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MUSIQUE MEDIEVALE : Les cantigas de Santa Maria – Cantiga 10 « ROSA DAS ROSAS »

De Choubert à Choumann en passant par Choupin

 LA PARTITION DE MA2

          La Partition de MA2
  Musique à deux

Les Cantigas de Santa Maria constituent une des plus vastes compilations de thèmes musicaux qui nous soit parvenue en provenance du XIIIeme siècle.

SENS DU TERME « CANTIGA »

Sens de chanson monophonique espagnole. Les mots « cantiga », « cantica », « cantar », ont été trés employés dans la péninsule ibérique jusqu’au milieu du XVeme siècle.Les cantigas pouvaient appartenir à des genres divers : amour courtois, satire, grivoiserie, mystique.C’est bien entendu à cette dernière catégorie qu’appartiennent les Cantigas de Santa Maria.
C’est le roi de Castille Alfonso el Sabio ( le savant, ou le sage ), à la tête d’une équipe d’artistes, qui a élaboré cette oeuvre monumentale entre 1250 et 1280 environ. Le roi Alfonso expose son dessein dans le prologue qui ouvre la série des 426 cantigas:

« L’art du troubadour exige de l’entendement et de la raison, et bien que je ne possède pas ces facultés au degré que je voudrais, j’espère que Dieu me permettra de dire un peu ce que je désire. Et ce que je désire, c’est que la Vierge fasse de moi son troubadour. »

Oeuvres mystiques mais non destinées à la liturgie, ces œuvres s’interprétaient peut-être lors de diverses festivités, parfois accompagnées de danses comme le montre l’enluminure ci-contre,issue de la cantiga 120.

 

CANTIGA 10
( Rosa das rosas )

 


M A 2      Ma musique à deux
le logo de MA2 qui devrait nous régaler tous avec sa musique à deuxMise en page et sonorisation réalisée avec la complicité de CHOU BLANC
Merci à l’excellent site
« Musiques et poesies médiévales » à ne pas manquer Pour vos animations :

CONTACT: Marcel Arnoux.
Les blaches 26120 UPIE
Tél. 04 75 84 42 94

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Musique celte irlandaise

De Choubert à Choumann en passant par Choupin

LA PARTITION DE MA2

La Partition de MA2
(Sortie de son piano, MA2 nous revient)

Musique à deux

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Musique celte irlandaise
Aujourd’hui j’ai sélectionné pour vous de ma musique celte……
Musique celte irlandaise avec cette compilation instrumentale irlandaise relaxante et spirituelle avec, cornemuses, flûtes, harpes et violons, pour se relâcher et pour écouter…. et faire comme si vous étiez en ce temps là

La musique irlandaise s’est développée sur toute l’île d’Irlande depuis l’Antiquité, parfois influencée par le contexte politique ou religieux de l’époque.
À la suite de l’émigration massive des Irlandais au XIXe siècle, elle s’est répandue aux États-Unis notamment, mais aussi sur l’ensemble du Royaume-Uni. Elle a été incluse dans d’autres styles entre autres dans  la musique traditionnelle canadienne, y compris au Québec.

Armoiries de l’Irlande

 La musique la plus ancienne connue en Irlande est celle des harpistes des clans gaéliques datant du IXe siècle.
La harpe figure comme emblème du pays depuis au moins le XIIIe siècle.
On ne sait rien des musiciens non professionnels ni des danses pratiquées à l’époque mais le harpiste accompagnait un poète qui proclamait les louanges du chef de clan auquel il était rattaché.

Avec le temps, les musiciens devinrent peu à peu des musiciens itinérants, conséquence du déclin de la société gaélique entre le XIIe siècle et le XVIIe siècle.

Au XVIIe siècle, les danses devinrent très populaires, comme dans le reste de l’Europe. La danse irlandaise connut son apogée au XIXe siècle, et de nombreux témoignages de voyageurs en Irlande prouvent son importance.

En raison d’une crainte de la disparition de la musique irlandaise et de ses instruments, un grand nombre de nationalistes convaincus se regroupèrent à partir de la fin du XVIIIe siècle pour tenter de la faire revivre dans diverses associations.

On assiste depuis les années 1970, et par vagues successives, à un intérêt très marqué pour la musique irlandaise dans le monde entier, particulièrement aux États-Unis où existe une forte communauté d’origine irlandaise, et à un très fort développement de sa commercialisation (disques, concerts, etc.).

Pour mémoire  extrait de  la  Polka du Titanic



Aujourd’hui, le terme « musique celtique » se réfère très souvent à cette musique traditionnelle irlandaise actualisée ; on y classe aussi les musique écossaise, bretonne, galloise, cornouaillaise et asturienne/galicienne (Espagne), traditionnelles ou non. Certaines maisons d’édition musicale disposent d’un catalogue de World celtic music.


SOURCES : wikidédia  – you tube – deezer

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RETRO : C’est du même tabac…..

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Machanada: A l’assaut de la cité de CARCASSONNE

CARNET DE VOYAGE
par Machanada

—- Nos découvertes de l’été  —
MADONA - par ERAMusique d’ambiance

La cité de CARCASSONNE

« Oyez, oyez, braves gens, damoiselles et damoiseaux
Troubadours, tambours et autres luths
Prêtez-moi votre oreille
Pour ouïr conte sans pareil ! »

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De retour en France, me voici installée dans ma région d’adoption le Languedoc-Roussillon, une région pleine de charme, de surprises et de trésors. (Je remercie d’ailleurs au passage ses habitants de m’avoir si chaleureusement accueillie : qui a dit que les Catalans n’étaient pas ouverts aux nouveaux arrivants ?)

Mais revenons au sujet principal : la Cité de Carcassonne.

La Cité de Carcassonne.


Située dans le département de l’Aude, la ville de Carcassonne, qui m’était totalement inconnue avant mon arrivée, abrite un bijou du Moyen-âge. Du haut de sa colline, la Cité médiévale de Carcassonne domine la vallée depuis le XIIIème siècle et ouvre ses portes aux touristes, curieux et férus d’histoire.
Le Château Comtal (1130-1239) qui servit de décor pour le film “Les Visiteurs”Carcassonne est vieille de 2500 ans d’histoire. Elle a successivement été site protohistorique, cité gallo-romaine, place forte wisigoth, comté, puis vicomté, puis finalement sénéchaussée royale. Chacune de ces étapes, entre la période romaine et la fin du Moyen Âge, a laissé des témoignages dans les bâtiments qui la composent.

Son emplacement privilégié, au bord de l’Aude et au croisement de voies de communication ont permis son développement. Cet éperon rocheux est occupé par l’homme depuis le VIe siècle avant JC, sous la forme d’abord d’un habitat gaulois, puis d’une ville romaine dotée de remparts dès les III – IVème siècle de notre ère.

Au milieu du XIIIe siècle, Carcassonne est placée sous tutelle royale et d’importants travaux vont être entrepris : elle devient alors une place forte qui ne sera plus jamais attaquée! Avec la signature du traité des Pyrénées en 1659 et le rattachement du Roussillon à la France, la Cité est abandonnée et devient un quartier pauvre tandis que le pouvoir s’installe dans la Ville Basse. Elle perd toute importance stratégique et devient arsenal, entrepôt d’armes et de vivres sous l’Ancien Régime et la Révolution.

 Sauvée de la démolition, la Cité fait l’objet, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, d’un grand chantier de restauration confié à l’architecte Viollet-le-Duc qui lui donne son aspect actuel mais lui permet de recouvrir sa silhouette du XIIIe siècle.« Sous sa forme actuelle, c’est un exemple remarquable de cité médiévale fortifiée dotée d’un énorme système défensif entourant le château et les corps de logis qui lui sont associés, les rues et la superbe cathédrale gothique. » Critère sur lequel s’est basé l’UNESCO pour classer Carcassonne au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO en décembre 1997.

La forteresse surplombant la vallée

La Cité comprend cinquante-deux tours et deux enceintes concentriques qui totalisent trois kilomètres de remparts. La porte Narbonnaise et le Château comtal en constituent les plus beaux fleurons.

Elle renferme également de belles maisons anciennes et surtout, la basilique Saint-Nazaire, ancienne cathédrale riche de ses vitraux du XIVe siècle et de nombreuses sculptures.

L’ancienne forteresse vous offre un voyage inoubliable dans le temps dans un décor légendaire et moyenâgeux J’ai aimé les petits enfants brandissant leur épée en plastique et les vendeurs d’armures et de cottes de maille.

Je me croyais repartie à l’époque des seigneurs et des damoiseaux, des guerres et des troubadours, prête à revêtir fièrement mon bliaud et à porter mon hennin.
Sachez que la Cité médiévale servit de décors pour de nombreux films comme “Les Visiteurs”, “Robin des Bois” ou encore “Le Corniaud”.

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Marie Charlotte de retour du Canada MACHANADA

(A bientôt-  Pour lire mon dernier carnet de voyage…!)
la fête de Saint jean  fête nationale du Quebec

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