Archives par étiquette : Toulouse

L’ÉTÉ EN FRANCE D’AUBIN CHOULESTROPIC – N° 3

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C’EST BEAU LA FRANCE – Mais c’est où ça ?

 

C’est une commune qui a été capitale pendant près de cent ans du royaume wisigoth et capitale historique de sa région… Elle en est aujourd’hui redevenu le chef-lieu.

Le petit indice.. C’est moa…

En raison de la couleur du matériau de construction traditionnel local, la brique et la terre cuite  notre ville mystère a l’architecture caractéristique des cités de sa région.  Elle en a reçu un surnom célèbre et coloré.

– Faut suivre les POTES H
la chouette vous l’a présentée en 2014

– Eh tonton Aubin tout le monde ne court pas après les musées et les vierges….. MARIE….  un bouquet de violettes à la main…
Si peut être ton pote Augustin…

– Il faut plutôt leur donner le texte de ce chanteur qui chanta SA ville

Allez … ! Je suis bon petit…  prince juste un extrait….

Qu’il est loin mon pays, qu’il est loin
Parfois au fond de moi se raniment
L’eau verte du canal du Midi
Et la brique rouge des Minimes
Ô mon païs, ô……

bestiole des potagers resistant et inépuisable – ça fait trois indices … Vous devriez trouver sinon pour des petits bavards du Midi…. Donner la langue au chat c’est perdre gros…!

 

– Tonton Aubin t’es
d’accord pour qu’on donne
leur langue au chat..?



JOUER AVEC D’AUTRES VILLES :
C’EST BEAU LA FRANCE
– Mais c’est où ça ? N° 124 


Ils ont écrit sur cette commune
et nous avons aimé..!

ILS EN PARLENT….

Les vestiges d’une chartreuse dans un jardin, un singe portant un monocle au faîte d’une maison,

une armoire à bébés abandonnés, le canal du Midi sur un pont,l’escale de Mermoz et de Saint-Exupéry, une pharmacie au décor du XVIIIe siècle, un puits dans une boutique, le gâteau toulousain hérité de l’Antiquité,»

d’anciennes maisons maraîchères, le palais mauresque d’un orientaliste…. Toulouse n’a pas fini de livrer ses trésors !

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TOULOUSE : NOSTRE DAME DE GRASSE


On est quand même au top à la CHOUETTE …
La CHOUETTE est tombée sous le charme et veut aujourd’hui partager avec vous. 

En visite au musée des Augustins de TOULOUSE, nous avons souhaité vous faire partager notre escapade dans la salle capitulaire pour voir NOSTRE DAME DE GRASSE 

musee-des-augustins-toulouse-le-cloitreL’ART ET LA PALETTE AU CHOU
VISITE AU MUSÉE DES AUGUSTINS
DE TOULOUSE…

 » NOSTRE DAME DE GRASSE « 

Informations pratiques:
Lieu : MUSÉE DES AUGUSTINS –
Plein Tarif : 9?
Tous les jours, 10 h à 19 h
Renseignements : 05 61 22 21 82

NOSTRE DAME DE GRASSE

Entrée au musée des augustins de Toulouse avant 1805, Notre Dame de Grasse est considérée comme un des chefs d’oeuvre de la sculpture gothique toulousaine du XVe siècle.

Son origine et son histoire sont pourtant assez mal connues : datée, grâce à des rapprochements stylistiques, du milieu du XVe siècle, elle pourrait provenir de la chapelle d’axe de l’église des Jacobins de Toulouse, consacrée justement à Notre Dame de Grasse dans le courant du XVe siècle.
L’inscription « Nostre Dame de Grasse » est en langue d’oïl et sa graphie évoquerait plutôt les régions bourguignonne ou bourbonnaise.
L?inscription « Nostre Dame de Grasse » est en langue d?oïl et sa graphie évoquerait plutôt les régions bourguignonne ou bourbonnaise. À la période révolutionnaire, les armoiries ont été bûchées (effacées avec un outil de sculpteur) et ne permettent plus d?identifier le commanditaire.

À la période révolutionnaire, les armoiries ont été bûchées (effacées avec un outil de sculpteur) et ne permettent plus d’identifier le commanditaire.

Une composition pyramidale

La vierge, enveloppée dans les plis de sa robe, retenant de son genou gauche l’enfant remuant et joufflu, a le visage tourné dans une direction pratiquement opposée.

Cette Vierge à l’Enfant est assise, couronnée, tenant sur son genou gauche un Enfant Jésus qui paraît vouloir s’échapper.
La Vierge est représentée très jeune, d’une grande beauté. Sa chevelure dorée et ondulée est coiffée d’une couronne.
Son visage, très clair, est extrêmement délicat.
La bouche est joliment dessinée, le nez droit, les yeux en amande, son menton petit et rond.
Les carnations très pâles, la moue de son visage, la délicatesse du modelé, l?impression de fragilité contribuent à donner une expression à la fois mélancolique et rêveuse.
 Le visage de l’Enfant et celui de la Vierge ont des similitudes :
On retrouve les mêmes yeux bleus, le même teint clair et une semblable expression triste du visage.
Il est néanmoins potelé.

Il porte une tunique à collet montant qui découvre sa jambe et laisse apparaître son pied nu.

L’attitude de Marie est dynamique : elle tourne la tête dans une direction opposée à celle de l’Enfant.

Quelle est la composition d’origine ?

Une mouluration continue entoure la base ; il n’y a donc pas d’élément supplémentaire appartenant à ce groupe qui aurait pu en être détaché.
La composition chacun dans une direction opposée peut suggérer qu’ils regardaient quelqu’un ou quelque chose qui venait compléter la composition d’ensemble.

L’Adoration des Mages, tympan de l’Église Saint-Nicolas de Toulouse

Adoration des Mages
L’hypothèse d’une Adoration des Mages s’appuie sur les analogies avec les œuvres sculptées de deux portails figurant l’Adoration des Mages, à l’église Saint-Nicolas de Toulouse et à la cathédrale Saint-Alain de Lavaur (Tarn).

La Vierge assise entre deux donateurs
Le type de la Vierge assise entre deux donateurs semble trouver son origine dans l’art parisien.
(Notre-Dame de Paris vers 1260), figurant un roi et une reine de part et d’autre d’un Couronnement de la Vierge.
L?inscription « Nostre Dame de Grasse » traitée en relief, disposée de part et d?autre du blason fut probablement commandée par le mécène

La vierge et l’enfant pour un monument funéraire
Au bas de la sculpture, l’inscription en langue d’oïl, langue du Nord de la France, « Nostre
Dame de Grasse » évoque le « Je vous salue Marie pleine de grâce » et nous amène à faire l’hypothèse que la sculpture a pu être commanditée dans un contexte funéraire, pour un tombeau ou un gisant, peut-être entourée de ses donateurs.

Une restauration exemplaire a  permis de rendre à cette œuvre toute la délicatesse de sa polychromie d’origine.

Nostre Dame de Grasse a toujours été l’objet d’un attachement très particulier de la part du public.
La restaurer, et donc modifier son aspect, constituait une décision d’une portée considérable.
L’impulsion est finalement venue de l’ oeuvre elle-même, dont l’état de conservation devenait alarmant.

L’oeuvre a été plusieurs fois repeinte depuis le XVIe siècle, et ces repeints en se clivant lui ont donné un aspect chaotique.
Les documents d’archives ne livrent aucune indication sur les circonstances dans lesquelles la sculpture a été repeinte, entre le XVIe et la fin du XVIIIe siècle. Ce type d’intervention a pu être lié, comme c’est souvent le cas, à une rénovation architecturale de l’édifice dans lequel se trouvait l’oeuvre ou au déplacement de celle-ci dans un nouveau lieu.

La  polychromie originale

Comme la grande majorité des sculptures médiévales, Nostre Dame de Grasse est entièrement polychrome.
Si la palette de couleurs et les techniques décoratives utilisées sont caractéristiques de la fin du Moyen Âge, le style de la polychromie dénote un souci d’élégance et de raffinement exceptionnels.

Comme il est habituel à la fin du Moyen Âge, le peintre introduit un jeu contrasté de couleurs.
L’or localement ombré de glacis rouge, le bleu et le blanc sont attribués aux vêtements de la Vierge. Ceux de l’Enfant sont rouge carmin et vert.
La robe de la Vierge était peinte d’un bleu dont la vivacité n’est plus perceptible aujourd’hui, parsemé de fins décors dorés dont ne subsistent que des traces suggérant un motif en forme d’étoile.
Comme c’est souvent le cas, les repeints se sont progressivement éloignés de la conception chromatique d’origine. Le plus ancien reprend globalement des couleurs identiques à l’original, tandis que les suivants sont de moins en moins fidèles. Toutefois, à travers les siècles, la couleur bleue reste uniquement attribuée à la robe de la Vierge.

L’œuvre après restauration

Le dégagement de la polychromie originale, qui impliquait l’élimination de l’ensemble des repeints, a finalement été retenu pour plusieurs raisons :

– la polychromie originale était dans un état de conservation exceptionnel ;
– les repeints, en s’écaillant, tendaient naturellement à mettre à jour la polychromie originale, en particulier sur le cou de la Vierge ;
– Dans la pratique, le dégagement de la polychromie originale était donc réalisable et, sur le plan esthétique, l’intérêt d’une telle intervention était bien sûr considérable.

Elle permettait en effet de révéler la palette chromatique médiévale ainsi que l’acuité des reliefs sculptés qui avaient été empâtés par les repeints.

La surface de l’oeuvre devait, enfin, retrouver une unité visuelle que la conservation des repeints aurait entravée.


La restauration de « Nostre Dame de Grasse » – VF… par musee_augustins

SOURCE : site du musée de Augustins-  la mairie de Toulouse – étude sur la restauration
PHOTOS: Des sites et de Chou Blanc pour la CHOUETTE


retour sur la rubrique du même tabacChou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez Chou Blanc

  RETRO :
C’est du même tabac…..


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CORPS ET OMBRES – A Toulouse, la Chouette s’est plongée dans le caravagisme….

On est quand même au top à la CHOUETTE …On a déjà vu  l’exposition CORPS ET OMBRES qui est au musée des Augustins de TOULOUSE.
Nous avons souhaité vous faire partager notre plaisir estival pour que vous couriez ou à Toulouse ou à Montpellier (Musée Fabre) avant le 14 octobre 2012.
Ne boudez pas cette initiative régionale et coordonnée entre les deux capitales régionales. Nous espérons vous en faire découvrir une partie ce qui vous donnera comme la Chouette l’envie de voir l’expo dans le deuxième musée.
Le CHOUETTE a commencé par Toulouse..! Place donc à l’influence du Caravage sur les peintres flamands et hollandais.

L’ART ET LA PALETTE AU CHOUmusee-des-augustins-toulouse-le-cloitre
VISITE AU MUSÉE DES AUGUSTINS DE TOULOUSE… 

L’ EXPO
 » CORPS ET OMBRES  »
Caravage et le caravagisme européen 

Informations pratiques:
Du 12 Juin au 14 octobre 2012
Lieu : MUSEE DES AUGUSTINS  –
Plein Tarif : 9€
Tous les jours, 10 h à 19 h
nocturne le mercredi jusqu’à 21 h,
Renseignements :    05 61 22 21 82

CORPS ET OMBRES

MICHELANGELO MERISI dit CARAVAGE -Jeune garçon mordu par un lézard( détail) 1594 - Florence (C) FUNDACIONE DI STUTI DI STORIA DEL ARTE POUR LA PREMIÈRE FOIS EN FRANCE, LE MUSÉE DES AUGUSTINS DE TOULOUSE ET LE MUSÉE FABRE DE MONTPELLIER AGGLOMÉRATION, DANS LE CADRE DE L’ORGANISME DE COOPÉRATION CULTURELLE FRANCO­ AMÉRICAINE FRAME*, PRÉSENTENT UNE EXPOSITION EXCEPTIONNELLE CONSACRÉE À CARAVAGE ET À SON INFLUENCE RÉVOLUTIONNAIRE SUR LA PEINTURE EUROPÉENNE.

140 chefs-d’œuvre, provenant des plus grandes institutions américaines et françaises mais aussi italiennes ou anglaises couvrent un demi-siècle de peinture en deux volets complémentaires

« La figure humaine joue un rôle primordial dans la peinture du Caravage. À part dans quelques rares natures mortes exécutées à ses débuts, les personnages sont toujours les sujets principaux de ses tableaux : que ce soient dans des portraits ou des mises en scènes, le décor est souvent réduit à portion congrue – ne servant qu’à mettre les personnages en valeur – ou même parfois totalement absent. « 

CARAVAGE ET LE CARAVAGISME EUROPEEN

Né en 1571 à Milan, mort en 1610 à Porto Ercole, Michelangelo Merisi a Caravaggio, dit Caravage, est une figure révolutionnaire dans la peinture occidentale. Apparaissant
sur la scène artistique romaine alors que naît l’esthétique baroque.
Caravage s’impose rapidement grâce au caractère radicalement novateur de son art.
Son utilisation magistrale du clair-obscur, comme le cadrage  mi-corps de ses figures, donne à ses compositions une puissance dramatique inédite, tandis que sa lecture réaliste, qui mêle trivial et sacré, rend accessible l’art religieux au commun des mortels.
L’artiste inaugure de nouveaux thèmes, comme les scènes de jeu ou de taverne, des diseuses de bonne aventure, des musiciens.
Défrayant la chronique,Caravage fait très tôt des émules dans toute l’Europe.

A travers ces deux expositions, on peut découvrir ses émules:

. Au musée Fabre de Montpellier : les caravagismes italien,
français et espagnol (Caravage, Gentileschi, Manfredi, Velasquez, Zurharân, La
Tour … ).
• Au musée des Augustins de Toulouse: les caravagismes flamand et hollandais
(Honthorst, Seghers, Jordaens, Rembrandt, Ter Brugghen … )

Une synthèse de cette exposition sera présentée en suivant dans deux musées américains à Los Angeles et Hartford .

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs
« La Chouette a souhaité aller un peu plus loin en votre compagnie,
et  se propose de mettre les œuvres du maitre à droite afin de comparer les techniques et démontrer avec plus de  force son influence.
C’est peut être ce qui manque à cette exposition de Toulouse …
Aucune œuvre du maitre n’est présente..? »

Dirk van Baburen - COURRONNEMENT D'EPINES MATHIAS STOM -LE SOUPER EMMAUS
Artiste Le Caravage Année 1606 Technique Huile sur toile Dimensions (H × L) 141 cm × 175 cm Localisation Académie des beaux-arts de Brera, Milan

Artiste Le Caravage Année 1607 Technique Huile sur toile Dimensions (H × L) 127 cm × 165 cm Localisation Kunsthistorisches Museum, Vienne en Autriche

LA RÉVOLUTION DANS LA PEINTURE DU XVIIe S.

 Caravage n’a pas eu d’atelier et n’a pas cherché à faire école. Il a pourtant influencé durablement nombre de peintres majeurs, du Sud au nord de l’Europe.
Sa manière et ses sujets – diseuses de bonne aventure, concerts, joueurs de cartes, scènes religieuses ­ ont été imités par des peintres venus de toute l’Europe se former à Rome à partir de 1615.
Les traits dominants du caravagisme, contrastes d’ombre et de lumière, cadrage à mi -corps de modèles issus de la rue et impression de vie étonnante, confèrent aux oeuvres des disciples de Caravage une grande contemporanéité.
gerrit van Honthorst- le reniement de Pierre - UTRECH 16256

Le triple reniement de PierreArtiste Le Caravage Année vers 1610 Technique Huile sur toile Dimensions (H × L) 94 cm × 125 cm Localisation Metropolitan Museum of Art, New York

« Seigneur, lui dit Pierre, je suis prêt à aller avec toi et en prison et à la mort . »
Et Jésus dit: « 
Pierre, je te le dis, le coq ne chantera pas aujourd’hui que tu n’aies nié trois fois me connaître……

  Pendant que Pierre était en bas dans la cour, il vint une des servantes du souverain sacrificateur.
Voyant Pierre qui se chauffait, elle le regarda, et lui dit: « Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth »
Il le nia, disant: « Je ne sais pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. » Puis il sortit pour aller dans le vestibule. (Et le coq chanta.)
La servante, l’ayant vu, se mit de nouveau à dire à ceux qui étaient présents: « Celui-ci est de ces gens-là. Et il le nia de nouveau. »
Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre: « Certainement tu es de ces gens-là, car tu es Galiléen. »
Alors il commença à faire des imprécations et à jurer: « Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. »
Aussitôt, pour la seconde fois, le coq chanta. Et Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite: « Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. » Et en y réfléchissant, il pleurait.

À UTRECHT UN FOYER CARAVAGESQUE FOISONNANTGerrit van HONTHORST - femme accordant son luth-vers 1614 -musée national du château de Fontainebleau

Notre exposition fait la part belle à l’Ecole d’Utrecht qui fut le principal foyer caravagesque en Hollande. L’atelier d’Abraham Bloemaert était le plus fréquenté de la ville. C’est là que se formèrent la plupart des peintres qui devaient par­tir à Rome pour y découvrir l’art de Caravage et à leur retour importer son univers dans leur ville natale. Une dizaine d’artistes composent ce que l’on a l’habitude d’appeler l’école d’Utrech.
les trois plus célèbres furent Ter Brrugghen, Baburen, et surtout le virtuose  Honthorst.
Une salle est consacrée à Mathias Stom, un peintre caravagesque méconnu, brillant coloriste qui fut probablement formé à UTRECHT.

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteursNous vous laissons découvrir par vous même le reste de cette exposition de la ville rose en particulier à travers les autres peintres  flamants et hollandais 

–  À AMSTERDAM DANS LE SILLAGE DE REMBRANDT
– LES FLAMANDS ENTRE RUBENS ET CARAVAGE

IL FAUT LE DIRE…! dépliant de l'expo


LA CHOUETTE FAIT LA GUEULE….

Car elle croyait trouver au moins une  œuvre du Caravage

–  LA CHOUETTE  A APPRÉCIÉ…

1 – De pouvoir faire ( sans flash) les photos présentées dans cette rubrique

2 – De rencontrer des expositions de cette qualité à l’initiative des musées régionaux.. »Y a pas que PARIS Macarel… ! »

3 – De se mobiliser pour un deuxième reportage à Montpellier ..
.A bientôt donc …
et surtout bravo aux partenaires qui ont permis cette double exposition …
« ça c’est du grand SUD du vrai…! »

SOURCE: Les plaquettes et dossier de presse du musée – wikipédia pour le crédit photo des tableaux du CARAVAGE – Photos de l’Expo Chou Blanc pour la Chouette

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Chou Blanc

 



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Cette édition Bibliotheca Universalis offre un catalogue raisonné exhaustif et détaillé du Caravage. Chacune de ses toiles y est reproduite à partir de photographies récentes en haute résolution, qui permettent un face-à-face troublant avec l’éventail de regards et de gestes génialement composé par l’artiste.

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