par
Mon pote le facteur
et son Muchacho Philochou
« Fils de paysan, je veux vivre et mourir pour prouver que dans ma catégorie, il y a aussi des hommes de génie et d’énergie »
– Ferdinand Cheval (1836-1924)
– Philochou…..C’est moi de mon vrai nom Philippe ATHELISTE mes copains m’appelle Phil…ATHELISTE
mais LADY LADINDE quand elle m’a vu au comité de rédaction …
elle m’a dit: « Toi chéri chéri… Chou comme t’es, chez nous tu vas t’appeler » PHILOCHOU »
– Je fais équipe avec mon voisin SANTA CRUZ un facteur retraité… un espagnol originaire de Tarbes comme Henri Genes son idole…!
Alors il m’a dit « Oh hé le muchacho…. Viens avec moi on va leur porter le courrier…. tu seras mon comparse… nous leur ferons découvrir la culture et le rêve contenu dans le timbre poste »
– Allez ..MOTEUR … ACTION … Vas y Muchacho appuie sur ce bouton pour envoyer le générique
SANTA CRUZ ET PHILOCHOU VOUS FONT REDÉCOUVRIR UNE SÉRIE SUR LES PORTRAITS DE FEMMES
Les 12 visuels des timbres représentent des portraits de femmes dans la peinture :
Berthe MORISOT (1841-1895)
Le 14 janvier 1841 naît à Bourges Berthe Morisot.
Issue d?une famille bourgeoise fortunée, Berthe Morisot, élève de Guichard, amie de Daubigny et de Daumier, peint des paysages dans l?esprit de Corot.
Sa rencontre avec Manet est décisive pour son évolution artistique et sentimentale.
Manet exécute de son modèle nombre de portraits, dont Le Balcon (1868). Berthe Morisot, épouse d?Eugène Manet, frère du peintre, se lance dans l?exécution de paysages de plein air.
De cette époque datent Vue du petit port de l?Orient (1869), La Chasse aux papillons (1874), L?Entrée du port (1874). Dans le même temps, Berthe Morisot s?attache à peindre des portraits et des scènes intimistes.
Le Berceau (1873), Dans la salle à manger (1886), Cousant dans le jardin (1881), Dans l?herbe à Maurecourt (1884), Le Cerisier (1891) figurent parmi ses toiles les plus réussies et les plus lumineuses.
LA FEMME DU JOUR: Jeune femme en toilette de bal
Si certains peintres, critiques et écrivains, tel Joris-Karl Huysmans, ne voient dans les toiles de Berthe Morisot qu?un « pimpant brouillis de blanc et de rose » ou « d?adorables délices de toilettes mondaines », d?autres, moins misogynes, ne s?y trompent pas, qui voient dans cette manière d?improvisation un « charme féminin sans mièvrerie » et des « valeurs d?une justesse rigoureuse ».
Lorsqu’elle présente une quinzaine de tableaux à la cinquième exposition impressionniste en 1880, dont celui-ci, Charles Ephrussi livre dans la Gazette des Beaux-Arts une description poétique et une analyse sensible de l’ensemble :
« Mme Berthe Morisot est française par la distinction, l’élégance, la gaieté, l’insouciance ; elle aime la peinture réjouissante et remuante ; elle broie sur sa palette des pétales de fleurs, pour les étaler ensuite sur la toile en touches spirituelles, soufflées, jetées un peu au hasard, qui s’accordent, se combinent et finissent par produire quelque chose de fin, de vif et de charmant« .
Ces considérations, pourtant générales, s’accordent parfaitement avec ce tableau. On y observe en effet un modèle plongé dans un environnement végétal qui résonne, tant par la forme que par le traitement, avec la garniture de son décolleté.
Jouissant également de la reconnaissance des artistes, Berthe Morisot vend immédiatement sa Jeune femme en toilette de bal au peintre d’origine italienne, Giuseppe de Nittis (1846-1884) qui avait participé à la première manifestation
SOURCE : MUSEE D’ORSAY – WIKIPEDIA – PHIL@POSTE
Santa Cruz et Philochou
« Nous finirons tous timbrés »
RETRO: C’est du même tabac…..