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La Ligne 4 du métro parisien première ligne sous la Seine


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Bloc note
du Poinçonneur

Ticket de carnet 2ème classe- format : 60 x 30 mm – 1903

La ligne 4 du métro de Paris  relie le terminus nord Porte de Clignancourt au terminus sud Mairie de Montrouge et traverse le cœur de Paris.
Longue de 12,1 kilomètres, elle est en correspondance avec toutes les autres lignes de métro et toutes les lignes de RER .
C’est également la deuxième ligne la plus fréquentée du réseau après la ligne 1,
La ligne 4 a été la première à relier la rive droite à la rive gauche de la Seine par une traversée sous-fluviale, occasionnant de 1905 à 1907 au cœur même de la capitale des travaux spectaculaires.

Un chantier spectaculaire avec des caissons
Le chantier, réalisé par l’entreprise de Léon Chagnaud, ancien maçon de la Creuse, va être lancé en 1905, et la ligne 4 devient la première à franchir la Seine en souterrain.
La méthode retenue de traversée sous-fluviale est celle de caissons métalliques de vingt à quarante mètres de longueur montés sur les berges et foncés verticalement dans le lit du fleuve. Les extrémités des caissons sont obstruées, puis ils sont remorqués à leur emplacement avant d’être lestés d’eau et coulés dans le lit du fleuve.
Au niveau inférieur de ces caissons, une chambre de travail emplie d’air sous pression accueille le travail des ouvriers.

Le caisson s’enfonce au fur et à mesure du dégagement du sol jusqu’à sa position définitive.

Le grand bras de la seine nécessite l’emploi de trois caissons, le petit bras, deux caissons.

 

Carte postale expliquant le chantier de la traversée sous-fluviale de la Seine par la méthode des caissons foncés sous pression d’air.

Cette construction se faisait par les caissons mais le sol étant par endroits ( entre la station Saint-Michel et la Seine) bien trop meuble pour pouvoir avancer, il fallait donc durcir le sol.

Un chantier spectaculaire par congélation du sol

Les architectes ont alors eu recours à une méthode qui consistait à congeler le sol de la Seine en y injectant de la saumure à -24° par une quarantaine de tubes.
L’installation de deux usines frigorifiques permit la circulation de saumure refroidie à −25 °C dans plusieurs dizaines de tubes pour stabiliser le terrain.
Il faudra 40 jours pour que le sol soit congelé.

Cette technique de congélation des sols est toujours utilisée par le génie civil, parfois avec de l’azote liquide.

C’était quand….?   1905 -1907
La ligne 4 devient la première à franchir la Seine en souterrain.
Le tronçon nord est le premier achevé :
il est ouvert le de Porte de Clignancourt à Châtelet.
La jonction entre les deux tronçons est réalisée le .
Le tronçon sud est ouvert le de Porte d’Orléans à Raspail.

Pourtant, cette ligne si attendue est fermée au trafic quelques jours plus tard : en janvier 1910, le niveau de la Seine dépasse sa cote d’alerte, avant de provoquer la plus grave inondation du siècle.

SOURCE :

fr.wikipedia.or…métro_de_Paris

Ticket de carnet 2ème classe- format : 60 x 30 mm – 1903Le poinçonneur

 

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METTRE LE PICKPOCKET DANS SA POCHE

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BLOC CITOYEN

       DE
COM POTE
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– Cette nuit un voleur s’est introduit chez moi, il cherchait de l’argent… Je suis sorti de mon lit et j’ai cherché avec lui.
barre grenat

METTRE LE PICKPOCKET DANS SA POCHE

Cinq techniques des pickpockets pour voler les touristes

En période de vacances, les vols sont plus nombreux. Pour s’en prémunir, il est toujours bon d’être au fait des parades  à utiliser contre les pickpockets.


– LA CHOUETTE vole…!  elle ne peut être que de bon conseil »

1 La plus classique : le collé-serré dans la foule

Vous êtes dans une foule, tout le monde se pousse et vous ne remarquez pas la main qui se glisse discrètement dans votre sac ou votre poche.
Sa variante est le collé-serré au portique.

Le voleur vous fait les poches juste au moment où vous poussez la barrière du métro.

Comment s’en protéger ?

Bien fermer son sac, éviter de mettre des choses dans ses poches et fuir les gens trop collants.

2 La plus rageante : le coup du signal sonore

Toujours dans le métro.
Au moment où le signal sonore annonçant la fermeture des portes retentit, le pickpocket passe à l’action.
Il vous vole puis ressort vite de la rame.

Comment s’en protéger ?
Éviterde se mettre trop près des portes dans le métro, surtout en période d’affluence. Ne pas poser son sac par terre.

3 La plus déclinée : détourner votre attention

La plus spectaculaire consiste à simuler une bagarre ou à crier
« Au voleur ! »
Un complice profite alors de votre distraction pour vous faire les poches.

Une autre technique, plus cynique, consiste à abuser de votre gentillesse. pendant que vous l’aidez à ramassez gentiment, une autre vous prend vos affaires.

On peut aussi profiter en vous demandant une rue sur un plan ou de signer une pétition.

Comment s’en protéger ?
Quand vous êtes sollicité, commencez par vérifier que vos affaires sont près de vous.

4 La plus sale : le coup de la tache (légère bousculade au bon moment)

Après avoir taché malencontreusement votre tenue, le pickpocket s’empresse de vouloir réparer les dégâts.
Tandis qu’il prétend vous nettoyer, un complice en profite pour vous délester de ce qui traîne dans vos poches.

Comment s’en protéger ?
Quand on vous tache, refusez le contact et vérifiez que vous n’êtes pas approché par une seconde personne.

5  La plus spectaculaire : les faux policiers

Votre pote CHOULESTROPIC grand  voyageur…… et donc touriste dans tous les pays nous alerte  sur cette technique

Des prétendus policiers en civil (bien souvent, le déguisement se résume à une fausse carte ou un bandeau « sécurité » sur l’épaule), vous interpellent dans la rue avec un discours qui ressemble à ceci :
« Bonjour, excusez-nous de vous déranger, mais vous venez de sortir d’un magasin qui a l’habitude de rendre la monnaie avec de faux billets. Est-ce qu’on peut voir votre argent ? »
Le touriste sort alors sa liasse, et dans un tour de passe-passe très rapide, le pickpocket lui substitue la moitié de son argent sans qu’il s’en aperçoive.

6 Bonus : l’arnaque de la bague

Une femme (ou un homme) vous lance :
« Oh ! C’est à vous, ça ? »
Dans sa main, une bague (a priori) en or. S’ensuit une discussion pour vous inciter prendre cette bague qui semble valoir
« très, très cher ».
Si vous acceptez, elle demande un peu d’argent en contrepartie.
Une somme dérisoire par rapport au prix d’un bijou.
Sauf que la bague, évidemment, est en toc…!

COM POTE

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