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Les oiseaux bleus


On est quand même au top à la CHOUETTE … On vous fait voler dans les plafonds du Louvre…. Avec « LES OISEAUX BLEUS  » de  GEORGES BRAQUE ….. période bleue oblige..!

L’ART ET LA PALETTE
AU CHOU

par Chou Blanc
– Wiki..!  On a paumé les pinc  eaux…
– On s’en fout, c’est de la peinture à l’huile
.

SÉRIE: LA TÊTE AU PLAFOND      » LES OISEAUX BLEUS » –
PLAFOND D’UNE SALLE DU MUSÉE DU LOUVRE
Peinture de GEORGES BRAQUE
Informations pratiques:

1953: Un peintre cubiste, Georges Braque (1882-1963) vient orner les trois compartiments d’un plafond royal du Louvre

L’ancienne antichambre du roi conserve toujours son plafond d’origine richement sculpté, réalisé en 1557 par le menuisier Scibec de Carpi.
Un décor peint, Les Oiseaux, est commandé au peintre cubiste, Georges Braque (1882-1963) pour venir orner les trois compartiments de ce plafond, décor inauguré en 1953.

 Le sujet choisi par le peintre, des oiseaux noirs sur fond bleu, convient parfaitement à cette salle et même ceux qui étaient peu favorables à l’idée de mêler le moderne et l’ancien ont été séduits maintenant qu’ils ont pu voir la décoration mise en place dans les ors du plafond.

 Georges Braque, né en 1882 à Argenteuil et mort à Paris en 1963, est un artiste-peintre et un sculpteur français.
Il est, avec Pablo Picasso, l’un des initiateurs du cubisme.
Peintre de compositions animées, figures, intérieurs, natures mortes, paysages, peintre de collage, graveur, sculpteur. Fauve, puis cubiste.

Les Oiseaux , réalisée pour une commande du Louvre sont visibles sur le plafond de la salle Henri II.
Les oiseaux qui représentent la vie, ont été peint par Braque car il savait qu’il s’agissait d’une toile à mettre au plafond, ainsi, il a représenté le ciel, les étoiles pour se mettre dans le contexte de la hauteur, de l’espace, puis, les oiseaux qui s’envolent pour montrer la liberté

Le peintre a créer cette peinture et ne l’a pas imiter, en effet, ce n’est pas une imitation de la nature mais une création de l’artiste. Ce dernier n’a pas copié ce qu’il perçoit, mais il l’a crée. Il avait tout simplement de l’inspiration pour cette toile, il a voulu que « le ciel monte en lui tout doucement » et qu’on puisse « voir ce ciel sans le regarder ». Or, c’est désormais chose faite.
La peinture est en fond bleue marine, les oiseaux sont au centre de l’image et sont de couleurs noirs contournés de blancs. Nous notons également qu’il y a présence de trois petites étoiles avec un croissant de lune blancs dans le ciel nuitée.

Le thème de l’oiseau auquel il se consacre depuis plusieurs années était certainement le mieux adapté à un plafond.

Ses oiseaux volent, en effet, à tire d’aile ; ils sont une expression fascinante du mouvement.
« Toute ma vie, ma grande préoccupation a été de peindre l’espace », disait Braque . Et non seulement de le peindre mais d’en exprimer la substance, de le faire toucher des yeux. Aussi l’oiseau né de l’espace est-il venu se poser tout naturellement sur le plafond de la salle Henri-II.

Il a utilisé pour sa peinture de larges aplats de couleur, ce qui donne à l’ensemble la force de la simplicité. L’artiste l’a réalisée en travaillant à plat sur le sol, avec de longues brosses, dans un local mis à sa disposition au Louvre même.
Peut-être est-ce là le secret de cette belle réussite.

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs « Cela en valait la peine puisque avec la décoration du plafond de cette salle  du musée du Louvre, sur le thème de l’oiseau. Il devient ainsi le premier peintre exposé au Louvre de son vivant. »

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PEINTURE : le dernier tableau de Léonard de Vinci


LART ET LA PALETTE AU CHOU
SÉRIE:
LEONARD DE VINCI

LES GÉNIES AUX PIEDS D’ARGILE

Pour ceux qui viennent de terminer sur ANTENNE 2 la série Franco Hispano Italienne  » LEONARDO  » 
( Pensez au replay c’est superbe) nous analyserons les faiblesses
de ce génie à travers sa dernière œuvre qui témoigne de l’homme tourmenté…..

La Vierge à l’Enfant avec sainte Anne

Chef-d’œuvre inachevé de Léonard de Vinci :
La Vierge à l’Enfant avec sainte Anne -musée du Louvre

Le début de la lente et complexe genèse du tableau remonterait à 1501…. Léonard de Vinci ne cessa ensuite de perfectionner cette composition ambitieuse, qu’il laissa inachevée à sa mort en 1519.

l’Esquisse de composition,magnifique carton de la National Gallery de Londres  illustre, entre autres, cette longue méditation et rend compte des différentes solutions successivement envisagées par le maître.

Ce tableau était peut-être destiné à Louis XII roi de France, en l’honneur de son épouse Anne de Bretagne, mais on n’en est pas sûr. Il est possible que Léonard l’ait entrepris pour lui-même.

Dans cette esquisse Jésus est représenté aux côtés de saint jean baptiste qui disparaitra au profit de l'agneau dans le tableauElaboré à Florence à travers de nombreux dessins et cartons, poursuivi à Milan entre 1508 et 1513, il est resté inachevé et non livré.
Léonard l’a emporté en France avec lui quand il a été invité en France par François I, mais le tableau n’est, semble-t-il, entré dans les collections royales que sous Louis XIII.

En haut Sainte Anne, puis sa fille la Vierge Marie qui tente, d’un geste à la fois affectueux et inquiet, de retenir son fils Jésus attiré par le sacrifice, représenté par l’agneau. L’art de Vinci tient à sa capacité à représenter l’ambivalence. Jésus veut jouer avec l’agneau, qui est sa mort. La Vierge sait que ce sacrifice est inévitable, mais elle ne peut pas s’empêcher d’essayer de le retenir. Anne, qui représente aussi l’église ou la religion, retient sa fille : la Passion et la Rédemption ne peuvent qu’advenir

 LÉONARD DE VINCI CE GÉNIE AUX PIEDS D’ARGILE
Freud part à la découverte de Léonard de Vinci….

Le 17 octobre 1909, en revenant des Etats-Unis, où il avait mené avec succès certaines conférences sur la psychanalyse, Freud écrivait à Jung, qui était alors son ami et confident, en plus d’être son disciple : « le mystère du caractère de Léonard de Vinci est devenu soudain transparent… » au point d’annoncer son projet d’utiliser la nouvelle science pour une recherche biographique. Plus tard, il déplorait les difficultés rencontrées à cause du manque d’informations concernant la vie privée et surtout l’enfance du génie.
Cela l’amènera à la rédaction d’un essai tourmenté et contesté

LEONARD VU PAR SES CONTEMPORAINS

L’essai s’éfforce de reconstruire l’image de Léonard comme elle avait été décrite par ses contemporains, en lui donnant une vérité psychologique.
« Grand et bien proportionné, avec un beau visage et une force physique exceptionnelle, fascinant dans ses manières d’être, extrêmement éloquent, serein et affable avec tous : il aimait la beauté des choses qui l’entouraient, il revêtait volontiers de fastueux vêtements et il appréciait le raffinement dans toutes les choses de la vie… à une époque où tout individu cherchait à conquérir le plus grand espace possible pour son activité personnelle, ce qui ne pouvait pas se faire sans développer une agressivité envers les autres, il se distinguait par sa tranquillité et sa quiétude, et pour l’attention qu’il portait à éviter toute hostilité ou désaccord. Il était bienveillant et aimable avec tout le monde, il refusait à ce qu’il paraît de manger de la viande, car il estimait qu’il n’était pas juste d’ôter la vie aux animaux et éprouvait un plaisir singulier à rendre leur liberté aux oiseaux qu’il achetait au marché… »

Ses expériences

Toutefois ce Léonard docile, affable et bien vêtu n’hésite pas à découper des cadavres, acte qui en à son époque était perçu comme un sacrilège, pour mieux comprendre le fonctionnement du corps humain ; il refuse l’inactivité répétée des anciens pour faire lui-même ces expériences scientifiques, parvenant même à constater, avec un bon siècle d’avance sur Galilée, que le soleil est immobile. Et puis et c’est sans doute là que se trouve la plus évidente contradiction de son caractère, Léonard est imprévisible et capricieux, surtout en ce qui concerne son activité picturale, qui officiellement lui donnait le revenu pour vivre.
Méticuleux et jamais satisfait de son oeuvre, à la fin il ne prenait le pinceau que de mauvaise grâce, se tournant au contraire de plus en plus vers l’étude des plantes, des venins, d’inutiles et couteuses machines volantes… accusé de rapport incestueux avec son maître, Verrochhio, et acquitté par la suite, il reste une zone d’ombre dans son histoire personnelle, dans ses rapports décidément très affectueux avec ses magnifiques élèves-modèles, choisis tous pour leur prestance physique, indépendamment de toutes aptitudes professionnelle.

Léonard étonne par son chaste refus de la sexualité

Effectivement dans cette période de sensualité effrénée et obscure, Léonard étonne par son chaste refus de la sexualité en elle-même, et parla sereine asexualité de ses personnages : enfants joufflus, jeunes hommes d’une rare beauté, mère extasiées dans la contemplation de leur progéniture…
Sainte Anne et la vierge, confondue en une curieuse étreinte, figure qui dans les dessins préparatoires fait même l’effet d’un monstrueux tronc doté de deux têtes, est le seul couple représenté ; jamais un baiser encore moins deux amoureux.

Dans cette esquisse Jésus est représenté aux côtés de saint jean baptiste qui disparaitra au profit de l'agneau dans le tableau

Selon Freud on ne peut parler ni de véritable homosexualité, ni de névrose, mais d’un cas particulièrement fort de sublimation de sa propre libido, contrainte dès l’enfance à se tourner vers la création artistique et la recherche scientifique.


BONUS MUSICAL les thèmes de la série LEONARDO


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PEINTURE : La belle Nani de Véronèse

logo lardon 1L’ART ET LA PALETTE
AU
CHOU :
Coucou c’est toujours moi merci d’être revenu nous voir …

Aujourd’hui
je vous
propose de
découvrir :
La belle Nani de Véronèse

 Qui est Véronèse ?

Autoportrait de Paul Véronèse dans les noces de cana son monumental chef d’oeuvre  Paolo Caliari, dit Véronèse, né en 1528 à Vérone et mort le 19 avril 1588 à Venise, est un peintre vénitien.

Bien qu’il ait joui d’une réelle popularité de son vivant, notamment à Venise, il fut ignoré des critiques de son temps qui parlent de l’art vénitien. Pourtant, Véronèse constituait avec Titien et Le Tintoret le triumvirat des peintres vénitiens de la Renaissance tardive.

Véronèse est connu comme un grand coloriste ainsi que pour ses décorations illusionnistes (trompe-l’œil) en fresque et à l’huile. Ses travaux les plus connus sont des cycles narratifs raffinés, exécutés selon un style dramatique et coloré, avec des arrangements majestueux et scintillants.

logo lardon DQui est la belle Nani de Véronèse ?

La Belle Nani (ou « portrait d’une femme vénitienne ») est une peinture à l’huile sur toile représentant une riche femme vénitienne de la noblesse, peinte par Véronèse vers 1560.  L’œuvre est conservée au Musée du Louvre

Une patricienne de Venise, dit La Belle Nani
Date de création/fabrication : 3e quart du XVIe siècle (vers 1560)
Dimensions  Hauteur : 1,19 m ; Largeur : 1,03 m
Matière et technique    huile sur toile
Paolo Caliari, dit Veronese –     Italie Vénétie Venise

Description

La femme, représentée à mi-corps de face, est vêtue à la mode de Venise de l’époque, notamment son large décolleté et ses riches parures.
L’attitude réservée et l’anneau à la main gauche montrent qu’il s’agit d’une femme mariée.
L’identité du sujet reste cependant inconnue.
Le nom de Nani est celui de la famille supposée autrefois être propriétaire du tableau, et une légende voudrait que le modèle soit de cette famille.
Ce tableau est considéré comme un des plus beaux portraits féminins du XVIe siècle. Véronèse a réalisé peu de portraits féminins : on n’en connaît que six.

logo lardon DAnalyse du tableau

Au moment de sa redécouverte à la fin du XIXème siècle, on pensait que ce portrait avait été commandé par une famille patricienne de Venise, les Nani, ce qui lui valut le surnom de « la Belle Nani ». Faute de preuve, les historiens ont imaginé que cette jeune femme pouvait être aussi une courtisane ou l’image d’une beauté idéale.
Dans cette effigie de format monumental, Véronèse reprend une formule alors très à la mode mise au point par son aîné Titien, le plus grand portraitiste de la Renaissance vénitienne : le modèle est de face, sur un fond neutre sombre, et placé à côté d’un élément de mobilier, ici une table recouverte d’un précieux tapis dit « à la Moretto », de fabrication anatolienne.
Cette sobre mise en scène exalte la beauté de la jeune femme autant que la richesse de son habit.
Tout ici révèle le portrait d’une mère de famille, issue de l’aristocratie.
La délicate carnation blanche et rosée indique que la dame se protège du soleil.
Sa chevelure étincelante est blond vénitien, une couleur qui s’obtenait, selon les recettes de beauté de l’époque, en exposant ses cheveux au soleil de midi, sur les toits des palais vénitiens.
Sa tenue d’apparat se compose d’une ample robe en velours bleu, avec une ouverture assez large sur la poitrine, permise aux dames mariées de la noblesse et portées à l’occasion de fêtes. Les manches sont de brocart à ramages bleus sur fond blanc, tandis qu’un léger manteau en gaze blanche est posé sur ses épaules.

Une beauté parée de bijoux et d amour conjugal
De somptueuses pièces de joaillerie magnifient l’ensemble : épaulières, ceinture, bracelets, collier et bagues d’or, de perle, de saphir et de rubis.
Cette dame de qualité détourne chastement son regard de celui du spectateur.
Sa main gauche, dont l’annulaire est orné d’une alliance de mariage, reteint élégamment le voile transparent de son habit, tandis que sa main droite se pose sur son cœur, en signe de fidélité conjugale.
Le portrait doit ainsi signifier l’exemplarité de cette femme : son rang social élevé, sa beauté physique et sa vertu morale.

logo lardon DQuand on chante la belle Nani

SOURCE wikipedia
https://collections.louvre.fr/ark:/53355/cl010065927


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La musique n’a pas d’âge..!

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LA PARTITION DE MA2

  La Partition
de  MA2

Aujourd’hui c’est la musique dans l’histoire

La musique au temps d’Alexandre le grand

C’est dans une boîte à biscuit, au fond des réserves du musée du Louvre, que des chercheurs ont retrouvé, il y a une dizaine d’années, une partition du IVe siècle
avant J.-C.

Grâce à cette découverte, exposée au Louvre dans le cadre de l’exposition « Au royaume d’Alexandre le Grand. La Macédoine antique », nous pouvons entendre aujourd’hui un peu de la musique jouée à la cour d’Alexandre.

Alexandre le Grand ou Alexandre III de Macédoine
  -356 à  -323

C’est un roi de Macédoine et l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité.

 Fils de Philippe II, élève d’Aristote et roi de Macédoine depuis -336, il devient l’un des plus grands conquérants de l’histoire.
Il fait de son petit royaume le maître de l’immense empire perse achéménide, s’avance jusqu’aux rives de l’Indus et fonde près de soixante-dix cités, dont la majorité porte le nom d’Alexandrie.
La notoriété d’Alexandre s’explique principalement par sa volonté de conquête de l’ensemble du monde connu.
Cette aspiration, à la fois illusoire et pourtant presque réalisée, avant qu’il ne meure subitement à l’âge de trente-deux ans, a pour conséquence, durant un temps très court,  une unité politique jamais retrouvée ensuite entre l’Occident et l’Orient.

Le conquérant macédonien, excellent interprète lui-même, était passionné de musique et jouait de la cithare et du luth depuis l’adolescence.
Avant de s’emparer du monde, il s’offrait déjà les virtuoses de son temps, à sa cour de Pella :
les aulètes (qui jouent de l’aulos, une flûte à deux tuyaux) nommés Isménias, Timothée, Chrysogonos, Dorion, Antigénidas ou de citharistes en vue comme Stratonicos d’Athènes.

Selon Plutarque, « Alexandre fit connaître dès son enfance qu’il serait tempérant dans les plaisirs ; impétueux et ardent pour tout le reste, il était peu sensible aux voluptés et n’en usait qu’avec modération »
Toutefois, le conquérant macédonien n’était pas vraiment un ascète éloigné des plaisirs de la vie terrestre. Il ne dédaigna ni les femmes ni le vin ; il était passionné de théâtre et de musique ; il aimait la chasse et combattit des fauves dans les paradis du Grand Roi ; il organisa de multiples concours et jeux athlétiques quoiqu’il n’y prît jamais part lui-même.
À Ecbatane, en 324 av. J.-C., il ne se trouvait pas moins de trois mille artistes venus de Grèce pour participer aux fêtes organisées par Alexandre.

Fragment de partition musicale sur papyrus, Médée de Carcinos le Jeune - Musée du Louvre

Fragment de partition musicale sur papyrus

Quelle musique jouait-on alors ?
Il n’en reste aujourd’hui presque rien, sinon… quelques notes retrouvées au Louvre par Laurent Capron, papyrologue de la Sorbonne :

« Au cours d’un inventaire en 2002, je l’avais trouvée roulée en boule dans une boîte à biscuits en ferraille avec un morceau de cigare et des journaux. Elle végétait dans les tréfonds du Louvre depuis plus de cent ans. Mais j’ai vite compris que c’était une merveille oubliée. »

Spécialiste de la musique, Annie Bélis (CNRS, ENS) décrypte cette partition :
il s’agit en fait d’une Médée de Carcinos le Jeune (d’environ 360 av. J.-C.), mentionnée par Aristote dans sa « Rhétorique », où l’héroïne, contrairement à la version du mythe véhiculée par Euripide, est innocente. L’ensemble vocal Kérylos en propose une version, accompagnée de reconstitution d’instruments anciens :

Source : Beaux Arts magazine – N° 330
http://www.villemagne.net/blog

   Alexandre
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le logo de MA2 qui devrait nous régaler tous avec sa musique à deuxM A 2
Ma musique à deux

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