L’HOMME DES BOIS
Bloc Note de GUI7
Dans les méandres de l’internet au cœur de la toile d’une araignée céleste jaillit parfois la lumière… et mes frères les oiseaux
BIEN LE BONJOUR AMI …… ROUGE GORGE
– Bonjour à ce Magnifique rouge gorge, en souvenir de Papy Parou qui adorait cet oiseau….Il venait à lui et s’approchait très près sans crainte, c’était magnifique.
Présent dans presque chaque jardin, c’est l’un des oiseaux les plus familiers, cherchant sa nourriture à proximité des potes âgés en train de jardiner.
ROUGE-GORGE NOTRE AMI SI PROCHE DE L’HUMAIN par Sud-imagesdu34
Le Rouge-gorge familier (Erithacus rubecula) est une espèce de passereau. Classiquement placé dans l’ancienne famille des Turdidae, il figure actuellement, avec d’autres représentants de celle-ci (particulièrement les tariers et les traquets), dans celle des Muscicapidae.
Le mâle et la femelle sont presque identiques, avec une couronne, des ailes, le dessus et la queue de couleur brune, une bande grise sur les côtés de la gorge, un ventre blanc et la fameuse « gorge rouge », plus précisément de couleur orange foncé tirant vers le rouge.
L’identification des jeunes peut se révéler difficile, car il leur manque la tache rouge et ils présentent un plumage brun tacheté ressemblant fortement à celui du jeune d’un membre de la même famille, le rossignol philomèle.
Le rouge-gorge est légèrement plus petit qu’un moineau avec une taille de 14 cm et un poids de 16 à 22 grammes, il est rondelet et haut sur pattes, ses yeux noirs sont également caractéristiques. L’âge maximal d’un rouge-gorge est de 18 ans.
POUR DEMAIN RECONNAITRE LE ROUGE GORGE….
ATTENTION MÉPRISES:
– Du fait de leur poitrail rouge, le Pinson des arbres, le Bouvreuil pivoine, le Traquet pâtre, Linotte mélodieuse par exemple sont communément confondus avec les rouge-gorges.
Les Rouge-gorges ont souvent un gros ventre, d’autres ne l’ont pas.
Raconte moi une histoire de rouge gorge
C’était la deuxième nuit après Noël.
Il faisait froid et le feu allumé à l’entrée de l’étable s’éteignait doucement.
A l’intérieur, couchés sur la paille, chacun dormait en frissonnant.
Le Bon Dieu, attentif du haut du ciel, interpella un petit oiseau gris et brun qui picorait à ses pieds :
« Descend, et va ranimer le feu ; je ne veux pas que mon Fils ait froid ».
L’oiseau s’envola et descendit vers Bethléem.
Arrivé à l’étable, il s’approcha de ce qui restait du feu : un tas de cendre sous lequel couvaient quelques braises, et sur lequel restaient quelques branchages qui n’avaient pas encore brûlé.
L’oiseau se percha sur une grosse bûche préparée devant le foyer et agita ses ailes. Peu à peu, sous la force du courant d’air, les cendres s’écartèrent, puis les braises se mirent à rougeoyer. Leur chaleur devint si forte que les plumes de la petite bête roussirent.
Mais décidée à achever sa tâche, elle supporta la douleur jusqu’au moment où les flammes jaillirent, embrasant les branchages au dessus.
La flamme réveilla Joseph, qui se leva pour nourrir le feu.
Il se mit à faire bon dans l’étable.
Alors, se tournant vers l’oiseau, St Joseph lui dit :
– « Pour rappeler ton dévouement à l’enfant Jésus, ta poitrine gardera la couleur rouge du feu, et tu t’appelleras désormais le rouge-gorge ».