C’est ce mois-ci, une débauche de poèmes, chansons et divertissements pour tous et pour tous les gouts.
Pour vous… Rien que pour vous… Plein les yeux, plein les oreilles …. On vous aime….!!!!
La pleine lune
La lune éclaire un chemin bordé d’aubépines ; Pendant qu’au loin, la sorcière blanche s’achemine Vers des plantes qu’elle cueille à perdre haleine : L‘ail de l’ours, la bruyère, et certaines graines.
Pour que tu trouves le chemin de l’amour, Certains te donneront l’affection, d’autres, la passion ; Avec les prières de la sorcière de la guérison. Du chaudron qui bouillonne, un chant monte.
Endormi, tu ne vois rien, n’entend rien et pourtant Un monde et le chat veillent le bel amant ; La lune sourit, le somnifère a fait son effet ; Sous ses doux doigts, tes cheveux, qu’elle défait.
Louisa
Tableau jep Papy Réalisè en 1978 pour écran d’attente – cliquez il est géant Ail de l’oursC’est quoi LOUISA ?
SUPER GÉNIAL CES DEUX A NE PAS MANQUER La nuit, c’est quand je me retrouve Seul face à face avec tes yeux Et que bizarrement j’éprouve L’envie de toujours vivre heureux L’envie de toujours vivre heureux
Une nuit
Un jour tu ne seras plus présent; Toi, qui est en ma mémoire, toi l’irréel ; Le ciel seul, pourra te revoir présent, Alors laisses moi respirer ton image virtuelle.
Ou bien j’irai rechercher ton orchidée ; J’en extrairai tout ce dont tu rêvais : De son parfum, des pétales à son pistil ; Et de sa mélodie, un sourire.
Shenzhen-Nongke qui a été gardée huit ans Dans la nuit, pour un Roi , seulement.
En main propre je te la rapporterai ; Il parait qu’elle porte le meilleur parfum du monde ; Il parait aussi que c’est une onde Que sa beauté est adoubée par sa Royauté.
Louisa
BONUS DU POETE CATALAN PERE GUISSET (1920 -2000)
LA NUIT
Dans le ciel, les étoiles !
Au loin les sonnailles
Le bétail est a l’étable,
au pied du chêne vénérable.
Dans le maquis, un rossignol,
fait ses sérénades avant l’envol.
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Mon amie l’abeille
Elle butine toute sa vie et n’ont pas de problème ; Elle vrille un fruit ou découpe des feuilles Ce sont les reines de la dentelle, d’un poème ; Leur nid est fait de miel, d’amour et d’accueil.
Le jour perce le feuillage, la chanson aux lèvres ; Le parfum encore imprégné jusqu’aux veines Elle font un tour sur la pergola remplies de sève ; Parfois, elles ne repartiront qu’avec un poème.
Elle connaît la maîtresse des lieux, ou le maître ; Avec ses amies, elles leur feront une haies d’honneur ; Tout en suçant leur raisin, elles leur feront une fête ; Quand l’été est brûlant, elles feront de l’ombre en cœur.
Elle fait de jolies rondes pour polliniser ; Si elle vient et qu’ on l’aime, on peut l’utiliser ; En leur mettant un bol d’eau et des friandises ; Ce sont de grands enfants, quoiqu’on en dise.
Louisa
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La larme de Rê créa l’abeille… Depuis les mures ont des abeilles et nous du miel
Un mythe égyptien explique la naissance des abeilles et du miel en ces termes :
“Le dieu Rê pleura et les larmes de son oeil tombèrent sur le sol ; elles se changèrent en abeille ; l’abeille construisit (ses rayons), son activité s’exerçant sur les fleurs de toutes les espèces végétales ; ainsi naquit la cire, et ainsi naquit le miel, à partir des larmes du dieu Rê.”
Je ne vois que toi ,
Le soleil ensoleille tes cheveux déjà gris ; Je ne vois que toi , La montagne a mis ses plus beaux habits ; Je ne vois que toi.
La musique a envahi tout l’espace ; Je n’entend que toi, Quelques enfants chantent, c’est un faste ; Je n’entends que toi.
La paix est revenue à l’horizon ; Je ne connaîtrai que ma passion, Je ne connaîtrai que toi à l’horizon, Avec toi, le mot guerre est une malfaçon..
La guerre nous a donné une chance ; Je serais toujours ta providence, La paix nous a donné une autre chance ; Je vivrai avec toi, ma providence
Si Dieu le veut
Louisa
Les abeilles ont rendez-vous avec
les trèfles en fleur ;
Là-bas
Là où tu regardais, les trèfles en fleur ont poussé ; L’herbe trop haute, a caché des lézards Et ma maison n’est plus qu’un dortoir Là où vivent maintenant des fleurs sucrées.
Les abeilles ont rendez-vous avec les trèfles en fleur ; Je vais où ces insectes iront, sans aucune peur, Là où tu regardais, là il y a une abeille sur une fleur ; La pluie, jamais ne la consolera, ni aucun coeur.
Louisa
LE PRINTEMPS EN TOUTE SAISON
Ne monte pas le son, tes mots sont si beaux !!! Inutile de parler, seules tes pensées suffisent ; Tu dis que là-bas, l’automne est encore beau Tu dis que l’hiver et les frimas ne sont que des frises.
Bientôt reviendront le printemps et ses fleurs Nous entendrons à nouveau le poète et ses pleurs ; Pourquoi se dépêcher de le ramener, laisse faire Ton sourire me suffit, en attendant, laisse faire.
Louisa –
TABLEAU JEP PAPY POUR LOUISA ET LA CHOUETTE CLIQUEZ IL EST GEANT
MON AMOUR
Toute mon âme, respire, soupire, elle pense à vous ; Pas seulement aux marginaux, assis sous la pluie ; Par seulement aux gueux d’ailleurs et chez nous ; Je pense à vous, les enfants d’ici et de partout.
Je sais que des enfants ne mangent pas, « rêvent » Rêvent d’une datte, d’un fruit, du lait de chèvre ; D’autres ramassent les grains de riz, tombés ; Pendant que le soleil continue de briller.
Quand je déguste une mangue et des Kakis Des enfants rêvent de fruits poussant dans leur pays ; Quand pendant des fêtes, je nourris le Boudda Je me dis que vous mangerez bien ce plat.
Quand je voyage en mangeant , vous venez ici … Le soir , souvent, je me dis qu’il ne faut rien jeter Ni un fruit, ni leur pelure , encore moins leur parfum ; Mon sourire pendant ce temps là, s’est mis à briller.
Et tout ce que le modernisme apporte aux européens Et que fabriquent tant de mères et leurs enfants ; L’amour circule, avec la musique et les poèmes ; Pendant le soleil brille dans ces pays pourtant.
Louisa
Les légendes ne prennent pas seulement naissance dans les temps anciens.
Depuis les années 1980, il en est une qui persiste. Selon la rumeur, posséder un tableau du Garçon qui pleure, c’est s’exposer à voir sa maison partir en fumée dans un immense incendie. CLIQUEZ CE MALHEUREUX GARÇON ET DÉCOUVREZ LA SUITE
MERCI LOUISA
Je ne vais pas mourir idiot…
je croyais qu’il s’agissait d’un oiseau… Un ocarina est un instrument de musique à vent ovoïde, ressemblant à une tête d’oie ; d’où son nom : en italien, oca signifie « oie », et ocarina, « petite oie ». – Écoutez ça
Tant qu’il aura un ocarina
Tant que l’ocarina chantera, fleuriront les orchidées ; Tant qu’elle accompagnera les herbes folles Elles jailliront comme une source, du sol Tant qu’un ocarina chantera au blé.
Les oiseaux se rassembleront pour écouter Les enfant s’endormiront sans être bercés ; Que la pluie danse ou au loin, ses gouttes,diffusent Il y aura toujours une flûte qui , doucement, s’amuse.
Louisa
Quand
Quand on t’enlèvera, la-bas, pour une éternité ; Tes souvenirs les plus beaux se souviendront-ils Du trèfle, des fleurs d’acacia, et du mimosa ? Tu me chuchoteras à l’oreille de mon oreille ?
Gratteras-tu un coussin avec tes pattes Pour qu’on t’ouvre la porte du jardin ? Les chats seront-ils aussi beaux et coquins ? Tout n’est qu’interrogation pour mon petit lévrier.
Avec ton regard neuf, tu seras, je crois, ému, De voir des copains, des chiens que j’ai connus ; La maîtresse céleste t’adorera, autant que moi ; Et surtout ce sera un bon climat pour toi.
Dans les sentiers, tu grappilleras, humeras des fleurs ; Tout comme autrefois, une coccinelle t’embêtera Et en voulant la croquer, tu la rateras, Ici, on ne t’auras pas effacé des fleurs.
Louisa –
Je voudrais tant que tu sois là Je voudrais tant que tu sois là Pour te dire ma solitude Pour te dire ma lassitude De te savoir si loin de moi
LA COULEUR DE L’AZUR
L’azur du ciel, qu’il soit d’ici ou d’ailleurs C’est une couleur qui nous parle ; On fait des projets quand elle couvre les arbres ; Elle nous nourrit sans aucun tralala .
Le ciel, nous offre des couleurs dans nos yeux Des saisons dans nos coeurs et aussi Dieu C’est pourquoi , je lui rends grâce ; J’admire cette couleur, ses nuances, son faste.
Je rêve à elle, quand l’automne arrive ; Je rêve tout éveillée, j’en suis ivre ; A chacun de ses pas, j’y trouve un bonheur ; A chacun de ses gris, noirs, point de malheur.
Louisa
BLEU BLEU BLEU LE CIEL DE PROVENCE
Devant ma porte
L’automne a bien fait son retour; La tramontane m’apporte des messages ; De la note de l’épicier, à quelques sous ; Parfois une fleur séchée du bougainvillier;
Si je veux je peux les balayer; Mais c’est sympa de voir les messages ; Peut être que l’automne offre le passage D’un petit pas, et des plus grands pas.
Devant ma porte fermée, les empreintes Se parlent, se communiquent sous le soleil; La rue en pente récoltera un jour Un trèfle à quatre feuille.
Louisa –
Tableau du 31 10 21 de jep papy pour LOUISA et la Chouette
Une rose A peine éclose et jolie comme une rose, Elle a préféré s’exiler, pas pour un ami ; A peine éclose, elle a offert toute sa vie En cueillant une fleur, j’ai pensé à cette rose.
Abandonnés le foyer et les mondanités Elle s’est vêtu d’un sari aux trois rubans bleus Et de son sourire pour parcourir la pauvreté; La couleur bleue c’était sa couleur des cieux.
Quel bonheur que votre parcours : Tenir un enfant dans vos bras qui sourit, Soigner un lépreux ou réconforter un petit, Vous confère le sourire de l’amour.
Le temps d’un ange , d’un ange-gardien Vous a permis de cajoler la terre entière; En partant de rien, juste avec un sari indien Fermez vous, de temps en temps les paupières ?
Des joyaux aussi beaux que les yeux d’un bébé, Quand, arrive l’automne arrive avec sa misère ; Repassez vous ces photos, Mère, pour avancer Juste pour ne pas flancher, juste avec une prière.
Louisa Pour Mère Térésa
Bientôt une nouvelle année
Puisqu une jolie année va encore se terminer ; Les pas dans le sable vont avec le vent, s’effacer ; La pluie les diluer comme une jolie aquarelle Qu’il ne restera qu’une belle empreinte virtuelle.
Ta voix, tes cheveux naturellement défaits Surtout ton sourire qu’on devine Complète cette nonchalance divine Que seule, une fée, peut interpréter.
Effacer tout cela, ce serait un crime; Transcender cela ce serait un beau rêve Un luxe qu’on ne peut s’offrir sans être victime ; La vision d’un autre monde, d’un beau rêve.
Le soleil de cet été a dû colorer tes étés Décolorer la mèche qui tombe élégamment Pour que la moindre brise lisse savamment Que la moindre brise, seule, lisse avec doigté.
Le vent a dû voler ta voix et ton sourire Même tes pensées se sont envolées Que me restera-t-il que mes pauvres pensées ? De toi, toujours un beau souvenir.