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VIOLETTES IMPERIALES

De Choubert à Choumann en passant par Choupin LA PARTITION DE MA2

          La Partition de MA2

  Musique à deux

Pas d’opérette sans ….
Violettes impériales

 Violettes impériales, est une opérette française sur une musique de Vincent Scotto, d’après l’histoire de Henry Roussel, créée au Théâtre Mogador (Paris) en 1948, avec Marcel Merkès, Paulette Merval.

L’opérette reste « un spectacle actuel », notamment Violettes impériales qu’il faut considérer comme « le grand ouvrage du répertoire et qui restera dans la mémoire collective francophone.
c’est un spectacle qui fait rêver avec un thème et un scénario intéressants :
La petite vendeuse qui touche le coeur de la haute société.
Quelle que soit leur origine, d’ailleurs, les coeurs sont faits pour se rencontrer. »

Paris, sous le second Empire. Une jeune marchande de fleurs, Violetta, prédit à Eugénie qu’elle sera sacrée impératrice. Lorsque la jeune femme accède au trône, elle fait venir Violetta à ses côtés en tant que demoiselle de compagnie. Mais la vie à la cour royale est pleine d’imprévus…


Le destin de Violetta

Nous voilà donc à Séville en 1852. L’époque est au romantisme, mais pas dans noblesse. La marquise d’Alcaniz, préjugés étant, ne veut absolument pas du mariage de son fils, le comte Juan, avec cette petite marchande de fleurs, Violetta, dont il est tombé amoureux fou. Non, non et non, Juan devra en épouser une autre, noble celle-là, Eugénie de Montijo. Et le fils cède à la volonté de maman, laquelle profite d’une santé fragile pour tyranniser toute la maisonnée.

Le jour de Pâques, venue vendre ses fleurs aux abords de la cathédrale, Violetta aperçoit Eugénie au bras de son amant. Furieuse, elle se jette sur sa rivale qui, comprenant la situation, rompt illico avec Juan et s’oppose à l’arrestation de Violetta. La petite vendeuse reconnaissante, observant les lignes de la main d’Eugénie, lui prédit qu’elle sera impératrice.

Deux ans plus tard effectivement, Eugénie épousera Napoléon III et fera venir Violetta auprès d’elle. Juan, lui, est parti pour un long voyage. Voyage qui l’amène à Paris où? il retrouve sa petite marchande de fleurs. Seulement voilà, Juan est aussi un révolutionnaire dont les amis veulent faire sauter le carrosse impérial?

Corita Viamonte interprète « Violettes Imperiales » –

 Violettes impériales (Violetas imperiales)

– film musical franco-espagnol

 
Ce film,sorti en 1952, a été réalisé par Richard Pottier, sur une musique de Francis Lopez, également d’après l’histoire de Henry Roussel, avec bien sûr…
LUIS MARIANO que l’on appelait


« LE PRINCE DE L’OPÉRETTE« 

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M A 2      Ma musique à deux

RETRO :
C’est du même tabac…..

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L’ÉTÉ EN FRANCE D’AUBIN CHOULESTROPIC – N° 3

LOGO choulestropic

C’EST BEAU LA FRANCE – Mais c’est où ça ?

 

C’est une commune qui a été capitale pendant près de cent ans du royaume wisigoth et capitale historique de sa région… Elle en est aujourd’hui redevenu le chef-lieu.

Le petit indice.. C’est moa…

En raison de la couleur du matériau de construction traditionnel local, la brique et la terre cuite  notre ville mystère a l’architecture caractéristique des cités de sa région.  Elle en a reçu un surnom célèbre et coloré.

– Faut suivre les POTES H
la chouette vous l’a présentée en 2014

– Eh tonton Aubin tout le monde ne court pas après les musées et les vierges….. MARIE….  un bouquet de violettes à la main…
Si peut être ton pote Augustin…

– Il faut plutôt leur donner le texte de ce chanteur qui chanta SA ville

Allez … ! Je suis bon petit…  prince juste un extrait….

Qu’il est loin mon pays, qu’il est loin
Parfois au fond de moi se raniment
L’eau verte du canal du Midi
Et la brique rouge des Minimes
Ô mon païs, ô……

bestiole des potagers resistant et inépuisable – ça fait trois indices … Vous devriez trouver sinon pour des petits bavards du Midi…. Donner la langue au chat c’est perdre gros…!

 

– Tonton Aubin t’es
d’accord pour qu’on donne
leur langue au chat..?



JOUER AVEC D’AUTRES VILLES :
C’EST BEAU LA FRANCE
– Mais c’est où ça ? N° 124 


Ils ont écrit sur cette commune
et nous avons aimé..!

ILS EN PARLENT….

Les vestiges d’une chartreuse dans un jardin, un singe portant un monocle au faîte d’une maison,

une armoire à bébés abandonnés, le canal du Midi sur un pont,l’escale de Mermoz et de Saint-Exupéry, une pharmacie au décor du XVIIIe siècle, un puits dans une boutique, le gâteau toulousain hérité de l’Antiquité,»

d’anciennes maisons maraîchères, le palais mauresque d’un orientaliste…. Toulouse n’a pas fini de livrer ses trésors !

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Proserpine… Au delà de la cueillette des violettes et des lys

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BLOC BLANC
par Chou blanc

C’EST LA PÉRIODE DES VIOLETTES QUI COMMENCE

            « Proserpine un amour de violette »
wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs

– Chou Blanc a dévalisé le Grenier de Clio qui est un site richement illustré, consacré aux mythologies, aux croyances religieuses et aux arts des anciennes civilisations du monde entier.

Allez fouiller comme lui….. Lire la suite de cet article

L’’enlèvement  de Proserpine

Proserpine d'après Ann Yvonne Gilbert

Il s’agit Perséphone chez les grecs…
La légende raconte que Perséphone en cueillait des violettes quand elle fût enlevée par HADES
Dieu des enfers. celui-ci touché par la grande  beauté de  Perséphone décida contre son gré  d’en faire sa reine des Enfers et de l’enlever avec la tacite complicité de Zeus. ( son père)
Alors qu’elle était en train de cueillir des violettes un peu à l’écart de ses compagnes la Terre s’ouvrit et Hadès en surgit sur son char tiré par ses magnifiques chevaux bleu nuit.

Voici retracé par OVIDE la version « Romaine » de son enlevement et des bienfaits des temples de Pluton et Proserpine

Tandis que, dans ce bois joue Proserpine, qu’elle y cueille des violettes ou des lis blancs, tandis que, avec tout le zèle d’une jeune fille, elle en emplit des corbeilles et les plis de sa robe, qu’elle s’efforce de l’emporter sur ses compagnes dans sa cueillette, presque en un même elle fut aperçue, aimée et enlevée par Pluton;
telle est la promptitude de l’amour. la déesse, effrayée, appelle avec des cris désespérés sa mères et ses compagnes, mais plus souvent sa mère, et comme elle avait déchiré sa robe depuis le col, les fleurs cueillies tombèrent de sa tunique dénouée. Et, si grande était l’ingénuité de ses années enfantines, que cette perte aussi chagrina son âme virginale. Le ravisseur pousse son char, excite ses chevaux qu’il interpelle chacun par son nom; sur leurs cous et leurs crinières, il secoue les rênes teintent de rouille sombre.

OVIDE Métamorphoses V, 393 sqq

Enlèvement de Proserpine d'après Alessandro Allori (1570) © 2008 The J. Paul Getty Trust. All rights reserved.
Enlèvement de Proserpine d’après Alessandro Allori (1570)
© 2008 The J. Paul Getty Trust. All rights reserved.

Proserpine de Tarente et la légende de VALÉRIUS  et ses 3 enfants malades


Pendant une violente épidémie qui ravageait la ville et le territoire, un riche particulier du nom de Valesius, qui vivait à la campagne, voyait ses deux fils et sa fille malades, au point que les médecins eux-mêmes en désespéraient.

Allant prendre pour eux de l’eau chaude à son foyer, il se mit à genoux et conjura ses dieux lares de détourner sur sa propre tête le danger qui menaçait ses enfants.

Alors se fit entendre une voix lui disant qu’ils seraient sauvés en allant à Tarente

Alors se fit entendre une voix lui disant qu’il les sauverait en les transportant aussitôt, par la voie du Tibre, à Tarente (NDLR: c’est dans le creux du talon de la botte) et en les réconfortant à cet endroit avec de l’eau prise à l’autel de Pluton et de Proserpine.

Cette recommandation l’embarrassa beaucoup, car on lui prescrivait une navigation longue et périlleuse.
Cependant une vague espérance triompha en lui de cette vive appréhension et tout de suite il transporta ses enfants au bord du Tibre : il habitait en effet une maison de campagne près du village d’Érète, au pays des Sabins.
De là, s’embarquant pour Ostie, il aborda au milieu de la nuit au Champ de Mars. Comme il désirait soulager la soif de ses malades et qu’il n’avait pas de feu dans sa barque, celui qui la conduisait l’avertit qu’à peu de distance de là on voyait de la fumée.

Cet homme l’ayant fait descendre à Tarente (tel est le nom de ce lieu), il s’empressa de prendre un vase, puisa de l’eau au fleuve et, déjà plus content, la porta à l’endroit d’où l’on avait vu s’élever de la fumée, croyant avoir trouvé tout près de là et comme en suivant une trace, le remède indiqué par les dieux.
Sur ce sol qui fumait plutôt qu’il ne contenait un reste de feu, s’attachant fermement à ce signe plein de promesses, il rassembla de légères matières combustibles que le hasard lui avait présentées et, à force de souffler il en fit jaillir une flamme, fit chauffer son eau et la donna à boire à ses enfants.

A TARENTE, ils burent l’eau du fleuve … l’’eau de leur guérison…

Ceux-ci, après l’avoir bue, s’endormirent d’un sommeil salutaire et furent tout à coup délivrés d’une si longue et si violente maladie.
Ils racontèrent à leur père qu’ils avaient vu en songe je ne sais quel dieu qui leur essuyait le corps avec une éponge, en leur prescrivant d’immoler des victimes noires devant l’autel de Pluton et de Proserpine, d’où cette eau leur avait été apportée, et d’y célébrer des banquets sacrés avec des jeux nocturnes.

Comme Valérius n’avait point aperçu d’autel dans cet endroit, il crut qu’on lui demandait d’en élever un.

Comme Valérius n’avait point aperçu d’autel dans cet endroit, il crut qu’on lui demandait d’en élever un.
Il alla donc à Rome pour en acheter un, laissant sur place des gens chargés de creuser la terre jusqu’au tuf pour y construire de solides fondations.
En conséquence des ordres de leur maître, ceux-ci creusèrent le sol jusqu’à une profondeur de vingt pieds et aperçurent alors un autel avec cette inscription : à Pluton et à Proserpine.
Sur l’avis qu’un esclave lui apporta de cette découverte, Valesius renonça à son projet d’acheter un autel. Prenant des victimes noires qu’autrefois on appelait « sombres », il les immola sur ce lieu nommé Tarente et célébra des jeux et un banquet sacré pendant trois nuits consécutives, c’est-à-dire en nombre égal à celui des enfants qui lui avaient ainsi été sauvés d’un danger de mort.

VALERE MAXIME, Des faits et des paroles mémorables (II,4,5)

Chou Blanc est effectivement magnétiseur
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