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CONTES : Voyageur, mon ami le dauphin

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Conte

Voyageur, mon ami le dauphin

 

 


DIS-LEUR QUE TU AS MIS AUSSI UN BONUS VIDÉO SUR
LA LÉGENDE DES DAUPHINS

– EH EH OH HÉ…
–  FRANGIN…   VOUS OUBLIEZ LES COMMENTAIRES SUR LA VIE DES DAUPHINS 


CONTE : Voyageur, mon ami le dauphin

L’histoire merveilleuse d’une amitié véritable

J’ai 7 ans. Je vis avec ma grand-mère dans une vieille masure près de l’océan.
Ma mère est morte en me mettant au monde et mon père périt dans un naufrage en haute mer. Ma grand-mère me recueillit afin de me protéger des garnements du village, car dame nature m’a dotée d’une jolie bosse et je suis la risée des enfants.
Mon nom est Paul mais on me surnomme « Pilou ». La journée, je me promène sur la plage ou sur le port.

Un matin, au cours d’une de mes promenades le long de la plage, je fis une rencontre surprenante. J’aperçus au loin, une forme étendue sur le rivage. Je m’approchais.
C’était un énorme poisson dont je ne connaissais pas l’espèce. Il avait un petit trou sur la tête et à chaque expiration, il émettait un sifflement. Il me regardait et je pouvais voir dans ses yeux, la détresse qui l’envahissait.

Je partis en courant jusqu’au port pour prévenir le vieux boucanier qui est comme un grand père pour moi.
Je l’emmenais aussi vite qu’il pouvait marcher
Le poisson était toujours là.
– Qu’est-ce que c’est grand-père ?
– Un jeune dauphin. Il a dû s’échouer avec la marée.
– Il est beau !
– Oui, mais il faut vite le remettre à l’eau, sinon sa peau va sécher et il mourra asphyxié.

Tant bien que mal, on le remit à l’eau. Il commença à remuer et à nager. Il soufflait et chassait l’eau qui sortait du trou de sa tête, car cela avait l’air de le gêner.
– Qu’est-ce qu’il fait ?
– Il respire. Les dauphins sont des mammifères. Ils n’ont pas d’ouies comme les poissons, mais des évents. Ils remontent à la surface pour chasser l’eau de leurs narines.

Soudain, le dauphin se dressa sur sa queue et tout en reculant, il émit des petits cris. J’avais l’impression qu’il riait.
– Pourquoi fait-il cela ?
–  Pour te remercier de lui avoir sauvé la vie.
–  On dirait qu’il me sourit !
– Oui. Les dauphins sont très sociables. Ils vivent en communauté. Ils ne pondent pas d’œufs comme les poissons. La maman accouche d’un bébé comme le font les humains.
Elle allaite et se fait aider par une autre dauphine, qu’on appelle une marraine, elles se chargent de son éducation sous l’œil bienveillant de son papa.
– C’est extraordinaire !!!

Ils sont très reconnaissants. Tu pourrais lui donner un prénom, car je suis sûr qu’il reviendra.
– Comment pourrais-je l’appeler ? Je n’ai pas d’idées.
– Pourquoi pas « voyageur » ? Ils font beaucoup de kilomètres dans leur vie.
– D’accord, tu t’appelleras voyageur, criais-je à l’intention de mon nouvel ami.
Le dauphin fit encore quelques sauts, puis disparût.
– Il est parti !
– Il reviendra Pilou, fais-moi confiance.

Je m’empressais de rentrer chez moi pour raconter à ma grand-mère ma nouvelle rencontre.

– Tu as trouvé un véritable ami, mon Pilou.
-Toi aussi, tu crois qu’il reviendra ?
– Oh ! oui. J’en suis certaine.

Chaque jour, j’allais à la plage. Mais, je ne vis rien.

M’aurait-il oublié ? ou alors m’avait-on raconté des histoires ?

Je rentrais tristement à la maison.
Huit jours s’écoulèrent avant que je le revis. Une joie immense m’envahit lorsque j’aperçus au loin son dos gris argenté. J’entrais dans l’eau pour aller à sa rencontre. Il s’approcha et entama son ballet aquatique. Il frôla mes jambes, se mit sur le dos. Ses yeux rieurs m’invitaient à le caresser. Hésitant, je tendis la main. Il ne bougeait pas. Sa peau était douce et lisse, quelle sensation agréable.

– Je suis très content de te revoir. Tu m’as beaucoup manqué. Je t’ai trouvé un prénom : « Voyageur ». Mais, tu es parti si vite que je me demande si tu m’as entendu. Ça te plait ?
Tu es mon seul ami. Les enfants se moquent de moi à cause de ma bosse.

Dans son regard, je lisais de la tendresse et de la compréhension. Il se faufila entre mes jambes, reprit son ballet, s’éloigna et revînt vers moi. Cela dura un long moment.
Dans son petit manège, je saisis le message qu’il voulait me transmettre. Il voulait que je nage avec lui.
J’entrais plus profondément dans l’eau. Je fis quelques brasses, il était tout près de moi. J’étais heureux. Puis, je retournais vers le rivage.
Je saluais mon ami de la main et me dirigeais vers le port.
Le boucanier était là, fumant tranquillement sa pipe.
– Alors Pilou, tu as fait une belle promenade ?
– Oh ! oui. Voyageur est revenu.
Je lui racontais notre matinée.

– Tu vois que j’avais raison…
Approche, je vais te raconter une histoire et elle est vraie. Il y a bien longtemps, lors d’un voyage en haute mer, mes compagnons et moi avions fait escale dans une île paradisiaque. Nous fûmes accueillis chaleureusement par la population du village.
Il y avait beaucoup d’enfants. Ils plongeaient dans le lagon et remontaient des coquillages délicieux.
Leur passe-temps favori était d’aller nager avec les dauphins. Il y en avait toute une bande.
Leur plaisir était de s’accrocher à leur nageoire dorsale et de se laisser tirer.
Pourquoi n’en ferais-tu pas autant avec voyageur ?
– Tu crois qu’il se laissera faire ?
– Tu peux toujours essayer. Mais je pense qu’il ne dira pas non.

Je rentrais chez nous, le cœur gonflé d’émotions nouvelles.« Vivement demain », pensais-je.

Il était au rendez-vous. Je sautillais dans l’eau.
Il recommença les mêmes mimiques que la veille et vint se frotter contre moi. Je m’hasardais à attraper sa nageoire.
Il se laissa faire et dans ses yeux, je sus qu’il avait compris.
Il me tira doucement et lorsqu’il sentit que je le tenais bien,
il accentua sa vitesse. J’avais l’impression d’être un navire fendant les flots.
Quelle ivresse ! C’était si merveilleux que j’en oubliais ma bosse.

Aujourd’hui, j’ai 15 ans et mon ami est toujours présent. Il a fondé une famille et je partage avec eux la joie de vivre, d’aimer, d’être aimer et ce joli mot si cher à mon cœur : AMITIÉ

Ghyslaine Correggia dit « GIGI »

POUR CEUX QUI APPRENNENT A LIRE …..
ET LES AUTRES

 

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TEMPS QUE VOUS ÉCOUTEZ

JE SUIS SÛR QUE CA VOUS AIDERA…
A LIRE PLUS VITE … ET MIEUX…!!!!

– J’ en suis pas sûr
car moi pour lire…
C’est …..

C’est comme ça..!!!

EN SAVOIR PLUS SUR LES DAUPHINS

Les dauphins sont également très sensuels. Lorsqu’ils nagent côte à côte, on a l’impression qu’ils valsent ensemble.

Comment le dauphins se défendent
Les dauphins n’ont pas de prédateur à part le requin. Si toutefois ce dernier vient qu’à s’attaquer à l’un des leurs, les autres dauphins lui donneront violemment l’assaut en fonçant à toute allure et de toutes leurs forces dans ses côtes avec leur solide museau.
Le requin prend alors la fuite dans la majorité des cas.

Comment le dauphins se nourrissent ?
Quand on observe la façon dont les dauphins se nourrissent on ne peut être que fascinés
. Les dauphins bondissent régulièrement hors de l’eau et sautent haut dans les airs, pour s’amuser bien sûr, mais également pour repérer des bancs de poissons.
Les dauphins possèdent une excellente vision, ils peuvent voir jusqu’à 13 kilomètres à la ronde .
Ainsi, lorsqu’ils voient un groupe d’oiseaux au-dessus de l’eau, il s’agit en général d’une bonne indication qu’il y a un banc de poissons à proximité.
Ils communiquent alors entre eux, se précipitent tous à cet endroit et le festin commence. Mais plutôt que d’attaquer le banc de poissons individuellement, ils le font en équipe.
Les dauphins encerclent le banc de poissons afin que les poissons demeurent tous ensemble, et à tour de rôle, chaque dauphin passe à travers le banc de poissons et en dévore un.
Mais comment font-ils pour décider à qui est le tour d’aller se nourrir?
Tout simplement, les dauphins communiquent entre eux en émettant des sons.
C’est ce qui leur permet de manger chacun leur tour sans que le banc de poissons ne se disperse.

Les dauphins sont un très bel exemple de la nature que l’union fait la force.
Personne d’entre nous n’est aussi fort que nous tous ensemble.

SOURCES :
http://leylana2.centerblog.net/6583308-histoire-merveilleuse-une-amitie-veritable
Histoires pour le cœur et l’esprit  – patrick leroux

PAPY JANOTRestez svelte 160px

 

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Elle maitrise le geste graphomoteur

BLOC DU BÉTON DÉSARMÉ…!!
A l’heure où le médecin est en cabinet fermé…. où le barman de fin de soirée arrosée est aux 35 heures….
La parole semble prisonnière….
Allez voir le curé…? Oui.. Mais il y a si longtemps que vous n’avez pas vu un confessionnal que vous avez peur de vous tromper de porte …!
Alors … « Entrez sans frapper » …. est fait pour vous ….
Soufflez, sur les braises si vous le voulez…
Ainsi jaillira la lumière..!
L
a parole est à vous….. Soyez les rédacteurs d’un jour pour vous exprimer ….
Pour nous parler…!
ALLEZ Y ON VOUS ÉCOUTE….
La Chouette est sur votre épaule pour mieux vous entendre..!

Je viens de recevoir ce texte d’un parent d’élève et ne résiste pas à sa diffusion, tellement c’est drôle, mais aussi affligeant !

« Désolée je ne peux pas m’en empêcher. Je craaaque.
Amatrice inconditionnelle de la novlangue pédante, bureaucratique et
politiquement correcte, je me dois de partager avec vous les dernières
découvertes ».

« Déjà cet été, j’ai adoré les campings qui ne veulent plus qu’on les appelle campings parce que ça suscite instantanément dans l’esprit des gens l’image de Franck Dubosc en moule-boules ou de Roger et Ginette à l’apéro avec casquette Ricard et claquettes Adidas. Donc les professionnels de la branche demandent que l’on dise désormais :
« hôtellerie en plein air ». Ha ha !
J’ai aussi appris que je n’étais pas petite mais « de taille modeste » et qu’un nain était une « personne à verticalité contrariée ». Si, si ! »

Mais rendons à César ce qui lui appartient, l’empereur du genre reste le
milieu scolaire et ses pédagos à gogo.

J’étais déjà tombée de ma chaise pendant une soirée de parents quand la maîtresse a écrit sur le tableau que nos enfants allaient apprendre à manier
« l’outil scripteur » au lieu de tenir un crayon.
Je me suis habituée au fait que les rédactions sont des « productions écrites », les courses d’école des « sorties de cohésion » et les élèves en difficulté ou handicapés des « élèves à besoins éducatifs spécifiques ».
Mais cette année, sans discussion aucune, la palme est attribuée au Conseil supérieur des programmes en France et à sa réforme du collège.
Z’êtes prêts ?… Allons-y.
Donc, demain l’élève n’apprendra plus à écrire mais à : « maitriser le geste graphomoteur et automatiser progressivement le tracé normé des lettres ».
Il n’y aura plus de dictée mais une « vigilance orthographique ».
Quand un élève aura un problème on tentera une « remédiation ».
Mais curieusement le meilleur est pour la gym… oups pardon ! pour l’EPS (Education physique et sportive).
Attention, on s’accroche : courir c’est « créer de la vitesse », nager en piscine c’est
« se déplacer dans un milieu aquatique profond standardisé et traverser l’eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête », et le badminton est une
« activité duelle médiée par un volant ».
Ah! c’est du sportif, j’avais prévenu !…
Les précieuses ridicules de Molière, à côté, c’est de l’urine de jeune félidé (je n’ose pas dire du pipi de chat).
Alors, les amis, ne perdons pas ce merveilleux sens du burlesque et inventons une nouvelle catégorie : la « personne en cessation d’intelligence » autrement dit, le con.

Signé :   Martina Chyba, parent d’élève.
Ah non, re-pardon… Martina Chyba, « génitrice d’apprenant ».

Ah oui j’allais oublier:
Ben oui, un « outil scriptutaire » c’est un stylo,
un « référentiel bondissant » c’est un ballon,
et un « bloc mucilagineux à effet soustractif » c’est une gomme.
Je pense que les « zzzzzzzélites » qui ont inventé de telles conneries devraient tous être en hôpital psychiatrique… »

– Crévindiou J’aimerai avoir un geste graphomoteur aussi clair et précis que cette dame de pique..!

SOURCE :
Mes contributeurs du net: AUJOURD’HUI
Martina Chyba, parent d’élève

AVIS AUX LECTEURS CONTRIBUTEURS

Si vous avez un texte à nous soumettre voici nos coordonnées
SI vous devez encore l’écrire ….
Alors laissez les plumes de la chouette tranquilles, Prenez plutôt une alouette elle a l’habitude d’être plumée … En chantant..!

choublanc@mafeuilledechou.fr

AVERTISSEMENT CAMARADES :
– j’en suis le modérateur.. Aussi pour que la Chouette ne se fasse pas voler dans les plumes et que les autorités du web et ne la fasse tomber de son clocher, nous ne publierons rien qui ne soit dans l’esprit de notre ligne éditoriale ou qui soit contraire aux bonnes mœurs, au respect de la vie privée etc etc…
« Expression libre comme le vent » OUI mais le vent peut tourner et dans ce cas c’est pas la girouette qui tournera mais le vent…. pareil que dans les ronds points..!
Débat donc… mais pas déballage..!

retour sur la rubrique du même tabacChou Blanc

RETRO : C’est du même tabac…..

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