Archives par étiquette : Médiéval

Musique médiévale pour gens heureux

G AIMÉ

DÉCOUVRE 
LA MUSIQUE MEDIEVALE

ET VOUS LA FAIT PARTAGER

je me sens très médiéval. Cette musique donne envie de danser et d ‘aimer la vie .
J ‘ADOOOOORE
Des sons frais, vifs,harmonieux et colorés.
Précieuse mélodie qui est un plaisir pour sens

C’ÉTAIT SURTOUT
DE LA MUSIQUE
POUR DANSER

Fairy Dance – Saltarello
(medieval dance)

Medieval music
– Santa Maria strela do día

C’ÉTAIT SURTOUT
DES DANSES EN GROUPE
ET MODE FARANDOLES

Le groupe portugais Strella do Dia est apparu en l’an 2000 et a, depuis lors, forgé une alliance qui unit les anciens parchemins de l’Europe médiévale avec les langages musicaux de notre temps.
Héritière de l’ancienne tradition nomade des troubadours, Strella do Dia est régulièrement présente sur les principaux festivals de reconstitution historique, non seulement au Portugal mais aussi en Europe. Il s’agit d’un groupe de référence internationale.
En utilisant des instruments qui appartiennent à cette musique ancienne, comme la cornemuse, le tarota, la gralla, le cor, la batterie, les crotales, entre autres, les sonorités des temps immémoriaux résonnent avec énergie, à travers une manière unique et innovante pour les auditeurs d’aujourd’hui.
Le répertoire trouve sa source obscure dans des compilations célèbres telles que Cantigas de Santa Maria, Llibre Vermell de Montserrat, Cantigas de Amigo, Carmina Burana, ainsi que sur la musique traditionnelle et les danses médiévales telles que « estampidas », « ductias » et « saltarellos », entre autres. »

Les cantigas de Santa Maria ont été composées à la cour du roi de Castille Alphonse X le Sage, qui en plus fut l’auteur de beaucoup d’entre elles. Ils sont en galaico-portugais, qui était la langue cultivée de la langue lyrique castillane de l’époque.

SOURCE : GAIMÉ

Share Button

ALLEZ MAMY RACONTE : La légende des étoiles de Sion


Logo allez mamy raconte été
ALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!

Tout cet été dans la Chouette, ma Mamy se transformera en conteuse de bord de mer….ou d’Arrière pays….
Préparez les esquimaux glacés…..
Pour les autres ….??
Ceux qui ne partent pas en vacances faute de moyens ou de forces pour assumer le voyage….

Ben..! Faisons les rêvez…..!

AUJOURD’HUI C’EST :

La légende des étoiles de Sion




logo mamy turlututu smallMes chers enfants moi aussi j’avais une grand mère qui, se plaisait à me parler d’histoires qui m’aidaient à mieux me connaitre ou à découvrir le monde ..

je me rappelle du jour où son amie venue de Lorraine m’a raconté une légende de son pays natal
Angèle…. s’était son nom…  racontait avec passion…

La légende des étoiles de Sion

Elle disait bien connaitre le lieu de l’action appelé le « Saut de la pucelle » sur la Colline de Sion-Vaudémont… Son village dans le  département de Meurthe et Moselle

LE CHOURISTELa colline de Sion est située au sud-ouest du département de Meurthe-et-Moselle (54), à proximité des Vosges.
C’est le point le plus haut du plateau lorrain, massif vosgien non compris. Elle distante de 30 kms de Nancy, 31 kms de Toul et à 39 kms d’Épinal.
Au lever du soleil, par temps clair, il est possible d’apercevoir le mont Blanc.

ÉCOUTEZ ….. Je vais vous la raconter comme elle autrefois..

ALLEZ.. Mamy.. Raconte…!

 

– Tu n’es pas tout seul mon petit Jonas …
tes frères et sœurs attendent gentiment que je raconte….

VOICI :


Une jeune princesse de la noble maison de Vaudémont avait une dévotion singulière envers Notre Dame de Sion.
Elle s’en revenait un jour, à cheval, du sanctuaire vénéré et traversait le bois qui couvre une partie du plateau, quand elle se vit, tout à coup, poursuivie par un jeune seigneur dont elle avait lieu de suspecter les intentions.

Elle voulut chercher son salut dans la fuite, piqua sa jument qui s’emporta et arriva en un instant sur le bord à pic de la montagne.

En présence de cet autre danger, la retraite étant probablement impossible, la princesse n’hésita pas un instant, se recommanda de nouveau à la Vierge, sa protectrice, et s’élança dans le vide.

 

Hou la la… Gonflée la gamine…!

– On dit que la jeune fille n’éprouva aucun mal d’un trajet si périlleux, et qu’elle fut ainsi miraculeusement sauvée.

On ajoute que les pieds du cheval marquèrent l’empreinte de leurs fers sur les rochers placés au bas de la côte, et qu’on voyait encore ces empreintes il n’y a pas bien longtemps.

Alors que le vil poursuivant de la princesse de Vaudémont s’apprêtait à effectuer le même saut, la Vierge prit une poignée d’étoiles dans le ciel et les jeta au visage du seigneur et de son destrier.

La monture aveuglée, se cambra et rebroussa chemin avec son cavalier sur le dos.

– C’est vrai mamy que l’on trouve encore aujourd’hui
des étoiles sur le sol…?

 

– Oui mon petit regarde…logo mamy turlututu small

Des fragments de crinoides fossiles


logo mamy turlututu small– MAMY TU Y CROIS A CETTE LÉGENDE..?


– T’étais petite à cette date là..?

– Euh…??  Non J’étais pas née et votre Papy non plus

 

LE CHOURISTE

Les variantes :

Cette légende connue sous le nom de légende des étoiles de Sion ou de légende du saut de la pucelle est très populaire. Elle fut donc souvent reprise et inévitablement souvent modifiée.
Certaines variantes nous donnent des précisions sur le cheval de la princesse de Vaudémont.
Il lui arrive d’être blanc et il lui arrive d’être un cadeau du comte Henri III.
Et puis le cavalier peut bien sûr également varier.
Il est tantôt mystérieux cavalier, tantôt noble seigneur.
Son devenir peut être plus ou moins tragique.
Dans le meilleur des cas le cheval fait volte face, dans le pire il va s’écraser avec son cavalier au fond du ravin.

Il existe bien d’autres variantes, certes plus mineures.

Parfois la princesse ajoute une phrase, faisant office de formule magique. On trouve par exemple : « Notre Dame de Sion, sauvez moi » ou
« Bonne Dame de Sion, sauvez moi ».

La jeune fille, pivot de la légende, est souvent une princesse de la maison de Vaudémont, village se trouvant sur la colline de Sion.

Il arrive toutefois que la légende parle d’une princesse, mais sans donner la filiation. Pour ma part ma préférence va sans réserve à la princesse de Vaudémont

Le reste de la légende ne change que peu, si ce n’est la mise en scène produite par les conteurs.
Reste qu’au pied de ce ravin se trouverait l’empreinte d’un sabot de cheval dans la roche.
Si aujourd’hui elle n’est plus visible, il semblerait qu’en 1820 il était encore possible de la voir.

SOURCES :

http://legende-et-realite.blogspot.com/2008/

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY RACONTE…!
retour sur la rubrique du même tabac
RETRO : C’est une récap des histoires déjà racontées….

 

 

Share Button

AU FIL DES HEURES : Mois d’Août


barre verte

 

 


« Au fil des heures »,
c’est un pote âgé
grand amoureux
LE CHOURISTEdes enluminures
médiévales qui
s’est déguisé en
moine Top O’Clock.

Il fait sa rentrée en faisant son entrée dans la rédaction.


Pendant un an, LA CHOUETTE lui a réservé un des premiers week-end du mois pour nous présenter le mois qui arrive avec l’enluminure et les commentaires qui figurent dans le plus beau des manuscrits enluminés du Moyen Age.

Les Très riches Heures du Duc de Berry

L’Homme anatomique, ou Homme zodiacal, enluminure réalisée par les Frères de Limbourg et portant les armes du duc Jean de Berry, f.14v.

Les Très riches Heures du Duc de Berry constituent, de l’avis unanime, l’un des plus beaux, et pour beaucoup, le plus beau des manuscrits enluminés du Moyen Age.

ll est commandé par le duc de Berry aux frères Paul, Jean et Herman de Limbourg vers 1410-1411. Inachevé à la mort des trois peintres et de leur commanditaire en 1416, le manuscrit est probablement complété, dans certaines miniatures du calendrier, par un peintre anonyme dans les années 1440.

C’est en tous cas le plus réputé. Jean, duc de Berry, était fils, frère et oncle des rois de France. Il fut donc mêlé à tous les grands moments de l’histoire de son époque.
Sa passion était toutefois de collectionner les splendeurs artistiques de son temps. Il possédait notamment une bibliothèque de près de 150 manuscrits enluminés, dont quinze Livres d’Heures.

On appelait ainsi des recueils de prières à l’usage des laïcs, qui voulaient se tourner vers Dieu à différentes heures fixes de la journée.

Et comme les prières variaient suivant le temps de l’année, et que chaque jour amenait la fête de tel ou tel saint, les Livres d’Heures s’ouvraient presque toujours par un calendrier.
C’est dans ces mois de l’année, accompagnés des représentations des travaux des champs et des activités diverses (réjouissances, offices, travaux, astrologie…) que je puiserai l’essentiel de mes rubriques….
C’est avec les pièces de ce remarquable Livre d’Heures du Duc de Berry, que j’espère enluminer vos dimanches par les plus belles illustrations qui constituent l’essentiel de l’ouvrage.

AOÛT, folio 8

La miniature présente plusieurs plans :

Au premier figure une scène de
fauconnerie : le cortège à cheval part pour la chasse, précédé d’un fauconnier.

Celui-ci tient dans la main droite le long bâton qui lui permettra de battre arbres et buissons pour faire s’envoler le gibier.

Il porte deux oiseaux au poing et, à la ceinture, un leurre en forme d’oiseau que l’on garnissait de viande pour inciter les faucons à revenir.

Le cortège est accompagné Faucon émerillonde chiens destinés à lever le gibier ou à rapporter celui qui aura été abattu.

Sur leur cheval, trois personnages portent un oiseau, sans doute un épervier ou un faucon émerillon.

 

Au second plan sont représentés les travaux agricoles du mois d’août.

Un paysan fauche le champ, un deuxième réunit les épis en gerbes alors qu’un troisième les charge sur une charrette tirée par deux chevaux.
À proximité, d’autres personnages se baignent dans une rivière — peut-être la Juine — ou se sèchent au soleil.

Le donjon tel qu'il était à l'origineÀ l’arrière-plan se dresse le château d’Étampes

Le duc de Berry l’avait acquis en 1400, à la mort de Louis d’Évreux, comte d’Étampes.
Derrière les remparts, on distingue le donjon quadrangulaire et la tour Guinette, qui existe toujours.
Le duc de Berry offrit le château à Charles d’Orléans, mari de sa petite-fille Bonne d’Armagnac, peut-être représentée ici sur un cheval blanc.
Selon Saint-Jean Bourdin, cette scène représente la prise de possession du château par cette dernière, avant 1411, hypothèse confirmée par Patricia Stirnemann.

Mais pour lui, le couple est représenté à gauche :

Le duc de Berry est sur le cheval blanc (bien qu’assis en amazone) et le duc et la duchesse d’Alençon se trouvent à droite.
Pour Meiss, la miniature est de Jean de Limbourg alors que pour Cazelles, elle est de « Limbourg B », avec peut-être un ajout de la scène centrale vers 1440.

source : WIKIPEDIA

barre verte


TOP O’CLOCK

 

Share Button

AU FIL DES HEURES : Mois de Juillet


barre verte

 

 


« Au fil des heures »,
c’est un pote âgé
grand amoureux
LE CHOURISTEdes enluminures
médiévales qui
s’est déguisé en
moine Top O’Clock.

Il fait sa rentrée en faisant son entrée dans la rédaction.


Pendant un an, LA CHOUETTE lui a réservé un des premiers week-end du mois pour nous présenter le mois qui arrive avec l’enluminure et les commentaires qui figurent dans le plus beau des manuscrits enluminés du Moyen Age.

Les Très riches Heures du Duc de Berry

L’Homme anatomique, ou Homme zodiacal, enluminure réalisée par les Frères de Limbourg et portant les armes du duc Jean de Berry, f.14v.

Les Très riches Heures du Duc de Berry constituent, de l’avis unanime, l’un des plus beaux, et pour beaucoup, le plus beau des manuscrits enluminés du Moyen Age.

ll est commandé par le duc de Berry aux frères Paul, Jean et Herman de Limbourg vers 1410-1411. Inachevé à la mort des trois peintres et de leur commanditaire en 1416, le manuscrit est probablement complété, dans certaines miniatures du calendrier, par un peintre anonyme dans les années 1440.

C’est en tous cas le plus réputé. Jean, duc de Berry, était fils, frère et oncle des rois de France. Il fut donc mêlé à tous les grands moments de l’histoire de son époque.
Sa passion était toutefois de collectionner les splendeurs artistiques de son temps. Il possédait notamment une bibliothèque de près de 150 manuscrits enluminés, dont quinze Livres d’Heures.

On appelait ainsi des recueils de prières à l’usage des laïcs, qui voulaient se tourner vers Dieu à différentes heures fixes de la journée.

Et comme les prières variaient suivant le temps de l’année, et que chaque jour amenait la fête de tel ou tel saint, les Livres d’Heures s’ouvraient presque toujours par un calendrier.
C’est dans ces mois de l’année, accompagnés des représentations des travaux des champs et des activités diverses (réjouissances, offices, travaux, astrologie…) que je puiserai l’essentiel de mes rubriques….
C’est avec les pièces de ce remarquable Livre d’Heures du Duc de Berry, que j’espère enluminer vos dimanches par les plus belles illustrations qui constituent l’essentiel de l’ouvrage.

JUILLET, folio 7

Les travaux du mois de juillet représentent la moisson et la tonte des moutons.
Deux personnages fauchent les blés à l’aide d’un volant et d’une baguette.
Un volant est une longue faucille ouverte dont le manche fait angle avec le plat de la lame.
À l’aide de la baguette, ils dégagent un paquet de tiges qu’ils coupent en lançant le volant.Les moissonneurs avancent de l’extérieur de la parcelle en se dirigeant vers son centre en tournant.
L’un d’entre eux porte une pierre à aiguiser à la ceinture. Deux autres personnages, dont une femme, coupent la laine des moutons à l’aide de forces

Tenue des ciseaux forces à tondre les moutons

Exception faite des montagnes imaginaires, le paysage représente, au premier plan, la rivière Boivre se jetant dans le Clain, à proximité du château triangulaire de Poitiers représenté au second plan, distinct du palais des Comtes du Poitou, situé lui sur le plateau.

Propriété du duc de Berry, le château fut reconstruit sans doute à partir de 1378 sur ordre du duc par son architecte Guy de Dammartin.

La représentation du château dans cette miniature est conforme aux travaux menés pour le duc, même si Millard Meiss a mis en doute cette identification.

La miniature a été peinte par Paul de Limbourg selon Meiss, par le peintre des années 1440 selon Cazelles.

source : WIKIPEDIA

barre verte


TOP O’CLOCK

 

Share Button