L’HOMME DES BOIS : Les burlubans, des arbres qui s’illuminent

MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance

 C’est la seule chanson et musique qui me fait ressentir autant de choses : PAIX, TRISTESSE, NOSTALGIE, EUPHORIE,  BIEN ÊTRE ….. ELLE M’ENCHANTE…!!!!

Les burlubans, des arbres qui s’illuminent

Issus du folklore breton, les burlubans ont presque été oubliés avec le temps, et pourtant ce sont des arbres fabuleux capables de s’illuminer la nuit…

« Au château de la Bretêche, à Saint-Symphorien (canton de Hédé, arrd. de Rennes), il y avait jadis un burluban . C’était un arbre merveilleux, comme l’on en voit dans les pays d’Orient, et qui s’éclairait pendant la nuit. De cet arbre il ne reste plus que la souche, qui est d’une largeur extraordinaire, et sur laquelle les messieurs de la Bretêche vont jouer aux cartes. Des étrangers leur ont proposé de payer cette souche 2.000 fr., mais les messieurs de la Bretêche ont répondu non ! » (François Duine – 1903, Revue des Traditions Populaires)

L’illustration choisie est de Marion Bulot

 

 

« Ils ont été  longtemps hantés par les dieux.
A entendre certains récits, innombrables étaient alors les guirlandes qui flottaient au vent, suspendues aux branches des vieux chênes de la forêt de Scissy… Autant de “burlubans” magiques, hantés par les revenants.

 

 

Ces arbres foisonnaient en effet, dans les parages, il était prudent d’en conjurer les dangereux présages en se signant sur leur passage. Nul me mettait en doute qu’ils ne soient dépositaires des secrets messages de l’Au-delà.

Les uns et les autres se signalaient, nous apprend ces récits, par un étonnant et mystérieux concert.
Aux cris rauques et stridents des oiseaux de mer attirés dans les parages, se mêlaient alors sur leurs branches le bruit provoqué par de petites “harpes rustiques”.
Ces instruments servaient alors de leurres pour attirer les animaux. Confectionnés par les riverains avec des branches creuses de sureau.
Le vent venait s’y engouffrer comme dans un sifflet d’enfant. Leur sonorité aiguë rehaussait encore le décor sinistre qu’offraient ces vastes étendues marécageuses, où ne se risquaient plus que rarement les humains… »

RETRO : C’est du même tabac…..retour sur la rubrique du même tabac
barre verte

 


Allez plus loin dans la forêt

Nous… Nous avons aimé..!


LA VIE SECRÈTE DES ARBRES


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