– par
Mon pote le facteur
et son Muchacho Philochou
« Fils de paysan, je veux vivre et mourir pour prouver que dans ma catégorie, il y a aussi des hommes de génie et d’énergie »
– Ferdinand Cheval (1836-1924)
– Philochou…..C’est moi de mon vrai nom Philippe ATHELISTE mes copains m’appelle Phil…ATHELISTE
mais LADY LADINDE quand elle m’a vu au comité de rédaction …
elle m’a dit: « Toi chéri chéri… Chou comme t’es, chez nous tu vas t’appeler » PHILOCHOU »
– Je fais équipe avec mon voisin SANTA CRUZ un facteur retraité… un espagnol originaire de Tarbes comme Henri Genes son idole…!
Alors il m’a dit « Oh hé le muchacho…. Viens avec moi on va leur porter le courrier…. tu seras mon comparse… nous leur ferons découvrir la culture et le rêve contenu dans le timbre poste »
– Allez ..MOTEUR … ACTION … Vas y Muchacho appuie sur ce bouton pour envoyer le générique
SANTA CRUZ ET PHILOCHOU VOUS FONT REDÉCOUVRIR UNE SÉRIE SUR LES PORTRAITS DE FEMMES
Les 12 visuels des timbres représentent des portraits de femmes dans la peinture :
Le 8 mars 2012. Ce carnet de 12 timbres autocollants est émis pour célébrer la journée internationale de la Femme |
AUJOURD’HUI |
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UNE FEMME: Berthe Morisot au bouquet de violettes
Berthe Morisot au bouquet de violettes est un tableau réalisé par le peintre Édouard Manet en 1872.
La toile représente la future belle-soeur de l’artiste, Berthe Morisot, elle-même peintre, qui épousera son frère Eugène Manet en 1874.
La jeune femme, qui arbore un bouquet de violettes, est représentée dans un habile mélange de clair et d’obscur donnant au tableau un esprit très particulier.
Une oeuvre de Manet à voir au Musée d’Orsay
« L’œuvre la plus réussie d’Édouard Manet. » (Paul Valéry)
La guerre franco-prussienne et la Commune ont profondément marqué Edouard Manet. Resté à Paris, il a servi dans la garde nationale et son activité artistique s’en est trouvée inévitablement ralentie. A la fin de l’année 1871 il se remet à peindre et retrouve alors ses anciens modèles dont Berthe Morisot, jeune peintre avec qui il partage une amitié profonde et qui épousera l’un de ses frères quelques années plus tard.
Plutôt que d’utiliser un éclairage homogène, comme souvent dans ses portraits, Manet préfère ici projeter sur son modèle une lumière vive et latérale, si bien que Berthe Morisot ne semble être qu’ombre et lumière. Ici avec les yeux noirs, ils étaient en réalité verts, elle est habillée et coiffée de noir, sans doute la meilleure façon d’exalter cette beauté « espagnole » remarquée dès sa première apparition dans l’?uvre de Manet en 1869. Avec cette sublime variation sur le noir, Manet livre une nouvelle preuve de sa virtuosité. Mais peut-être donne-t-il également un avertissement à sa jeune disciple en lui rappelant l’étonnante puissance des noirs, alors qu’elle peignait de plus en plus clair et filait droit sur le chemin de l’impressionnisme.
Ce portrait étrange et envoûtant a rapidement été considéré par ses proches comme un des chefs-d’oeuvre du peintre. Paul Valéry en fait également l’éloge en 1932, dans sa préface au catalogue de la rétrospective de l’Orangerie. « Je ne mets rien », écrit-il, « dans l’?uvre de Manet, au-dessus d’un certain portrait de Berthe Morisot, daté de 1872 ».
Source: Musée d?Orsay
RETRO: C’est du même tabac…..