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CONTES : Le briquet

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transformera, cet automne, en conteuse au bord du feu…. Préparez les buches….. conservez vos braises on va faire griller les châtaignes

Pour les autres ….??
Ben..! Rêvez…..! Vous sentirez très vite les odeurs de la grillade , la chaleur du feu de bois, vous entendrez l’écorce crépiter….. et vous verrez au milieu des flammes…. la fantasmagorie de l’imaginaire…
ça y est..
Vous tenez le soufflet bien en main….?
Oui.. ! Ok…! Alors allons y…!!!

AUJOURD’HUI C’EST :  LE BRIQUET
Hans Christian Andersen (1805-1875)

LE CHOURISTE
LE BRIQUET
 est un conte écrit par
Hans Christian Andersen,
Hans Christian Andersen,
( ) de Copenhague, est un romancier, dramaturge, conteur et poète danois, célèbre pour ses nouvelles et ses
« contes de fées »

Longtemps ignoré ou tourné en dérision dans son pays, où l’on a raillé son égocentrisme, il n’est reconnu tout d’abord qu’à l’étranger

LE BRIQUET

Un soldat s’en venait d’un bon pas sur la route. Une deux, une deux ! sac au dos et sabre au côté. Il avait été à la guerre et maintenant, il rentrait chez lui…..

Sur la route, il rencontra une vieille sorcière.
Qu’elle était laide ! Sa lippe lui pendait jusque sur la poitrine.
« Bonsoir soldat, » dit-elle.
« Ton sac est grand et ton sabre est beau, tu es un vrai soldat. Je vais te donner autant d’argent que tu voudras. »

 – houla houla méfiance mon gars

« Merci, vieille, » dit le soldat.

 

« Vois-tu ce grand arbre ? » dit la sorcière.
« Il est entièrement creux. Grimpe au sommet, tu verras un trou, tu t’y laisseras glisser jusqu’au fond.

Je t’attacherai une corde autour du corps pour te remonter quand tu m’appelleras. »

« Mais qu’est-ce que je ferai au fond de l’arbre ? »

 

logo mamy turlututu small« Tu y prendras de l’argent, » dit la sorcière. Quand tu seras au fond, tu te trouveras dans une grande galerie éclairée par des centaines de lampes. Devant toi il y aura trois portes. Tu pourras les ouvrir, les clés sont dessus.
Si tu entres dans la première chambre, tu verras un grand chien assis au beau milieu sur un coffre. Il a des yeux grands comme des soucoupes, mais ne t’inquiète pas de ça. Je te donnerai mon tablier à carreaux bleus que tu étendras par terre, tu saisiras le chien et tu le poseras sur mon tablier. Puis tu ouvriras le coffre et tu prendras autant de pièces que tu voudras. Celles-là sont en cuivre…
Si tu préfères des pièces d’argent, tu iras dans la deuxième chambre ! Un chien y est assis avec des yeux grands comme des roues de moulin. Ne t’inquiète encore pas de ça. Pose-le sur mon tablier et prends des pièces d’argent, autant que tu en veux.
Mais si tu préfères l’or, je peux aussi t’en donner – et combien !
– tu n’as qu’à entrer dans la troisième chambre. Ne t’inquiète toujours pas du chien assis sur le coffre. Celui-ci a les yeux grands comme la Tour Ronde de Copenhague et je t’assure que pour un chien, c’en est un. Pose-le sur mon tablier et n’aie pas peur, il ne te fera aucun mal. Prends dans le coffre autant de pièces d’or que tu voudras.

« Ce n’est pas mal du tout ça, » dit le soldat. « Mais qu’est-ce qu’il faudra que je te donne à toi la vieille ? Je suppose que tu veux quelque chose. »

« Pas un sou, » dit la sorcière. « Rapporte-moi le vieux briquet que ma grand-mère a oublié la dernière fois qu’elle est descendue dans l’arbre. »

 – Houla houla c’est louche

« Bon, » dit le soldat, « attache-moi la corde autour du corps. »

« Voilà, et voici mon tablier à carreaux bleus. »

Le soldat grimpa dans l’arbre, se laissa glisser dans le trou, et le voilà, comme la sorcière l’avait annoncé, dans la galerie où brillaient des centaines de lampes.

Il ouvrit la première porte. Oh ! le chien qui avait des yeux grands comme des soucoupes le regardait fixement.

« Tu es une brave bête, » lui dit le soldat en le posant vivement sur le tablier de la sorcière.
Il prit autant de pièces de cuivre qu’il put en mettre dans sa poche, referma le couvercle du coffre, posa le chien dessus et entra dans la deuxième chambre. Brrr ! ! le chien qui y était assis avait, réellement, les yeux grands comme des roues de moulin.

« Ne me regarde pas comme ça, » lui dit le soldat, « tu pourrais te faire mal. » Il posa le chien sur le tablier, mais en voyant dans le coffre toutes ces pièces d’argent, il jeta bien vite les sous en cuivre et remplit ses poches et son sac d’argent.
Puis il passa dans la troisième chambre. Mais quel horrible spectacle ! Les yeux du chien qui se tenait là étaient vraiment grands chacun comme la Tour Ronde de Copenhague et ils tournaient dans sa tête comme des roues.

« Bonsoir, » dit le soldat en portant la main à son képi, car de sa vie, il n’avait encore vu un chien pareil et il l’examina quelque peu. Mais bientôt il se ressaisit, posa le chien sur le tablier, ouvrit le coffre. Dieu ! … que d’or ! Il pourrait acheter tout Copenhague avec ça, tous les cochons en sucre des pâtissiers et les soldats de plomb et les fouets et les chevaux à bascule du monde entier. Quel trésor ! Il jeta bien vite toutes les pièces d’argent et prit de l’or.
Ses poches, son sac, son képi et ses bottes, il les remplit au point de ne presque plus pouvoir marcher. Eh bien ! il en avait de l’argent cette fois ! Vite il replaça le chien sur le coffre, referma la porte et cria dans le tronc de l’arbre : « Remonte-moi, vieille. »

« As-tu le briquet ? » demanda-t-elle.

« Ma foi, je l’avais tout à fait oublié, » fit-il, et il retourna le prendre. Puis la sorcière le hissa jusqu’en haut et le voilà sur la route avec ses poches, son sac, son képi, ses bottes pleines d’or !

« Qu’est-ce que tu vas faire de ce briquet ? » demanda-t-il.

« Ça ne te regarde pas, tu as l’argent, donne-moi le briquet ! »

« Taratata, » dit le soldat. « Tu vas me dire tout de suite ce que tu vas faire de ce briquet ou je tire mon sabre et je te coupe la tête. »

« Non, » dit la vieille sorcière.

Alors, il lui coupa le cou. La pauvre tomba par terre et elle y resta. Mais lui serra l’argent dans le tablier, en fit un baluchon qu’il lança sur son épaule, mit le briquet dans sa poche et marcha vers la ville.

Une belle ville c’était. Il alla à la meilleure auberge, demanda les plus belles chambres, commanda ses plats favoris. Puisqu’il était riche.

Le valet qui cira ses chaussures se dit en lui-même que pour un monsieur aussi riche, il avait de bien vieilles bottes. Mais dès le lendemain, le soldat acheta des souliers neufs et aussi des vêtements convenables. Alors il devint un monsieur distingué. Les gens ne lui parlaient que de tout ce qu’il y avait d’élégant dans la ville et de leur roi, et de sa fille, la ravissante princesse.

« Où peut-on la voir ? » demandait le soldat.

« On ne peut pas la voir du tout, » lui répondait-on. « Elle habite un grand château aux toits de cuivre entouré de murailles et de tours. Seul le roi peut entrer chez elle à sa guise car on lui a prédit que sa fille épouserait un simple soldat; et un roi n’aime pas ça du tout. »

Que je voudrais la connaître ! dit le soldat, mais il savait bien que c’était tout à fait impossible.

Alors il mena une joyeuse vie, alla à la comédie, roula carrosse dans le jardin du roi, donna aux pauvres beaucoup d’argent – et cela de grand coeur – se souvenant des jours passés et sachant combien les indigents ont de peine à avoir quelques sous.
Il était riche maintenant et bien habillé, il eut beaucoup d’amis qui, tous, disaient de lui :
« Quel homme charmant, quel vrai gentilhomme ! »
Cela le flattait. Mais comme il dépensait tous les jours beaucoup d’argent et qu’il n’en rentrait jamais dans sa bourse, le moment vint où il ne lui resta presque plus rien. Il dut quitter les belles chambres, aller loger dans une mansarde sous les toits, brosser lui-même ses chaussures, tirer l’aiguille à repriser. Aucun ami ne venait plus le voir… trop d’étages à monter.

Par un soir très sombre – il n’avait même plus les moyens de s’acheter une chandelle – il se souvint qu’il en avait un tout petit bout dans sa poche et aussi le briquet trouvé dans l’arbre creux où la sorcière l’avait fait descendre.
Il battit le silex du briquet et au moment où l’étincelle jaillit, voilà que la porte s’ouvre. Le chien aux yeux grands comme des soucoupes est devant lui. « Qu’ordonne mon maître ? » demande le chien.

« Quoi ! » dit le soldat. « Voilà un fameux briquet s’il me fait avoir tout ce que je veux. Apporte-moi un peu d’argent. » Hop ! voilà l’animal parti et hop ! le voilà revenu portant, dans sa gueule, une bourse pleine de pièces de cuivre.

Alors le soldat comprit quel briquet miraculeux il avait là. S’il le battait une fois, C’était le chien assis sur le coffre aux monnaies de cuivre qui venait, s’il le battait deux fois, c’était celui qui gardait les pièces d’argent et s’il battait trois fois son briquet, C’était le gardien des pièces d’or qui apparaissait.

 – Houla houla Méfiance soldat

Notre soldat put ainsi redescendre dans les plus belles chambres, remettre ses vêtements luxueux. Ses amis le reconnurent immédiatement et même ils avaient beaucoup d’affection pour lui.

Cependant un jour, il se dit : « C’est tout de même dommage qu’on ne puisse voir cette princesse. On dit qu’elle est si charmante ! A quoi bon si elle doit toujours rester prisonnière dans le grand château aux toits de cuivre avec toutes ces tours ? Est-il vraiment impossible que je la voie ? Où est mon briquet ? »
Il fit jaillir une étincelle et le chien aux yeux grands comme des soucoupes apparut.

« Il est vrai qu’on est au milieu de la nuit, » lui dit le soldat, « mais j’ai une envie folle de voir la princesse. »

En un clin d’oeil, le chien était dehors, et l’instant d’après, il était de retour portant la princesse couchée sur son dos. Elle dormait et elle était si gracieuse qu’en la voyant, chacun aurait reconnu que c’était une vraie princesse. Le jeune homme n’y tint plus, il ne put s’empêcher de lui donner un baiser car, lui, c’était un vrai soldat.

Vite le chien courut ramener la jeune fille au château, mais le lendemain matin, comme le roi et la reine prenaient le thé avec elle, la princesse leur dit qu’elle avait rêvé la nuit d’un chien et d’un soldat et que le soldat lui avait donné un baiser.

« Eh bien ! en voilà une histoire ! » dit la reine.

logo mamy turlututu smallUne des vieilles dames de la cour reçut l’ordre de veiller toute la nuit suivante auprès du lit de la princesse pour voir si c’était vraiment un rêve ou bien ce que cela pouvait être !

Le soldat se languissait de revoir l’exquise princesse ! Le chien revint donc la nuit, alla la chercher, courut aussi vite que possible – mais la vieille dame de la cour avait mis de grandes bottes et elle courait derrière lui et aussi vite. Lorsqu’elle les vit disparaître dans la grande maison, elle pensa :
« Je sais maintenant où elle va, » et, avec un morceau de craie, elle dessina une grande croix sur le portail. Puis elle rentra se coucher. Le chien, en revenant avec la princesse, vit la croix sur le portail et traça des croix sur toutes les portes de la ville. Et ça, c’était très malin de sa part; ainsi la dame de la cour ne pourrait plus s’y reconnaître.

Au matin, le roi, la reine, la vieille dame et tous les officiers sortirent pour voir où la princesse avait été.

« C’est là, dit le roi dès qu’il aperçut la première porte avec une croix.

« Non, c’est ici mon cher époux, » dit la reine en s’arrêtant devant la deuxième porte.

« Mais voilà une croix – en voilà une autre, » dirent-ils tous, il est bien inutile de chercher davantage.

Cependant, la reine était une femme rusée, elle savait bien d’autres choses que de monter en carrosse. Elle prit ses grands ciseaux d’or et coupa en morceaux une pièce de soie, puis cousit un joli sachet qu’elle remplit de farine de sarrasin très fine. Elle attacha cette bourse sur le dos de sa fille et perça au fond un petit trou afin que la farine se répande tout le long du chemin que suivrait la princesse.

Le chien revint encore la nuit, amena la princesse sur son dos auprès du soldat qui l’aimait tant et qui aurait voulu être un prince pour l’épouser.

Mais le chien n’avait pas vu la farine répandue sur le chemin depuis le château jusqu’à la fenêtre du soldat. Le lendemain, le roi et la reine n’eurent aucune peine à voir où leur fille avait été. Le soldat fut saisi et jeté dans un cachot lugubre !

 – Houla houla je te l’avais dit  soldat..!!!

Oh ! qu’il y faisait noir !

« Demain, tu seras pendu, » lui dit-on.
Ce n’est pas une chose agréable à entendre, d’autant plus qu’il avait oublié son briquet à l’auberge.
Derrière les barreaux de fer de sa petite fenêtre, il vit le matin suivant les gens qui se dépêchaient de sortir de la ville pour aller le voir pendre. Il entendait les roulements de tambours, les soldats défilaient au pas cadencé. Un petit apprenti cordonnier courait à une telle allure qu’une de ses savates vola en l’air et alla frapper le mur près des barreaux au travers desquels le soldat regardait.

« Hé ! ne te presse pas tant. Rien ne se passera que je ne sois arrivé. Mais si tu veux courir à l’auberge où j’habitais et me rapporter mon briquet, je te donnerai quatre sous. Mais en vitesse. »

 – Houla houla Magne toi gamin…!!!!.!!!

Le gamin ne demandait pas mieux que de gagner quatre sous.
Il prit ses jambes à son cou, trouva le briquet…

logo mamy turlututu smallEn dehors de la ville, on avait dressé un gibet autour duquel se tenaient les soldats et des centaines de milliers de gens. Le roi, la reine étaient assis sur de superbes trônes et en face d’eux, les juges et tout le conseil.

Déjà le soldat était monté sur l’échelle, mais comme le bourreau allait lui passer la corde au cou, il demanda la permission – toujours accordée, dit-il à un condamné à mort avant de subir sa peine – d’exprimer un désir bien innocent, celui de fumer une pipe, la dernière en ce monde.

Le roi ne voulut pas le lui refuser et le soldat se mit à battre son briquet : une fois, deux fois, trois fois ! et hop ! voilà les trois chiens : celui qui avait des yeux comme des soucoupes, celui qui avait des yeux comme des roues de moulin et celui qui avait des yeux grands chacun comme la Tour Ronde de Copenhague.

« Empêchez-moi maintenant d’être pendu ! » leur cria le soldat.
Alors les chiens sautèrent sur les juges et sur tous les membres du conseil, les prirent dans leur gueule, l’un par les jambes, l’autre par le nez, les lancèrent en l’air si haut qu’en tombant, ils se brisaient en mille morceaux.

« Je ne tolérerai pas, » commença le roi.
Mais le plus grand chien le saisit ainsi que la reine et les lança en l’air à leur tour.
Les soldats en étaient épouvantés et la foule cria :
« Petit soldat, tu seras notre roi et tu épouseras notre délicieuse princesse. »

On fit monter le soldat dans le carrosse royal et les trois chiens gambadaient devant en criant ‘bravo’. Les jeunes gens sifflaient dans leur doigts, les soldats présentaient les armes.
La princesse fut tirée de son château aux toits de cuivre et elle devint reine, ce qui lui plaisait beaucoup.
– HOULA HOULA…!!!!
La noce dura huit jours, les chiens étaient à table et roulaient de très grands yeux.

 

SOURCES: https://touslescontes.com/biblio/conte.php?iDconte=113

* Ce conte est dans le domaine public au Canada,

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RETRO : C’est une récap des histoires déjà racontées..

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LES POÈTES DE LA RÉCRÉ N°5 : Le fantôme de la récréation mange la pomme et l’escargot


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 LE BLOG
DE TOM ET DOUCE

 



Elles existent encore, dans mes vieux rêves, ces cours de récréation où les enfants déclamaient avec éloquence, et chacun leur tour, des poèmes appris l’heure d’avant…
Des poèmes courts souvent faciles à retenir que
TOM ET DOUCE vous feront revivre de temps en temps histoire de vous dire qu’il n’est pas encore venu le temps des poètes disparus… Écoutez les ..!

Récréation

C’est la rentrée à cloche-pied
Qui fait des marelles,
Les ballons rouges et la chandelle…

C’est la rentrée à chat perché,
Corde à sauter aux mains des filles,
Garçons aux poches gonflées de billes…

La cloche sonne, c’est la rentrée.
Tableau, cahiers, crayons…
vivement la récréation !

Anonyme

Le fantôme
Gling gling
dans les couloirs
du vieux manoir
gling gling
vit le fantôme
du sieur Guillaume.
gling gling
ça fait mille ans
que l’on entend

gling gling
son cliquetis
toutes les nuits.
que cherche-t-il
un brin de fil
pour repriser
son drap troué

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La pomme et l’escargot

Il y avait une pomme
à la cime d’un pommier
un grand coup de vent d’automne
la fit tombée sur le pré
-Pomme,pomme t’es tu fais mal
-J’ai le menton en marmelade
L’œil fendu et le nez poché
Elle tomba qu’elle dommage
sur un petit escargot
qui s’en allais au village
sa demeure sur le dos
-Ah!stupide créature
Dit l’animal cornu
-Tu as défoncé ma toiture
et me voici faible et nu
Dans la pomme à demi blête
L’escargot comme un gros ver
Ronga creusa sa chambrette
afin d’y passer l’hiver

Charles Vildrac

CHOU BLANC
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« La poésie, c’est le sourire du langage »

RETRO :
C’est du même tabac…..

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ALLEZ MAMY RACONTE : Une leçon de hérisson


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Dans la Chouette, ma Mamy se transforme en conteuse.
Préparez les esquimaux glacés…..
Aujourd’hui:
UNE LEÇON DE HÉRISSON


logo mamy turlututu smallMes chers enfants moi aussi, j’avais une grand mère qui, comme moi, aimait à raconter des histoires à la choupinette que j’étais en ce temps là….!

Elle se plaisait à me parler des histoires du temps jadis que les grands mères racontaient de génération en génération les enseignements de dame nature et l’intelligence des bêtes qui tout compte fait ne sont pas si bêtes …..écoutez la leçon de vie en société que nous donnent les hérissons…..

UNE LEÇON DE HERISSON
Image du Blog magnolias.centerblog.net

LE CHOURISTE

– Mamy avant que tu leur racontes ton histoire de hérissons attends un peu que je leur explique ce qu’est un hérisson …..

Hérisson est le nom usuel qui désigne en français divers petits mammifères insectivores disposant de poils agglomérés, durs, hérissés et piquants.
Les espèces les plus connues sont le Hérisson commun et le Hérisson oriental mais il existe d’autres « hérissons » sur divers continents, y compris en Asie un genre apparenté mais dont les représentants sont dépourvus de piquants.
La femelle du hérisson est appelée la « hérissonne ». On dit le hérisson et non pas l’hérisson.
Le hérisson peut pousser un cri perçant, on dit qu’il « grincaille ».

AVIS A TOUS LES POTES ÂGÉS PROTÉGEZ LES :

Ils vous débarrasseront des limaces, œufs de serpents, bébés vipères, larves d’insectes ravageurs de potagers, etc …

ll ne faut pas confondre les hérissons avec les porcs épics qui sont des rongeurs

jonas

ll ne faut pas confondre non plus les hérissons avec les porcs épics qui sont des rongeurs
Leur pelage composé de poils et de piquants les protège des prédateurs. Ils atteignent des longueurs de 60 à 70 cm, du museau à la queue, et se dressent comme un ours, la plante des pieds posée fermement sur le sol. Contrairement aux rumeurs populaires, les porcs-épics n’ont pas la capacité de projeter leurs piquants. Par contre, ceux-ci se détachent facilement. En restant plantés dans le corps d’un adversaire, les piquants peuvent y provoquer une septicémie.

logo jonas étéDe caractère solitaire, myopes, ils limitent leur vie sociale aux nécessités de la reproduction et, parfois, au partage de la végétation, leur nourriture. Ils font partie des plus gros rongeurs du monde

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BON PAPY…
il a raison ce petit il fait chaud passons à l’histoire …
C’est quand même les vacances….!!

C’était l’hiver le plus froid jamais vu….!
De nombreux animaux étaient morts en raison du froid. Les  hérissons, se rendant compte de la situation avaient décidé de se regrouper.


De cette façon ils se couvraient et se réchauffaient les uns les autres.

Mais, leurs piquants blessaient leurs compagnons les plus proches, même s’ils se donnaient beaucoup de chaleur les uns aux autres.
Après un certain temps, ils ont décidé de prendre leur distance l’un de l’autre et ils ont commencé à mourir, seuls et congelés.

Alors, ils devaient faire un choix :
accepter les piquants de leurs compagnons ou disparaître de la terre.

Sagement, ils ont décidé de revenir en arrière pour vivre ensemble.

De cette façon, ils ont appris à vivre avec les petites blessures causées par l’étroite proximité avec leurs compagnons, mais la partie la plus importante était la chaleur des autres dont ils bénéficiaient tous.

LE CHOURISTE– De cette façon, ils ont pu survivre.

– La meilleure relation n’est pas celle qui rassemble des gens parfaits, mais lorsque chacun apprend à vivre avec les imperfections de l’autre et y découvrir et admirer ses qualités..

 SOURCES:  wikipedia    contes d’amérique du nord

images : Site magnolias.com

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RETRO : C’est un autre épisode….

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BEST OF 2023…. LE MEILLEUR DE LA CHOUETTE ….

BLOC NOTE DU TOP2O DU BLOC NOTE
DE LA

RETRO CHOUPOTEE
par le Chouriant

Le meilleur de la Chouette…

L’AILE ET LA CUISSE DE CETTE ANNÉE 2023

Ce bloc note est destiné à nous lancer des fleurs même si parfois ce sont des crises en thèmes; c’est une mesure de l’audience et la taupe 20 du potager.

VOUS RETROUVEREZ LES ARTICLES CHANSONS OU VIDÉOS QUI ONT ÉTÉ LES PLUS LUS MOIS PAR MOIS DE JANVIER A DÉCEMBRE 2023

RETROCHOUPOTÉE 2023…. LE MEILLEUR DE LA CHOUETTE ….
L’AILE ET LA CUISSE
janvier 75

Epiphanie: Le jour des rois mages … ils arrivent…!

Les Rois Mages,d’Orient ou simplement les Rois , sont, selon le Nouveau Testament, quelques mages qui guidés par une étoile, ont porté des cadeaux à Jésus.
Ces cadeaux étaient l’or l’encens et la myrte

fevrier 75.hécate

Le lampadaire tient son nom des
Lampades, nymphes chtoniennes des
enfers au service d’Hécate, déesse de
la mythologie grecque.
Dans la mythologie grecque, Hécate  est une déesse de la Lune.

MARS 75VARIÉTÉS: STRATO VANI Sélection N° 2

À propos de : Strato-Vani
Formé par Marc Cortens, sous la houlette du chef d’orchestre Luc Smets, le Strato-Vani Orchestra et ses arrangements « easy listening » de tubes flamands des 60 dernières années, est perçu en Belgique comme un écho à l’œuvre de James Last.Pour ceux qui veulent découvrir la SELECTION N°1 

 

avril75MAMY RACONTE :
L’invention du martinet

Au Moyen Âge, et même au XVIIe siècle, la peine du fouet était souvent prononcée par les juges militaires et appliquée avec une rigueur extrême.Il fallut attendre le règne de Louis XIV pour qu’un certain colonel nommé Martinet adoucisse les peines, léguant son nom à un célèbre accessoire…
mai 75NATURE : Connaissez -vous la figue? Une histoire d’interdépendance comme il en existe beaucoup, qui doit nous rappeler QUE LES INSECTES SONT INDISPENSABLES MAIS QUE LES VÉGÉTAUX LE SONT TOUT AUTANT !
Une guêpe femelle entre dans une figue femelle : l’avantage est au figuier qui peut finaliser son cycle de reproduction, voyant sa fleur pollinisée par la pénétration de cette petite guêpe préalablement enduite de pollen !

juin 75PEINTURE : Les femmes de John William Waterhouse

John William Waterhouse ( – )
est un peintre britannique néoclassique et préraphaélite, célèbre pour ses tableaux de femmes inspirés de la mythologie et de la littérature.

juillet 75CINÉMA : Le film Marie Madeleine est un portrait authentique et humaniste…

Les femmes sont intimement associées à la résurrection de Jésus, presque autant que le bleu l’est à la mer.
Les évangiles ne racontent-ils pas qu’elles sont les premières à avoir vu Jésus vivant et à l’avoir annoncé ?

Aout 75Le BABAU ce monstre croqueur d’enfants

Quand j’étais pas sage elle me disait que le Babau viendrait me manger….
Ainsi elle me contât l’histoire de ce monstre sanguinaire : LE BABAU

Selon la légende, dans la nuit de 2 février 1290 un monstre sanguinaire surgit des berges du fleuve côtier… l’Agly.
D’où venait-il ?
Qui était-il ?     Nul le sait.

Toujours est-il qu’il est là, et bien là.

 

HUMOUR :
Et la lumière fuite … en avant..!!!!Il était une fois, un électricien qui voulut brancher une femme qu’il trouvait lumineuse.
Hélas pour lui, celle-ci chercha tout de suite à éteindre ses ardeurs.– J’suis déjà prise ! annonça-t-elle.– Je m’en fiche ! lui dit-il, je ne suis pas du secteur. On pourrait se voir en alternatif ?
– Si tu continues à me mettre sous tension avec autant d’intensité, je pars en courant….
octobre 75SANTÉ : Effrayée, l’autruche cacherait sa tête dans le sable

 

 

 

 

 

Cette expression populaire est née de l’idée que l’autruche, plus grand oiseau au monde, enfouit sa tête dans le dès qu’elle a peur croyant ainsi être en sécurité.

MES CHERS POTES ÂGÉS, JE ME DOIS DE VOUS DIRE

Si vous êtes une personne qui refuse de faire face à la réalité, à ignorer un problème et que vous faites comme l’autruche en mettant la tête dans le sable, je vous invite à regarder la position que vous prenez …!!!

Vous êtes en position de prendre un coup de pied dans le cul de la vie..!!!

novembre 75

EN ÉCOUTANT LES OISEAUX

Oh ! Quand donc aurez-vous fini, petits oiseaux,
De jaser au milieu des branches et des eaux,
Que nous nous expliquions et que je vous querelle !
Rouge-gorge, verdier, fauvette, tourterelle,
Oiseaux, je vous entends, je vous connais. Sachez
Que je ne suis pas dupe, ô doux ténors cachés,
De votre mélodie et de votre langage.

VICTOR HUGO  

decembre70
LIVRES :
Les plans pandémie à disposition devaient nous permettre de passer l’écueil sans difficulté.Or au lieu d’appliquer les connaissances et les bonnes pratiques en santé publique, nos gouvernements ont délibérément fait paniquer la population en déformant les chiffres, en interdisant aux médecins de soigner leurs patients et en imposant des mesures, liberticides et brutales, connues de longue date pour être inutiles.

bandeau-lutins-catalans-meilleurs-voeuxCOMMENT FAIRE DES RECHERCHES DANS LES ARCHIVES DE LA CHOUETTE

Il existe plusieurs moyens de naviguer dans la Chouette de façon plus ciblée en recherchant dans ses archives pour trouver:

un rédacteur dont le style ou les thèmes vous plaisent
un mot clé
– les titres des articles de la semaine que vous avez raté

un mot ,une phrase pour voir ce que la Chouette a dit dessus
les articles d’un mois donné
une date précise pour en lire l’article du jour
un jour de la semaine ( les mercredis sont pour les enfants les vendredis pour l’humour)

AIDE au pote « pommé

la retrospective et best off du RETROVISEUR

 

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