lui comme un champ  de bataille… « 

« SORTEZ TOUS DU DÉSÉQUILIBRE CORPS /ESPRIT « 

PETITES PIERRES Je l’ai écouté … et je me suis dit que ce constat, ce n’était pas neuf  et que j’avais déjà entendu ça quelque part … Où …???

Mais dans la M.T.C comprenez la  médecine traditionnelle chinoise ..
QUESACO..?  Lisez on vous la joue simple

Les Principes fondamentaux  de la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC)

De tout temps les êtres humains ont cherché à donner un sens à la vie. Ils l’ont fait à travers trois axes qui sont la religion, la science et la philosophie. C’est dans ce dernier cadre que s’inscrit la MTC, qui prend ses racines dans la philosophie taoïste. Car le Taoïsme est une philosophie et non une religion comme d’aucuns le prétendent.

Ses deux grandes références, Lao Tseu et Confucius, étaient des lettrés et non des religieux.

L’idée de base qui sous-tend toute la logique de la MTC et du Taoïsme est simple:
La vie étant bien faite, elle est cohérente et régie par les mêmes règles, de l’infiniment petit à l’infiniment grand.
De là est issu un principe fondateur qui conclut que du fait de cette cohérence, en observant l’infiniment grand, qui est perceptible par les sens, on va pouvoir en déduire l’infiniment petit et l’invisible qui ne le sont pas.

Les anciens Chinois ont donc observé le monde dans lequel ils vivaient.
Ils ont tout d’abord constaté qu’ils se trouvaient entre deux pôles, le ciel qui était au-dessus de leur tête …
ciel lunaire bleuet la terre qui se trouvait sous leurs pieds.

les vignes du Canigou
Ils constatèrent que chacun de ces pôles possédait des caractéristiques totalement différentes et pourtant complémentaires puisque c’est ainsi qu’était constitué l’univers.

Le ciel était au-dessus de leur tête, en haut. Il était léger, subtil, insaisissable, intangible, etc., et la terre était sous leurs pieds, en bas, ‘c’est-à-dire lourde, dense,matérialisée, tangible, etc.

La « philosophie de l’Homme entre le Ciel et la Terre»

En référence à leur principe de logique (macrocosme/microcosme), les anciens Chinois considérèrent que pour tous les plans de l’univers on devait sans doute retrouver une bipolarisation similaire. Ils décidèrent de nommer chaque pôle. Ils nommèrent «Yang» tout ce qui était en cohérence avec les caractéristiques célestes, et « Yin» tout ce qui était en cohérence avec les caractéristiques terrestres.

L’homme ne faisait pas exception à cela puisqu’il possédait lui aussi une dimension lourde, dense, pondérale, yin, son corps et une dimension légère, subtile, yang, son esprit.
La « philosophie de l’Homme entre le Ciel et la Terre» venait de naître.

L’équilibre corps esprit… L’harmonie du YING et du YANG

Leur observation leur permit également de constater que lorsque le ciel et la terre étaient en harmonie, en équilibre, cela produisait une harmonie équivalente dans toute la nature.

Cela produisait le beau temps. Alors que lorsqu’ils étaient en déséquilibre, en dysharmonie, cela produisait la pluie, la tempête, le mauvais temps.

« Yin Yang, c’est l’unité qui engendre la dualité » Lei JingLes anciens Chinois élargirent le constat et considérèrent que, de façon globale, lorsque le Yin et le Yang sont en équilibre, cela produit l’harmonie et lorsqu’ils sont en déséquilibre, cela produit

la dysharmonie. L’être humain ne faisait à nouveau pas exception puisqu’en lui aussi, lorsque le Yin, le corps, et le Yang, l’esprit. sont en équilibre, cela produit la santé et lorsqu’ils sont en déséquilibre, cela produit la maladie.

Ce constat majeur est à la base même de toute la MTC, dont la finalité n’est pas de lutter contre la maladie mais de préserver l’état de santé.

« Dans la Chine antique d’ailleurs, chaque village avait son médecin, dont la mission était d’empêcher les maladies et de faire en sorte que tous les habitants demeurent en bonne santé.
Chaque mois, le médecin était rémunéré pour ses services, à condition que tout le monde soit en bonne santé.
Si quelqu’un était malade, on considérait cela comme un échec et le médecin n’était pas payé. »

La théorie des méridiens

Les anciens Chinois n’en restèrent pas là dans leur observation.

Ils constatèrent deux éléments importants pour eux. Tout d’abord ils virent que la vie était réglée par des cycles, des périodes comme le jour et la nuit, le cycle des saisons, et que tous ces cycles étaient marqués dans le ciel par la course des astres et du temps.
Ils constatèrent également que tous ces cycles, s’ils étaient certes induits par le ciel, s’inscrivaient dans la terre et dans la nature, notamment à travers les changements que produisent les saisons, le sommeilla nuit et l’activité le jour, etc.
Ils en déduisirent que l’observation des éléments de la nature pourrait leur permettre de mieux comprendre ce que le ciel induit.

Ils ont d’abord fait un premier constat fondamental. Ils ont pu observer que ce qui était à la base même de toute forme de vie, était un fluide, un liquide qui tombait du ciel et ainsi fécondait la terre: l’eau.

Ils ont également constaté que cette eau, lorsqu’elle était sur terre, était « vivante» et circulait dans des trajets particuliers, les fleuves et les rivières.

Dans le corps humain  la vie circule aussi dans un réseau


À l’identique de ce qui était observable dans le corps humain où la vie circulait dans un réseau, le système sanguin, la vie circulait et irriguait la terre grâce à un réseau identique, les fleuves.

Tout ceci étant visible et manifesté, ils se dirent qu’en toute cohérence, il devait exister également dans le champ non visible, subtil, yang, un fluide vital qui devait nourrir la vie subtile et circuler dans un réseau, lui aussi subtil mais identique aux fleuves et aux vaisseaux sanguins.

LE CHOURISTE

 

« Et c’est là  qu’est née la théorie des méridiens énergétiques que l’on connait grâce à l’acupuncture. »

SOURCE :
le livre de Michel Odoul

« Dis- moi QUAND tu as mal je te dirai pourquoi »
ALBIN MICHEL juin 2013
 
lexique
Dis-moi où tu as mal – Le lexique – Michel Odoul
 » Pour la médecine orientale, la maladie témoigne d’un obstacle à la réalisation du Chemin de Vie. La conscience exprime ainsi par des troubles énergétiques générateurs de maladies, les entraves à son plein épanouissement.  » Praticien et fondateur de l’Institut français de Shiatsu, également auteur de plusieurs autres ouvrages, Michel Odoul nous propose, dans la continuité de son best-seller Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi, ce Lexique, véritable dictionnaire de plus de 300 maladies et traumatismes. Près de 20 ans d’expérience, plusieurs milliers de stagiaires et plus de 8 000 consultations individuelles lui ont permis d’établir et de vérifier la nature des liens existant entre le corps et l’esprit. La maladie ou les accidents ne sont alors plus des fatalités. Chacun peut redevenir  » l’acteur  » de sa vie et s’approprier à nouveau le pouvoir de changer, s’il le veut, ce qui est à l’origine de sa souffrance. Ce livre est destiné à tous ceux qui veulent en savoir plus. Son écriture simple le rend accessible à tous et en fait un ouvrage de référence pour ceux qui cherchent un sens à leurs souffrances. Par la qualité de ses informations il représente aussi un excellent outil de travail pour tous les praticiens de santé (acupuncteurs, praticiens Shiatsu, psychothérapeutes, ostéopathes, médecins, personnel soignant, etc.)

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L’EFFET PLACEBO OU ….LES FAITS PLACEBO….EH OUI ..! LES FAITS SONT LA

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apothicaire

Bloc note Choulager
par Chou blanc

L’EFFET PLACEBO

 Nous vivons, au troisième millénaire, sur la conception pasteurienne d’une médecine du XIXe siècle, fondée sur l’idée que tout est dans la matière (cellules, virus, bactéries et micro-organismes) et qui, comme on le  dit  « n’a que faire de l’Esprit ».

Selon ce principe ou, pour mieux dire, ce préjugé, l’esprit n’existe pas et — n’existant pas — n’a bien évidemment pas la moindre influence sur le corps.

 Pour cette médecine, le corps n’est qu’un conglomérat de cellules et la « maladie » n’est qu’un dérèglement provoqué que par le contact de micro-organismes (virus, bactéries, etc.) qui provoquent l’infection des cellules.

L’effet placebo dément de la façon la plus formelle et la plus spectaculaire le fondement pasteurien de cette médecine.

LA PUISSANCE DE L’ESPRIT QUI GUÉRIT

Placebo est un verbe latin qui signifie : je plairai. Très vite, il a pris le sens de mensonge, de flagornerie et de flatterie.

Au début du XIXe siècle, les médecins ont commencé à l’employer pour désigner un remède que l’on prescrivait au patient non pas pour le guérir mais pour lui faire plaisir. Le mot est alors entré dans le vocabulaire médical. Et le placebo et ses stupéfiants effets nous plaisent en effet beaucoup.

Voici une personne atteinte d’une forte migraine. On lui dit qu’on va lui administrer un tout nouveau médicament, d’une prodigieuse efficacité contre la migraine et on le lui administre dans un verre d’eau.

Un quart d’heure après, la migraine a disparu.
Interrogée sur l’effet du produit, le malade dit qu’il est remarquablement efficace.

Eh oui, mais le produit qu’on lui a administré n’était que du sucre en poudre !
Tel est le fameux effet placebo !

Le placebo démontre que nous sommes capables de nous guérir en très peu de temps de nos maladies par le seul imaginaire, par notre seule imagination !
Le seul fait d’être psychologiquement convaincu qu’on a absorbé un médicament capable de nous guérir peut suffire à nous guérir, en l’absence totale de toute substance médicamenteuse active !

Telle est la puissance de la pensée sur le corps.

Et, si nous sommes capables de guérir nos maladies, c’est parce que nous sommes également capables de nous les incorporer.
Eh oui, il faut être logique : si l’esprit peut débarrasser le corps d’une maladie, d’une infection, ce n’est possible que si l’esprit est le programmateur même de la maladie ou de l’infection.

30 % A 80% D’EFFICACITÉ

Des études ont montré que le processus fonctionne dans 30% des cas. C’est-à-dire que 30% des malades d’une maladie donnée peuvent être guéris apparemment par l’eau sucrée — mais en vérité par leur propre inconscient qui déprogramme la maladie qu’il a programmée — quand les 70% restant ne le seront pas.

RIEN D’AUTRE QUE LA PSYCHOSOMATIQUE 
NE PEUT EXPLIQUER L’EFFET PLACEBO

C’est ce processus de régénération permanente qui fait cicatriser nos blessures, qui reconstitue les os brisés, répare nos petits accidents corporels

Il s’agit là d’un processus biologique naturel bien connu. Mais on aurait tort de croire que l’action psychologique — qui est l’action de l’effet placebo — n’y joue aucun rôle.
Ceux qui ont une excellente santé psychologique et, par voie de conséquence, une excellente santé physique, énergétique et biochimique, réparent leurs accidents ou leurs blessures plus vite que ceux dont la condition mentale et physique est moins bonne.

MOLIÈRE AVAIT RAISON :
IL N’Y A DE MALADIE QU’IMAGINAIRE

LE MALADE IMAGINAIRE PAR HONORÉ DAUMIER

Faute de comprendre que l’esprit peut aussi bien rendre malade que guérir, les chercheurs scientifiques ont presque tout tenté pour comprendre l’efficacité des placebos.

Dans les années 30, deux Américains, Evans et Hoyle, ont étudié pendant deux ans et demi l’action de 15 médicaments contre l’angine de poitrine et placebos prescrits pour la même maladie.

Ils ont constaté que le placebo était efficace et calmait la crise dans 40% des cas.
La conclusion ahurissante de leurs travaux fut donc que 4 seulement des 15 médicaments étaient plus efficaces que le placebo contre l’angine de poitrine !

En ce qui concerne les 11 médicaments restant, les placebos, donc l’eau sucrée ou distillée, étaient tout aussi efficaces !

CONCLUSION :
Le placebo, en déclenchant la croyance que l’on va guérir, c’est-à-dire l’imaginaire — une fonction purement abstraite du cerveau : l’esprit —, fait disparaître la crise. La conclusion qu’en revanche les chercheurs n’ont pas tirée, c’est que, en bonne dialectique, si l’esprit peut guérir une maladie ou réduire une crise, c’est, à l’évidence, parce que la maladie est déclenchée par l’imaginaire !

Si ce n’était pas le cas, l’esprit serait incapable de guérir quelque maladie que ce soit et il n’existerait donc pas d’effet placebo !
Or il existe ! Et, s’il existe, c’est que la maladie est d’abord imaginaire !
Molière avait raison !

LE PLACEBO NE FONCTIONNE QUE SI LE MÉDECIN Y CROIT AUSSI !

Dans les années 50, dans une petite ville des États-Unis, un médecin reçoit une patiente atteinte d’un asthme rebelle à tout traitement.

Il lui offre aussitôt de la traiter avec un tout nouveau produit qui n’est pas encore commercialisé mais qui fait merveille. Et, en effet, les crises de la patiente cessent aussitôt.

Le médecin envoie son rapport au laboratoire qui lui a demandé de tester le produit et il demande en même temps qu’on lui renvoie un placebo, c’est-à-dire une boîte identique contenant de l’eau sucrée. Sitôt dit, sitôt fait.

Il donne — bien sûr sans la prévenir — ce placebo à sa patiente.
Laquelle revient, huit jours plus tard, en disant que, cette fois, le produit a été totalement inefficace.
Le médecin envoie un nouveau rapport au laboratoire disant que le placebo a été inefficace.

Et alors le laboratoire l’informe qu’à la suite d’une erreur il ne lui a expédié que des placebos, dès le premier envoi !

En d’autres termes, la première boîte, qui ne contenait qu’un placebo alors que le médecin croyait que c’était un vrai médicament, a été efficace alors que la deuxième boîte — placebo —, dont le médecin croyait que c’était un placebo, n’a eu aucun effet !

CONCLUSION :
Le placebo est efficace si le médecin prescripteur croit que c’est un vrai médicament et il est inefficace si le médecin prescripteur croit que c’est un placebo ! En d’autres termes, la guérison par placebo ne dépend pas seulement de la croyance du patient dans l’effet curateur du produit, elle dépend également de la croyance du médecin !

On est donc fondé à en conclure que la guérison d’un malade peut aussi dépendre du fait que son médecin le croit guérissable ou non !
Dans ce dernier cas, le psychisme du médecin joue autant que celui du malade dans la guérison ou la non-guérison !

LA RELATION MÉDECIN-PATIENT

S’il est bien difficile d’évaluer scientifiquement la qualité d’une relation humaine, il n’en demeure pas moins vrai qu’un certain nombre d’essais cliniques, qu’il n’est pas possible ici de détailler, montre qu’une attitude bienveillante, explicative et rassurante du médecin génère une réponse placebo plus importante que s’il est froid, distant et peu sûr de lui .

LA PERSONNALITÉ DU PATIENT

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Il n’existe pas de traits de personnalité corrélés à la réponse placebo.
Et les personnalités prétendues hystériques ne répondent pas mieux au placebo qu’un patient présentant d’autres traits de personnalité.
Seule l’étude de Fisher a montré que la réponse placebo était corrélée au degré d’acquiescement du patient. Ce sont peut-être les  » bénis oui-oui » qui répondent le mieux au placebo!

AYONS LA PAROLE JUSTE

C’est dans le climat morbide et  mortifère de l’hôpital, avec un  vocabulaire inadapté , en lui déclarant  :
« Tumeur ! »
qu’on  convainc psychologiquement le malade qu’il est atteint d’une maladie incurable et que, par conséquent, il va en mourir….
C’est aussi  ça  qui tue le malade ! Et au moyen du même effet psychologique qui peut guérir !

Car tout est dans le cerveau !

Au niveau du néocortex, là où se fabrique la conscience et la pensée.

SOURCE : L’Imaginaire crée la « maladie », il peut aussi bien la guérir par Richard Sünder
Une maladie psychosomatique est une maladie que l’esprit crée dans le corps. L’idée qu’il y a des maladies psychosomatiques nous vient de Georg Groddeck (1866-1934)

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RETRO :
C’est du même tabac…..

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LES GRANDS MAGNETISEURS: Maitre Philippe de Lyon

 retrouver régulièrement la rubrique le mal maltraitéBLOC NOTE LADY LADINDE Bloc note Choulager

de CHOU BLANC

Ma grand mère magnétiseuse comme moi…. me parlait parfois des modèles de son époque, ceux des siens qui faisaient  en ce temps là son admiration et font depuis référence pour moi comme pour d’autres…… Jugez plutôt

MAITRE PHILIPPE DE LYON

Monsieur Philippe (1849-1905) opérait des guérisons qui semblaient tenir du miracle. Aussi, certains le tenaient-ils pour une réincarnation du Christ ou de l’un des apôtres. Mais il démentait ces rumeurs:

«Je ne vous ai jamais dit que j’avais été l’un quelconque des apôtres du Christ. Je suis un pauvre pêcheur du temps de Notre Seigneur Jésus; j’étais avec les apôtres, voilà tout.»

Serge Hutin décrit Monsieur Philippe comme un être de foi et de charité intenses en même temps qu’un médecin et guérisseur aux pouvoirs quasi miraculeux.

Nizier Anthelme Philippe naquit le 25 avril 1849 dans un petit village de Savoie. Ses parents étaient de pauvres paysans. Au cours de sa grossesse, sa mère rendit visite au Curé d’Ars qui lui annonça qu’elle aurait un fils et qu’il serait un être très élevé.

Premières guérisons à 13 ans

À l’âge de six ans, Nizier était l’objet de manifestations qui inquiétaient le curé de son village. À treize ans, il obtenait déjà des guérisons, mais ne se rendit pas compte des choses étranges qui s’opéraient en lui.

Parlant de son enfance et de ses dons, il disait :

«J’ignore tout de moi, je n’ai jamais compris ni cherché à m’expliquer mon mystère. J’avais six ans à peine et déjà le curé de mon village s’inquiétait de certaines manifestations, dont je n’avais pas conscience… J’obtenais des guérisons dès l’âge de 13 ans, alors que j’étais encore incapable de me rendre compte des choses étranges qui s’opéraient en moi.»

Plus tard il décida d’étudier la médecine et suivit assidûment les cours de ses quatre premières inscriptions… Il fut refusé à sa 5e inscription, sous prétexte qu’il s’adonnait à la médecine occulte et était un véritable charlatan. Ce geste stupide de la part de la Faculté ne l’empêcha nullement de se pencher sur la souffrance des autres ni de leur apporter le réconfort et la guérison.

En 1885, il s’installe à Lyon. Et c’est là qu’il donnera ses plus retentissantes consultations et obtiendra certaines de ses guérisons les plus troublantes. Il recevait ses malades en groupe deux fois par jour…. brusquement, il touchait un malade, et , le regardant plus fixement encore, il lui donnait l’ordre de guérir, lui affirmant que la guérison s’opérait au fur et à mesure q’il lui faisait des passes magnétiques.

«On n’en finirait pas, écrit Serge Hutin, d’énumérer ses guérisons de sujets que l’on croyait condamnés. Des guérisons instantanées qu’aucun délai de convalescence ne devait suivre et qui comportaient, dans certains cas, d’appréciables reconstitution des tissus cellulaires (…). Il voyait au fond des êtres. il lisait la véritable personnalité. Il croyait à la réincarnation, donc, à des vies antérieures, et savait les révéler

Des médecins le firent traduire devant le Tribunal pour «exercice illégal de la médecine», Il fut condamné à 75 amendes successives. Mais, ses adversaires les plus hargneux se découragèrent et plusieurs praticiens officiels lui adressèrent, par la suite, leurs cas difficiles.

Beaucoup de célébrités de l’époque tenaient à rencontrer ce personnage exceptionnel, considéré pourtant en France, comme un vulgaire charlatan, Le Tsar Nicolas II le fit venir à St-Petersbourg. Il devint le conseiller du couple impérial et opéra en Russie de nombreuses guérisons. Le tsar le fit nommer médecin de l’armée russe et conseiller d’état avec rang de général.

De retour en France, Monsieur Philippe, celui qu’on appelait alors le Médecin des pauvres, ne cessa de soulager la misère humaine, malgré les sarcasmes et les calomnies qu’on lui prodiguait.

Monsieur Philippe mourut le 2 août 1905 à la suite d’une longue maladie qui lui apporta des souffrances épouvantables: «Je suis crucifié vivant», disait-il.

Guérison d’une hydropique

Parmi les nombreuses guérisons opérées par Monsieur Philippe, en voici une très spectaculaire. Son intérêt, en plus de son instantanéité, tient au fait qu’elle fut opérée en présence de trois médecins qui y ont assisté comme témoins oculaires.

Le professeur Brouardel avait été envoyé à Lyon pour assister à une séance de guérison chez Monsieur Philippe. Il s’y était rendu avec les docteurs Encausse et Lalande.

La commission choisit parmi ses malades une énorme hydropique qui paraissait à toute extrémité. Ses jambes étaient comme des pilastres, son torse comme une tour et ses bras comme des courges de Provence, le tout sur le point de fendre.

Monsieur Philippe leur demanda «Eh bien! que pensez-vous de cette femme?» Celui-ci déclara qu’elle était hydropique au dernier degré et qu’elle n’avait probablement que quelques heures à vivre.

Alors Monsieur Philippe lui ordonna assez rudement de marcher. «Je ne peux pas.» – «Viens!» Elle fit en gémissant quelques pas, puis, au bout d’un moment, elle se mit à marcher normalement. Tout à coup, elle s’écria: «Maintenant, je vais danser.» Ce qu’elle fit, retenant ses vêtements devenus subitement beaucoup trop grands.

Elle était guérie. Le professeur l’examina. L’enflure monstrueuse avait disparu et il n’y avait sur le plancher aucune trace de liquide.

Les médecins Encausse et Lalande établirent immédiatement un constat, le professeur Brouardel, tout en s’inclinant devant l’évidence, refusa d’apposer son paraphe à côté des leurs, sous prétexte qu’il n’avait pas compris ce qui s’était passé. Il se retira après avoir salué Monsieur Philippe et les personnes présentes.

Hommage  à Maître Philippe de Lyon

Papus (Dr Gérard Encausse)

«Dans les rues de la ville qu’il habite, on le voit passer, humble entre les humbles. Les pauvres gens, seuls, le bénissent et le connaissent (…..) (NDLR : car ils sont nombreux à lui devoir leur vie ou celle de leur enfant.)

Demandez à tous ces gens le nom de cet homme, ils vous diront: «C’est le père des pauvres.» Interrogez cet homme, demandez-lui qui il est, d’où il tient ses pouvoirs étranges et terribles, il vous répondra: «Je suis moins qu’une pierre. Dès treize ans, j’opérais des guérisons miraculeuses. je suis un intermédiaire inconscient entre l’humanité et un pouvoir supérieur qui plane au-dessus d’elle. Les résultats stupéfiants que j’obtiens chaque jour, je les admire et ne les comprend pas.»

Chaque magnétiseur sans être au niveau de maitre Philippe de LYON vous dira la même chose que lui

« Les résultats stupéfiants que j’obtiens chaque jour, je les admire et ne les comprends pas.»

« C’est une sotte présomption d’aller dédaignant et condamnant pour faux ce qui ne nous semble pas vraisemblable. J’en faisais ainsi autrefois; et si j’oyais parler ou des esprits qui reviennent ou du pronostic des choses futures, des enchantements, des sorcelleries ou faire quelque autre conte où je ne pusse pas mordre, il me venait compassion du pauvre peuple abusé de ces folies. Et à présent, je trouve que j’étais pour le moins autant à plaindre moi-même ». (Montaigne)

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Peur du rhume….. Faites de la prévention…..Pensez aux plantes

Bloc note Choulager
par Chou blanc

LES VERTUS DES PLANTES

Vous craignez un rhume cet hiver…? Faites de la prévention, pensez aux plantes….
Pensez à l Échinacée…… Quésaco…?
Explications…..

Echinacea Purpurea - EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ

Echinacea Purpurea – EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ

Eucalyptus, thym, pin sylvestre, man­darinier … Il existe de très nombreuses plantes qui aident à surmonter l’hiver et son cortège de petites infections.

Mais la plus réputée demeure l’échi­nacée : utilisée par les Amérindiens depuis des lustres, elle est vendue dans les herboristeries et les magasins de produits naturels.

Historique de l’échinacée

Les Amérindiens qui habitaient dans les grandes plaines américaines à l’est des Rocheuses ont utilisé les espèces d’échinacées pour soigner une multitude de problèmes de santé, notamment les infections des voies respiratoires et les morsures de serpent. Durant des fouilles archéologiques menées sur des sites fréquentés par les Sioux Lakotas, on a découvert des semences d’échinacée datant du XVIIe siècle.

Dès 1800, les colons venus d’Europe ont adopté les usages médicinaux que les Amérindiens faisaient de l’échinacée

De 1916 à 1950, l’échinacée était inscrite sur la liste des ingrédients pharmaceutiques du Formulaire National des États-Unis. Par la suite, la plante est tombée en désuétude en raison de l’arrivée dans le commerce des antibiotiques de synthèse .
Mais les médecins allemands, qui ont découvert la plante vers 1920, continuent à l’utiliser dans leur pratique clinique.

En 1938, le médecin allemand Gerhard Madaus entreprend la première série d’études scientifiques portant sur l’échinacée. Ironiquement, c’est en Allemagne que se fera le plus gros de la recherche scientifique sur cette plante d’origine américaine. Elle y devint d’ailleurs tellement populaire que les approvisionnements en provenance des États-Unis vinrent à manquer et que Madaus décida de l’implanter en Europe en la faisant cultiver à grande échelle.

De nos jours, l’échinacée connaît un regain d’intérêt en Amérique du Nord, en partie à cause du développement de la résistance des micro-organismes aux antibiotiques.

SOURCE:  http://www.passeportsante.net 

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Que nous dit notre expert herboriste..?

Même si son principe actif n’a pas été,à ce jour, parfaitement identifié, les spécialistes expliquent son effet par son action de stimulation des défenses immunitaires, en particulier sur la production de globules blancs.

apothicaireECHINACEE * BIO 100 G : LA RACINE

Sachet de 100 g d’Echinacée* Bio

Nom commun : Echinacée

Nom latin : Echinacea purpurea

Partie(s) utilisée(s) : Racine

Principes actifs : huile essentielle, alcaloïdes indoliziniques, composés phénoliques (acide caféique, acide chlorogénique, acide tartrique)

Propriétés : Immunostimulante

Dans quels cas utiliser cette plante ?
Prévention des symptômes de la grippe et du rhume, Diminution de la gravité et de la durée des symptômes du rhume

Conseils d’utilisation :
Verser de l’eau bouillante sur 1/2 cuillerée à café de racine d’échinacée et filtrer après 10 minutes. Boire plusieurs fois par jour, de préférence entre les repas, une tasse d’infusion fraîchement préparée, aussi chaude que possible, en cas de refroidissement et pour améliorer les capacités de défense de l’organisme.

SOURCE: Site esprit santé   
ECHINACEE * BIO 100 G : LA RACINE  6,50 €
*issu de l’agriculture biologique, certifié FR-BIO-10

Le laboratoire Boiron propose des granules homéopathiques :
échinacea angustifolia 9 CH
-3 j/1 mois

LE CHOURISTE

Gamin rappelle toi ce que disait ta grand mère Marthe..
Dis leur….!

Près d’une quinzaine d’études cliniques se sont intéressées à l’efficacité supposée anti-infection ORL de cette plante, avec des résultats parfois contradictoires.

Voici les conclusions d’une étude ayant analysé tous les résultats disponibles en 2007 :

  • L’échinacea permet de réduire le risque de rhume de 58% et de faire baisser de 1,4 jour la durée de la maladie.
  • Ces effets de l’échinacea ne semblent pas majorés par la prise conjointe d’autres substances également supposées anti-rhume (vitamine C, eucalyptus, thym…).
  • La dose la plus efficace est la même que celle recommandée par l’Organisation mondiale pour la santé (OMS) : 3g par jour.

Depuis, d’autres travaux ont confirmé cet effet anti-rhume de l’échinacea. Citons la plus récente qui date de 2012 et qui a porté sur le profil d’innocuité et d’efficacité de l’échinacea. Au cours de cette étude, 755 sujets ont accepté de consigner dans un journal tout évènement indésirable lié au froid. Durant 4 mois, la moitié recevait de l’échinacea, les autres d’un placebo.
Résultat, l’échinacea a réduit le nombre total d’épisodes infectieux : 293 événements indésirables sont survenues dans le groupe échinacée contre 306 avec le placebo.

La conclusion

Une équipe américaine de l’université de Hartford, dans le Connecticut, a effectué une méta-analyse à partir de 14 études différentes menées depuis les années 1990.
Conclusion: l’échinacée permettrait de « réduire de 58 % les risques de rhume ».

 

Prudence toutefois:

– N’utilisez jamais la phytothérapie chez les enfants de moins de 12 ans; et, en cas de grossesse ou d’allaitement. Prévenez systématiquement votre médecin traitant au préalable.

– L’Echinacea Purpurea ne doit pas être pris sur de longues périodes.
Réveiller le système immunitaire OUI… Mais sur 2 ou trois semaines maximum… car il ne faut pas que votre système immunitaire soit  en alerte de façon  permanente…!

SOURCE:
L’Express  30 octobre 2013

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