MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC se pose la question:
« Sommes nous de bons larrons….? »
Pour y répondre, il nous entraine dans son monde… son monde bizarre …. Ambiance…Ambiance
Pourquoi brisait-on les jambes des criminels lors de leur exécution?
Relatant l’exécution de Jésus et de deux criminels sur des poteaux de supplice….
le récit des Évangiles dit:
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« Les Juifs [ … ] demandèrent à Pilate de leur faire briser les jambes et de faire enlever les corps»
(saint Jean ).
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Ce n’est pas en ressuscitant les morts, en commandant aux vents et à la mer, en mettant en fuite les démons, mais sur la croix, alors qu’il était percé de clous, couvert d’outrages, de crachats, d’insultes, accablé d’opprobres, quand il put changer l’âme perverse du larron ; qu’ éclatât sa puissance, quand il attira et glorifia l’âme du bon larron plus dure que la pierre, car il lui dit :
« Aujourd’hui tu seras avec moi en paradis. «
A-t-on jamais vu un roi permettre à un voleur ou à tout autre de ses serviteurs de s’asseoir à ses côtés pour entrer dans sa ville ?
SAINT DISMAS …
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Dismas est en effet considéré comme le premier saint de l’Église , canonisé par le Christ lui-même : « En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis »
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De même que nous admirons surtout un médecin lorsque nous le voyons rendre la santé à des hommes atteints de maladies incurables, ainsi est-il juste d’admirer le Bon Dieu quand il guérit des blessures désespérées, quand il en ramène certains à un tel état de santé spirituelle qu’ils sont trouvés dignes du ciel. |
Mais alors… Pourquoi brisait-on les jambes?
La loi juive ordonnait que le corps d’un criminel qui avait été pendu à un poteau après son exécution « ne passe pas la nuit sur le poteau» (Deutéronome 21:22, 23).
Les Juifs appliquaient, semble-t-il, la même règle lorsqu’un des leurs était mis à mort sur un poteau par les Romains.
Dans le cas cité en introduction, briser les jambes des condamnés allait accélérer leur mort et permettre de les enterrer avant le sabbat, qui débutait au coucher du soleil.
Souvent, lors de telles exécutions, on clouait les mains et les pieds du condamné sur un poteau. Quand on redressait le poteau, tout le poids du corps reposait sur les clous.
La douleur était atroce …
Pour respirer, le condamné devait prendre appui sur les clous enfoncés dans ses pieds.
Mais quand les os de ses jambes étaient brisés, il lui était impossible de le faire.
Il mourait alors par asphyxie, si le choc ne l’avait pas déjà tué .
SOURCE : http://monsieurboudon.blogspot.fr/2014_03_01_archive.html
– C’ est clair maintenant… Si tu veux être un bon larron …
ARRÊTE avec ta blague à deux balles …
Ouais…. Celle où tu racontes que Jésus sur la croix aurait dit aux deux larrons…
« Rapprochez-vous, ou vous serez pas sur la photo…!«
NON MAIS … !
– EXCUSES Mec ….. je croyais que c’était parole d’avant GILLES…!