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POTASSE : L’agneau de la Saint Jean


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POTASSE: Croyance et superstition N° 3  L’AGNEAU

 

 Une superstition est une croyance fondée uniquement sur la peur.
Elle peut porter bonheur ou malheur..
.
C’est une croyance irraisonnée fondée sur la crainte ou
l’ignorance qui prête un caractère surnaturel ou sacré à certains phénomènes, à certains actes et à certaines paroles.Les POTES âgés vous délèguent pour vous éclairer une nouvelle retraité  qu’ils ont vite baptisée « POTASSE ».

Plutôt sulfureuse et  très superstitieuse, elle est toujours
prête à raconter ses histoires extraordinaires

Suivez le guide….
Ambiance Ambiance au son des miaulements des chats noirs.

Agneau

Symbole d’innocence et d’humilité, l’agneau affirme clairement son identité dans la notion de renouveau. Dans les premières civilisations méditerranéennes, soumises à d’incessantes migrations, l’agneau premier-né (on l’appelle désormais agneau de la Saint-Jean) incarnait la victoire sans cesse renouvelée de la vie sur la mort.

 

 

Nous retrouvons l’agneau au centre de trois religions monothéistes :

– judaïsme,
– christianisme
– islam.

Il joue chaque fois le rôle de la victime, sacrifiée pour le salut des fidèles.
Lorsque Abraham se prépare à sacrifier son fils Isaac à la demande de l’Eternel, Dieu le remplaça au dernier moment par un bélier.

À la fin de la période réservée au pèlerinage à La Mecque, tous les musulmans égorgent le mouton pour célébrer l’Aïd elKébir (grande fête) ou l’Aïd el-Adha (fête du sacrifice).

 

 

 

De son côté, la pâque juive (du mot hébreu pessah qui évoque le passage) célèbre le jour où Dieu a libéré le peuple juif de l’esclavage en Égypte. C’est une fête de pèlerinage qui dure sept jours. La première nuit, on mangeait en famille l’agneau pascal sacrifié au Temple dans l’après-midi.

Depuis la destruction (70 après J.-C.) du Temple de Jérusalem par Titus (alors général romain, fils de Vespasien et futur empereur de Rome entre 79 et 81), les juifs ne pratiquent plus le sacrifice de l’agneau (ils évoquent symboliquement l’animal pendant le repas pascal).

Quant à saint Jean-Baptiste, ne s’est-il pas écrié en voyant Jésus : « Voici l’agneau de Dieu, celui qui ôte le péché du monde. » L’expression « agneau de Dieu » (utilisée dans l’Évangile de Jean) désigne donc Jésus, agneau symboliquement sacrifié aux fêtes pascales, comme le fut le Christ sur la croix.

Mais ce sang rédempteur trouve encore d’autres équivalences. Par exemple, les Hébreux enduisaient les montants de leurs portes du sang salvateur d’un mouton sacrifié, pour écarter les forces maléfiques.

 

Auréolé d’une telle épopée, l’agneau jouissait donc d’une réputation plutôt positive.
Quoique souvent contrastée. Ainsi, croiser un troupeau de moutons portait chance, mais le dépasser attirait la poisse.

 

Et si la naissance d’un agneau noir était de bon augure pour le troupeau en France, elle prédisait l’arrivée d’un fléau en Grande-Bretagne.

 

Le mouton noir fut associé aux forces du mal et à la sorcellerie. Satan pouvait même s’en servir comme monture et il était parfois purement et simplement assimilé au diable.

Enfin, trois moutons noirs dans un même troupeau attirent le loup.

Les bergers portaient sur eux un petit os de la tête du mouton pour écarter les mauvais esprits, et ils se faisaient enterrer avec un morceau de laine, pour s’excuser devant Dieu d’avoir quitté leur troupeau.

SOURCE : wikipédia

 

POTASSE
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POTASSE: Croyance et superstition N° 1


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POTASSE: Croyance et superstition N° 1

 

  Une superstition est une croyance fondée uniquement sur la peur.
Elle peut porter bonheur ou malheur…
C’est une croyance irraisonnée fondée sur la crainte ou
l’ignorance qui prête un caractère surnaturel ou sacré à certains phénomènes, à certains actes et à certaines paroles.

Les POTES âgés vous délèguent pour vous éclairer une
nouvelle retraité  qu’ils ont vite baptisée « POTASSE ».

Plutôt sulfureuse et  très superstitieuse, elle est toujours
prête à raconter ses histoires extraordinaires

Suivez le guide….  Ambiance Ambiance au son des
miaulements des chats noirs.

La raison, la science et la logique semblent aujourd’hui triompher de I ‘instinct, de la sensibilité, de l’émotion ou de l’intuition.

Cependant, les peurs, croyances et superstitions continuent de se perpétuer malgré l’avancée prodigieuse des connaissances.
Certes, la conquête de l’espace, une meilleure compréhension des phénomènes climatiques et les fabuleux progrès de la médecine ont contribué à atténuer certains comportements superstitieux que l’on peut qualifier de primaires. Mais, à mesure que le génie humain avançait dans la maîtrise du savoir, ses découvertes auraient dû « tuer » des craintes venues de la nuit des temps.
En fait, doutes et certitudes ont naturellement survécu. Car les peurs et croyances, enracinées au plus profond de l’inconscient collectif, échappent aux savants calculs. Elles continuent de fasciner parce qu’elles touchent à l’avenir, à la mort et au surnaturel (que d’aucuns appellent au-delà).

Aujourd’hui, la religion du marketing et du commerce a pris sans vergogne le relais.
Angoisses et utopies ancestrales restent la cible privilégiée des marchands du Temple.

Les jeux de loterie n’hésitent pas à s’approprier le vendredi 13 (ou d’autres dates chargées d’un foll pouvoir évocateur) pour vendre le hasard à grand renfort de publicité. Et pour prendre dans leurs filets, sans avoir à redoubler d’ efforts, les esprits les plus cartésiens.
Pourtant, produits amincissants, crèmes miracles contre le vieillissement et autres gélules aphrodisiaques ne sont jamais que la pâle transposition des remèdes de l’Antiquité ou des potions magiques qui faisaient les beaux jours de la sorcellerie au Moyen Âge.
Dans le même registre, malgré les progrès de la médecine, rebouteux, magnétiseurs et guérisseurs n’ont-ils pas toujours pignon sur rue ?

Quant à l’éternel et universel besoin de connaître l’avenir, il relève purement et simplement d ‘un véritable marché. Florissant, structuré, organisé et à l’écoute des moindres évolutions technologiques.
Astrologues, voyants et marabouts ne se contentent plus de consulter par téléphone. . . mais ils proposent désormais leurs services sur le réseau Intemet !
De son côté, l’homme politique (voire le chef d’État) qui fait appel aux Nostradamus d’opérette, aux manipulateurs de tarots et autres visionnaires armés de boules de cristal peut se comparer au chef de village (ou de tribu) qui aimait à consulter son sorcier favori dans les civilisations primitives.

Aux États-Unis, la rigoureuse NASA a prouvé que superstition et science pouvaient faire bon ménage.

Lors de la célèbre mission d’Apollo 11, elle autorisa Neil Armstrong — premier homme à fouler le sol de la Lune, le 21 juillet 1969 — à embarquer son ours en peluche.
Quel nom lui donner : grigri, porte bonheur, fétiche, amulette, mascotte ou talisman ?
Peu importe le terme, un objet irrationnel fut bel et bien accepté, officiellement, dans I ‘ environnement scientifique le plus élaboré de la planète !
Là où tout avait été régi à la nanoseconde près ! Il s’agissait pourtant d’une mission dont la portée symbolique prenait tout son sens pour l’ensemble de l’humanité. Sans oublier qu’un éventuel échec aurait eu d’insoupçonnables conséquences politiques. Alors, pourquoi Neil Armstrong s’embarrassa-t-il d’un ours en peluche ?

De son côté, la spationaute française (et médecin) Claudie André-Deshays avoua, elle aussi, avoir embarqué une peluche fétiche lors de sa mission vers la station orbitale Mir (17 août2 septembre 1996).
Bien que moins inattendus, des exemples comparables pullulent chez les artistes ou parmi les sportifs de haut niveau. Et, en fait, chez bon nombre d’entre nous !

Qui n’a jamais souhaité toucher du bois ou essayer de trouver un trèfle à quatre feuilles ou un fer à cheval ?
Tandis que d’autres refusent obstinément de passer sous une échelle ou de prendre place autour d’une table de treize convives.

POTASSE
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