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ALLEZ MAMY RACONTE : Les lavandières de la nuit et la princesse courant d’air


logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transformera en conteuse au bord du feu…. Préparez les buches….. Pour les autres ….??
Ben..! Rêvez…..! Vous sentirez très vite les odeurs de fumée, la chaleur du feu de bois, vous entendrez l’écorce crépiter….. et vous verrez au milieu des flammes…. la fantasmagorie de l’imaginaire… ça y est.. vous tenez le soufflet bien en main….?
Oui.. !
– Alors.. ACTION Mamy..! Raconte nous une légende pour petits et grands…!!
– Mes petits …. Vous me demandez toujours de vous de vous raconter des histoires… aujourd’hui je vais vous raconter une légende un peu effrayante  qui se situe en BRETAGNE et un conte sonore pour vos petits frères….
– OH YES… OUI OUI Oui avec ça, il en aura pour les grands et les petits…!

– BEN CHOUETTE alors ..! On va enfin avoir des contes pour adultes et adolaidschiants….!!!
– je trouve que tu es très réaliste…
– Allez les petits allez jouer au jardin vous reviendrez tout à l’heure pour écouter la princesse courant d’air

jonas

– Bon Mamy on a compris .. C’est quand que tu donnes de la chair de poule à ton petit canard  ..!

– Voilà voilà on y vient .. Toujours pressé…. comme les citrons jaunes?… jaunes comme toi Jonas..!

Les lavandières de la nuit
Logo mamy raconte DEncore un petit instant .. le temps que Papy vous dise à quel moment cette histoire s’est déroulée….

LE CHOURISTE Une lavandière de nuit ou lavandière de la mort est un personnage de légende, une créature féminine ou une revenante, rencontrée de nuit, nettoyant un linge dans un cours d’eau ou un lavoir.
La lavandière est toujours liée au domaine de la mort : selon les traditions, elle est annonciatrice d’un décès, ou bien, elle, condamnée dans la mort à expier ses anciens péchés.
Les lavandières de la nuit Mais qui sont ces lavandières ?
Ce sont des âmes damnées errantes qui hantent de nombreuses cultures.
La Bretagne, Terre de Légendes, se l’est tout naturellement appropriée.
La naissance de cette légende est ancrée dans les lavoirs et fontaines. Leur apparition est toujours un funeste présageYan' Dargent, Les Lavandières de la nuit, 1861, huile sur toile, 75 x 150 cm. Musée des beaux-arts de Quimper, France.Si d’aventure ils entendaient au loin frapper les battoirs, ils s’ensauvaient. Il ne fallait jamais leur répondre, ni les approcher, encore moins les déranger. Le seul fait de les apercevoir était signe de trépas : « Car le linceul qu’elles préparent est celui dans lequel « l’averti » sera enseveli avant trois jours. » « Ton linceul t’attend, ton linceul t’attend »……
Selon la tradition, il s’agit de lavandières qui étaient chargées de laver le linge des pauvres.
Par cupidité, elles remplaçaient le savon par des cailloux avec lesquels elles frottaient le linge.

Non seulement celui-ci ne pouvait redevenir vraiment propre, mais il était terriblement abimé par ce traitement.
Pour les punir de ce forfait, elles ont été condamnées à laver éternellement des linges qui restent sales lors de nuits sans lune et sans étoiles, dans ces mêmes lavoirs où elles avaient jadis travaillé.

– C’est casse tête ton truc PAPY .. Et en plus tu parles comme la maitresse …!jonas
– Il a raison terminé c’est à mamy maintenant…!

Logo mamy raconte D Elles ont l’apparence de vieilles femmes, mais qui sont très grandes, elles peuvent se rencontrer qu’aux abords des lavoirs.
Tout au long de la nuit elles travaillent à laver, essorer et faire sécher des suaires dans l’attente d’être libérées.
Un suaire, également appelé linceul ou drap mortuaire, est une pièce de tissu s’apparentant à un drap dans laquelle on enveloppe un cadavre.
Elles interpellent les passants, les entraînant à les aider à essorer et étendre le linge.

La seule façon de ne pas finir les membres brisés et étouffés dans les linceuls est de tourner toujours les suaires dans le même sens.
Ainsi, la lavandière, voyant que son travail n’en finit pas, se lasse et laisse sa victime libre.Elles n’apparaissent qu’aux hommes, en particulier les ivrognes qui rentrent de la taverne à la nuit tombée en suivant le chemin – ô combien déconseillé ! – qui longe la rivière ou le lavoir.
Gare au malheureux qui, reconnaissant une parente défunte accède à la demande : s’il ne prend garde à tourner dans le même sens que la femme pour éviter de tordre le suaire, c’est son propre corps qu’il tordra dans le linceul.
Il s’effondrera, et on le retrouvera noyé et membres brisés au petit matin..


– Tu racontes ça pour nous faire peur …! Mais moi dans le noir elles ne m’auraient même pas vu…. HEIN MAMY que c’est vrai…?

Logo mamy raconte D
– Oui mon petit …. ! Maintenant tu écoutes mon histoire …..!!!

 

GUILLO ET LES LAVANDIÈRES DE NUIT

Peut-être avez vous déjà entendu des bruits sourds, près des ruisseaux, la nuit.
Comme des coups de battoir sur le linge. Alors, passez votre chemin bonnes gens, et ne cherchez pas à savoir d’où vient ce bruit : Ce sont les lavandières de nuit.

Guillo, c’est le bon à rien du village, paresseux du soir au matin. Il ne sait que boire, boire et chanter après avoir bu. Tout le monde le connaît à Tréhorenteuc.
Ce soir là, Guillo a le vent en poupe. Il a passé toute la soirée au café du village et le voilà qui rentre chez lui, sous la pleine lune, en chantant à tue-tête. La nuit est trop douce pour prendre le raccourci par les prés, aussi prend-il la route qui monte vers Trébottu.

Lorsqu’il arrive au petit pont sur le Rauco -le ruisseau qui descend le Val sans Retour- Guillo entend des bruits sourds, des battements, à sa gauche, près du moulin en ruine. Intrigué, il quitte la route et longe le ruisseau pendant un bon moment.

Il se heurte sur les souches, il trébuche sur les pierres, et il patauge dans la boue.
C’est là qu’il aperçoit deux femmes, vêtues de blanc, à genoux au bord du ruisseau. Elles lavent un grand drap et le frappent de leur battoir.
Guillo, malgré l’ivresse, n’en croit pas ses yeux : est-ce une heure pour laver du linge en pleine forêt ? Peu importe, il fait demi-tour, mais alors qu’il repart, le voilà qui trébuche sur une grosse pierre et tombe dans le ruisseau. Les deux lavandières sursautent et se tournent vers lui.

Mon Dieu, quels visages ! La lumière blafarde de la lune éclaire ces visages sans vie, aux traits durs et profonds ; leurs yeux sont noirs et vides. Guillo, térrifié, bondit hors de l’eau, mais il n’a pas le temps de fuir que l’une des femme lui crie :
_ Approche ! Viens nous aider.
L’homme, comme pétrifié, s’approche des lavandières en titubant. Impossible de fuir, la voix l’attire comme une guêpe sur une tartine de miel. Les femmes lui tendent alors le drap qu’elles ont lavé et qui ruisselle d’eau.
_ Eh bien ! dit l’une d’elles, qu’attends-tu ? Aide nous à tordre ce drap.
Sans réfléchir, embrumé par les vapeurs d’alcool, Guillo saisit l’extrémité du drap. A l’autre bout, les lavandières tordent le linge, mais lui ne bouge pas. Avec peine, il parvient quand même à dire :
_ Mais qui êtes-vous ? Et pourquoi lavez-vous ce drap en pleine nuit ?
_ Nous lavons le linceul d’un homme qui doit mourir cette nuit. Si nous ne le faisons pas, le pauvre n’aura même pas un linceul pour son dernier voyage.
Sur le coup, Guillo prend ça pour une plaisanterie et le voilà qui éclate de rire. Il est maintenant de tellement bonne humeur, qu’il se met à tordre le drap de son côté.
Et il tord le drap en le tournant de gauche à droite.
_ Malheur ! s’écria l’une des femmes. Il a tordu le drap dans le sens maléfique !
_ Malheur ! Malheur ! répéta l’autre.

Ces cris résonnent dans les arbres, réveillant tous les animaux de la forêt.

Quand Guillo s’est un peu remis de sa frayeur, les lavandières ont disparu.
Il s’imagine avoir rêvé, surtout avec tout ce qu’il a bu.
Mais c’est alors qu’il sent l’humidité du drap qu’il porte encore sur son bras.
Tout à fait dégrisé, Guillo n’a plus qu’une pensée : courir jusqu’à chez lui, sans se retourner. Mais il n’a pas le temps de faire trois pas qu’il entend un énorme grincement.

C’est le grincement des roues d’une charrette qui n’ont pas été graissées depuis des années.
Incapable de faire le moindre geste, Guillo attend, l’oreille tendue.
Mais d’où vient cette charrette ? Il n’y a pas de chemin forestier par ici.
Cependant l’attelage s’approche, et en plus du grincement des roues, il peut maintenant entendre le claquement de sabots sur le sol, et les branches qui se brisent sur le passage du cheval et de la carriole.

l'ankou

L’ankou est le serviteur de la mort : son rôle est de collecter dans sa charrette grinçante les âmes des défunts récents. Lorsqu’un vivant entend le bruit de la charrette, c’est qu’il va mourir. On dit aussi que celui qui aperçoit l’Ankou meurt dans l’année. Le dernier mort de l’année, dans chaque « village », devient l’Ankou de cet endroit pour l’année suivante.

La charrette vient s’arrêter au bord de l’eau. Le cheval se penche pour se désaltérer. C’est alors qu’un personnage vêtu de noir s’approche de Guillo, un fouet à la main :
_ Holà, l’homme ! crie-t-il. Je cherche un nommé Guillo, est-ce que tu l’aurais vu par hasard ?
Guillo ne répond pas.
Ses dents claquent, ses mains tremblent, il a l’impression que sa tête va exploser. Le mystérieux personnage tourne autour de lui et dit d’une voix rauque :

_ Mais je ne me trompe pas ! Tu portes ton linceul sur le bras. C’est donc toi Guillo ! Guillo de Tréhoranteuc.

C’est alors que la lune éclaire le visage de cet étrange personnage. Guillo, avec une indicible horreur, voit ce visage et le reconnait :
c’est l’Ankou, le Serviteur de la Mort. Alors, ne pouvant supporter cette vision, Guillo tombe à genoux sur le sol.

 

Logo mamy raconte D– On raconte qu’à ce moment il y eut un ricanement qui se prolongea dans les arbres et sur la lande.
Puis un grand bruit de branches brisées.
On raconte aussi que le cheval hennit trois fois et que la charrette s’évanouit dans la nuit.
On raconte encore que personne n’a revu Guillo, Guillo de Tréhoranteuc, depuis cette nuit-là.

LA PRINCESSE COURANT D’AIR


– MAMY C’EST A NOUS MAINTENANT..!
C’est sûr ? elle fait pas peur l’histoire de la princesse courant d’air 

Logo mamy raconte D
– NON mes agneaux….

Allez arrête de pleurer toi …! 
et écoute le monsieur qui raconte

SOURCE : 
http://www.contes.biz/index.php
http://triskele.eklablog.com/les-lavandieres-de-la-nuit-a103171785


logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY RACONTE…!
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La sorcière Yamamba en échec


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Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline BLOC NOTE
de Choucaline


« 
Les capacités de notre cerveau
à marcher sur le chemin de vie »


LE CHEMIN PAPA

Le Zen nous déprend de nos façons ordinaires de penser. Il nous transmet, au-delà des concepts, des mots, une vérité qui pointe directement au cœur de l’homme.

Il était une fois … deux moines, qui s’en allaient rejoindre leur couvent près d’Edo ». Ils avaient été retardés par un couple de paysans, qui leur avait demandé de bénir leur fils nouveau-né, et leur maison, et le troupeau. Ils avaient bu par politesse: et charité de cœur,
une ou deux coupes de saké. Maintenant, Ils se trouvaient à la lisière de la forêt, et déjà la nuit tombait.
Or l’un des deux moines était aveugle et son compagnon le guidait: . , .
«Ne crains rien, Djiro! dit le moine éclaireur; nous allons devoir traverser la forêt, où vivent, selon les légendes, monstres et sorcières, mais J ouvre 1 œil, et Je te protégerai contre tous les dangers. ».
Et il ajouta, d’une voix qu’il raffermissait :
«Tiens mon bras, et avançons hardiment! »
Les deux moines parvenaient au cœur de la foret » quand soudain une tarasque abominable sortit d’un fourré.
C’était Yamamba, la vieille sorcière édentée, l’effrayante dame des bois.
Elle était immense, avec ses grandes narines, un nez monstrueux, des yeux injectés de sang où semblaient tournoyer des roues de feu.
Sa langue rouge écarlate pendait jusqu’à sa taille .. Ses cheveux gris et sales flottaient au vent. Elle avait de très longs bras de squelette terminés par des griffes cauchemardesques, et ses pieds velus frappaient le sol avec rage. Le moine qui servait de guide se mit à trembler de
tous les os de son corps.
«Qu’as-tu, mon frère, je n’entends plus ta voix, et je te sens chanceler contre moi, parle-moi, je t’en prie !»
Le moine clairvoyant, paralysé de terreur, ne pouvait émettre aucun son. Et l’horrible Yamamba s’avançait toujours, elle tendait vers les deux moines ses griffes acérées; ses yeux rougeoyaient, et sa bouche se tordait en un rire épouvantable.
«Je sens que tu n’es pas bien, dit l’aveugle, je ne comprends pas pourquoi, mais laisse-moi te soutenir et te guider à mon tour, appuie-toi sur rnoi l » Et d’un pas ferme, l’aveugle entraîna son compagnon en direction de Yamamba, qu’il ne voyait pas.
Le monstre stupéfait vit les deux moines s’avancer droit sur lui. Ils ne manifestaient aucune peur et semblaient indifférents à son aspect effroyable.
Alors Yamamba tira son énorme langue rouge et visqueuse hors du gouffre de sa bouche, jusqu’à ses pieds velus.
Elle les foudroya de son regard incandescent, elle ouvrit et ferma ses griffes menaçantes. Tout cela en vain. Entraînés d’une main ferme par l’aveugle, les deux moines avançaient toujours.
Yamamba vaincue s’évanouit dans les airs, et disparut.

Choucaline plus proche de toi tumeur– Ce récit donne à réfléchir: des deux, qui était le véritable infirme?


Choucaline plus proche de toi tumeur CHOUCALINE

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Ce mercredi balai brosse… Bonjour les DEGAS

Meilleurs complements alimentaires

 CHOUONS ENSEMBLE

par Chou fleur 

 C’est les vacances les choupinets et les choupinettes voilà de quoi jouer avec Papy et Mamy et s’instruire parfois….

Au programme aujourd’hui.

BALAIS : Bonjour les sorcières
BALLETS : Bonjour les Degas
Pourquoi les sorcières ont-elles un balai ?
Papy VIDÉO SORCIÈRE
LE TIRLIPOTE

BALAIS:  BONJOUR LES SORCIÈRES

Les sorcières sont à la fois des êtres imaginaires connus pour leurs pouvoirs magiques leurs chaudrons et balais, illustrées dans tous les contes de fées et bon nombre de films. Mais elles sont aussi ces femmes que l’on a brûlé en Europe pendant le moyen-âge, période livrée aux guerres de religions, où les pratiques quelque peu déviantes étaient condamnées à mort…

 

 

L’arrestation d’une sorcière,

Gravure anglaise du XVIIe siècle extraite de « Les sorcières, fiancées de Satan » Crédit photographique : Explorer-archives

Vers le milieu du XVe siècle, en Occident, on brûle des femmes. Les sorcières sont les fiancées du diable : elles vont au Sabbat, jettent des sorts, sèment maladie et mort… Pendant deux siècles des milliers d’entre elles sont traquées, dénoncées, torturées et brûlées. Ce n’est qu’à la fin du XVIIe siècle que les bûchers s’éteignent peu à peu.

Les personnes les plus suspectées de sorcellerie étaient les femmes, vieilles ou isolées, et en général pauvres. En effet, jusqu’au XVIIe siècle, la femme faisait peur. Les médecins en connaissaient très peu le métabolisme, les théologiens les voyaient comme des êtres inconstants à garder sous perpétuelle surveillance. sous tutelle du père ou du mari, elles ne devenaient un tant soit peu autonomes qu’une fois veuves, autonomie alors souvent assortie d’isolation. On les soupçonne alors de vouloir se venger de leur sort. Une femme soupçonnée de sorcellerie était rarement acquittée : chacune de ses réponses confirmait l’accusation.

PAPY VIDÉO SORCIÈRES


BALLETS:  BONJOUR LES DEGAS

Edgar Degas, 1834 1917  est un peintre, graveur, sculpteur et photographe français.

La plupart des ouvrages consacrés à Edgar Degas, lorsqu’ils désirent le classer dans l’histoire de l’art, le rattachent au grand mouvement de l’impressionnisme, formé en France dans le dernier tiers du XIXe siècle en réaction à la peinture académique de l?époque. Les artistes qui en font partie, tels Claude Monet, Paul Cézanne, Auguste Renoir, Alfred Sisley, ou Camille Pissarro, las d?être régulièrement refusés aux Salons officiels, s?étaient constitués en société anonyme afin de montrer leurs ?uvres au public.

Pendant les vingt premières années de sa carrière, Degas expérimente tous les genres. Il a tout d?abord une prédilection pour les portraits. Il apparaît très tôt capable de composer de grandes toiles ambitieuses

04 10 2008 La maison de vente aux enchères new-yorkaise Sotheby's annonce la mise en vente d'œuvres majeures du peintre impressionniste français Edgar Degas le 3 novembre. "La danseuse au repos" est estimée à plus de 40 millions de dollars. Au début des années 1860, Degas aborde le genre des peintures historiques, en ayant recours de manière très personnelle à diverses sources d?inspirations. Il ne délaisse pas pour autant la peinture de genre, se passionnant très tôt pour les courses de chevaux, puis en 1872 pour la danse, l?opéra, les cafés-concerts et la vie quotidienne.

La danse est un sujet qui marquera la carrière de Degas.

Il était en admiration devant ces danseuses qui rayonnaient sur la scène.

Elles étaient comme des étoiles dont notre regard ne pouvait se détacher.
Il les montrait en préparation, derrière la scène et lors de leur prestation

Degas allait sur place pour représenter du mieux qu?il pouvait les moindres détails,
c?est pour cette raison que ces tableaux nous touchaient tant. 

Pourquoi les sorcières ont-elles un balai ?

La position des sorcières qui chevauchent un manche à balai pourrait s’expliquer par la pratique de consommation de substances psychoactives au Moyen-Âge.

Elle consistait à appliquer une préparation à base d’ergot de seigle (un champignon, connu pour ses propriétés hallucinogènes, qui se développe dans la céréale) sur un manche à balai et à le placer contre les parties génitales. La substance hallucinogène était alors absorbée via les muqueuses et permettait d’éviter les effets secondaires liés à une prise orale ou à un contact cutané.
Les personnes sous l’emprise de cette substance pouvaient avoir l’impression de voler et sous cette apparence de folie, elles étaient alors condamnées pour sorcellerie.

Le Balai de sorcière c’est aussi une Maladie des arbres.
Certains arbres contractent, particulièrement dans les régions arides une maladie qui se traduit par des branches mortes qui s’agglomèrent entre elles et ressemblent à un balai sur lequel les sorcières s’envolent dans les contes et légendes.

TIRLIPOTE:  ENTREZ DANS LA DANSE



LE  JEU DU TIRLIPOTE
.

LE  VERBE CACHÉ 

.

– INDICES TIRLIPOTE OFFERTS :
« – Peut on TIRLIPOTER la nuit            OUI

– Peut on TIRLIPOTER au lit              OUI
mais dans les deux cas  il vaut mieux avoir un bon éclairage »
– Peut on TIRLIPOTER avec une femme              OUI
mais dans un lit il vaut mieux le faire séparément « 
– Peut on TIRLIPOTER dans un fauteuil              OUI
et même avec votre femme sur les genoux, si elle TIRLIPOTE la même chose que vous…!
– Peut on TIRLIPOTER avec les rédacteurs de la Chouette    OUI
 Encore qu’ils sont meilleurs pour écrire que pour TIRLIPOTER
– Peut on TIRLIPOTER avec de l’argent               OUI
 Mais on ne peut le faire qu’avec une seule devise….même si le TRILIPOTE est une devise !
ça commence à bruler …….

CHOU FLEUR

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CONTE : Les poires du pays de Tegor


BLOG DE LETENDRE…
ET DOUX..!!!

Moi qui n’ai pas mes choupinettes prés de moi
pour leur lire des contes…  Je vous délègue le soin de prendre du plaisir en  lisant ce conte breton pour moi à vos petits enfants…

Les poires du pays de Tegor
(Conte breton- Tegor )
Il était une fois un roi qui adorait les poires…
Il promit de marier sa fille à celui qui lui rapporterait les plus belles poires…

Tête de paysanne, par Pieter Bruegel l'Ancien, 1568Dame Bertrande possédait le plus beau verger du royaume et aussi les plus belles poires.


Elle pensa que c’était là l’occasion d’assurer l’avenir de l’un de ses trois fils.

Elle envoya donc l’aîné, Morvan, qui était un gros fainéant avec un plein panier de poires. Se disant que c’était vraiment facile et qu’il allait devenir riche, le voilà parti sur les chemins.

Il rencontra une vieille femme avec un panier d’œuf frais :
– Des bons œufs frais
pour le roi..?
lui répondit-il pour se moquer.

– Qu’as-tu là dans ton panier ? lui demanda-t-elle.
– Des poires pour le roi….
– Tu es sûr de ça..????

Mais arrivé à la Cour du roi, ses belles poires s’étaient transformées en poussins voletant et piaillant.
Le Roi en fut énervé… et le menaça du cachot s’il reparaissait devant lui.

 Tête de paysanne, par Pieter Bruegel l'Ancien, 1568Le lendemain, fâchée de l’imbécillité de son fils aîné,
Dame Bertrande envoya son cadet, un peu plus malin remplir la mission à son tour.

Et, c’est chargé d’un nouveau panier de poires que Brieg prit à son tour le chemin du château…

En route, il croisa une mendiante :
– Qu’as-tu là dans ton panier ? lui demanda-t-elle.
– Des crapauds ! Un plein panier de crapauds, la vieille !

Mais lorsqu’il voulut montrer ses belles poires au Roi, voilà que de son panier sortit une ribambelle de crapauds coassant.

Le Roi était furieux qu’on se moque de lui et il s’en fallut de peu que le garçon ne soit pendu haut et court !

 

Tête de paysanne, par Pieter Bruegel l'Ancien, 1568

Dame Bertrande se désola…
– Qui va épouser la Princesse maintenant ?

Erwan, le plus jeune de ses fils s’approcha.
Il n’était pas très grand ni très costaud mais il était le moins sot.
– Puisque tu es là, il nous reste encore une chance.
Demain, tu iras porter les poires au château.

Le lendemain matin, Erwan cueillit les plus belles poires du verger, les mit dans son panier et prit le chemin du château.
En route, il croisa lui aussi une vieille mendiante :
– Qu’as-tu là dans ton panier ? lui demanda-t-elle
– Des poires, ma bonne Dame, dit-il en soulevant le torchon qui couvrait son panier.
– En voulez-vous une ? lui proposa t-il en lui tendant la plus belle.
– Merci mon garçon,
sourit la vieille femme.

Et aussitôt, elle se transforma en une splendide jeune fille qui, de sa baguette dorée, éclaboussa de lumière les fruits qui grossirent, grossirent, grossirent…

Lorsque le Roi découvrit ces fruits magnifiques, il fut émerveillé.
Erwan épousa la Princesse et n’oublia pas d’inviter au mariage la jolie fée qui l’avait si bien aidé.
Erwan et la Princesse vécurent heureux et eurent beaucoup de ….. poires !
MORALITÉ:
Vous direz de ma part à vos choupinets :

« Que la charité et la bonté sont toujours récompensées »
Citez leur ceux qui savent mieux parler que moi :

Quand on voit quelqu‘un de généreux, on a envie de
marcher dans ses pas.
~ Jacques Lecomte, psychologue

De même que le fleuve retourne à la mer, le don de l’homme revient vers lui. ~ Proverbe chinois

La goutte que tu donnes, on ne sait jamais quelle grosseur elle peut atteindre. ~ Laurent Viens

SOURCES:   https://www.luminessens.org/post/2016/10/21/le-poirier
 
(d’après les Contes de la bonne graine de Lionel Hignard)
illustration inédites de JEP PAPY pour la CHOUETTE
l
LETENDRE


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