Archives par étiquette : leçon de vie

Merci Monsieur le professeur…!


Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline– BLOC NOTE de Choucaline
– « Les capacités de notre cerveau:

– J’avais un chef un jour qui me disait:

« Aidez les gens à atteindre leur plein potentiel…
Surprenez les à faire du bon travail »

Je l’ai écouté … et je me dis aujourd’hui, que je suis fière de vous aider à évoluer et j’espère vous surprendre aussi…!

Merci Monsieur le professeur…!

Un vieil homme était assis sur un banc, une jeune personne vînt vers lui, et lui demanda :
– Vous souvenez-vous de moi, professeur ?
Le vieil homme répond : NON !
Le jeune homme lui dit qu’il était son ancien élève.
– Le vieux enseignant : Ah ! Que devient-tu ? Que fais-tu dans la vie maintenant ?
Le jeune homme répondit : Eh bien, je suis devenu professeur, moi aussi.
– Ah, comme c’est bon de le savoir, donc comme moi, dit le vieil homme.
– Oui, comme vous !
…En fait, je suis devenu professeur, grâce à vous, vous m’avez inspiré à être comme vous.
…Le vieil homme, curieux, demande au jeune professeur, à quel moment il avait décidé de devenir enseignant ?
Le jeune homme lui raconte l’histoire suivante :
– Un jour, un de mes amis, également lycéen, est arrivé en classe avec une belle montre toute neuve, cette montre, je la voulais et j’avais décidé de la voler. Peu de temps après, mon ami a remarqué que sa montre avait disparue, et s’est immédiatement plaint auprès de vous.
Vous nous avez lancé :
– Une montre a été volée pendant mon cours, aujourd’hui. Celui qui l’a volée, doit la rendre !
Je ne l’ai pas rendue, parce que cette montre je la voulais…tellement !
Ensuite, vous avez fermé la porte, et vous nous avez demandé de nous lever et que vous alliez nous fouiller tous, jusqu’à ce que la montre soit trouvée.
Mais, vous avez exigé de nous, de fermer les yeux.
Nous l’avions fait, quand vous avez fouillé mes poches, vous avez trouvé la montre, et l’avez prise. Vous avez continué à fouiller les poches de tout le monde, quand vous avez fini vous avez dit :
–  » Ouvrez les yeux. J’ai trouvé la montre. »
…Vous ne m’avez rien dit, et vous n’avez jamais reparler de cette histoire. Vous n’avez jamais dit non plus qui avait volé la montre. Ce jour-là, vous avez sauvé ma dignité. Ce fut aussi, le jour le plus honteux de ma vie.
Vous ne m’avez jamais rien dit, vous ne m’avez pas grondé ou attiré mon attention pour me faire une leçon de morale, mais vous avez réussi à… m’éclairer. Grâce à vous, j’ai compris ce qu’est un professeur et la valeur d’un enseignant.
Vous souvenez-vous de cet épisode, professeur ?…
LE CHOURISTELe vieux professeur répond :
– Je me souviens de cette montre volée, je cherchais les poches de tout le monde, mais, je ne me souviens pas de toi, j’avais moi aussi, fermé les yeux en…cherchant.
C’est l’essence même d’un professeur.
Si pour corriger vous devez humilier, vous ne savez pas enseigner, ni être un éducateur.

Choucaline plus proche de toi tumeur

CHOUCALINE Lire mon dernier article cliquez pour accéder - Oh mon Dieu il gèle en enfer

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UN SOUVENIR DE GUERRE….


mémé marthe est l'arrière grand mère de Chou blanc magnétiseuse comme lui ( ou le magnétisme en héritage 3 générations après) BLOC NOTE CHOULAGER
par
Chou-Blanc

—- «  La  force de l’esprit sur le corps « —-

Mémé Marthe, grande dame de la tolérance et de l’amour de l’autre, me citait un proverbe chinois :
« L’expérience est une lanterne que l’on porte dans le dos et qui n’éclaire que le chemin parcouru »
Presque d’accord me disait-elle en rajoutant son grain de sel…
Si cela est vrai, alors regarde ton frère marcher devant toi et la lueur de sa lanterne t’aidera…. Tire enseignement de ses erreurs

Cette histoire est une bien cruelle leçon de vie qui me fait dire tous les jours, que la fraternité, l’amour inconditionnel et la tolérance doivent être les mèches de ma lanterne…
J’espère avoir le dos assez large pour cela

Jugez vous même ….«Qu’auriez vous fait… Qu’auriez vous dit.. ? »

mémé marthe est l'arrière grand mère de Chou blanc magnétiseuse comme lui ( ou le magnétisme en héritage 3 générations après) Un souvenir de guerre….

Mark Doffer rentrait chez lui, le vide dans les yeux, le carnage dans le coeur. Il avait échappé à la fureur du  Vietnam. Pourtant il tremblait à la simple idée d’appeler ses parents d’une cabine téléphonique. Cela faisait si longtemps…
 – Maman… papa… Je rentre. Ça y’est, je suis là.

 Au bout du fil, en pleurs, le père et la mère de Mark n’osent prononcer un mot.

Je… enfin, un ami m’accompagne. Je… Je vais l’amener à la maison.

Pas de problème fils, répond monsieur Doffer. Ça nous fait plaisir.

 – Il y a quelque chose que je dois  vous dire, poursuit Mark, fébrile. Il a  été salement touché pendant les combats et bon… il a une pâte folle. Une jambe en plastoc, quoi.
Il n’a nulle part où aller et je veux qu’il vienne vivre chez nous

Quand la guerre survient, Goya vit à Madrid. Il côtoie les horreurs qui s’y déroulent : exécutions, viols, pillages mais aussi l'exode et la faim. Goya va rendre compte de ce qu'est la guerre de manière très différente de ses contemporains qui, souvent, ont tendance à la magnifier. Goya lui, ne cache rien.

Goya va rendre compte de ce qu’est la guerre de manière très différente de ses contemporains qui, souvent, ont tendance à la magnifier. Goya lui, ne cache rien.

Cette fois-ci, le silence fut plus  long et embarrassé.
 
 – Je suis désolé pour lui fils. Mais tu sais, chez nous, c’est petit. On pourrait certainement lui trouver un endroit pour vivre, ailleurs.

 – Vous n’avez pas compris, coupa Mark. Je veux qu’il vive avec nous.

 – Écoute fils. Quelqu’un avec un tel handicap sera un fardeau pour notre famille. Nous ne pouvons pas accepter. Tu devrais rentrer et laisser ton ami trouver une famille qui pourra l’accueillir.
 
Alors, Mark raccrocha le téléphone.
 Ses parents n’entendirent plus parler de lui. Jusqu’à ce qu’un agent de police les appelle chez eux, quatre  jours plus tard pour leur annoncer que  Mark avait sauté du pont de San  Francisco et qu’ils devaient venir l’identifier à la morgue.

 Face au corps de son fils, la mère de Mark fut prise de convulsions et son père détourna la tête. C’était bien lui, c’était Mark… mais avec une jambe et un bras en moins.
 ……………………………..

 Dans cette histoire triste, les parents de Mark sont à notre image :
Souvent, nous trouvons facile d’aimer  ceux qui présentent bien, qui sont  beaux, sans défauts apparents.

 Mais nous repoussons ceux qui nous gênent parce qu’ils ne correspondent pas  au « format » idéal, recevable, passe- partout… Heureusement pour nous, certaines personnes ne traitent pas leurs semblables avec autant de discrimination.
Quelqu’un qui nous aime, c’est quelqu’un qui nous aime sans condition.

L’amour ne devrait être que cela..

(c)2006, www.club-positif.com
…………………………………
« La nature fait les hommes semblables, la vie les rend différents. »
Confucius

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez Chou Blanc

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