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LA LUMIÉRE EN PARTAGE



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par chou blanc

Série: « La mémoire de mes mains »

« C’est à l’être capable d’acquérir le plus grand nombre d’arts que la nature a donné l’outil de loin le plus utile:  La main ». Aristote

Ma grand mère Marthe, magnétiseuse connaissait avant moi l’art de vivre en harmonie avec la nature et de tirer  le meilleur parti des bienfaits du soleil .. de sa lumière et des couleurs qu’elle contient.

LA LUMIÈRE EN PARTAGE

Comme elle avait un expérience supérieure à la mienne je lui demandais régulièrement conseil pour apprendre comment partager la lumière


CONNAIS-TU TON VASE DE LUMIÈRE MON PETIT..?

C’est ce jour là qu’elle m’apprit a partager la lumière

« Quand tu sauras comment regarder le soleil qui se lève , une porte s’ouvrira en toi  par laquelle tu sentiras pénétrer sa lumière , et ton plexus solaire deviendra un vase qui se remplit d’une quintessence précieuse.
Un jour , quand le vase débordera, tu n ‘éprouveras plus que le besoin de distribuer cet élixir à toutes les créatures vivantes , car il n’y a pas de plus grande joie que de donner ce qu’on a reçu du soleil »( 1)

Quelques semaines plus tard elle me donna des précisions sur comment regarder le soleil sans se bruler les yeux
Mon fils si tu as le sentiment de voler la lumiere des autres…
Alors je te donne ma methode :
Tu prends la lumière dans un reflet … Cette lumière qui tape sur l’eau ou sur une vitre et qui arrive sur toi te confirme qu’elle fait un détour pour toi et pour personne d’autre…!!! Elle est a toi… Remplit ton vase mon fils…

Bien des années après son décès, j’ai voulu lui succéder dans l’exercice de son don de magnétiseuse…  j’ai perfectionné seul sa méthode :
je me surprenais à manger gloutonnement  les reflets du soleil sur les vagues ou sur l’eau du lac m’imaginant que chaque reflet  était destiné à un de mes malades … je le prenais pour lui distribuer  par la pensée et j’éprouvais une grande joie à donner ce que je recevais ainsi du  ciel du  soleil et  de la mer.

Vint à moi ce jour de jouissance suprême
Ce jour là, à 12h30, j’étais en séance des soins télépathiques sur photo.
Assis à mon bureau dos  à la fenêtre, j’ai vu sur le mur devant moi mon ombre… Immédiatement je ressentais la chaleur du soleil dans ma nuque…
A cette heure là, dos à l’ouest où le soleil se couche, il n’aurait du me toucher que vers les 19H… D’où sortait ce soleil ….. ???
En me retournant, j’ai vu le reflet du soleil sur les vitres de la voiture du voisin, qui du parking, me renvoyait sur moi les rayons de soleil qu’elle recevait .
Le plus étonnant était la puissance de ce reflet … Comme si le bon Dieu me cherchait pour éclairer mes travaux ou remplir mon vase qui se vidait après 4 séances..!!!!

Le soleil me réchauffait, ses rayons étaient comme une caresse sur ma peau, presque plus de vent, un bain de lumière bienfaisante ... La vie me paraissait d'un coup bien plus belle.

Quelques jours après un nouvel événement me confirma  qu’il n’y avait pas de hasard ..!

En déplacement pour stage professionnel en attente du repas du soir …. allongé sur mon lit d’hôtel face à la fenêtre, je somnolais.
Tout à coup, une lueur rouge traversa mes paupières closes.
je fus  surpris de voir un reflet du soleil sur un fenêtre de l’immeuble d’en face
ma chambre inondée de soleil me démontrait que l’immeuble d’en face était dos au soleil
Déduction et vérification faite : Le soleil frappait une vitre de mon immeuble qui de son reflet tapait la vitre d’en face source du rayon de soleil  qui touchait ma tête
j’ai appelé cela le coup du billard … mon vase se remplissait .
Ayant du soigner après le diner (dans un coin de salon) un cheville foulée depuis 6 mois sans guérison,  Je compris qu’on m’avait préparé à cet acte plus difficile que mon quotidien habituel…
Réflexion faite et ce phénomène ne s’étant plus jamais reproduit .
J’en ai déduit que ce jour là ma mémé Marthe était venue m’aider en éclairant la route du magnétiseur débutant que j’étais.
Depuis il me suffit d’un seul reflet, d’un seul éclat de soleil sur la mer pour savoir qu’elle m’accompagne…!!!
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MERCI Mémé…!!!!

Champs de blé avec un faucheur et soleil, fin juin 1889 J’ai compris aussi pourquoi je reste toujours attaché à la phrase de vincent van gogh
qui écrivait: « J’aime de plus en plus le jaune:
« un soleil, écrit-il à son frère Théo, une lumière que faute de mieux je ne peux appeler que jaune, jaune soufre pâle, citron pâle, or. C’est si beau le jaune! »

 – CHOU BLANC AS TU UN AUTRE SOUVENIR AUSSI LUMINEUX A NOUS RACONTER..?

– OUI Je revois encore aujourd’hui  la lumière orangée de la lampe à sel de l’Himalaya que Mémé Marthe m’avait offerte étant bébé pour m’apaiser.

Je l’entends toujours me dire  :
« C’est de cette couleur que le bébé voit le soleil dans le ventre de sa mère … »
MRD c’est bien loin tout ça…!!

SOURCE D’INSPIRATION pour  cet inédit de Choublanc:
(1) Omraam Mikh aël Aïvanhov * Voir le livre Les semences du bonheur (P0231FR), chapitre V.

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez retour sur la rubrique du même tabacCHOU BLANC
RETRO : C’est du même tabac…..

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MAMY RACONTE : Coyote et le soleil

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ALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!

Dans la Chouette ma Mamy se transformera,  en conteuse

AUJOURD’HUI C’EST :   Coyote et le soleil

logo mamy turlututu smallMes chers enfants moi aussi j’avais une grand mère qui, comme moi, aimait à raconter des histoires à la choupinette que j’étais en ce temps là….!

Elle commençait son histoire en disant ceci :
C’était au temps où il se passait sur terre des choses que nous avons peine à comprendre aujourd’hui.


Dans ce temps-là, le pays de l’Ouest, que traverse la Sierra Nevada, était plongé dans une obscurité profonde.
Le soleil n’y brillait jamais, et, parce qu’il n’y avait pas de soleil, on n’y trouvait ni fleurs, ni fruits, ni chansons, ni gaieté : tout y était triste, morne et lent.
logo mamy turlututu smallC’est là que vivait un grand chasseur. Il s’appelait Coyote.
Entraîné par la chasse, il s’aventura un jour loin, très loin, et arriva dans une région qui lui sembla merveilleuse.
Là, le soleil éclairait la terre pendant le jour, la lune brillait pendant la nuit.
Il y avait des fruits et des fleurs sur les arbres, dans les buissons, et jusque sur le bord des rivières et des étangs ; les plumes des oiseaux étaient de couleurs éclatantes : bleu, jaune, rouge, Ceux-ci chantaient dès l’aube jusqu’au crépuscule, et les enfants et les femmes chantaient aussi.
Revenu chez lui, ne le crut pas
Revenu chez lui, Coyote raconta au vieux chef ce qu’il avait vu, mais le vieux chef, qui ne pouvait s’imaginer de telles chose, ne le crut pas ; aussi Coyote, dont le cerveau se trouvait de nouveau peu à peu engourdi par l’obscurité, Coyote en vint à douter lui-même de ce qui était arrivé.

Voulant toutefois en avoir le cœur net, il décida, un beau matin, d’essayer de retourner vers ce pays enchanteur, pour s’assure que ce qu’il avait raconté de si bonne foi existait vraiment.
Il reprit don le même chemin, traversa les montagnes, les forêts, la grande prairie.
Il revit les fleurs, les fruits, les oiseaux, les enfants heureux et le soleil qui semblait présider une fête continuelle. Plus de doute. Tout cela était réel. Ce n’était ni un rêve, ni une invention.

logo mamy turlututu smallRevenu dans ses montagnes obscures, il raconta donc, de nouveau, son histoire.
Il la raconta à tous ceux qui voulaient l’entendre, mais nul ne pouvait comprendre.
On le croyait un peu fou et on commençait à le tourner en ridicule.
Coyote, lui, ne pouvait oublier.
Le souvenir de cette lumière brillante, de cette douce chaleur et de la gaieté devenait une obsession. Non seulement il pensait au soleil pendant le jour, mais il croyait le voir même pendant la nuit.
N’y tenant plus il partit de nouveau, résolu à rapporter chez lui cet astre merveilleux, capable de faire de si belles chose.
Pour la troisième fois, il quitta ses montagnes.
Arrivé au bout de son voyage, il se cacha dans un buisson et, de là, pendant plusieurs jours, épia soigneusement ce qui se passait.
Il découvrit que, pendant la nuit, le chef du village gardait le soleil chez lui. C’est d’ailleurs chez qu’il gardait aussi la lune.
Un soir donc, Coyote, voyant revenir la femme du chef, se transforma en branche d’arbre bien sèche, après s’être placé au beau milieu du chemin, à quelques pas de la demeure.
La squaw se baissa, ramassa la branche et l’emporta.
« Voilà, pensa-t-elle, de quoi allumer mon feu. »
C’était exactement ce que souhaitait Coyote.
Une fois dans la place, il se tint bien tranquille, mêlé au bois qui devait servir le lendemain à l’aube.
Il vit entrer le chef. Celui-ci tenait à la main le soleil qu’il posa près de lui, à la place de la lune que sa femme emporta pour l’accrocher dans le ciel, comme elle le faisait chaque soir.
Tout était tranquille.
Bientôt le chef, fatigué par une journée de chasse, s’endormit. Sa femme rentra, se coucha à côté de lui et s’endormit à son tour.
Lorsqu’il fut certain que tous deux étaient plongés dans un profond sommeil et ne pouvaient pas l’entendre, Coyote reprit sa forme primitive.
Il saisit le soleil, sortit de la hutte le plus doucement possible et, une fois dehors, se sauva à toutes jambes.
Malgré ces précautions, il avait dû faire un peu de bruit en partant, car le chef se réveilla. Il s’aperçut immédiatement du vol, sortit en hâte, appela ses hommes, qui tous se mirent à la poursuite du voleur. Mais Coyote courait si vite que l’on finit par perdre sa trace.
Revenu dans ses montagnes, il montra le soleil à ses amis et au chef de la tribu.
Ni celui-ci, ni aucun autre d’ailleurs, n’avait jamais rien vu de semblable.
Le chef toucha du pied la boule éblouissante et demanda :
– A quoi cela peut-il servir ?
– Cela va servir à nous donner de la chaleur et de la lumière, répondit Coyote. Nous allons le faire marcher haut dans le ciel, afin que toute la terre puisse en profiter.


Et Coyote monta sur la plus haute des montagnes.

Il lança le soleil au-dessus des nuages et lui ordonna de traverser le soleil de l’Est à l’Ouest pendant le jour.

C’est depuis ce temps-là que le soleil nous prodigue à tous ses rayons, sa chaleur et sa lumière.

TU AS TOI AUSSI DES HISTOIRES
PAS VRAI PAPY…????

SOURCES : contes et légendes
http://contesetlegendes.canalblog.com/archives/2008/06/19/9608919.html

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RETRO : C’est une autre histoire
déjà racontée….

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RONCHON DELAGE : Il fait chaud..!!


Quand je le dis beaucoup pense que je suis un vieux con.
Mais je ne peux le démontrer scientifiquement.
Les écolos ont trouvé un moyen de se faire du fric et d’emmerder tout le monde

Cela remet les choses à leur juste place !
À ma connaissance il n’y avait pas de moteurs à explosion avant 1856 !
donc pas de voitures – d’avions – de porte-conteneurs, pas d’industries ou chauffages utilisant le fuel lourd etc. . .
et pourtant il y a eu des canicules pires que celle de 2019 ! ! !
Pourquoi ? ? ?  
« That is the question » !

Voilà ce que l’on pouvait lire dans un journal anglais, le Hampshire Advertiser from Southampton,
le 17 juillet….1852 !

Vous pouvez trouver le facsimilé sur internet.

En 1132 en Alsace les sources se tarissent et les ruisseaux s’assèchent. Le Rhin pouvait être traversé à pied.

En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable.

En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.

En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.

En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.

En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.

En 1440 la chaleur fut excessive. En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement a secs

En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe.

En 1615 et 1616 la canicule s’abat sur la France, l’Italie et les Pays-Bas.

En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs. En 1676 des canicules à nouveau.

Les mêmes événements se produisirent au XVIIIe siècle.

En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre. La canicule aurait fait 700 000 morts !

Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives.

Le thermomètre enregistra 45 degrés C à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosée, les arbres fruitiers fleurissent deux fois pendant la saison.

En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes.

En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées.

Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie. En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives

En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.

En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C.

En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre affiche des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.

En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.

En 1835 la Seine était presque à sec. En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année, le thermomètre affichait 34 degrés.

– Il s’agit bien d’un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.

Ceux qui font remarquer qu’à une époque où il n’y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l’on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sécheresses catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de morts…

– Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu’on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?

C’est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l’évidence il n’y a rien de nouveau sous le soleil !

Amusez-vous à taper « sècheresse 1718 » sur Google et vous en saurez beaucoup plus…


– A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n’a encore jamais eu d’antécédents, car provoqué par l’activité humaine……
En fait, il y a toujours eu, depuis l’antiquité, des alternances de périodes chaudes et de périodes froides sur le globe terrestre

RONCH0N DELAGE

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Choisir le côté ensoleillé de la vie


hypnose-002ba.jpgChoucaline plus proche de toi tumeurbloc note choucalineBLOC NOTE
de Choucaline

CHOULAGER : Les Capacités de notre cerveau et de ses pensées positives »

LA PUISSANCE DE L’ESPRIT POUR GUÉRIR LE CORPS

Choisissez-vous le côté ensoleillé de la vie

Ce matin, en allant poster un courrier, perdu dans mes pensées,
je me suis retrouvé dans le froid, le sombre et le vent.

 

Je regarde l’autre côté de la rue, il y avait du soleil. Je traverse donc, et là, quel changement!

Le soleil me réchauffait, ses rayons étaient comme une caresse sur ma peau, presque plus de vent, un bain de lumière bienfaisante …
La vie me paraissait d’un coup bien plus belle.

Le contraste était tellement frappant! J’aurais pu continuer dans le froid, il a juste suffit d’un instant pour décider de traverser la rue et de choisir le soleil.

Et vous, choisissez-vous le côté ensoleillé de la vie, ou restez-vous dans le gris de la morosité?

Il s’agit juste d’un déclic, d’un choix.
Traverser n’est pas un bien grand risque, et la vie est tellement plus belle au soleil!

Il faut simplement prendre le temps de se poser la question :

« Suis-je du côté ensoleillé? »

Et si ce n’est pas le cas … traversez, rejoignez le positif.

Prenez du temps pour vous et juste un peu de courage pour changer. Et ne laissez pas la « machine à justifications » se mettre en marche pour vous expliquer pourquoi il est plus prudent
d’être négatif et d’éviter le soleil.

Souvenez-vous, même s’il y a des nuages, au-dessus, il y a toujours du soleil !

« Si on laisse les soucis s’installer, ils nous envahissent rapidement. «   Bovee


CUANDO CALIENTA EL SOL

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