BLOC NOTE
DES ILLUMINÉS
Là où la PSI cause….
Ne dites pas à mes proches que je suis médium … Ils me tolèrent à peine comme magnétiseuse…
Mais vous…? Quel est votre forme de médiumnité…?
Avez vous fait une petite place au 6 ème sens..?
Il est grand temps de s’informer …. Adoptez le …
Avant qu’il s’impose à vous dans la douleur..!
VOUS ÉCLAIRER SUR TOUTES LES FORMES DE MÉDIUMNITÉ….
C’EST LE BUT DE CETTE SÉRIE… PAS COMME LES AUTRES
Synchronicités : Ces heureuses coïncidences qui nous connectent à notre intuition
Mystérieuses heureuses coïncidences… Elles se manifestent juste au bon moment, nous permettant « comme par magie » de débloquer une situation ou d’accéder à nos désirs.
C’est l’histoire d’untel, qui, dans un journal laissé dans un bus, tombe pile sur l’annonce du logement idéal, ou d’un autre qui rencontre sur un chemin pris au hasard LA personne qu’il fallait pour faire avancer son projet, ou encore celle d’un dernier, qui, en plein questionnement intérieur rentre dans une librairie et tombe, dans un livre ouvert machinalement, exactement sur l’information dont il avait besoin pour avancer.
Une réponse à un besoin conscient ou inconscient
Certains diront que c’est là l’expression du pur hasard, d’une probabilité statistique certes mince, mais relevant du possible. Ou bien d’un excès d’interprétation de l’esprit prompt à ramener à lui ce qui l’arrange. Oui, mais… D’autres cas de coïncidences troublantes, comme celle par exemple concernant l’acteur Anthony Hopkins et d’un livre retrouvé par « hasard » sur un banc public alors qu’il avait cherché ce livre en vain dans plusieurs librairies, laissent perplexes.
Pour le psychiatre suisse Carl Gustav Jung, ces « hasards nécessaires « , n’ont rien de fortuit. Au contraire, il voit dans ces des événements liés par le sens et non par la cause, une forme de réponse de l’univers à un besoin exprimé consciemment ou inconsciemment par la personne, et venant transcender l’espace et le temps.
Cette conception d’un hasard intelligent, porteur de sens, si elle est étrangère à nos esprits occidentaux, est beaucoup plus naturelle du côté de l’Orient, qui conçoit le hasard dans sa globalité, comme une loi de cause à effet.
Livre où es tu ? Anthony Hopkins la trouvé….
En 1973, le comédien Anthony Hopkins vient d’être engagé à Londres pour jouer dans l’adaptation de The Girl from Peirouka, le roman de l’écrivain britannique George Feifer.
Souhaitant s’imprégner du livre d’origine après avoir lu le scénario, l’acteur écume en vain librairies et solderies, toute une journée :
L’ouvrage est épuisé, introuvable. Renonçant à son désir, il se dirige vers le métro pour rentrer chez lui lorsqu’il découvre, posé en évidence sur un banc public, un vieil exemplaire tout usé du roman qu’il cherche depuis des heures. La coïncidence l’impressionne, mais les notes qui surchargent le texte le contrarient un peu. Un autre acteur aurait-il précédemment travaillé le rôle dans le texte original, comme il s’apprête à le faire ?
Heureusement, les gribouillis sont illisibles.
Un an plus tard, durant le tournage du film à Vienne, Anthony Hopkins rencontre pour la
première fois l’écrivain dont il est en train d’incarner le personnage. Il lui dit combien il regrette que son livre ne soit plus disponible à la vente et lui raconte le hasard bienveillant qui en a mis un exemplaire entre ses mains. « L’auteur m’a répondu que lui-même n’en avait pas un seul, raconte Hopkins, parce qu’il avait prêté son exemplaire personnel annoté à un ami. Finalement, le livre avait été volé dans une voiture. Il y tenait tellement qu’il avait même promis une récompense à qui le retrouverait. J’ai alors sorti l’exemplaire de mon sac …
C’était le sien…!!!! »
Le surprenant rêve de Guy BEART
La même année, c’est un rêve qui oriente le chanteur Guy Béart vers ce type de parcours… ces détours alambiqués par lesquels nous semblons servir de trait d’union entre un objet et son propriétaire. A 3 heures du matin, il se lève brusquement au sortir d’un rêve où il écoutait son amie Louise de Vilmorin Jouer au piano un très joli thème inédit. |
«Je me suis empressé de le noter, car je voulais me l approprier tranquillement ». avoue avec malice l’auteur-compositeur, Mais tout de même saisi d’un scrupule compréhensible, il vérifie, avant de déposer. la, partition à la SACEM, qu’elle n’est pas le fruit d une réminiscence inconsciente. Bien lui en a pris :
Le dictionnaire des thèmes musicaux lui révèle que la mélodie de son rêve est une œuvre méconnue du XVIIIe siècle, écrite par Jean-Philippe Rameau.
Il ne se souvient absolument pas de l’avoir entendue un Jour.
Ce qui l’étonne également, c’est la nature de l’instrument. Louise de Vilmorin, de son vivant avait toujours regretté de ne pas avoir appris le piano. S’y est-elle mis, dans l’autre monde ?
Guy Béart appelle André, le frère de Louise, pour lui raconter ce rêve bizarre.
Silence au bout du fil.
Puis réaction, d’une voix un peu nouée :
« Guy … sais-tu qu’il y a un an, jour pour jour, que Louise est partie ? »
Non, il n’avait pas fait le lien. Aussitôt, il prend le signe au vol et rejoint André dans leur maison pour lui jouer la mélodie – ce cadeau que Louise paraît leur offrir pour marquer l’anniversaire de sa mort.
A son arrivée chez Vilmorin, comme il préfère la guitare au piano, Guy demande à André de lui apporter celle de Louise.
Elle est enfermée au fond d’un placard, depuis un an.
En ouvrant l’étui, ils restent abasourdis. « Toutes les cordes étaient entortillées comme des cheveux, car le sillet s’était décollé. C’est un accident extrêmement rare.
La guitare était morte, elle aussi »
Tout cet enchaînement de circonstances était-il destiné à faire réparer un instrument de musique cadeau d’anniversaire que se serait fait à elle-même Louise de Vilmorin, qui tenait tant à cette guitare?
Sans vouloir sous-estimer la force d’une telle anecdote, reconnaissons que tout ceci est bien troublant…!
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« Bien heureux les fêlés ….
Car ils laissent passer la lumière » (M Audiard)