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La mémoire courte… c’est quoi la mémoire déjà …. ?

La mémoire courte… c’est quoi la mémoire déjà …. ?
  BLOC NOTE FRIVOLE

par Chou Frisé
« Pas des sots sans sottises
Pas de sottises sans sots »

Le succès des publications récentes de mes indiscrétions sur les potins du salon de coiffure m’’incite à vous raconter les dernières de ces dames……..

Je craque pour Pig Buddy, le hubb usb en forme de maman cochon! Bloc note fricole et gai

Je craque pour Pig Buddy, le hubb usb en forme de maman cochon! Bloc note fricole et gai

Tout d’abord, je ne résiste pas à vous présenter mes mémoires à moi…… Pig Buddy, le hubb USB en forme de maman cochon!
Les clés USB en forme de cochon nous me permettent de ne pas les oublier. C’est là que je  stocke toutes les histoires racontées entre deux frisettes….
(
Oui ça sort mieux quand vous massez le cervelet)

Vous obtenez ainsi les plus coquines celles ….. de ces cochons de « laids »

LE BON COUP DU SAINT ESPRIT

Marie-Berthe, grâce aux progrès de la science, vient d’avoir un enfant à l’âge de 75 ans.

Ses voisines, Odette et Suzanne, viennent lui rendre visite et voir le gamin.
– Vous le verrez plus tard ! ..pour le moment ce n’est pas possible.
Je vais vous faire du café en attendant.
L’ après-midi avance et les voisines lui redemandent de voir le bébé
Non , non, c’est toujours pas possible.
Alors Odette demande :
Mais .. pourquoi ce n’est pas possible ?
J’attends qu’il pleure, j’me rappelle plus où je l’ai mis…!!!!

-« Faut reconnaitre que les pilules du sur-lendemain ne sont pas au point… !
Testez donc la méthode ancienne: Une éponge serrée très fortement  entre les deux genoux..!  évitez de la mouiller avant … »

OU EST DONC PASSE MIRZA

C’est un paysan de sa cambrousse natale qui a perdu (pour la n-ième fois) son chien.
Il demande à sa femme :
Dis l’ma’l’ie, l’ chien a enco’l dispa’l’u.
– Vas-y voir un peu à la SPA !
(Société de Protection des Animaux).
Le bougre s’en va donc à la SPA pour récupérer son chien :
B’jour monsieur, v’la. J’ai pe’l’du mon chien v’la deux jou’l et comme y revenait pas, je me d’mandais si vous pou’l’iez pas m’aider ?
– Le chien est-il tatoué ?
– Bien sûr qu’il est t’a moué !

 

Sexe: Stérilisation—–.

Un jour, un Anglais se présente a l’’hôpital et, s’’adressant à l’’accueil (avec l’’accent) :

– Bonjour, je voudouais ma faire stewiliser. On l’’adresse à un chirurgien qui lui explique :
– Écoutez, monsieur, je veux bien vous stériliser mais savez-vous, c’’est une opération délicate et surtout irréversible.
– Ça ne fait lien, je veux me faire stewiliser.

Le chirurgien lui faire alors signer une décharge puis, le lendemain, procède à l’’opération.
Quelques heures plus tard, l’’opéré se réveille, il passe encore quelques heures dans l’’hôpital puis est autorisé à rentrer chez lui.
Il dit au revoir et s’’en va.
Au moment où il quitte l’hôpital, il rencontre un de ses amis français qui lui demande :

– Alors Bob ! Ça y est, tu t’’es fait vacciner ?
– Ha ! Vaccine ! C’’est ça, je cherchais la nom.

MÉMOIRE ET DÉBOIRES DES ALCOOL… HIC..!


Deux hommes sont dans un bar et discutent :
– Où est-ce que tu es né ?
– A Tours…
– Ah bon ! Moi aussi !! Et dans quelle maternité
– A la clinique des Dames Blanches…
– Moi aussi ! Et quel jour ?
– Le 5 octobre 1975…
– Oh ! Moi aussi ! On est pareil ! C’est dingue !


Un troisième homme entre dans le bar et demande au barman :

Alors Jimmy, quoi de neuf ?
– Bof, rien de nouveau. Les jumeaux sont encore bourrés….!!!!

CHOUETTE  MÉMOIRE!!!

TROU DE MÉMOIRE… GOUFFRE FINANCIER

– Docteur, j’’ai des trous de mémoire, que dois-je faire ?
Me payer d’’avance, madame !

MÉMOIRE DES CUISINIÈRES …

Pourquoi le cerveau des femmes est divisé en 4 zones ?
 – Une pour chaque bouton de la cuisinière

MÉMOIRE D’ENTONNOIR

3 fous passent un test avant la sortie.
– Combien font 3  fois 3 ?
Le premier répond :
– 648.
Il n’’est pas guéri.
Le deuxième répond :
– Vendredi.
Idem pour celui-là.
Le troisième répond :
– Cela fait neuf.
– Bien !
Tu es guéri !
Mais comment as-tu fait pour trouver ?
– C’’est tout simple :
j’’ai divisé 648 par vendredi !

ET DIEU CRÉA LA FEMME …
ET PAR CHARITÉ EFFAÇA SA MÉMOIRE ANTÉRIEURE

Toujours mettre son portable en messagerie

EHHH béééé

Et Dieu créa la femme … et par charité effaça sa mémoire antérieure

Dieu créa l’univers et il vit que c’était beau,
Dieu créa la terre et il vit que c’était beau,
Dieu créa la nature et il vit que c’était beau,
Dieu créa les animaux et il vit que c’était beau,
Dieu créa l’homme et il vit que c’était beau,
Dieu créa la femme et il se dit :
« Elle se maquillera !« 

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs

« ET OUI…! Dieu créa la femme et voyant cette bête en cour … créa tout de suite après: L’OREAL« 

QUI A PEUR DU GRAND MÉCHANT LOUP …?

Bon les papys…encore une petite dernière…….normalement, ça doit bien se passer
Gardez votre sang froid et respirez bien par le nez. Allez, quand faut y aller, faut y aller :

Mamie, Mamie fais nous le loup !

– Non, non, laissez moi tranquille, allez filez !

– Mamie, c’’est quand la dernière fois que Papy t’a fait l’’amour ?

– oooooouuuuuuuuuhhh !!!!!????

  Chou frisé                            Se marrer encore cliquez –——>

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LES HÉRITIERS D’ONCLE TONI

les indiscretions du salon de coiffure  BLOC NOTE
de Chou Frisé

Je sais pas si vous êtes comme moi….. mais dans ma famille c’est au premier héritage que les relations se sont tendues puis distendues, au point de se rompre…….
C’est dans ces moments là, que votre frère de lait, devient très frère de laid et je dirais même cochon de lait….
La faute à qui….? Au petit cochon qui est parfois plus gros que prévu…….!!

Dans ce monologue, PERE GUISSET raille ses contemporains.   Les générations se suivent mais se ressemblent…….. surtout quand il s’agit de tuer le cochon….!

Héritiers ou héritières même combat…. mais on ne se mélange pas …!

LES HÉRITIERS D’ONCLE TONI (monologue)

 

Quand oncle Toni eut quatre-vingt-dix ans, Dieu lui pardonne,
ayant goûté ce qu’il y avait de mieux dans ce bas monde,
décida d’aller voir saint Pierre,
ses héritiers se dirent: « Bonne affaire ! »
C’est qu’il n’était pas mal loti, l’oncle Toni, tout bien pesé :
deux mas, trois maisons et pas mal de fermages…!
A son enterrement, personne ne manquait,
tout le monde était là, tous mouillaient leur mouchoir.
Il y avait tonton Pere, Xico, un mien cousin, et tante Sidonie,
mes cousines Rosa, Marta, Filomena et Marie,
Baptiste l’orgueilleux, mon oncle, le douanier,
tante Hortense, sa femme, née au Pas-de-Calais,
tante Eleonora, qui habite au Boulou
et qui ne se déplace qu’aux grandes occasions,
l’oncle Jacques, un rat, venu avec sa femme,
qui disait à Baptiste: « 
On est bien peu de chose, ici bas,
pas la peine de s’y faire du mauvais sang » .

 

Mais c’est tante Mena qu’on remarquait le plus :
elle criait et pleurait à vous fendre le cœoeur.
Son neveu Victor la traînait. Elle n’arrêtait pas
de crier: « Pauvre Toni, je ne t’oublierai pas, je te l’assure ».
Chacun savait qu’elle ne pouvait pas le blairer.
« Brave Toni », ajoutait Pere, le miséreux,
« Il avait un bon coeur et un fichu caractère ».
Jepe, cousin au moins au cinquième degré,
Renchérissait: « Un fichu caractère, je vous le dis. »
Il était bien placé pour le savoir car, figurez-vous,
ils en étaient venus aux mains, un jour,
et le brave Toni, malgré ses soixante-dix ans,
l’avait roué de coups de poing et de soufflets.
Bref tous pleuraient le mort, lui trouvaient des vertus.
On pensait:
« Tu nous laisses beaucoup, chacun aura sa part« .
Après l’enterrement, les héritiers au mas se retrouvèrent.
Une bonne douzaine, peut-être davantage !
On avait bien mangé: haricots, anchois et force oeufs durs.
C’était beau de nous voir ainsi, tous réunis !
« 
Y’a pas« , disait tante Hortensia, la femme au douanier,
qui était née, ai-je dit, au Pas-de-Calais,
« 
Y’a pas, disait-elle, c’est une belle famille, des gens gentils,
et je suis bien contente d’en faire partie ».

Tout s’était bien passé, c’est vrai :
l’oncle enterré, on fumait en attendant le café.
Qui donc mit le feu aux poudres ? Jamais je ne le sus.
On parla d’héritage, ce qu’il ne faut pas faire
dans. un moment pareil. C’est fait, c’est fait ! On n’y changera rien.
De telles discussions ce n’est pas bon à faire !
Plus on discutait et plus ça se gâtait.
Les esprits s’échauffaient.
Oncle Baptista voulait faire « des lots en toute impartialité« .
Le cousin Xico protesta qu’un triste douanier,
avec ou sans sa petite moitié, n’avaient pas à y mettre le nez :
s’il fallait faire des lots, « 
c’est lui qui s’en chargerait« .
Oncle Jacques douta qu’il sache se moucher,
et fit remarquer qu’il était le plus vieux et donc tout désigné.
Xico lui répondit mais je n’entendis rien,
sauf la claque sonore dont le gratifia l’oncle.
« Bien », fit tonton Pere, voyant les choses mal tourner,
« 
Ça ne servira à rien de discuter ? Et s’il y a un testament ?« 

Les femmes s’en mêlèrent, et ce ne fut pas mieux.
Le débat général devint si passionné
qu’on se traita de tous les noms d’oiseaux.
Cris et disputes, on lava en famille beaucoup de linge sale.
S’il l’avait vu, l’oncle Toni aurait bien ri.
On en entendit des vertes et des pas mûres. Quand on fut las
de crier, on passa tout à coup aux empoignades !
Ce fut un beau combat: je peux dire que pour bien digérer
on n’a pas encore inventé mieux !
Tante Carolina, de courage admirable,
avec son parapluie se frayait un passage.
L’oncle Baptista, vous savez, le douanier,
était un vrai boxeur, fallait voir.
Il y voyait mal, ce qui évita un carnage.
Tonton Pere, debout sur une chaise, les cheveux fous,
prêchait le calme et l’union, le respect de la mort.
Il parla trop longtemps, et il eut tort :
d’un coup de bouteille à la tête, Victor lui coupa le sifflet.
Que pouvait dire l’oncle, quand le mal était fait ?
Un oeil au beurre noir et tête nue, tante Sidonia courait :
sa perruque était pendue à une armoire.
Cousine Filomena, à genoux sous la table, cherchait son râtelier.
Cousin Xico ne se sentait pas bien, il était aveuglé.
Il avait sur le front une bosse de la taille d’un oeuf.
Il me regardait, souriait, se coucha sur le sol et s’endormit, content.

Comme ça avait démarré …tout c’est soudain arrêté
il n’y eut aucun mort , mais il s’en fallut de peu.
l’oncle jaume, s’en est sorti avec des béquilles et débraillé
l’oncle Batista, avec la tête cabossée
la tante Carolina y a laissé son parapluie et deux molaires.
la cousine Maria paraissait piquée des guêpes et des frelons
l’oncle Pere … le prédicateur,
est resté huit jours sans reconnaitre qui que ce soit
le cousin Xico, avec un coup à la tête qui ne l’a pas amélioré
la tanta Hortense… celle du Pas de Calais,
y est revenue, pleine d’orgueil, un œil fermé, griffée et boitant
au bras de l’oncle Batiste qui n’était pas plus brillant

Vous pouvez me croire, ils étaient pas brillants les héritiers de l’oncle Toni,
ils paraissaient tous sortis du four de Lucifer
Ils n’avaient rien réglé, mais ils avaient eu un grand plaisir
quand la vapeur est bien montée, croyez moi pour se détendre…!
rien de mieux que de s’échauffer les oreilles pour s’entendre
pour ma part la beigne que j’ai offerte à Batista, je peux l’avouer
il y avait des années que je la lui réservais
je pensais souvent, si un jour j’ai l’occasion tu me la paieras ….!
Le coup de parapluie que la tante m’assena
elle devait , de longue date me le réserver
Enfin tout dans un cours normal aller rentrer
car personne ne devait plus rien à personne
« y a pas » disait en boitant la tante du Pas de Calais
 »
avec une famille comme ça c’est un plaisir de s’expliquer « 

mais le plus poilant dans cette affaire…. savez vous ce c’est
c’est que nous qui nous étions étripés, et bien assaisonnés
nous avons été bien attrapés
quand nous avons su, mais un peu trop tard,
Que l’oncle Toni ce paillard
avait pris pour héritière
la Rosina, sa « fermière » ….!

PERE GUISSET

 

  – Vu ce que je vois…..!
C’est promis, je ne participerai pas à mon propre héritage….!

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  Chou frisé


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Tout compte fait… Gardez ma moitié.!

BLOC DE BÉTON
par chou frisé

« Mamie ne laisse pas béton »

Musique d’ambiance  MARCHE DU GENDARME DE ST TROPEZ

Tout compte fait…gardez ma moitié…!

C’est un vieux pote âgé qui vient de s’acheter une voiture neuve.

Il essaye sur l’autoroute puis il décide de la pousser à 160 kms/heure

Au bout d’un moment il s’aperçoit dans le rétroviseur qu’un véhicule de police le suit.

Il ralentit mais trop tard les policiers le doublent et le font garer sur le coté.( Bon ça va…. un petit effort faites semblant d’y croire)

Le chef descend du véhicule de police et lui dit:

« 160 kms/heure !!!! ça va pas Pépé ?
Il me reste 30 minutes pour finir mon
service …..Je veux bien me montrer indulgent et passer l’éponge à condition que vous me donniez un motif à cet excès de vitesse et un motif que je n’ai pas l’habitude d’entendre… Sinon P.V. »

Le vieux réfléchit et dit:
« Il y a longtemps ma femme s’est tirée avec un flic et là en vous voyant je me suis dit:
Bon Dieu ! Ils me la ramènent!!!… « 

État du stock

Le vieux est reparti sans P.V  et a été invité à prendre un modèle de remplacement en stock….!!!!

photo montage bien sûr....enfin presque

Nul ne sait le modèle choisit par le vieux pote âgé, mais sa phrase de conclusion le con qui lui a piqué sa nana s’en rappelle encore :
« Cadeau pour cadeau ….Gardez la Mamie…!« 

 

« – ALLLIIIIIIIIICEEEE…!
Tu as vu que nous avons un nouveau policier qui s’est installé dans le quartier………..et en uniformmmmmmmmmeee..!!!!
Viens voiiiiiiiiirrr..!


  Chou Frisé

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L’hiver sera rude…! Prévision du grand chef indien

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les indiscretions du salon de coiffure
BLOC NOTE
de Chou Frisé

Moi qui suis garçon coiffeur et qui déboise à longueur de journées, j’adore les histoires que me racontent mes clients…. surtout les histoires de ceux qui font un métier presque identique au mien… en plus rude….. surtout l’hiver et au canada…

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« Le bûcheron« 

Au Canada, dans le Grand Nord, un bûcheron français nouvellement implanté dans cette vallée, coupe son bois pour l’hiver. Après deux journées de coupe, et plusieurs stères convoyées, il en vient … à se demander si sa provision de bûches sera suffisante.

Les hivers sont très froids, dans la région.



Il va donc voir un vieux chef indien, un peu déplumé, pour savoir si l’hiver sera rigoureux.

Il monte sur les sommets et pose sa question, et le chef dans sa grande sagesse regarde la vallée et lui dit :

 

– Ugh ! Hiver sera rude.

Alors le bûcheron retourne couper du bois, encore et encore.

 

Au bout de quelques jours de durs labeurs, il retourne dans la montagne voir le vieux chef et lui repose sa question.
Et le chef regarde une nouvelle fois dans la vallée et répond:

 

– Ugh ! Hiver sera rude, très rude !

 Alors le bûcheron retourne bucheronner. Pendant quinze jours.

 




Puis il retourne dans la montagne voir l’Indien. Qui regarde encore dans la vallée, lui dit:

– Ugh ! Hiver sera rude, très très très rude !

Alors le bûcheron demande au chef:

  Mais, Grand Chef, comment peux-tu savoir cela?

Et l’indien répond :

 


Quand homme blanc couper beaucoup de bois, c’est que l’hiver sera rude !

       R      R

    
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  Chou frisé  -1687

 

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