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LES TROIS ALIMENTS MEURTRIERS


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LE BLOC
NOTE

DE
COM’ POTE

– C’est l’information du pote âgé faite par un pote pas con … mais très COM…!!!


Elle vendait des petits gâteaux
Com’pote parle d’alimentation depuis longtemps dans la Chouette…
il commence à en connaitre un rayon
… Pas autant que le Docteur Carton qui dès 1912 nous alertait…..

littel com poteALIMENTATION : LES TROIS  ALIMENTS MEURTRIERS
Le problème de l’alimentation saine.

– De nombreuses critiques sont adressées à l’alimentation d’aujourd’hui.
Certains auteurs attirent l’attention sur sa pauvreté en sels minéraux et préconisent
le retour au pain bis d’autrefois; d’autres mènent campagne en faveur de l’aliment pur et s’attaquent à la fraude et à la sophistication.
D’autres encore dénoncent l’abus des excitants, l’usage des boissons distillées, etc.
Et chacun, naturellement, propose son remède. Toutes ces opinions, qui sont des parcelles de vérité, s’attardent à des points de détail, souvent intéressants, mais elles leur attribuent une
importance démesurée dès qu’il s’agit de généraliser pour établir un système de préservation, une méthode de guérison.
En réalité, ce qui constitue le principal défaut de l’alimentation actuelle, c’est qu’elle comporte
l’emploi d’aliments antiphysiologiques, c’est-à-dire, de produits qui ne constituent pas les excitants normaux, naturels, de nos cellules digestives.
Parmi ces aliments antiphysiologiques, il en est trois dont l’homme fait un usage de plus en plus grand, sans se douter qu’ils sont la cause de la plupart de ses tares mentales et de ses lésions organiques.

Ce sont eux qui faussent l’hygiène alimentaire moderne.
C’est en poussant à leur consommation qu’on crée ou qu’on aggrave la plupart des maladies.

 

Ces trois aliments sont l’alcool, la viande et le sucre préparé industriellement.
Les trois sont nocifs pour des motifs différents.
La viande ne s’adapte pas à la structure anatomique ni à la physiologie cellulaire de l’homme; l’alcool et le sucre chimique sont des produits irritants et antinaturels.
Il est déjà facile de comprendre combien peut s’exercer, à la longue, la nocivité de ces mauvais
aliments, rien qu’à la façon habituelle dont la plupart des gens qui croient se bien nourrir et qui visent à se bien porter, composent leurs repas.
Voici, par exemple, les principaux éléments d’un déjeuner simple,mais jugé « fortifiant ».
– Après quelques hors-d’œuvre, poissons conservés ou marinés,
– on sert un bifteck saignant avec de menus fragments de pommes de terre.
– Un entremets fortement sucré vient ensuite ».
– Des desserts sucrés, fruits cuits ou sirop, gâteaux trop sucrés ou confitures, terminent le repas,
– on arrose d’une bouteille de vin, d’une tasse de café très sucré et, parfois aussi, d’un petit verre de liqueur.
Et ce repas s’absorbe avec la conviction qu’il n’existe rien au monde, comme on le répète sur
tous les tons, qui puisse donner plus de forces, plus  d’énergie, plus de santé, que la viande, le sucre et l’alcool.

Quant au pain, on y touche à peine; les médecins le défendent; il fermente, dilate l’estomac,
à les entendre. La vérité, c’est qu’il est un aliment fondamental, qui cesse de présenter des inconvénients, quand le reste de la nourriture est correctement réglé.

Pour ce qui est des légumes, on se figure trop qu’ils nourrissent mal et déterminent un encombrement inutile.
De leur côté, les bienfaisants et indispensables aliments crus (les fruits et les salades) sont bannis à tout bout de champ. On les accuse des pires méfaits (indigestions, entérite, etc.);
on répète à tout propos qu’ils débilitent et détraquent les voies digestives.

Quant aux œufs, on les interdit à tout le monde, depuis qu’on les a vus démolir les viscères digestifs
Et pourtant, ces œufs, pris sans abus (1 ou 2 par jour), ces légumes, ces fruits, ce pain constituent la nourriture la plus saine, la plus naturelle.
En effet, ce sont eux qui, avec le fromage, formaient l’essentiel du régime des paysans d’autrefois et qui les rendaient si forts et si résistants.
Par contre,on ne sait pas assez que si l’on se nourrit principalement de viande, de poisson, de sucreries, de boissons fermentées et distillées, on surexcite ses forces pour mieux les abattre ensuite, on épuise sa vitalité, on prodigue ses réserves de vie, on détruit ses résistances à la maladie, on aggrave toutes ses prédispositions morbides, ses tares viscérales, et on
accélère sa décrépitude. En une phrase, c’est l’alcoolisme, le carnisme et le sucrisme qui sont les causes efficientes du plus grand nombre des troubles de santé dont sont affligées les sociétés modernes.

C’est en 1912 que Paul Carton a décrit la nocivité de l’alcool, du sucre et de la viande.
L’avenir lui donnera raison…
Pour le sucre il expliquait déjà pourquoi…!

 

Les méfaits du sucre industriel.
– Le sucre contenu dans les végétaux et les fruits crus est un aliment vivant, physiologique combiné au protoplasme des cellules végétales, associé à des ferments, à des vitamines et à des sels nutritifs vitaIisés .
Le travail d’absorption de ce sucre naturel s’opère par un contact harmonieux entre les cellules végétales vivantes et les cellules digestives vivantes,

Le sucre industriel, au contraire, est un aliment mort qui a perdu l’association protoplasmique végétale, le contact des sels minéraux vitalisés, des vitamines et des ferments oxydants qui le rendaient physiologique, Il n’est plus qu’une drogue irritante, un corps chimique dénaturé et concentré, dont le contact se fait antiphysiologique et agressif.
Le travail d’incorporation de cette énergie chimique morte détermine une déviation des actes digestifs et une profonde dévitalisation viscérale qui s’accompagne de congestion hépatique et vasculaire,

  Les trois aliments meurtriers est le second ouvrage de Paul Carton dans lequel il décrit la nocivité de l’alcool, du sucre et de la viande.
L’avenir lui donnera raison…
 Paul Carton, médecin français du début du XXe siècle est un pionner et un incontournable de la médecine naturelle. D’une constitution physique faible depuis son plus jeune âge, il est à l’article de la mort durant son Internat. C’est suite à une crise de guérison après laquelle il retrouvera une certaine vitalité qu’il façonnera ses lois de la vie saine.Paul Carton est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages dans lesquels ils exposent sa méthode Hippo-Cartonienne. Cette méthode repose sur l’individualisation des diagnostics et par l’adoption d’un régime alimentaire particulier. Paul Carton prône la prise en compte de l’ensemble des dimensions humaines dans l’approche clinique et thérapeutique.« « La vie humaine ne se déroule pas au hasard aveugle des circonstances extérieures. Un ensemble de lois générales et particulières conduit l’existence de chacun de nous. Connaître ces lois d’une façon précise et les appliquer aussi exactement qu’il est possible, tel est le seul secret de la santé et du bonheur. » [Paul Carton,1er janvier 1922]

SOURCE :
EXTRAIT DU LIVRE DU DR PAUL CARTON 1942
PREMIÈRE ÉDITION EN 1912

COM’POTE
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