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MUSICOCHOUETTE : FÉLIX LECLERC



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NUMÉRO 30
FÉLIX LECLERC
 

 

Pour vous être agréable, nous vous avons concocté une série musicale avec le concours d’une jeune recrue qui est au piano dans sa cuisine et sur ses platines le dimanche…

  J‘ai nommé MAESTRO COCINA

il a toque et carte blanche à condition de changer son thème de menu chaque semaine.


Il dispose de 72 playlists… Il y a en aura pour tous les gouts :
Du classique à la variété …. De l’instrumental aux chansons populaires
qui ont habité notre jeunesse

Félix Leclerc – BOZO – HD (Video)


24 titres à réécouter 1H 15mn

Le Petit Bonheur _ Felix Leclerc

Félix Leclerc de profil et de face pendant 41 mn ( 1988 )

 MA SURPRISE CLIQUEZ DESSUS  


pubMAESTRO COCINA

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Rosa Bonheur rencontre Buffalo Bill



logo lardon 1L’ART ET LA PALETTE
AU
CHOU :

Coucou c’est toujours moi …
Merci d’être revenu nous voir
pour découvrir
les petites
histoires des peintres et de leurs
tableaux dans  l’art et la palette au
chou

logo lardon D

AUJOURD’HUI :
La rencontre de Rosa bonheur et de Buffalo Bill
Si Buffalo Bill est bien connu de vous tous; peut être faut-il présenter Rosa Bonheur pourtant talentueuse peintre animalier.

Marie-Rosalie Bonheur dite Rosa Bonheur, née le à Bordeaux et morte le à Thomery, est une peintre et sculptrice française, spécialisée dans la représentation animalière.
À Bordeaux, son père Raymond lui même peintre rencontre le peintre espagnol Francisco Goya qui y vivait en exil et qui devient son ami.

Il encouragera Rosa,tous ses autres  enfants dans la voie artistique :
LA CHOUETTE LUI A CONSACRÉ UN ARTICLE AVEC SES PRINCIPAUX TABLEAUX…..

Une offre qui ne se refuse pas

Où l’on découvre comment redonner le goût de vivre à une peintre animalière.

Anna Klumpke, Portrait de Rosa Bonheur, 1898, huile sur toile, 117,2 x 98,1 cm, Metropolitan Museum of Art, New York

1889. Rosa Bonheur est terrassée par le chagrin :
la célèbre peintre animalière vient de perdre sa compagne.
Elle a déposé ses pinceaux, son inspiration à sec.

Heureusement, ses galeristes, inquiets, décident de l’aider.
Pourquoi ne pas la pousser à rencontrer William Cody, plus connu sous le nom de Buffalo Bill ?

Cette légende de l’Ouest américain est de passage à Paris pour son Wild West Show, un spectacle qui met en scène attaques de diligences et rodéos. Et pour appâter l’artiste, ses marchands ont l’argument parfait…

 

En effet, Cody ne se déplace pas seul. Il est venu avec des compagnons de scène, des autochtones américains, mais aussi avec des animaux de l’Ouest. Or, Rosa Bonheur, en bonne peintre animalière, a toujours rêvé de se rendre en Amérique étudier des bisons. C’est donc une occasion inespérée !

Rosa Bonheur dans le camp de Buffalo Bill – , Metropolitan Museum of Art, New York

ROSA BONHEUR ET LES INDIENS LAKOTAS

  Impossible de résister pour Rosa Bonheur : l’artiste part à la rencontre de Cody pour lui demander l’autorisation de dessiner les animaux. Le cowboy, flatté de l’attention d’une telle célébrité, n’hésite pas une seconde.
Rosa Bonheur obtient la liberté de se balader comme elle le souhaite dans les coulisses du spectacle.
Mais si l’artiste s’intéresse d’abord aux bisons, elle est également fascinée par les autochtones Lakotas.
Leur conception de la nature et leur respect des animaux la touchent particulièrement.

Rosa Bonheur, Rocky Bear et Red Shirt à cheval armés de lance, 1890, huile sur toile,


ROSA BONHEUR ET BUFFALO BILL

Ainsi, grâce à ses échanges avec eux, Rosa Bonheur retrouve bien vite l’inspiration. Dessins et tableaux se multiplient sur le thème de l’Ouest.

Comment remercier William Cody pour son accueil ?
Tout simplement en lui offrant son portrait ! L’artiste, qui préfère généralement les animaux aux êtres humains, dépeint Cody sur son cheval préféré.

Le cowboy est si fier de son tableau qu’il en utilise une reproduction sur les affiches de son spectacle ! Et aujourd’hui encore, ce tableau, conservé aux États-Unis, reste le symbole d’une rencontre et d’une amitié improbable entre deux légendes…

Rosa Bonheur, Portrait de William F. Cody, 1889, huile sur toile, 46,9 x 38,7 cm


-« Sauvez mon portrait peint par Rosa Bonheur ! La maison, elle, peut bien partir dans les flammes ».

Phrase de William Cody (Buffalo Bill), lors de l’incendie de sa maison du Nebraska

SOURCE: ARTIPS ARTS Racontée par Adeline Pavie

logo lardon 1LE LARDON

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contes : La paquerette

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transformera, cet automne, en conteuse au bord du feu…. Préparez les buches….. conservez vos braises on va faire griller les châtaignes

Pour les autres ….??
Ben..! Rêvez…..! Vous sentirez très vite les odeurs de la grillade , la chaleur du feu de bois, vous entendrez l’écorce crépiter….. et vous verrez au milieu des flammes…. la fantasmagorie de l’imaginaire…
ça y est..
Vous tenez le soufflet bien en main….?
Oui.. ! Ok…! Alors allons y…!!!

AUJOURD’HUI C’EST :  LA PÂQUERETTE
Hans Christian Andersen (1805-1875)

LE CHOURISTE
LE BRIQUET
 est un conte écrit par
Hans Christian Andersen,
Hans Christian Andersen,
( ) de Copenhague, est un romancier, dramaturge, conteur et poète danois, célèbre pour ses nouvelles et ses
« contes de fées »

Longtemps ignoré ou tourné en dérision dans son pays, où l’on a raillé son égocentrisme, il n’est reconnu tout d’abord qu’à l’étranger

LA PÂQUERETTE

Écoutez bien cette petite histoire.

À la campagne, près de la grande route, était située une gentille maisonnette que vous avez sans doute remarquée vous-même.
Sur le devant se trouve un petit jardin avec des fleurs et une palissade verte ; non loin de là, sur le bord du fossé, au milieu de l’herbe épaisse, fleurissait une petite pâquerette. Grâce au soleil qui la chauffait de ses rayons aussi bien que les grandes et riches fleurs du jardin, elle s’épanouissait d’heure en heure.

 

Un beau matin, entièrement ouverte, avec ses petites feuilles blanches et brillantes, elle ressemblait à un soleil en miniature entouré de ses rayons. Qu’on l’aperçût dans l’herbe et qu’on la regardât comme une pauvre fleur insignifiante, elle s’en inquiétait peu. Elle était contente, aspirait avec délices la chaleur du soleil, et écoutait le chant de l’alouette qui s’élevait dans les airs.

Ainsi, la petite pâquerette était heureuse comme par un jour de fête, et cependant c’était un lundi. Pendant que les enfants, assis sur les bancs de l’école, apprenaient leurs leçons, elle, assise sur sa tige verte, apprenait par la beauté de la nature la bonté de Dieu, et il lui semblait que tout ce qu’elle ressentait en silence, la petite alouette l’exprimait parfaitement par ses chansons joyeuses. Aussi regarda-t-elle avec une sorte de respect l’heureux oiseau qui chantait et volait, mais elle n’éprouva aucun regret de ne pouvoir en faire autant.

« Je vois et j’entends, pensa-t-elle ; le soleil me réchauffe et le vent m’embrasse.
Oh ! j’aurais tort de me plaindre. »

En dedans de la palissade se trouvaient une quantité de fleurs raides et distinguées ; moins elles avaient de parfum, plus elles se redressaient.
Les pivoines se gonflaient pour paraître plus grosses que les roses : mais ce n’est pas la grosseur qui fait la rose.
Les tulipes brillaient par la beauté de leurs couleurs et se pavanaient avec prétention ; elles ne daignaient pas jeter un regard sur la petite pâquerette, tandis que la pauvrette les admirait en disant : « Comme elles sont riches et belles ! Sans doute le superbe oiseau va les visiter. Dieu merci, je pourrai assister à ce beau spectacle. »

Et au même instant, l’alouette dirigea son vol, non pas vers les pivoines et les tulipes, mais vers le gazon, auprès de la pauvre pâquerette, qui, effrayée de joie, ne savait plus que penser.

Le petit oiseau se mit à sautiller autour d’elle en chantant :
« Comme l’herbe est moelleuse ! Oh ! la charmante petite fleur au cœur d’or et à la robe d’argent ! »

On ne peut se faire une idée du bonheur de la petite fleur. L’oiseau l’embrassa de son bec, chanta encore devant elle, puis il remonta dans l’azur du ciel.
Pendant plus d’un quart d’heure, la pâquerette ne put se remettre de son émotion. À moitié honteuse, mais ravie au fond du cœur, elle regarda les autres fleurs dans le jardin.
Témoins de l’honneur qu’on lui avait rendu, elles devaient bien comprendre sa joie ; mais les tulipes se tenaient encore plus raides qu’auparavant ; leur figure rouge et pointue exprimait leur dépit.
Les pivoines avaient la tête toute gonflée. Quelle chance pour la pauvre pâquerette qu’elles ne pussent parler ! Elles lui auraient dit bien des choses désagréables. La petite fleur s’en aperçut et s’attrista de leur mauvaise humeur.


Quelques moments après, une jeune fille armée d’un grand couteau affilé et brillant entra dans le jardin, s’approcha des tulipes et les coupa l’une après l’autre.

Quel malheur ! dit la petite pâquerette en soupirant ; voilà qui est affreux ; c’en est fait d’elles.

Et pendant que la jeune fille emportait les tulipes, la pâquerette se réjouissait de n’être qu’une pauvre petite fleur dans l’herbe. Appréciant la bonté de Dieu, et pleine de reconnaissance, elle referma ses feuilles au déclin du jour, s’endormit et rêva toute la nuit au soleil et au petit oiseau.

 

Le lendemain matin, lorsque la pâquerette eut rouvert ses feuilles à l’air et à la lumière, elle reconnut la voix de l’oiseau, mais son chant était tout triste.
La pauvre alouette avait de bonnes raisons pour s’affliger :

on l’avait prise et enfermée dans une cage suspendue à une croisée ouverte. Elle chantait le bonheur de la liberté, la beauté des champs verdoyants et ses anciens voyages à travers les airs.

La petite pâquerette aurait bien voulu lui venir en aide : mais comment faire ? C’était chose difficile.

La compassion qu’elle éprouvait pour le pauvre oiseau captif lui fit tout à fait oublier les beautés qui l’entouraient, la douce chaleur du soleil et la blancheur éclatante de ses propres feuilles.

 

Bientôt deux petits garçons entrèrent dans le jardin ; le plus grand portait à la main un couteau long et affilé comme celui de la jeune fille qui avait coupé les tulipes. Ils se dirigèrent vers la pâquerette, qui ne pouvait comprendre ce qu’ils voulaient.

— Ici nous pouvons enlever un beau morceau de gazon pour l’alouette, dit l’un des garçons, et il commença à tailler un carré profond autour de la petite fleur.
— Arrache la fleur ! dit l’autre.

À ces mots, la pâquerette trembla d’effroi. Être arrachée, c’était perdre la vie ; et jamais elle n’avait tant béni l’existence qu’en ce moment où elle espérait entrer avec le gazon dans la cage de l’alouette prisonnière.

— Non, laissons-la, répondit le plus grand ; elle est très bien placée.

Elle fut donc épargnée et entra dans la cage de l’alouette.

Le pauvre oiseau, se plaignant amèrement de sa captivité, frappait de ses ailes le fil de fer de la cage. La petite pâquerette ne pouvait, malgré tout son désir, lui faire entendre une parole de consolation.

Ainsi se passa la matinée.

— Il n’y a plus d’eau ici, s’écria le prisonnier ; tout le monde est sorti sans me laisser une goutte d’eau. Mon gosier est sec et brûlant, j’ai une fièvre terrible, j’étouffe ! Hélas ! il faut donc que je meure, loin du soleil brillant, loin de la fraîche verdure et de toutes les magnificences de la création !

Puis il enfonça son bec dans le gazon humide pour se rafraîchir un peu. Son regard tomba sur la petite pâquerette ; il lui fit un signe de tête amical, et dit en l’embrassant :

— Toi aussi, pauvre petite fleur, tu périras ici ! En échange du monde que j’avais à ma disposition, l’on m’a donné quelques brins d’herbe et toi seule pour société. Chaque brin d’herbe doit être pour moi un arbre ; chacune de tes feuilles blanches, une fleur odoriférante. Ah ! tu me rappelles tout ce que j’ai perdu !

« Si je pouvais le consoler ? », pensait la pâquerette, incapable de faire un mouvement. Cependant le parfum qu’elle exhalait devint plus fort qu’à l’ordinaire ; l’oiseau s’en aperçut, et quoiqu’il languît d’une soif dévorante qui lui faisait arracher tous les brins d’herbe l’un après l’autre, il eut bien garde de toucher à la fleur.

Le soir arriva ; personne n’était encore là pour apporter une goutte d’eau à la malheureuse alouette. Alors elle étendit ses belles ailes en les secouant convulsivement, et fit entendre une petite chanson mélancolique. Sa petite tête s’inclina vers la fleur, et son cœur brisé de désir et de douleur cessa de battre.
À ce triste spectacle, la petite pâquerette ne put, comme la veille, refermer ses feuilles pour dormir ; malade de tristesse, elle se pencha vers la terre.

Les petits garçons ne revinrent que le lendemain. À la vue de l’oiseau mort, ils versèrent des larmes et lui creusèrent une fosse. Le corps, enfermé dans une jolie boîte rouge, fut enterré royalement, et sur la tombe recouverte ils semèrent des feuilles de roses.

Pauvre oiseau ! pendant qu’il vivait et chantait, on l’avait oublié dans sa cage et laissé mourir de misère ; après sa mort, on le pleurait et on lui prodiguait des honneurs.

Le gazon et la pâquerette furent jetés dans la poussière sur la grande route ; personne ne pensa à celle qui avait si tendrement aimé le petit oiseau.

 


– oh purée elle est triste ton histoire Mamy

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY RACONTE…!
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RETRO : C’est une récap des histoires déjà racontées..

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MUSICOCHOUETTE: MARIE LAFORET



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NUMÉRO 29
MARIE LAFORET
 

 

Pour vous être agréable, nous vous avons concocté une série musicale avec le concours d’une jeune recrue qui est au piano dans sa cuisine et sur ses platines le dimanche…

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24 titres à réécouter 1H 08mn

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