POÉSIE : Mamy Louisa en SEPTEMBRE
LOUISA le retour ….. Des poèmes, des émotions, des chansons et beaucoup d’amour…!!!
Dites lui avec des fleurs Louisa adore
POÉSIE: LOUISA EN SEPTEMBRE
Mon Diam’s aux yeux opalins
C’est déjà le printemps et l’or du mimosa
Coule à tes pieds parmi un trèfle porte-bonheur ;
Viens Diam’s, galope, court, je t’en prie avec moi
Le portail reste ouvert pour t’offrir des tas de fleurs.
Aujourd’hui, tu vas avoir un regard d’enfant,
Sans nul souvenir, qu’une douce mélodie ;
Ta vision qui t’apportera tant de parfums
Ne captera que des étoiles sans la nuit.
Notre vie est réglée comme une horloge
Quand où que j’aille pourquoi vais-je déroger ?
Nos coeurs , en osmose, battent tel un métronome
Toi et moi nous ne sommes qu’une personne.
Viens Diam’s, téléporte toi comme un Dalaï-Lama
Nous offrirons la clé des champs et galoperons
Je te donnerai l’élixir qui guérit tout animal,
Tu t’endormiras dans le bosquet de houblon.
Viens Diam’s
Louisa –
Étoile
C’est mon prénom et il me porte chance ;
Celui qui me l’a donné , dort avec moi ;
Dans sa jungle je suis comme Bagherra ;
Moogly garde l’entrée de notre tente.
Je lis dans ses pensées ;
Ma communication c’est la télépathie;
Mon jeu préféré me cacher ;
Pour l’entendre rire quand je surgis.
Je vais vous parler de sa Mamy
Celle qui a peur de tout, celle qui crie
Celle qui craint qu’il ait froid ou faim ;
Celle qui l’aime comme s’il était son enfant.
Une Mamy qui se croit dans le vent
Qui veut se rajeunir en teintant ses cheveux
Qui porte encore des Jeans comme à vingt ans
Alors qu’elle a quatre fois vingt ans.
Elle rit trop et trop fort ;
Elle court souvent mais pour rien ;
Elle saute, danse, juste pour son corps ;
Le confinement ce serait pour son bien.
Le confinement, elle le fait à sa manière :
Elle n’est pas tactile, n’aime pas les bonjours
Les bonsoirs, mais aime le fair-play
En fait, sa Mamy, il l’aime tous les jours.
Louisa –
MOI sans ET MOI
Je donne, j’offre, comme si c’était pour moi ;
Le meilleur, le plus beau : gâteaux ou jolies fleurs ;
Quelle voie prendre dans ce champ où germe l’amour
D’y trouver des cailloux et de continuer toujours.
Il y a tellement d’émois, cachés en chacun ;
Qu’il me faut faire le trie, et toujours aimer ;
Parfois pour consoler, pour osmoser l’humain
L’animal, les insectes ou les plantes d’un pré.
Nos anciens ont toujours connu la vérité
Trier , séparer le bon grain de l’ivraie ;
Comme, maintenant on trie les lentilles
Pour en extraire les cailloux; à genoux on prie.
Parfois, on rencontre quelqu’un qui vous dira :
« Tu donnes à plus riches que toi, ami -«
Ou – » tu ne le connais, il reçoit des aides, lui « – ;
– » Avec cela, il va boire et se moquer de toi-« .
Une voix intérieure me dit- » Va et donne-«
Toujours, j’ai avancé, qu’importe les avis ;
Depuis, je collectionne de bons souvenirs :
Un jour, un jeune a mangé quelque chose de bon.
Comme si mon kébab, il me l’avait volé ;
Quel émoi j’ai ressenti en mon fort intérieur !!!
A l’époque je ne savais ce qu’il m’arrivait
Maintenant je sais que c’était du bonheur.
Ces états d’âme m’arrivent de temps en temps ;
C’est normal , le soleil brille pour tout le monde ;
Quand quelqu’un mange à sa faim, un chien, un enfant
Il y a du soleil à mon bel mon horizon.
Louisa –
Parfois j’écoute : The Sound oF Silence –
INSECTES ET FLEURS
Parmi les épines souvent on trouve des fleurs ;
Églantines, mûriers, acacias me tendent les bras,
Parmi les insectes souvent il y a des cas ;
On trouve ceux qui piquent et ceux qui effleurent.
L’extra-terrestre trouve souvent, ici bas :
Des fleurs merveilleuses et occulte les cafards ;
Les fourmis et les coccinelles adorent le mimosas,
Les abeilles nous offrent du miel dans certains hectares.
Louisa
A UN AMI
Il était beau sur son cheval couleur baie ;
Sa première chevauchée dans un grand pré;
Je le vois , à six ans, avec dents manquantes
Plutôt maigre , un peu timide et par confiant.
La belle image que voilà traversa l’espace,
Traversa les frontières, et les grands espaces,
Traversa, mieux qu’un scanner les maisons et les murs
Qu’il a été inutile de me vêtir d’ une armure.
Je n’ai plus eu d’autres nouvelles, d’autres images,
Je n’ai plus eu d’autres voix , ta voix, tes yeux, ton sourire
Ton minois , parmi les chevaux, une belle image d’Epinal.
une belle vision d’autrefois, une vision que j’ai en souvenir.
Louisa
CHOU BLANC
« La poésie, c’est le sourire du langage«
RETRO : C’est du même tabac…..