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 Le bloc de marbrepar CHOUBLANC |
HOMMAGE A NOTRE AMIE DANIELLE
DÉCÉDÉE LE 09 11 2023
PAS UNE MAIS DEUX PENSÉES POUR ELLE
LOUISA TES POÈMES SONT ÉTERNELS..!!!
Danielle s’en est allé dans son sommeil sur la pointe des pieds sans bruit cela lui ressemble…
Nous qui l’avons connue, parfois accompagnée, ou qui lui avons tendu la main et offert notre amitié, elle nous l’a bien rendu car nous avons trouvé en elle une poétesse amoureuse des chiens, du ciel et de la terre et et de tous les être de l univers
Chaque jour elle produisait plusieurs poèmes avec semble t il beaucoup de facilité.
LA CHOUETTE l’avait compris et vous faisait régulièrement partager quelques uns de ses poèmes du mois
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L’ÂME DES POÈTES
Longtemps, longtemps, longtempsAprès que les poètes ont disparuLeurs chansons courent encore dans les rues
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Monsieur TRENET avait raison l’âme d’un poète ne meurt pas et longtemps longtemps après que tu auras disparu, nous lirons tes poèmes à nos petits enfants et je ne doute pas que l’âme de ton chien DIAM’S viendra mordre nos
mollets …..
et s’il le fait trop fort, c’est toi que nous engueulerons…!!!!!
CET HOMMAGE RASSEMBLE L’ENSEMBLE DE SES POÈMES PUBLIÉS
(plus de 100)
NOUS QUI NOUS SOMMES RECONNUS DANS CE POÈME LE PARTAGEONS AVEC VOUS
C’est formidable un ami
Un ami qui vous écoute, c’est une âme sœur
Il vous sonde en silence, redonne du bonheur
Lors de son passage, il éponge, il essuie
Vos larmes, le trop plein de vos soucis.
–
Avec lui, des solutions existent
Et souvent, de lui un miracle surgit;
Souvent c’est un ange, que l’on a ignoré
Souvent c’est l’amitié d’une fée.
LOUISA
CHOUBLANC dit à qui veut l’entendre : Je m’y retrouve dedans comme un gant qui va bien à la main d’or qu’on m’a PRÊTÉ
UNE GRANDE AMIE VIENT DE VOUS QUITTER
PAIX A SON ÂME
A DIAM’S son chien
J’ai un ange dans ma maison
Je l’admire et je continuerai à l’aimer à le regarder
avec les mêmes yeux qu’il y a quinze ans déjà ;
Pourtant , il n’a plus les cinq sens, mais c’est un détail,
Pourtant , il reconnaît à l’odeur, les gens qu’il aime ;
Pourtant, pour l’appeler, je suis obligée de hurler son prénom.
A part ses moustaches blanches, son regard dans le vague,
A part sa démarche un peu plus lente,
Son affection royale et rare m’est destinée.
Je me demande si je ne suis pas devenue un canidé
Sa météo , son sommeil, sa sieste sont devenues les miens ;
Comment ne pas le prendre pour un ange quand
Il saute dans mes bras lorsque je rentre de courses
LOUISA-
LE CRI DE LOUISA :
ELLE n’est pas belle la vie !!!
– MERCI MAMY LOUISA …
de nous avoir tatouer le coeur…!!!!
CHOU BLANC
« La poésie, c’est le sourire du langage«
RETRO :
C’est du même tabac…..
