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CERVEAU: Un bosseur jamais au repos..!


Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline– BLOC NOTE
de Choucaline

– « Les capacités de notre cerveau:

– Mes amis qui me disait un jour:

L’homme naît avec des sens et des facultés ; mais il n’apporte avec lui en naissant aucune idée : son cerveau est une table rase qui n’a reçu aucune impression, mais qui est préparée pour en recevoir.
(Antoine-Laurent de Lavoisier)

Un cerveau plein de paresse c’est l’atelier du diable…..

« SACHEZ QUE VOTRE CERVEAU EST UN ACHARNÉ DU BOULOT….

« ENFIN SI VOUS EN AVEZ UN…? »

LE CERVEAU, UN ORGANE …
QUI NE CHÔME JAMAIS 

QUE FAIT NOTRE CERVEAU QUAND IL NE PENSE PAS OU QU’IL N’EST PAS AFFAIRE A QUELQUE ACTION?

La question intéresse aujourd’hui les chercheurs. On peut, grâce à l’imagerie par résonance ma gnétique nucléaire (IRMN), observer le niveau d’activité de régions cérébrales bien définies lors de l’exécution de différentes tâches mentales.

Avec l’IRM à balayage rapide, il est désormais possible de regarder vivre un cerveau. Des chercheurs ont eu l’idée de profiter de la présence d’un cobaye humain dans la machine pour ajouter au protocole expérimental une observation supplémentaire, en demandant au sujet de faire le vide dans sa tête.
Le but était de savoir ce qui survient dans le cerveau lorsque celui-ci est censé être au repos. La réponse surprenante fut que le cerveau présentait une activité notable, alors qu’il ne pensait pas et n’accomplissait aucune tâche.

Au repos il bosse.. !

Depuis les premières observations maintes fois répétées, plusieurs équipes de neurobiologistes se sont intéressées à l’activité du cerveau en état de repos -« resting state activity» (RSA).

On notera que le terme de repos est assez inapproprié, puisque le cerveau ne semble justement pas connaître de répit. A l’appui de cette thèse, le débit sanguin cérébral, qui traduit la dépense énergétique de l’organe, ne baisse jamais de plus de 5 %.
La RSA consiste en fluctuations à basse fréquence, qui ne sont ni un bruit de fond dépourvu de significations fonctionnelles, ni une captation du processus de conscience en cours.
Il s’agit d’un mode de fonctionnement par défaut qui disparaît lorsque les réseaux neuronaux du cerveau sont de nouveau activés par une tâche.
Andreas Kleinschmidt, directeur de recherche à l’Unité de neure-imagerie cognitive de l’Inserm de Gif-sur-Yvette, a montré, par des enregistrements électroencéphalographiques couplés avec la RMN, que la RSA était corrélée avec une activité électrique, notamment celle correspondant à une bande de fréquence autour de 40 hertz. Fréquence associée à la communication entre les régions distantes du cerveau

Scout toujours.. !

Les réseaux de celui­ ci fonctionneraient à vide de façon à être prêts à servir lorsque nécessaire.
Ils maintiennent les connexions en tension, de la même manière qu’une voiture dont le moteur tourne au repos permet un démarrage plus rapide.
La RSA influence aussi la perception en anticipant ce que le cerveau va percevoir effectivement.
Kleinschmidt suspecte que le cerveau dispose de plusieurs modèles du monde dans lesquels il puise au moment d’être confronté avec la réalité.
Cette hypothèse est à mettre en regard des recherches montrant que dans l’accomplissement d’un choix, plus celui-ci est complexe, plus la pensée qui le conduit est non consciente (délibération sans attention) ; nous croyons que nous prenons des décisions grâce au raisonnement, mais il se pourrait que nous nous contentions de répondre à des indices issus de notre environnement de façon automatique.

Même lorsqu’on ne pense pas, il n’y a aucun répit dans l’activité cérébrale. Mais pourquoi donc?

Finalement, la RSA interviendrait non seulement dans la préparation à ce qui va suivre, mais aussi dans la cohésion de l’activité du cerveau et dans sa continuité.
Elle jouerait également un rôle dans la reconstruction permanente du cerveau, dans la stabilisation et le tri des traces récentes de l’apprentissage et dans des fonctions, enfin, aussi générales que le nettoyage et l’entretien des réseaux.

LE CHOURISTE

« – On a seulement commencé à explorer les altérations de la RSA dans des pathologies aussi diverses que la maladie d’Alzheimer, l’autisme et la maladie de Parkinson.
C’est un véritable champ d’investigation qui s’ouvre dans le cerveau, lequel ne s’arrête d’être actif qu’à la mort de son propriétaire . »

SOURCE : 
L’EXPRESS N° 3200

Choucaline plus proche de toi tumeur
CHOUCALINE Lire mon dernier article cliquez pour accéder - Oh mon Dieu il gèle en enfer

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La centrale électrique de mon corps

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BLOC NOTE LITTÉRAIRE
par
Chou Blanc

«  Paroles d’hommes« 

Le cerveau, une centrale
électrique

Avoir un cerveau qui fonctionne bien est le gage d’une bonne santé selon l’auteur d’Un cerveau à 100%, le Dr Braverman.

Dr Braverman.

Pourquoi ?
En partie parce que c’est le cerveau qui génère et propage des impulsions électriques vers le reste du corps.

Zoom sur l’activité électrique du cerveau et ses implications pour la santé.

Le cerveau est le principal générateur d’électricité du corps. Quatre paramètres permettent de déterminer la relation entre le fonctionnement cérébral et la production et la propagation d’impulsions électriques vers le reste de l’organisme.
Ce sont la tension électrique, la vitesse de propagation, le rythme et la synchronisation.

La tension électrique

La tension mesure l’intensité avec laquelle le cerveau répond à un stimulus qui, à son tour, influe sur la capacité du cerveau à traiter cette information (aussi bien cognitive que physique). Cette tension est également appelée différence de potentiel. Elle détermine le métabolisme et les divers états de conscience, de « pleinement éveillé » à « profondément endormi ». Sans tension adéquate, vous fonctionnez au ralenti.

La vitesse de propagation

Le courant électrique se propage de l’encéphale vers le reste de l’organisme à raison de 60 impulsions par seconde. Penser se produit à la vitesse de deux ou trois impulsions par seconde. Tout dépend de la rapidité avec laquelle ces signaux électriques sont traités. C’est ce paramètre qui détermine l’âge biologique du cerveau, parfois très différent de l’âge chronologique. Quand l’activité cérébrale s’accélère, on constate une amélioration de la mémoire, de la capacité à concentrer son attention, du quotient intellectuel (QI) voire du comportement.
À l’inverse, si elle ralentit, on devient étourdi et on perçoit une baisse de son acuité intellectuelle.

Le rythme

Un cerveau équilibré crée et reçoit de l’électricité selon un flux régulier, sans à-coup. À l’opposé, si l’électricité se propage brutalement, par saccades, on parle d’arythmie. C’est le signe d’un début de dysfonctionnement cérébral. Le rythme détermine la manière dont vous gérez le stress dans votre vie quotidienne. Si ce rythme s’emballe, vous vous éloignez du point d’équilibre et devenez anxieux, nerveux ou irritable.

La synchronisation

Les signaux électriques du cerveau peuvent être représentés sous la forme d’ondes cérébrales. Il en existe quatre types, chacun correspondant à un niveau de conscience physique et psychique.

– Les ondes bêta (premier type) se propagent à la vitesse de 12 à 16 cycles par seconde. Quand votre cerveau émet ces ondes bêta, votre esprit est vif et alerte.
– Les ondes alpha (deuxième type) voyagent à la vitesse de 8 à 12 cycles par seconde. Lorsque votre cerveau envoie ces ondes alpha, vous vous sentez créatif.
– Les ondes thêta (troisième type) circulent à la vitesse de 4 à 8 cycles par seconde. Sous l’effet de ces ondes thêta, vous devenez somnolent.
– Les ondes delta (dernier type) se déplacent à raison de 1 à 4 cycles par seconde. Quand votre cerveau transmet une majorité d’ondes delta, vous êtes en train de dormir, plus ou moins profondément.

Dans tous les cas, aucune onde cérébrale n’apparaît jamais seule.

La synchronisation survient lorsque ces quatre ondes sont bien équilibrées tout au long de la journée.
La nuit, le cerveau répare lui-même les traumatismes du jour en synchronisant l’émission de ces ondes. En cas de perte de cette synchronisation, vous risquez une amplification des déséquilibres électriques. Avec pour conséquences : un sommeil non réparateur, un manque de concentration et la perte de contrôle de vos émotions.

– Si je raisonne pas comme un tambour…  Je peux par la pratique d’arts créatifs contribuer à augmenter mes ondes alpha pour obtenir un rééquilibrage de mon corps …
Vous avez pigé dans cette phase de confinement où la somnolence, la lassitude et  la léthargie vous gagne…
Je vous dis :
A VOS COULEURS CAMARADES….!!! OU A VOS PLANTES SI VOUS AVEZ LA CHANCE DE POUVOIR CULTIVER VOTRE JARDIN..!!

Tout part du neurone

Le courant électrique permet au cerveau de coordonner les mouvements, de contrôler la respiration et d’indiquer la faim, la douleur, la joie ou la tristesse… à la condition de pouvoir circuler.
L’activité cérébrale débute par un stimulus : une pensée ou une information provenant d’un des cinq sens. Lorsque ce stimulus arrive à l’encéphale, ce dernier envoie des messages vers le reste du corps.
Tous ces signaux captés ou émis par le cerveau se propagent dans la moelle épinière.
Ensemble, encéphale et moelle épinière constituent le système nerveux central.
Les plus petits composants du système nerveux central sont des cellules spécialisées appelées neurones.
Notre cerveau en compte une centaine de milliards à la naissance et continue d’en produire tout au long de notre vie.

SOURCE : https://www.thierrysouccar.com/sante/info/le-cerveau-une-centrale-electrique-2407


Thierry Souccar Editions est le premier éditeur francophone dans le domaine de la nutrition, mais publie aussi de nombreux ouvrages dans les domaines de la prévention, la santé, l’environnement, le sport, l’équilibre émotionnel.

Plus notre cerveau est grand, plus on est intelligent ?

Faux ! La taille importe peu. Par exemple, le cerveau du célèbre génie Albert Einstein pesait 1 230 grammes alors que le poids moyen d’un cerveau humain avoisine les 1 400 g. Ce qui compte, c’est l’apprentissage dès le plus jeune âge. C’est à ce moment que la formation des réseaux de neurones a lieu. Le cerveau atteint sa taille adulte vers 12 ans. Toutefois, il continue à se développer dans le sens où les connexions entre neurones se poursuivent. Donc, le nombre de connexions entre neurones définit davantage l’intelligence d’une personne que la taille de son cerveau.

–  Ouf !


Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez Chou Blanc

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Potes âgés…. Sortez votre cerveau du potage…!

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A manger trop de légumes mes potes âgés, le cerveau retrécit - cliquez et lisez Choucaline plus proche de toi tumeurbloc note choucaline  BLOC  NOTE
de Choucaline

« Les capacités de notre cerveau. »
Tonique Cérébral 120 gélules
Étonnant notre cerveau nous surprendra toujours…
Enfin pour ceux qui en ont un….! Moi même,  j’ai été rassuré sur sa présence un jour de gros rhume…de cerveau….

Il y a quelques mois je vous avais fait faire un petit exercice de lecture, qui devait amorcer une descente dans les profondeurs de votre cerveau.

 Certains d’entre vous qui ont échoué, sont portés depuis disparus corps et liens qui nous unissaient….. Pas de panique, vous étiez peut être fatigués ce jour là …pour vous rassurer, nous publions une nouvelle fois ce test … En cas de nouvel échec, vous pourrez toujours argumenter sur l’état de fatigue d’après confinement.
Il reste aussi une révision  pour les autres, car vous devrez tous affronter un autre test similaire
ci-dessous.

« La CHOUETTE ne saurait être tenue pour responsable des gestes désespérés d’après test « 

 

Bonne lecture
Petite révision de lecture!!!   Bonne chance !

is vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau. Puveoz-vuos
lrie ceci? Seleuemnt 55 porsnenes sur cnet en snot cpalabes.Je n’en cyoaris
pas mes yuex que je sios cabaple de
cdrpormendre ce que je liasis. Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin.
Soeln une rcheerche fiat à l’Unievristé de Cmabridge, il n’y a pas
d’iromtpance sur l’odrre dnas luqeel les lerttes snot, la suele cohse
imotprante est que la priremère et la derènire letrte du mot siot à la
bnone place. La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par
letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n’est-ce pas? Et moi qui ai
tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! Si vuss poevuz le lrie,
fitaes le svirue !!!

En voici un  autre semblable…..vu votre  âge qui avance, Voyez si votre mémoire est  encore alerte.

On dit que si vous y réussissez, cela indique que vous avez l’hémisphère gauche bien développé……. et que vous êtes intelligent… mais on dit tellement de conneries….

Si vous réussissez à lire les premiers mots, le cerveau déchiffre les autres. Amusez-vous !

UN B34U JOUR D’373,
J’37415 5UR L4 PL4G3 37 J3 R3G4RD415 D3UX J3UN35 F1LL35 JOU4N7 D4N5 L3 54BL3. 3LL35 CON57RU15413N7 UN CHÂ734U D3 54BL3, 4V3C 7OUR5, P4554G35 C4CH35 37 PON7-L3V15. 4LOR5 QU’3LL35 73RM1N413N7, UN3 V4GU3 357 4RR1V33 37 4 7OU7 D37RU17, R3DU154N7 L3 CH4734U 3N UN 745 D3 54BL3 37 D’3CUM3.J’41 CRU QU’4PR35 74N7 D’3FFOR7, L35 F1LL37735 COM3NÇ3R413N7 4 PL3UR3R, M415 4U CON7R41R3 3LL35 COURRUR3N7 5UR L4 PL4G3, R14N7 37 JOU4N7 37 COMM3NÇ3R3N7 4 CON57RU1R3 UN 4U7R3 CHÂ734U. J’41 COMPR15 QU3 J3 V3N415 D’4PPR3NDR3 UN3 GR4ND3 L3ÇON. NOU5 P455ON5 UN3 GR4ND3 P4R713 D3 NO7R3 V13 4 CON57RU1R3 D35 CHO535 M415 LOR5QU3 PLU5 74RD UN3 V4GU3 L35 D3MOL17, L35 53UL35 CHO535 QU1 R3573N7 5ON7 L’4M1713, L’4MOUR 37 L ‘4FF3C71ON 37 L35 M41N5 D35 G3N5 QU1 5ON7 C4P4BL35 D3 NOU5 F41R3 5OUR1R3.

« En cas d’échec, retournez au jardin vous aérer …. j’ai pas dit retourner le jardin…!

————-Merci à ma contributrice pour son envoi ————— Choucaline plus proche de toi tumeur

CHOUCALINE Lire mon dernier article   cliquez pour accéder 23 12 2010 Vie-professionnelle-reussie-communication-procedures-hierarchie

 

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L’EFFET PLACEBO OU ….LES FAITS PLACEBO….EH OUI ..! LES FAITS SONT LA

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Bloc note Choulager
par Chou blanc

L’EFFET PLACEBO

 Nous vivons, au troisième millénaire, sur la conception pasteurienne d’une médecine du XIXe siècle, fondée sur l’idée que tout est dans la matière (cellules, virus, bactéries et micro-organismes) et qui, comme on le  dit  « n’a que faire de l’Esprit ».

Selon ce principe ou, pour mieux dire, ce préjugé, l’esprit n’existe pas et — n’existant pas — n’a bien évidemment pas la moindre influence sur le corps.

 Pour cette médecine, le corps n’est qu’un conglomérat de cellules et la « maladie » n’est qu’un dérèglement provoqué que par le contact de micro-organismes (virus, bactéries, etc.) qui provoquent l’infection des cellules.

L’effet placebo dément de la façon la plus formelle et la plus spectaculaire le fondement pasteurien de cette médecine.

LA PUISSANCE DE L’ESPRIT QUI GUÉRIT

Placebo est un verbe latin qui signifie : je plairai. Très vite, il a pris le sens de mensonge, de flagornerie et de flatterie.

Au début du XIXe siècle, les médecins ont commencé à l’employer pour désigner un remède que l’on prescrivait au patient non pas pour le guérir mais pour lui faire plaisir. Le mot est alors entré dans le vocabulaire médical. Et le placebo et ses stupéfiants effets nous plaisent en effet beaucoup.

Voici une personne atteinte d’une forte migraine. On lui dit qu’on va lui administrer un tout nouveau médicament, d’une prodigieuse efficacité contre la migraine et on le lui administre dans un verre d’eau.

Un quart d’heure après, la migraine a disparu.
Interrogée sur l’effet du produit, le malade dit qu’il est remarquablement efficace.

Eh oui, mais le produit qu’on lui a administré n’était que du sucre en poudre !
Tel est le fameux effet placebo !

Le placebo démontre que nous sommes capables de nous guérir en très peu de temps de nos maladies par le seul imaginaire, par notre seule imagination !
Le seul fait d’être psychologiquement convaincu qu’on a absorbé un médicament capable de nous guérir peut suffire à nous guérir, en l’absence totale de toute substance médicamenteuse active !

Telle est la puissance de la pensée sur le corps.

Et, si nous sommes capables de guérir nos maladies, c’est parce que nous sommes également capables de nous les incorporer.
Eh oui, il faut être logique : si l’esprit peut débarrasser le corps d’une maladie, d’une infection, ce n’est possible que si l’esprit est le programmateur même de la maladie ou de l’infection.

30 % A 80% D’EFFICACITÉ

Des études ont montré que le processus fonctionne dans 30% des cas. C’est-à-dire que 30% des malades d’une maladie donnée peuvent être guéris apparemment par l’eau sucrée — mais en vérité par leur propre inconscient qui déprogramme la maladie qu’il a programmée — quand les 70% restant ne le seront pas.

RIEN D’AUTRE QUE LA PSYCHOSOMATIQUE 
NE PEUT EXPLIQUER L’EFFET PLACEBO

C’est ce processus de régénération permanente qui fait cicatriser nos blessures, qui reconstitue les os brisés, répare nos petits accidents corporels

Il s’agit là d’un processus biologique naturel bien connu. Mais on aurait tort de croire que l’action psychologique — qui est l’action de l’effet placebo — n’y joue aucun rôle.
Ceux qui ont une excellente santé psychologique et, par voie de conséquence, une excellente santé physique, énergétique et biochimique, réparent leurs accidents ou leurs blessures plus vite que ceux dont la condition mentale et physique est moins bonne.

MOLIÈRE AVAIT RAISON :
IL N’Y A DE MALADIE QU’IMAGINAIRE

LE MALADE IMAGINAIRE PAR HONORÉ DAUMIER

Faute de comprendre que l’esprit peut aussi bien rendre malade que guérir, les chercheurs scientifiques ont presque tout tenté pour comprendre l’efficacité des placebos.

Dans les années 30, deux Américains, Evans et Hoyle, ont étudié pendant deux ans et demi l’action de 15 médicaments contre l’angine de poitrine et placebos prescrits pour la même maladie.

Ils ont constaté que le placebo était efficace et calmait la crise dans 40% des cas.
La conclusion ahurissante de leurs travaux fut donc que 4 seulement des 15 médicaments étaient plus efficaces que le placebo contre l’angine de poitrine !

En ce qui concerne les 11 médicaments restant, les placebos, donc l’eau sucrée ou distillée, étaient tout aussi efficaces !

CONCLUSION :
Le placebo, en déclenchant la croyance que l’on va guérir, c’est-à-dire l’imaginaire — une fonction purement abstraite du cerveau : l’esprit —, fait disparaître la crise. La conclusion qu’en revanche les chercheurs n’ont pas tirée, c’est que, en bonne dialectique, si l’esprit peut guérir une maladie ou réduire une crise, c’est, à l’évidence, parce que la maladie est déclenchée par l’imaginaire !

Si ce n’était pas le cas, l’esprit serait incapable de guérir quelque maladie que ce soit et il n’existerait donc pas d’effet placebo !
Or il existe ! Et, s’il existe, c’est que la maladie est d’abord imaginaire !
Molière avait raison !

LE PLACEBO NE FONCTIONNE QUE SI LE MÉDECIN Y CROIT AUSSI !

Dans les années 50, dans une petite ville des États-Unis, un médecin reçoit une patiente atteinte d’un asthme rebelle à tout traitement.

Il lui offre aussitôt de la traiter avec un tout nouveau produit qui n’est pas encore commercialisé mais qui fait merveille. Et, en effet, les crises de la patiente cessent aussitôt.

Le médecin envoie son rapport au laboratoire qui lui a demandé de tester le produit et il demande en même temps qu’on lui renvoie un placebo, c’est-à-dire une boîte identique contenant de l’eau sucrée. Sitôt dit, sitôt fait.

Il donne — bien sûr sans la prévenir — ce placebo à sa patiente.
Laquelle revient, huit jours plus tard, en disant que, cette fois, le produit a été totalement inefficace.
Le médecin envoie un nouveau rapport au laboratoire disant que le placebo a été inefficace.

Et alors le laboratoire l’informe qu’à la suite d’une erreur il ne lui a expédié que des placebos, dès le premier envoi !

En d’autres termes, la première boîte, qui ne contenait qu’un placebo alors que le médecin croyait que c’était un vrai médicament, a été efficace alors que la deuxième boîte — placebo —, dont le médecin croyait que c’était un placebo, n’a eu aucun effet !

CONCLUSION :
Le placebo est efficace si le médecin prescripteur croit que c’est un vrai médicament et il est inefficace si le médecin prescripteur croit que c’est un placebo ! En d’autres termes, la guérison par placebo ne dépend pas seulement de la croyance du patient dans l’effet curateur du produit, elle dépend également de la croyance du médecin !

On est donc fondé à en conclure que la guérison d’un malade peut aussi dépendre du fait que son médecin le croit guérissable ou non !
Dans ce dernier cas, le psychisme du médecin joue autant que celui du malade dans la guérison ou la non-guérison !

LA RELATION MÉDECIN-PATIENT

S’il est bien difficile d’évaluer scientifiquement la qualité d’une relation humaine, il n’en demeure pas moins vrai qu’un certain nombre d’essais cliniques, qu’il n’est pas possible ici de détailler, montre qu’une attitude bienveillante, explicative et rassurante du médecin génère une réponse placebo plus importante que s’il est froid, distant et peu sûr de lui .

LA PERSONNALITÉ DU PATIENT

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Il n’existe pas de traits de personnalité corrélés à la réponse placebo.
Et les personnalités prétendues hystériques ne répondent pas mieux au placebo qu’un patient présentant d’autres traits de personnalité.
Seule l’étude de Fisher a montré que la réponse placebo était corrélée au degré d’acquiescement du patient. Ce sont peut-être les  » bénis oui-oui » qui répondent le mieux au placebo!

AYONS LA PAROLE JUSTE

C’est dans le climat morbide et  mortifère de l’hôpital, avec un  vocabulaire inadapté , en lui déclarant  :
« Tumeur ! »
qu’on  convainc psychologiquement le malade qu’il est atteint d’une maladie incurable et que, par conséquent, il va en mourir….
C’est aussi  ça  qui tue le malade ! Et au moyen du même effet psychologique qui peut guérir !

Car tout est dans le cerveau !

Au niveau du néocortex, là où se fabrique la conscience et la pensée.

SOURCE : L’Imaginaire crée la « maladie », il peut aussi bien la guérir par Richard Sünder
Une maladie psychosomatique est une maladie que l’esprit crée dans le corps. L’idée qu’il y a des maladies psychosomatiques nous vient de Georg Groddeck (1866-1934)

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RETRO :
C’est du même tabac…..

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