Étonnant notre cerveau nous surprendra toujours…
Enfin pour ceux qui en ont un….! Moi même, j’ai été rassuré sur sa présence un jour de gros rhume… de cerveau…. Il y a quelques mois je vous avais fait faire un petit exercice de lecture, qui devait amorcer une descente dans les profondeurs de votre cerveau…..
Aujourd’hui je vous propose de trouver qui câline qui ?
Si vous voyez la fille assise et le garçon qui entoure son cou… vous êtes de type cerveau gauche.
Regardez encore….
Car, en réalité, c’est tout le contraire.
Alors faites travailler votre cerveau droit…
Et vous verrez que c’est le garçon qui est assis et porte un polo noir et que c’est la fille qui entoure le cou du garçon et qui porte un polo mauve !
Assez spécial, n’ est-ce pas!
Nous possédons tous deux hémisphères cérébraux qui interagissent constamment mais qui présentent chacun des fonctions spécifiques.
L’hémisphère gauche décompose les problèmes et analyse.
L’hémisphère droit s’intéresse au tout et innove.
L’idéal est de favoriser la communication entre ces deux cerveaux.
Mais notre éducation, ou notre tempérament, nous conduit parfois à privilégier l’une de ces deux zones.
Cette prédominance déterminera différentes manières de penser la vie.
L’homme naît avec des sens et des facultés ; mais il n’apporte avec lui en naissant aucune idée : son cerveau est une table rase qui n’a reçu aucune impression, mais qui est préparée pour en recevoir. (Antoine-Laurent de Lavoisier)
Un cerveau plein de paresse c’est l’atelier du diable…..
« SACHEZ QUE VOTRE CERVEAU EST UN ACHARNÉ DU BOULOT….
« ENFIN SI VOUS EN AVEZ UN…? »
LE CERVEAU, UN ORGANE …
QUI NE CHÔME JAMAIS
QUE FAIT NOTRE CERVEAU QUAND IL NE PENSE PAS OU QU’IL N’EST PAS AFFAIRE A QUELQUE ACTION?
La question intéresse aujourd’hui les chercheurs. On peut, grâce à l’imagerie par résonance ma gnétique nucléaire (IRMN), observer le niveau d’activité de régions cérébrales bien définies lors de l’exécution de différentes tâches mentales.
Avec l’IRM à balayage rapide, il est désormais possible de regarder vivre un cerveau. Des chercheurs ont eu l’idée de profiter de la présence d’un cobaye humain dans la machine pour ajouter au protocole expérimental une observation supplémentaire, en demandant au sujet de faire le vide dans sa tête.
Le but était de savoir ce qui survient dans le cerveau lorsque celui-ci est censé être au repos. La réponse surprenante fut que le cerveau présentait une activité notable, alors qu’il ne pensait pas et n’accomplissait aucune tâche.
Au repos il bosse.. !
Depuis les premières observations maintes fois répétées, plusieurs équipes de neurobiologistes se sont intéressées à l’activité du cerveau en état de repos -« resting state activity» (RSA).
On notera que le terme de repos est assez inapproprié, puisque le cerveau ne semble justement pas connaître de répit. A l’appui de cette thèse, le débit sanguin cérébral, qui traduit la dépense énergétique de l’organe, ne baisse jamais de plus de 5 %.
La RSA consiste en fluctuations à basse fréquence, qui ne sont ni un bruit de fond dépourvu de significations fonctionnelles, ni une captation du processus de conscience en cours.
Il s’agit d’un mode de fonctionnement par défaut qui disparaît lorsque les réseaux neuronaux du cerveau sont de nouveau activés par une tâche.
Andreas Kleinschmidt, directeur de recherche à l’Unité de neure-imagerie cognitive de l’Inserm de Gif-sur-Yvette, a montré, par des enregistrements électroencéphalographiques couplés avec la RMN, que la RSA était corrélée avec une activité électrique, notamment celle correspondant à une bande de fréquence autour de 40 hertz. Fréquence associée à la communication entre les régions distantes du cerveau
Scout toujours.. !
Les réseaux de celui ci fonctionneraient à vide de façon à être prêts à servir lorsque nécessaire.
Ils maintiennent les connexions en tension, de la même manière qu’une voiture dont le moteur tourne au repos permet un démarrage plus rapide.
La RSA influence aussi la perception en anticipant ce que le cerveau va percevoir effectivement.
Kleinschmidt suspecte que le cerveau dispose de plusieurs modèles du monde dans lesquels il puise au moment d’être confronté avec la réalité.
Cette hypothèse est à mettre en regard des recherches montrant que dans l’accomplissement d’un choix, plus celui-ci est complexe, plus la pensée qui le conduit est non consciente (délibération sans attention) ; nous croyons que nous prenons des décisions grâce au raisonnement, mais il se pourrait que nous nous contentions de répondre à des indices issus de notre environnement de façon automatique.
Même lorsqu’on ne pense pas, il n’y a aucun répit dans l’activité cérébrale. Mais pourquoi donc?
Finalement, la RSA interviendrait non seulement dans la préparation à ce qui va suivre, mais aussi dans la cohésion de l’activité du cerveau et dans sa continuité.
Elle jouerait également un rôle dans la reconstruction permanente du cerveau, dans la stabilisation et le tri des traces récentes de l’apprentissage et dans des fonctions, enfin, aussi générales que le nettoyage et l’entretien des réseaux.
« – On a seulement commencé à explorer les altérations de la RSA dans des pathologies aussi diverses que la maladie d’Alzheimer, l’autisme et la maladie de Parkinson.
C’est un véritable champ d’investigation qui s’ouvre dans le cerveau, lequel ne s’arrête d’être actif qu’à la mort de son propriétaire . » SOURCE : L’EXPRESS N° 3200
Avoir un cerveau qui fonctionne bien est le gage d’une bonne santé selon l’auteur d’Un cerveau à 100%, le Dr Braverman.
Dr Braverman.
Pourquoi ? En partie parce que c’est le cerveau qui génère et propage des impulsions électriques vers le reste du corps.
Zoom sur l’activité électrique du cerveau et ses implications pour la santé.
Le cerveau est le principal générateur d’électricité du corps. Quatre paramètres permettent de déterminer la relation entre le fonctionnement cérébral et la production et la propagation d’impulsions électriques vers le reste de l’organisme.
Ce sont la tension électrique, la vitesse de propagation, le rythme et la synchronisation.
La tension électrique
La tension mesure l’intensité avec laquelle le cerveau répond à un stimulus qui, à son tour, influe sur la capacité du cerveau à traiter cette information (aussi bien cognitive que physique). Cette tension est également appelée différence de potentiel. Elle détermine le métabolisme et les divers états de conscience, de « pleinement éveillé » à « profondément endormi ». Sans tension adéquate, vous fonctionnez au ralenti.
La vitesse de propagation
Le courant électrique se propage de l’encéphale vers le reste de l’organisme à raison de 60 impulsions par seconde. Penser se produit à la vitesse de deux ou trois impulsions par seconde. Tout dépend de la rapidité avec laquelle ces signaux électriques sont traités. C’est ce paramètre qui détermine l’âge biologique du cerveau, parfois très différent de l’âge chronologique. Quand l’activité cérébrale s’accélère, on constate une amélioration de la mémoire, de la capacité à concentrer son attention, du quotient intellectuel (QI) voire du comportement.
À l’inverse, si elle ralentit, on devient étourdi et on perçoit une baisse de son acuité intellectuelle.
Le rythme
Un cerveau équilibré crée et reçoit de l’électricité selon un flux régulier, sans à-coup. À l’opposé, si l’électricité se propage brutalement, par saccades, on parle d’arythmie. C’est le signe d’un début de dysfonctionnement cérébral. Le rythme détermine la manière dont vous gérez le stress dans votre vie quotidienne. Si ce rythme s’emballe, vous vous éloignez du point d’équilibre et devenez anxieux, nerveux ou irritable.
La synchronisation
Les signaux électriques du cerveau peuvent être représentés sous la forme d’ondes cérébrales. Il en existe quatre types, chacun correspondant à un niveau de conscience physique et psychique.
– Les ondes bêta (premier type) se propagent à la vitesse de 12 à 16 cycles par seconde. Quand votre cerveau émet ces ondes bêta, votre esprit est vif et alerte. – Les ondes alpha (deuxième type) voyagent à la vitesse de 8 à 12 cycles par seconde. Lorsque votre cerveau envoie ces ondes alpha, vous vous sentez créatif. – Les ondes thêta(troisième type) circulent à la vitesse de 4 à 8 cycles par seconde. Sous l’effet de ces ondes thêta, vous devenez somnolent. – Les ondes delta(dernier type) se déplacent à raison de 1 à 4 cycles par seconde. Quand votre cerveau transmet une majorité d’ondes delta, vous êtes en train de dormir, plus ou moins profondément.
Dans tous les cas, aucune onde cérébrale n’apparaît jamais seule.
La synchronisation survient lorsque ces quatre ondes sont bien équilibrées tout au long de la journée. La nuit, le cerveau répare lui-même les traumatismes du jour en synchronisant l’émission de ces ondes. En cas de perte de cette synchronisation, vous risquez une amplification des déséquilibres électriques. Avec pour conséquences : un sommeil non réparateur, un manque de concentration et la perte de contrôle de vos émotions.
– Si je raisonne pas comme un tambour… Je peux par la pratique d’arts créatifs contribuer à augmenter mes ondes alpha pour obtenir un rééquilibrage de mon corps … Vous avez pigé dans cette phase de confinement où la somnolence, la lassitude et la léthargie vous gagne…
Je vous dis :
A VOS COULEURS CAMARADES….!!! OU A VOS PLANTES SI VOUS AVEZ LA CHANCE DE POUVOIR CULTIVER VOTRE JARDIN..!!
Tout part du neurone
Le courant électrique permet au cerveau de coordonner les mouvements, de contrôler la respiration et d’indiquer la faim, la douleur, la joie ou la tristesse… à la condition de pouvoir circuler.
L’activité cérébrale débute par un stimulus : une pensée ou une information provenant d’un des cinq sens. Lorsque ce stimulus arrive à l’encéphale, ce dernier envoie des messages vers le reste du corps.
Tous ces signaux captés ou émis par le cerveau se propagent dans la moelle épinière.
Ensemble, encéphale et moelle épinière constituent le système nerveux central.
Les plus petits composants du système nerveux central sont des cellules spécialisées appelées neurones.
Notre cerveau en compte une centaine de milliards à la naissance et continue d’en produire tout au long de notre vie.
Thierry Souccar Editions est le premier éditeur francophone dans le domaine de la nutrition, mais publie aussi de nombreux ouvrages dans les domaines de la prévention, la santé, l’environnement, le sport, l’équilibre émotionnel.
Plus notre cerveau est grand, plus on est intelligent ?
Faux !La taille importe peu. Par exemple, le cerveau du célèbre génie Albert Einstein pesait 1 230 grammes alors que le poids moyen d’un cerveau humain avoisine les 1 400 g. Ce qui compte, c’est l’apprentissage dès le plus jeune âge. C’est à ce moment que la formation des réseaux de neurones a lieu. Le cerveau atteint sa taille adulte vers 12 ans. Toutefois, il continue à se développer dans le sens où les connexions entre neurones se poursuivent. Donc, le nombre de connexions entre neurones définit davantage l’intelligence d’une personne que la taille de son cerveau. – Ouf !
« Les capacités de notre cerveau. » Étonnant notre cerveau nous surprendra toujours…
Enfin pour ceux qui en ont un….! Moi même, j’ai été rassuré sur sa présence un jour de gros rhume…de cerveau….
Il y a quelques mois je vous avais fait faire un petit exercice de lecture, qui devait amorcer une descente dans les profondeurs de votre cerveau.
Certains d’entre vous qui ont échoué, sont portés depuis disparus corps et liens qui nous unissaient….. Pas de panique, vous étiez peut être fatigués ce jour là …pour vous rassurer, nous publions une nouvelle fois ce test … En cas de nouvel échec, vous pourrez toujours argumenter sur l’état de fatigue d’après confinement.
Il reste aussi une révision pour les autres, car vous devrez tous affronter un autre test similaire ci-dessous.
« La CHOUETTE ne saurait être tenue pour responsable des gestes désespérés d’après test «
Bonne lecture
Petite révision de lecture!!! Bonne chance !
is vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau. Puveoz-vuos
lrie ceci? Seleuemnt 55 porsnenes sur cnet en snot cpalabes.Je n’en cyoaris
pas mes yuex que je sios cabaple de
cdrpormendre ce que je liasis. Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin.
Soeln une rcheerche fiat à l’Unievristé de Cmabridge, il n’y a pas
d’iromtpance sur l’odrre dnas luqeel les lerttes snot, la suele cohse
imotprante est que la priremère et la derènire letrte du mot siot à la
bnone place. La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par
letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n’est-ce pas? Et moi qui ai
tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! Si vuss poevuz le lrie,
fitaes le svirue !!!
En voici un autre semblable…..vu votre âge qui avance, Voyez si votre mémoire est encore alerte. On dit que si vous y réussissez, cela indique que vous avez l’hémisphère gauche bien développé……. et que vous êtes intelligent… mais on dit tellement de conneries….
Si vous réussissez à lire les premiers mots, le cerveau déchiffre les autres. Amusez-vous !