BLOC NOTE
de Choucaline
« Un sourire n’est d’aucune utilité tant qu’il n’a pas été donné. »
Musique d’ambiance
Ce vendredi 1er octobre…
C’est la journée mondiale du sourire.
Pour célébrer cette heureuse journée avec ceux qui nous entourent, nous prenons le jour de l’humour pour passer du rire au sourire…. Vous le verrez sans perdre au change…!!!
Les secrets du sourire : cinq faits étonnants
Le sourire est l’une des expressions du visage les plus courantes mais aussi les plus mystérieuses.
Cette expression, qui apparaît dès les premiers mois de la vie, se prête à de multiples interprétations.
Elle a aussi des effets étonnants sur soi et sur les autres.
« Si la vie te donnes une centaine de raisons de pleurer, montre à la vie que tu as un milliers de raisons de sourire. »
17 muscles en action
Saviez-vous que pas moins de 17 muscles entrent en action lorsque vous souriez ? Pour chaque sourire, les muscles zygomatiques majeurs et mineurs s’animent tandis que le muscle risorius, qui abaisse le coin des lèvres, est inhibé.
Mais ce mouvement ne se limite pas à relever les commissures des lèvres. Un vrai sourire fait aussi se contracter les muscles autour des yeux, et plus précisément l’orbiculaire palpébral inférieur.
Il s’agit d’un muscle qui ne peut être activé que par une émotion agréable.
En conclusion, pour savoir si un sourire est sincère ou feint, mieux vaut regarder votre interlocuteur au niveau de ses yeux et non de sa bouche ! Les petites rides au coin des yeux ou pattes d’oies sont le signe d’une authentique joie ou sympathie.
« Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune »
Une expression énigmatique
En général, le sourire est une expression faciale associée au plaisir, à la joie ou à l’amusement. Mais pas seulement…
Ce mouvement des lèvres peut aussi servir à exprimer une très large palette d’émotions : l’insolence, le mépris, l’ironie, la tendresse, la moquerie, la timidité ou même la peur dans le cas d’un rictus. Le psychologue Paul Ekman a d’ailleurs répertorié 19 sourires différents.
Il s’agit donc d’une expression complexe, dont l’interprétation dépend du reste du visage (regard, sourcils) et de la gestuelle de la personne. Cela explique sans doute pourquoi le sourire assez énigmatique de La Joconde a fait couler autant d’encre !
Un sourire est une clé secrète qui ouvre bien des cœurs
Inné ou acquis ?
A la naissance, les nourrissons ne sourient pas.
Le sourire apparaît chez les bébés entre le 30e et le 45e jour et au plus tard à l’âge de 3 mois.
Cette expression sert au bébé à exprimer son contentement après un repas, à l’écoute d’un son mélodieux ou à la vue d’une personne familière.
C’est d’ailleurs par l’imitation de sa mère et de ses proches que le bébé va véritablement apprendre à sourire.
« Les rides devraient simplement être l’empreinte des sourires. »Mark Twain
Un phénomène contagieux
Le sourire a avant tout un rôle social : des études ont prouvé que nous sourions involontairement en réponse à un autre sourire, par une sorte de mimétisme inconscient.
Quand quelqu’un nous adresse un sourire, nous aurions donc tendance à y répondre en l’imitant, même très faiblement et de manière invisible.
Le sourire est un outil social aux multiples usages. C’est un signe universel de politesse, mais aussi de convivialité (pour accueillir quelqu’un), d’apaisement (pour neutraliser l’hostilité) et… de séduction.
Un sourire coûte moins cher que électricité, mais donne autant de lumière – (Abbé Pierre)
Un excellent anti-stress
Un enfant de quatre ans rit et sourit naturellement plus d’une centaine de fois dans la journée.
Si vous n’avez pas cette habitude, sachez qu’un sourire, même forcé, abaisse le rythme cardiaque quand on est stressé. Il s’agit donc d’un remède relaxant gratuit et à la portée de tous.
Pour profiter de ses bienfaits, placez-vous devant un miroir et souriez légèrement dix secondes, puis moyennement dix secondes, et enfin largement dix secondes. Recommencez pendant deux minutes : ça va déjà mieux, non ?
« N’attendez pas d’être heureux pour sourire, souriez plutôt afin d’être heureux ». Edward E. Kramer
SOURCE : Audrey Vautherot – Gralon.fr