par
Mon pote le facteur
et son Muchacho Philochou
« Fils de paysan, je veux vivre et mourir pour prouver que dans ma catégorie, il y a aussi des hommes de génie et d’énergie »
– Ferdinand Cheval (1836-1924)
– Philochou…..C’est moi de mon vrai nom Philippe ATHELISTE mes copains m’appelle Phil…ATHELISTE
mais LADY LADINDE quand elle m’a vu au comité de rédaction …
elle m’a dit: « Toi chéri chéri… Chou comme t’es, chez nous tu vas t’appeler » PHILOCHOU »
– Je fais équipe avec mon voisin SANTA CRUZ un facteur retraité… un espagnol originaire de Tarbes comme Henri Genes son idole…!
Alors il m’a dit « Oh hé le muchacho…. Viens avec moi on va leur porter le courrier…. tu seras mon comparse… nous leur ferons découvrir la culture et le rêve contenu dans le timbre poste »
– Allez ..MOTEUR … ACTION … Vas y Muchacho appuie sur ce bouton pour envoyer le générique
SANTA CRUZ ET PHILOCHOU VOUS FONT REDÉCOUVRIR UNE SÉRIE SUR LES PORTRAITS DE FEMMES
Les 12 visuels des timbres représentent des portraits de femmes dans la peinture :
ÉLISABETH VIGÉE LEBRUN
(1755 – 1842)
Elisabeth-Louise Vigée-Lebrun est née à Paris en 1755 d’un père artiste, Elisabeth décide à l’âge de 14 ans de consacrer sa vie à l’art. Formée par un peintre Élisabeth Vigée-Lebrun commence très jeune à peindre et a du succès très tôt.
C’est Vers 1770 qu’Élisabeth Vigée-Lebrun fait ses débuts dans le métier. Grâce à son talent, elle devient la première femme peintre connue et reconnue en France.
Elle épouse en 1775 Jean-Baptiste-Pierre Le Brun, un marchand de tableau avisé qui fera beaucoup pour la carrière de sa femme.
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A partir de 1780 Elisabeth Vigée-Lebrun devient la portraitiste de la haute société, elle sympathise avec la reine Marie-Antoinette et fera d’elle plusieurs portraits qui se trouvent au musée de Versailles.
Peintre attitré de la reine Marie-Antoinette, elle est obligée de s’exiler en 1789.
Elle se rend alors dans les diverses cours d’Europe où elle reçoit un bon accueil et continue d’exercer son art, celui du portrait.
Il se trouve qu’Élisabeth Vigée-Lebrun est on succès à un revers, elle est critiquée, on lui reproche surtout son amitié avec la reine Marie-Antoinette qui est très impopulaire avant la Révolution.Dès 1789 elle émigre et fréquente les cours d’Italie, d’Autriche et de Russie où elle séjourne plusieurs années, peignant les nobles de Saint-Pétersbourg, dont la comtesse Skavronskaia, dame d’honneur de Catherine II.
C’est à Vienne, en 1793, qu’elle apprit la nouvelle de l’exécution de Louis XVI et de son amie Marie-Antoinette.
Après la Révolution, c’est grâce aux démarches de son mari, marchand de tableaux et du peintre David qu’elle put revenir en France en 1802.Elle se consacre alors à la peinture des paysages.
En 1835 elle publie ses souvenirs, une vision personnelle de cette époque bouleversée qui connaît un grand succès.
Avant de vous laisser poursuivre seuls la vie et l’oeuvre de cette artiste, je vous propose de regarder avec moi son autoportrait avec sa fille et celui de Madame Molé-Raymond qui était actrice à la Comédie italienne( figurant sur le timbre et dont le portrait en pied figure ci dessous) , Regardez ces personnages qui semblent toujours vivants à travers les siècles.
« – Les femmes régnaient alors, la révolution les a détrônées ».
On peut s’étonner qu’une femme ait connu le succès en tant qu’artiste dans la société masculine du XVIIIe siècle, Elisabeth Vigée-Lebrun l’explique elle-même
« – Les femmes régnaient alors, la révolution les a détrônées »
Il est probable qu’Élisabeth Vigée-Lebrun ouvrit la voie aux femmes.
Mais il faut attendre un siècle, vers 1870, pour découvrir d’autres femmes peintres : Berthe Morisot, Mary Cassatt, Marie Laurencin et Marie Caire, par exemple.
Cliquez le portrait de -La contesse Skavronskaia ci-dessus
et visitez une galerie de ses meilleurs tableaux
LA FEMME DU JOUR : Madame Molé-Raymond
Le tableau dont le timbre représente un détail montre un visage enjoué, une richesse des tissus, des coloris chaleureux et brillants.
C’est le portrait de Madame Molé-Raymond, comédienne de théâtre.
Le tableau date de 1786.
SOURCE : MUSÉE DU LOUVRE – WIKIPEDIA – PHIL@POSTE
Santa Cruz et Philochou
« Nous finirons tous timbrés »
RETRO: C’est du même tabac…..